Naples (en italien Napoli /ˈnapoli/, en napolitain Napule) est une ville d'Italie, capitale de la province homonyme et de la région de Campanie. Avec 1 004 500 habitants en 2007, c'est la troisième commune italienne pour sa population, après Rome et Milan. Son aire urbaine est avec 4 434 136 habitants la deuxième du pays après celle de Milan[2], ce qui en fait l'une des plus grandes cités méditerranéennes.
Elle est presque située en position centrale sur le golfe homonyme, entre le Vésuve et la zone volcanique des Champs Phlégréens. Son vaste patrimoine artistique et architectural est défendu par l'UNESCO qui, en 1995, a inclus le centre historique de Naples, comme le plus vaste de l'Europe.
Elle fut fondée entre le VIII et le IX av. J.-C. de fermiers grecs; successivement refondée comme Neapolis (Νεάπολις en grec) dans la zone basse entre la fin du VI et le début du Ve siècle av. J.-C.. Elle fait partie des principales villes de la Grande-Grèce (Magna Grecia). Dans le cours de son histoire, Naples verra se succéder de longues et nombreuses dominations étrangères.
Après l'Empire romain, au VIIe siècle la ville forma un duché autonome, indépendant de l'Empire byzantin ; par la suite, depuis le XIIIe siècle et pour environ six-cents ans, elle fut capitale du Royaume de Naples. De Naples, aux débuts du XVe siècle, sous les ordres du roi Ladislas Ier de Naples, partit une première tentative de réunification de l'Italie. La ville devint successivement le centre politique de l'Empire Aragonien.
Pour motifs historiques, artistiques, politiques et ambiants, elle fut, du Moyen Âge tardif jusqu'au Risorgimento, l'un des principaux centres de référence culturelle, à l'égal des autres principales capitales du continent.
Entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle Naples comptait environ 400.000 habitants, qui la rendait la ville la plus peuplée d'Europe et la seconde de la zone méditerranéenne après Istanbul.
Déjà capitale du Royaume de Naples et après du Royaume des Deux-Siciles, après l'annexion au Royaume de l'Italie en 1860, la ville et, en général, tout le Mezzogiorno subit un déclin relatif socio-économique.
L'énorme centre historique de la ville (1.700 hectares[3]), le plus grand d'Europe[4] et représentant 2800 ans d'histoire, est classé par l'Unesco comme site du patrimoine de l'humanité [5].
À Naples se trouve la Villa Rosebery, l'une des trois résidences officielles du Président de la République italienne.
Naples est le siège du Commandement de la Force interarmées interalliées de Naples (Allied Joint Force Command Naples - JFC Naples) de l'OTAN, née le 15 mars 2004 en substitution du précèdent Commandement des Forces Alliées du sud de l’Europe (AFSOUTH) située toujours à Naples.
« Vois Naples et puis meurs »
— Goethe, lors de son Voyage en Italie (1786-1787).
Naples est une ville d'Italie, capitale de la région de Campanie et de la province de Naples qui est connue pour sa richesse historique, artistique, culturelle, architecturale, musicale et gastronomique et a joué un rôle important dans l'histoire de la péninsule italienne et au-delà[6] pendant une grande partie de son existence, qui a commencé il y a plus de 2800 ans.
Située sur le golfe de Naples, à mi-chemin du Vésuve et de la zone volcanique des Champs Phlégréens, Naples est l'une des villes les plus anciennes d'Occident et constitue un résumé de l'histoire de l'Europe.
Fondée vers le IXe et VIIIe siècle av. J.-C.[7],[8] comme colonie grecque, sous le nom de Parthenope (« Παρθενόπη »), et plus tard Neapolis (« Νεάπολις ») (nouvelle ville), Naples est l'une des plus anciennes villes du monde, et a tenu un rôle important dans la Grande Grèce. La culture grecque de Naples a eu un impact important dans la société romaine.
Quand la ville a fait partie de la République romaine dans la province centrale de l'Empire, Naples était un centre culturel majeur[9],[10]. Naples est un microcosme de l'histoire européenne, car il vu passer plusieurs civilisations, dont chacune a laissé des traces dans son art et architecture: aujourd'hui le centre historique est classé par l'UNESCO comme site du patrimoine mondial. Les formes les plus éminentes de l'architecture de Naples sont issues des périodes médiévale, renaissance et baroque.
