Appel à candidatures, École d’Automne « Pratiques curatoriales et construction des histoires de l’art des mondes musulmans » (Paris, 31 octobre – 3 novembre 2016), jusqu’au 5 juillet 2016

École d’Automne
31 octobre – 3 novembre 2016
« Pratiques curatoriales et construction des histoires de l’art des mondes musulmans”

Organisée par l’Unité d’arabe de l’Université de Genève et le groupe de recherche ARVIMM.
Avec le partenariat de l’IISMM.
Avec la collaboration du département  Recherche et Mondialisation du MNAM – Centre Georges Pompidou
Lieux : Institut d’études de l’Islam et des sociétés du monde musulman et MNAM – Centre Georges Pompidou


Appel à candidatures

En tant que phénomène global, les pratiques curatoriales contemporaines constituent une étude de cas stimulante dans l’histoire de l’art et la création artistique. Après Unedited History. Iran 1960-2014 (Musée d’art moderne de la ville de Paris, 2014), c’est à partir de l’exposition Art et Liberté : le surréalisme en Égypte (Centre Georges Pompidou, automne 2016), que cette école propose d’interroger les modalités de présentation de l’art moderne et contemporain du monde arabe, de la Turquie et de l’Iran dans les institutions muséales et les expositions au niveau international.
Du point de vue des institutions occidentales, cette dynamique obligerait à interroger les catégories de pensée au prisme du contexte historique, social et matériel au sein duquel ces productions sont élaborées tout en considérant les contraintes liées à l’identification et à l’accessibilité aux sources. D’un autre côté, les institutions du monde arabe doivent faire face à un double défi : établir une pensée critique de l’héritage structurel et théorique occidental tout en l’adaptant à des formulations narratives qui dépasseraient le clivage tradition/modernité. L’examen des pratiques curatoriales contemporaines et des positions théoriques associées à l’histoire de l’art sous-tend également la mise en place d’un projet normatif qui viserait à développer des approches historiographiques alternatives et des pratiques de collection et de conservation.
Ainsi prises comme objet et comme processus, les pratiques curatoriales portant sur les mondes musulmans s’appuient sur la production d’un appareil discursif qui suscite différentes questions…

Appel à contribution, AntiAtlas Journal n°03 : Fragiles frontières, jusqu’au 1er octobre 2016

Ce numéro de l’antiAtlas Journal s’intéressera aux frontières marquées par la violence des conflits armés («rébellion», «terrorisme», «post-conflit», voisinage avec des «zones de conflit»…). L’État s’y trouve localement défié, dans son monopole d’exercice et de délégation de la violence, par des groupes armés se réclamant de nouvelles frontières, religieuses pour redéfinir des espaces théocratiques ou des proximités culturelles pour substituer au territoire national existant des territoires plus ou moins autonomes. Zones parcourues voire partiellement gouvernées par des groupes armés non étatiques, certaines frontières deviennent ainsi «fragiles», sans pour autant que les États perdent leur souveraineté sur le reste de leur territoire ou sur d’autres points frontières. Cette fragilité va de l’abandon de la frontière par tous les appareils d’État à la contrainte imposée par les populations aux fonctionnaires de négocier leur présence en frontière, en passant par une gouvernance de la frontière où tous les appareils civils d’État sont placés sous une autorité militaire, nationale ou internationale. En dépit de leur fragilité, ces frontières continuent d’assurer leur fonction locale de ressource politique, économique et symbolique. Même si les modalités de circulation changent, des marchandises légales et illégales et des personnes continuent de franchir les frontières, de façon plus ou moins formelle. La violence en frontière a ceci de paradoxal qu’elle crée une situation de crise mais ne doit pas être un facteur de blocage des flux, en particulier marchands, au risque de créer un désert économique et d’affaiblir ainsi la crédibilité politique des groupes armés dans leur prétention à gouverner donc à assurer la sécurité des échanges et des mouvements transfrontaliers.

[Lire la suite].

Projection-débat, 10 949 femmes, Nassima Guessoum, Paris, Espace Saint-Michel, 18 mai 2016

Les associations APEL-Égalité et ACDA organisent une projection du film documentaire 10 949 femmes (Algérie, France – 2015 – 76′), de Nassima Guessoum, qui sera suivie d’un débat avec la réalisatrice.

Un teaser est disponible sous ce lien.

