Réellement, c'est moi qui suis plus choquée en écrivant cet article que l'effet que ça peut avoir de voir quelqu'un faire une telle déclaration...
Levons donc les drapeaux blancs! Et clôturons cette guerre, médiatiquement- initiée, en dopant la crédibilité de la profession et l'intégrité des professionnels
TRAVAIL - Après presque soixante années d'immigration marocaine en Belgique, on continue encore hélas à parler d'accueil et d'intégration alors nous pouvons presque fêter le soixantième anniversaire de notre présence en Belgique. Discuter encore d'intégrer les enfants d'origine marocaine issus de l'immigration n'est pas seulement injustifiable, mais c'est une insulte et un manque de respect vis-à-vis des générations qui sont nées en Belgique et qui n'ont jamais émigré.
POLITIQUE - Favorite de la présidentielle, la démagogie se dit confiante et sereine. Les sondages sont positifs et quel que soit le résultat, elle sait qu'elle pourra gouverner en toute paix. Elle affirme avec une certaine pudeur qu'elle ne s'est pas autoproclamée, à l'inverse de certains. Un véritable plébiscite politique, un holà inattendu au parlement, l'a propulsée sous les feux de la rampe. Depuis, elle sort le grand jeu.
Ce qui étonne en revanche c'est que le FMI continue de qualifier les États-Unis de « première économie mondiale » et la Chine de deuxième. Il est clair que nous refoulons, au sens freudien du terme, la réalité de la Chine "première économie mondiale".
Votre déclaration, monsieur, montre tout votre pessimisme vis-à-vis de la situation, votre résignation, votre dégoût pour ce pays.
Que de contradictions restent à résoudre?! La paix entre les nations est-elle de même nature que la paix sociale? Une fin ou simplement un moyen? Un devoir ou une utopie? Une nostalgie ou un objectif ?
POLITIQUE - En ce mois de février 2017, le Maroc entame le cinquième mois sans "gouvernement de pleine compétence". Incapables de s'entendre, les élus, médias aidant, font croire à une situation dite de "blocage", alors que c'est plutôt de "l'auto-blocage". Voici dix raisons qui vous feront aimer cette situation.
Car nul ne le sait, dans notre CHU, où il y a 6 étages de spécialités chirurgicales, le service de réanimation chirurgicale ne dispose que de... Vous ne devinerez jamais...
Et oui, vous avez bien lu ! Je me suis inscrite à Poudlard, la prestigieuse école de sorcellerie, celle où de grands sorciers ont fait leurs études.
Ces écarts éthiques risquent de lui coûter son maintien dans la course à l'Elysée et tout le monde se souviendra du courage des journalistes et de leurs informateurs, ces valeureux lanceurs d'alerte.
Qui n'a jamais songé à monter de toutes pièces une excuse pour se sauver d'une réunion ? Selon certaines statistiques, un employé passe en moyenne 30 heures par mois en réunion. Trop c'est trop. Ce phénomène, communément appelé "réunionite aigue", est très répandu de nos jours.
Ce mouvement de grève et de révolte vise uniquement et simplement à protéger nos jeunes qui suivent un cursus universitaire et qui font ce qu'on leur demande! Ne brisons pas leurs rêves!
Aujourd'hui je souffre car je ne serai pas à vos côtés, ce sera un moment difficile, inédit, mais nécessaire. Car aujourd'hui nous allons mener une autre lutte, celle contre les dérives d'un système aux lois poussiéreuses qui étouffent l'élan vital de chaque médecin.
INTERNATIONAL - L'Arabie saoudite va-t-elle participer au projet de zone économique de la Nouvelle route de la soie (NRS)? Le projet saoudien "Vision 2030" et le projet pharaonique chinois "une ceinture, une route" peuvent-ils s'imbriquer? Le projet saoudien vise à rendre l'économie saoudienne plus robuste et sortir de l'ère du "tout pétrole".
ÉCONOMIE - La Banque centrale marocaine (Bank al-Maghrib) a annoncé le 3 janvier dernier avoir accordé des agréments à cinq banques islamiques dites participatives. Trois autres établissements conventionnels seront également autorisés à ouvrir des "guichets participatifs". Pour rappel ce n'est pas la première fois que le Maroc tente l'expérience, puisque déjà en 2007, les produits de la finance islamique ont été lancés, mais c'était un fiasco. Dix ans après, plusieurs incertitudes subsistent quant aux chances de sa réussite.
Ici ne sera pas traitée une solution globale d'utilisation optimale des ressources humaines de la Tunisie mais plutôt une solution concrète plus ciblée qui pourrait montrer la voie à d'autres reformes plus ambitieuses.
Le rayonnement culturel d'un pays est la responsabilité de plusieurs acteurs. En grossissant le trait, nous pourrions dire qu'ils sont au nombre de trois : les citoyens, l'Etat et les entreprises. Analysons leurs rôles et les solutions qu'ils pourraient apporter.
POLITIQUE - Benkirane ne serait-il pas entrain de "se battre contre des moulins à vent"? La réforme ne serait-elle qu'un rêve dont le combat a peu de chance d'aboutir?