De 1282 à 1816 Naples était avant tout la capitale d'un royaume qui portait son nom sous la forme de Royaume de Naples, puis suite à l'union avec la Sicile elle fut la capitale du Royaume des Deux-Siciles jusqu'à l'unification de l'Italie en 1861.
Naples est la ville promotrice de l'unification italienne, à travers la Guerre napolitaine. La ville a profondément influencé de nombreuses régions d'Europe et au-delà[11].
Avec ses 1 700 ha, le centre-ville historique de Naples est la plus importante en Europe[12]. Naples était la capitale de duchés, royaumes et d'un empire et fut un centre culturel de premier plan, en particulier au cours de l'Humanisme de la Renaissance (XVIIe et XVIIIe siècles et XIXe siècle).
La ville, dans ses limites administratives, a une population d'environ 1 million de personnes, et se classe 3e après Rome et Milan[13] mais la région métropolitaine de Naples, d'après différentes sources, est le deuxième après celle de Milan (avec 4 434 136 habitants selon les données Svimez[14] ou 4 996 084 selon Censis Institute)[15] ou le troisième (3,1 millions d'habitants selon l'OCDE)[16] la région métropolitaine la plus peuplée d'Italie.
Naples a une densité de population de 8 566 au km2, qui résulte particulièrement élevée par rapport à la moyenne nationale qui est de 189 habitants au km2[17].
Naples est classée quatrième ville d'Italie, après Milan, Rome et Turin pour la puissance économique. Métropole cosmopolite et florissante elle se classe au 91e rang mondial pour le pouvoir d'achat, avec un PIB de 43 milliards de dollars, dépassant ainsi l'économie de Budapest et Zürich[18]. Le port de Naples est l'un des plus importants d'Europe et le deuxième au monde après celui de Hong Kong pour le flux de passagers[19]. Même si la ville a eu une croissance économique remarquable, et que le niveau du chômage en Campanie et dans la ville ont diminué depuis 1999[20], Naples est toujours caractérisé par une corruption politique et économique[21] et d'un marché noir très actif et depuis une trentaine d’années, la population de la ville n’a cessé de décroitre, principalement à cause du manque d’emploi dans la région et des problèmes de sécurité et de salubrité.
Des très grandes entreprises italiennes ont leur siège social dans la ville.
Depuis 1958, la ville accueille le centre de la Rai (médias) de Naples, tandis que dans le district de Bagnoli il y a un grande base de l'OTAN. La ville accueille aussi l'institution SRM pour la recherche économique[22] et dans le district de Posillipo se trouve la Villa Rosebery, l'une des trois résidence officielle du Président de la république italienne.
Naples est membre à part entière d'Eurocities, le réseau des villes inter- communautaires européennes[23]. La ville a été choisie pour devenir le siège de l'institution européenne ACP[24] et en tant que Ville de littérature par l'UNESCO dans le réseau des villes créatives City of Literature (UNESCO's Creative Cities Network)[25].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Naples a été la ville la plus bombardée d'Italie[26].
Au XXe siècle d'abord sous le fascisme et après la Seconde Guerre mondiale une grande partie de la périphérie est concernée par la reconstruction.
Dans les dernières décennies, Naples s'est doté d'un quartier d'affaires (le Centro Direzionale) avec des gratte-ciel et des infrastructures tels que le TGV de Rome ou dans l'expansion du métro qui occupe la moitié de la région. La métropole accueillera l'IAC 2012[27] et le Forum universel des cultures 2013.
Autour de la ville, il y a d'autres sites remarquables comme le Palais de Caserte, Pompéi, Herculanum dont les faits historiques, artistiques et architecturaux sont fortement liées à Naples.
La ville est aussi synonyme de pizza, dont l'origine est napolitaine avec les premières pizzas d'abord frites à l'huile puis cuites au four.