Informations pratiques :
Mercredi 18 mai 2016, à 20 heures
Espace Saint-Michel
7, place Saint-Michel, 75005 Paris


A Alger, Nassima Hablal, héroïne oubliée de la Révolution algérienne, me raconte son histoire de femme dans la guerre, sa lutte pour une Algérie indépendante.
Charmante, ironique et enjouée, elle me fait connaître ses amies d’antan: Baya, infirmière dans les maquis et Nelly, assistante sociale dans les bidonvilles de la capitale. A travers ses récits je reconstitue un héritage incomplet. En interrogeant l’Algérie du passé, je comprends l’Algérie du présent, restaurant une partie de mon identité.
Ainsi, l’Histoire se reconstitue à la manière d’une grand-mère qui parlerait à sa petite-fille.
Ce film donne à voir cette transmission de la première à la troisième génération, mais il va au delà. Chaque année, je rends visite à Nassima: un lien se tisse, une relation d’affection s’installe, permettant une rare intimité.
10949 femmes, est un film à propos et entre femmes mais c’est un récit universel qui met à l’épreuve la question de la liberté : qu’est ce que la liberté ? Quel est son prix ?

 

Retour sur l’exposition

L’exposition Made in Algeria a fermé ses portes hier.

Pour revivre l’exposition, suivez Katia Kameli, Nadira Laggoune et Zahia Rahmani dans les cimaises !


Made in Algeria avec Zahia Rahmani par lemucem


Made in Algeria avec Nadira Laggoune par lemucem


Made in Algeria avec Katia Kameli par lemucem

D’autres ressources vidéos sont disponibles sur la chaîne Dailymotion du MuCEM consacrée à l’exposition.

Ruralités maghrébines, Paris, 11 mai 2016

Journée d’études organisée par le GREMAMO
(Groupe de Recherches sur le Maghreb et le Moyen-Orient),
laboratoire CESSMA

Université Paris 7 Denis Diderot
site Olympe de Gouges, salle 864, 9h-18h

10h15 : Didier Guignard, historien, IREMAM, Aix-en-Provence
Rythmes, formes et impacts des processus de la dépossession foncière en Algérie (19e-20e siècles)

Le programme complet de la journée est disponible sous ce lien.


 

Le 11 décembre 2015, lors d’un premier séminaire Ruralités maghrébines, nous avons pris acte de la surprenante résilience des populations rurales : dans les trois pays, elles se maintiennent généralement, alors que diminuent et parfois s’effondrent les revenus qu’elles peuvent tirer de leurs agricultures et élevages. Un réel mal-développement persiste cependant : en dehors des périmètres irrigués, les campagnes offrent souvent le spectacle de vastes étendues dénudées, livrées à des cultures épisodiques et à la vaine pâture ; aux échelles nationales, les productions agricoles connaissent des variations interannuelles de grande ampleur et stagnent à moyen terme.
Pour comprendre ces phénomènes, il faut se référer aux mutations induites par la colonisation et les protectorats dans l’histoire agraire des trois pays. Antérieurement aux pénétrations européennes, en effet, les collectivités qui s’englobaient les unes les autres, depuis le village ou le ksar jusqu’à la grande tribu, assuraient leur survie en exploitant des territoires qui intégraient, au sens fort du terme, des ressources en eau, des forêts, des terres cultivables, des parcours…
A partir de la colonisation en Algérie et de la mise en place des protectorats en Tunisie et au Maroc, les collectivités ont perdu au moins une part de leurs espaces et toute possibilité leur a été enlevée de les gérer intégrés dans des ensembles : leurs territoires ont été amputés, souvent démembrés, et il s’en est suivi des déstructurations sociales de grande ampleur. Une importante proportion des meilleures terres cultivables a été accaparée par la colonisation, en Algérie surtout. Dans les trois pays, les forêts sont devenues « domaine privé de l’État » et les eaux d’irrigation elles-mêmes ont été domanialisées. Une nouvelle grille de statut foncier, totalement discordante par rapport aux anciens territoires, a été plaquée sur les campagnes. Dès que furent mises en place les administrations centralisées contemporaines, les collectivités anciennes ont perdu toute autonomie pour la gestion leurs ressources.
Ces évolutions, désormais inscrites dans les organisations socio-spatiales, sont, bien sûr, irréversibles. Mais elles ont rendu impossible la pleine valorisation des finages villageois comme celle des anciens territoires tribaux. Nombre de problèmes, tels ceux des « terres collectives » immatriculées s’avèrent insolubles. A l’inverse, certaines pratiques ou disciplines anciennes, rigoureusement adaptées aux potentialités des milieux, ont apporté la preuve de leur efficience et méritent d’être rappelées : le but de la journée est d’en tenter une évaluation et d’évoquer certaines tentatives pour « refaire du social » autour de ressources communes.

Bourses du Centre allemand d’histoire de l’art (2016-2017), « L’art en France à la croisée des cultures », appel à candidatures, jusqu’au 15 mai 2016

Le Centre allemand d’histoire de l’art Paris consacrera son sujet annuel 2016/2017 aux liens entre l’art en France et celui d’autres régions du monde.

Depuis toujours, la France est au confluent de différentes cultures. Les relations avec les pays voisins, notamment l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et les Pays-Bas, font déjà l’objet d’études fouillées dans le domaine de l’histoire de l’art. Il s’agira donc d’orienter davantage la focale sur les interactions avec des territoires d’autres continents, en particulier l’Afrique, l’Amérique latine et l’Asie. S’il ne serait pas possible de penser les échanges dans lesquels s’est inscrit l’art en France indépendamment de la politique coloniale de l’hexagone  ̶  qui, depuis le XVIème siècle, s’est efforcée avec un succès variable de donner au pays la stature d’une grande puissance  ̶  le sujet annuel a expressément vocation à inclure aussi des projets se situant hors des frontières de l’empire colonial français. De même, il conviendra de porter le regard au-delà de Paris, afin de prendre en considération d’autres hauts lieux de rencontres transrégionales que la seule « capitale du XIXème siècle ». Sur le plan de la chronologie, l’attention portera sur le XIXème et le XXème siècle.

Les informations détaillées sont disponibles sous ce lien.

Continuer la lecture de Bourses du Centre allemand d’histoire de l’art (2016-2017), « L’art en France à la croisée des cultures », appel à candidatures, jusqu’au 15 mai 2016

Appel à contribution, CRASC-IRMC, jusqu’au 1er mai 2016

Dans le cadre de leur collaboration scientifique, l’IRMC de Tunis et le CRASC d’Oran lancent un appel à contribution pour la publication d’un ouvrage collectif sur La jeune recherche en sciences sociales en Algérie. L’ouvrage [sous la direction de Karima Dirèche (Directrice de l’IRMC), Amar Mohand-Amer (chercheur permanent au CRASC) et Fouad Nouar (chercheur permanent au CRASC)] se veut une photographie actuelle de la recherche académique algérienne. Il propose des angles d’analyse divers et privilégie des sujets inédits et originaux dans des approches disciplinaires différentes (histoire, anthropologie, sociologie, droit, géographie, sciences politiques…). Les questions de société, d’économie, de sociologie politique et de relectures historiques seront sélectionnées en priorité.

L’appel à contribution est destiné principalement aux jeunes chercheurs des universités et Centres de recherche algériens (docteurs ou doctorants avancés).

Les propositions d’articles doivent être obligatoirement inédits et ne pas avoir été publiés auparavant.

Les textes retenus par le comité de sélection ne doivent pas dépasser 30 000 signes (espaces compris).

Les textes en langue arabe seront traduits en langue française. Au final, deux ouvrages seront publiés, en arabe et en français.

Les personnes intéressées peuvent envoyer leur proposition d’article (30 lignes maximum) avant le 1er mai 2016 en langue arabe ou en langue française à l’adresse :
jeune.recherche@crasc.dz

« Concrete Spring. » Oscar Niemeyer, Algeria and the Architecture of Revolution / 15-29 avril 2016 / Ambassade du Brésil, Londres

Les photographies de Jason Oddy présentées dans l’exposition Made in Algeria constituent une sélection d’une série plus vaste.

Ses captures des architectures d’Oscar Niemeyer en Algérie seront présentées à l’Ambassade du Brésil à Londres du 15 au 29 avril 2016.

Plus d’informations sous ce lien.