Une partie importante de la culture napolitaine est constituée par la musique qui a eu des effets considérables, notamment l'invention de la guitare romantique et de la mandoline ainsi que de fortes contributions à l'opéra et au folk (musique napolitaine).
Il existe des nombreux personnages populaires et personnalités qui ont symbolisé Naples, parmi lesquelles le patron de la ville Januarus, Pulcinella, et les sirènes de l'épopée grecque en Langue homérique du poème l'Odyssée.
Naples se trouve au sud-ouest de l'Italie, à 187 km au sud-est de Rome à mi-chemin entre deux régions volcaniques du Vésuve et des Champs Phlégréens, à une altitude de 17 m sur la côte du Golfe de Naples. Située au bord de la mer, Naples a depuis longtemps été un carrefour méditerranéen incontournable et est le point de départ de nombreux ferries pour les îles environnantes mais aussi pour la Sardaigne, la Sicile, les îles Éoliennes, les îles Pontines, la Corse et la Tunisie.
La baie de Naples est mondialement connue et est un des paysages les plus singuliers de l'Italie. Bordée de plusieurs îles et du volcan Vésuve, la baie offre un panorama exceptionnel. La côte Amalfitaine au versant sud de la baie est une des plus pittoresques d'Italie et de nombreux films romantiques italiens y ont été tournés.
Naples ne se livre pas facilement. Certes, la capitale de la Campanie abrite le musée archéologique national et la galerie nationale de Capodimonte, deux des collections les plus importantes d'Italie. Mais le visiteur doit absolument déambuler dans la cité pour apprécier tout ce qui fait son charme : sa situation géographique exceptionnelle, entre mer et volcan, la vie trépidante de ses ruelles, et le foisonnement d'œuvres d'art, qui ne sont pas forcément là où on les attend.
Naples bénéficie d'un climat méditerranéen avec des étés chauds et secs. Le reste de l'année est marqué par des épisodes pluvieux généralement courts mais violents, comme le 15 septembre 2001 (plus de 80 mm) et de le 21 juin 2009 (70 mm en 40 minutes).
Relevé météorologique de Naples
Mois |
jan. |
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Température minimale moyenne (°C) |
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9 |
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Température moyenne (°C) |
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26 |
23 |
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Température maximale moyenne (°C) |
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20 |
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28 |
31 |
31 |
27 |
23 |
19 |
14 |
22 |
Précipitations (mm) |
95 |
86 |
61 |
42 |
32 |
21 |
13 |
29 |
71 |
59 |
124 |
112 |
745 |
[modifier] Morphologie urbaine
L'arrière pays se compose d'une multitude de villes et faubourgs plus ou moins organisés autour des grands axes routiers et ferroviaires, qui sont parmi les plus denses du pays. Sur la plaine de Caserte se concentrent les principales industries et activités économiques de la région. De nombreuses cités y ont vu le jour, où se concentre une certaine misère sociale.
À l'ouest de la ville se développent les beaux quartiers de Pausillipe bordant la mer avec le fameux quai Francesco Caracciolo, le Borgo Santa Lucia et le Castel dell'Ovo (Château de l'Œuf) offrant une vue panoramique sur toute la baie.
À l'est de la ville s'est développé le nouveau quartier des affaires de Naples, le Centro Direzionale, situé entre la gare centrale et le périphérique nord. Ce quartier fait partie d'un vaste projet de réhabilitation des anciens entrepôts de la ville.
Naples n'est pas seulement riche en surface, elle dissimule aussi des trésors souterrains. À partir de la piazza San Gaetano, des galeries creusées à trente mètres de profondeur racontent toute l'histoire de la ville : les Grecs y ont extrait du tuf pour bâtir leurs temples, les Romains y ont installés leur réseau hydraulique, les habitants s'y sont réfugiés lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
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Le linteau de l'Aerarium (le trésor public)
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Anciens murs grecs, Place Bellini
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Catacombes de Saint Janvier
Naples fut fondée au cours du septième siècle avant notre ère sous le nom cité de Parthenope (vierge en grecque, désignant alors la reine hermaphrodite Aristodeme et grande sibylle représentée sous la forme d'une sirène), fondatrice de la cité par la colonie grecque de Cumes avec l'apport des réfugiés de Samos. Ce premier établissement fut appelé Palaiopolis (la ville ancienne) lorsqu'une seconde ville fut fondée en 475 avant notre ère par de nouveaux colons, cette nouvelle fondation fut appelée Néapolis (nouvelle ville)[28].