Illustration : Jason Oddy, Double Glass, University of Mentouri, Constantine, Algeria, 2013, C-type print

Socialismes africains / Socialisme en Afrique – Colloque, Paris, CNRS, Université Paris 1, 7-9 avril 2016

Colloque organisé par le CRIMIC, l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, la FMSH, l’EHESS, l’IMAF, l’Agence universitaire de la Francophonie, le CHS, l’Université Paris-Sorbonne, la Fondation Jean Jaurès, la Fondation Gabriel Peri, le CESSMA et LAM, en partenariat avec RFI.

Les histoires du, des socialismes, qu’ils soient ou non « réels » oublient systématiquement l’Afrique.
Or il a existé en Afrique de très nombreux régimes qui se sont réclamés du socialisme « africain », ou « scientifique », de même que de très nombreux opposants qui ont d’autant plus cherché leur inspiration dans les outils théoriques construits par le marxisme –ou sa vulgate-, que celui-ci leur semblait proposer une théorie de l’histoire favorable à l’avenir des peuples colonisés ou anciennement colonisés. Des modèles prétendant au « socialisme réel » existaient, qu’il s’agisse de l’URSS, des démocraties populaires, de la Chine ou Cuba, offrant aussi une panoplie réelle ou fantasmée, prête à servir. Au-delà de ces exemples étrangers que l’on a parfois essayé d’imiter ou d’adapter, il y eut aussi l’invention d’un socialisme qui se voulait adapté à l’Afrique, réfléchissant les spécificités du continent, et puisant dans son passé ses racines théoriques. Ce colloque s’intéresse à toute l’Afrique, du Nord et du Sud, de l’Est et de l’Ouest, anglophone, francophone ou lusophone. Il est résolument interdisciplinaire.

Le programme complet est à télécharger sous ce lien.

Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen Orient, 11e édition, 29 mars-17 avril 2016, Paris, Saint-Denis, Seine-Saint-Denis

Du 29 mars au 17 avril 2016, la 11e édition du Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen Orient investit les salles de cinéma parisiennes, dionysiennes et séquanodionysiennes, autour de deux tendances : « Focus Palestine » et « Actualités des cinématographies du Maghreb et du Moyen-Orient. »

Le Panorama s’ouvre le 29 mars au Cinéma L’ECRAN avec l’avant-première du film GOOD LUCK ALGERIA, de Farid Bentoumi.

Dans ma tête un rond-point, d’Hassen Ferhani, figure parmi la très riche programmation, à consulter sous ce lien !

Projection sauvage, Dans ma tête un rond-point, Paris, Musée de la Chasse et de la Nature, 17 février 2016

Le Musée de la Chasse et de la Nature présente, dans le cadre du cycle de projections proposé et programmé par Charlene Dinhut et Benoît Hické, et en avant-première avant sa sortie en salles le 24 février 2016 :

DANS MA TÊTE UN ROND-POINT
Réal. : Hassen Ferhani (Algérie – 2015 – 100′ – VOSTF)
Projection en présence du réalisateur.

La bande-annonce est disponible sous ce lien.

Informations pratiques :
Mercredi 17 février 2016 – 19h30
Auditorium du Musée de la Chasse et de la Nature
62 rue des Archives – 75003 Paris
Tarif unique de 6 euros

Plus sur l’évènement facebook de la projection.

 


C’est dans les abattoirs d’Alger, aujourd’hui abandonnés au profit d’une structure plus récente et plus éloignée du centre de la ville, que Hassen Ferhani tourne son film. Ils constituent une formidable unité de lieu, puisque les travailleurs non seulement s’y activent mais aussi y dorment, y vivent, y passent des temps de loisirs. C’est donc là que le cinéaste écoute et enquête, pour prélever une image de la ville aujourd’hui. Parmi les animaux, les discussions commencent, sur le quotidien autant que la politique, sur le travail autant que l’amour. Maniant l’art du cadrage avec précision, Hassen Ferhani fait se succéder des plans où le lieu et ses habitants se dévoilent peu à peu, avec humour et pudeur. Loin de porter sur la cruauté de l’industrie, le film déplace l’attention sur les désirs, les peurs et les histoires de chacun.

Hommage à René Vautier, Paris, Le Louxor, 11 février 2016

Dans le cadre du festival NIO FAR, le cinéma Louxor programme une soirée de projections-rencontres en hommage à René Vautier, le jeudi 11 février, à partir de 19h.

« Afrique 50 », René Vautier
« Algérie Tours Détours »,  Oriane Brun Moschetti & Leila Morouche
Suivi d’un échange avec Oriane Brun Moschetti, Leila Morouche et Moira Vautier, modéré par Christian Eboulé.

LOUXOR, Palais du Cinéma
170, boulevard Magenta
75010 Paris


René Vautier est né le 15 janvier 1928 dans le Finistère. En 1949, la Ligue française de l’enseignement lui commande un reportage sur les conditions de vie dans les villages de Côte d’Ivoire, de Haute Volta, du Sénégal et du Soudan français destiné à montrer aux élèves des lycées et des collèges « comment vivent les villageois d’Afrique occidentale française ». Vautier est indigné par ce qu’il voit là bas et décide de filmer la réalité de l’Afrique colonisée. Mais la police saisira les négatifs du film en s’appuyant sur un décret de Pierre Laval, ex-ministre des colonies. René Vautier est cité à comparaître pour se voir juger « d’avoir, en Haute Volta, dans le courant de l’année mil neuf cent quarante neuf, en tous cas depuis moins de trois ans, procédé à des prises de vues cinématographiques sans l’autorisation du gouverneur. »  Le cinéaste réussit à sauver quelques bobines et réalise en 1950, un film de 15 minutes, « Afrique 50 » qui sera diffusé dans la clandestinité. Cela lui vaudra 13 inculpations et une condamnation à un an de prison.
René Vautier a 21 ans. Dès lors, il ne cessera de faire des films engagés contre toutes les formes d’oppression et d’exploitation et contre la censure qu’ils engendrent. 150 films dits « d’intervention sociale » ayant pour thème la guerre d’Algérie avec « Algérie en flamme », « Avoir 20 ans dans les Aurès », « À propos de l’autre détail » ; le racisme en France avec « Les ajoncs » ; l’Apartheid en Afrique avec « Frontline » ; la pollution avec « Marée noire, colère rouge » en 1978, l’extrême-droite française, le combat des femmes.

 

Algérie, entre la carte et le territoire, MuCEM, 26-28 février & 10-13 mars 2016

En complément et en prolongement de l’exposition Made in Algeria, le MuCEM propose « Algérie, entre la carte et le territoire », un espace de dialogue et de réflexion autour de ces moments historiques qu’ont été la conquête puis la colonisation de l’Algérie.

Du 26 au 28 février, hommage à deux grandes figures historiques : le poète Kateb Yacine, dont l’œuvre rejaillit à travers une création de Brigitte Fontaine ; et Frantz Fanon, figure majeure de la guerre de libération nationale, auquel est consacré une projection et une rencontre. Enfin, le dimanche, cap sur le Sud algérien avec le film d’aventures Fort Saganne.

Du 10 au 13 mars, une série de trois conférences montre comment les nouvelles techniques cartographiques permirent l’exploration, l’exploitation et la surveillance des terres et des peuples de l’Algérie coloniale. En contrepoint, la projection de films algériens récents constitue autant de fenêtres sur l’Algérie contemporaine.


VENDREDI 26 FÉVRIER 2016
THÉÂTRE
Lectures, guitare, voix
Vendredi 26 février 2016 à 20h30
SAMEDI 27 FÉVRIER 2016
CINÉMA
Samedi 27 février 2016 à 15h
DIMANCHE 28 FÉVRIER 2016
CINÉMA
Dimanche 28 février 2016 à 14h30

JEUDI 10 MARS 2016
RENCONTRE
Jeudi 10 mars 2016 à 19h
VENDREDI 11 MARS 2016
DÉBAT
Vendredi 11 mars 2016 à 19h
SAMEDI 12 MARS 2016
DOCUMENTAIRE

Samedi 12 mars 2016 à 11h

INSTALLATION

Samedi 12 mars 2016 à 12h30

DANSE
Carnet de voyage à danser

Samedi 12 mars 2016 à 14h30

DÉBAT
La carte et le territoire colonial
Samedi 12 mars 2016 à 17h

DÉBAT
Alger, les villes, le territoire
Samedi 12 mars 2016 à 19h

CINÉMA
Samedi 12 mars 2016 à 21h
DIMANCHE 13 MARS 2016
CINÉMA

Dimanche 13 mars 2016 à 14h30

COURT-MÉTRAGE
Dimanche 13 mars 2016 à 17h

Généalogie d'un territoire