Alliée de Rome au IVe siècle av. J.-C., la ville conserve longtemps sa culture grecque et restera la ville la plus peuplée de la botte Italique et sans aucun doute sa véritable capitale culturelle.
Elle remplaça Capoue comme capitale de la Campanie après la bataille de Zama, à la suite de la confiscation de citoyenneté et des territoires de cette dernière, par son alliance avec Hannibal avant la bataille de Cannes.
[modifier] Période byzantine
C'est au Castel dell'Ovo que le dernier empereur romain Romulus Augustule fut emprisonné après sa chute. À la fin de l'empire, la ville résista à l'invasion lombarde et resta rattachée à l'empire byzantin. À la fin du VIe siècle, Naples devient la capitale d'un duché byzantin. En 751, avec la chute de l'exarchat de Ravenne dont il relevait, le duché devint indépendant.
[modifier] Période normande
En 1030, pour faire face à la menace byzantine, le duc Serge IV de Naples accueille des Normands dirigés par Rainulf Drengot, dans la cité vassale d'Aversa. Les Normands ne cesseront plus d'accroître leurs possessions en Italie du sud et en 1139, Roger II de Sicile, fondateur du royaume de Sicile, incorpore la ville au royaume.
[modifier] Période angevine
Charles II d'Anjou ayant perdu le pouvoir en Sicile au profit de la maison espagnole d'Aragon, fait de Naples la capitale d'un royaume de Sicile, parfois appelé aussi « royaume de Naples ».
[modifier] Période aragonaise
Alphonse V d'Aragon prit possession de Naples en 1443. La conquête fut très importante du point de vue économique et militaire. Avec les Aragonais, Naples eu un très grand développement culturel et commercial. Naples passa en héritage à Charles V et continua sous la domination espagnole jusqu'en 1707, à l'exception du bref épisode de la République napolitaine (1647).
[modifier] Naples capitale
1759 marque la division définitive du royaume de Naples d'avec la couronne espagnole. La ville de Naples devient capitale du royaume baptisé par la suite royaume des Deux-Siciles. C'est Charles III de Bourbon, roi d'Espagne, qui donne le trône du nouveau royaume ainsi constitué à son fils Ferdinand. Il est un grand bâtisseur, donnant à la ville et à ses environs de nombreux palais et monuments. Il initie en outre les premières fouilles d'une ville romaine disparue, Herculanum. La découverte des vestiges antiques a une grande influence dans le monde des arts, avec le goût du néoclassicisme, dont le palais royal de Caserte est l'un des premiers exemples. Ferdinand IV de Bourbon, époux de Marie-Caroline d'Autriche, sœur de Marie-Antoinette, continue sur la lignée de son père.
[modifier] Seconde Guerre mondiale
Du 27 au 30 septembre 1943, lors des Quatre journées de Naples, la population locale se soulève et s'attaque aux forces nazies qui occupent la ville. L'armée allemande est mise en déroute avant l'arrivée des Alliés. Ces actions valent à la ville la Médaille d’or de la valeur militaire.
[modifier] Culture et monuments
« Critères d'inscription Unesco (1995). Naples est l'une des plus anciennes villes d'Europe dont le tissu urbain contemporain conserve les éléments de sa longue histoire riche d'événements. Le tracé de ses rues, la richesse de ses bâtiments historiques datant de nombreuses périodes ainsi que sa situation sur la baie de Naples lui donnent une valeur universelle exceptionnelle sans égale qui a exercé une profonde influence sur une grande partie de l'Europe et au-delà[30]. »
Naples est l'une des villes du monde avec la plus grande concentration des ressources culturelles et monuments qui représentent 2800 ans d'histoire. Dans le centre historique, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, il y a plus de 448 églises historiques[31], mais aussi châteaux, fontaines, palais royal, architecture antique, etc. parmi lesquels :
Un monument incontournable, l'église du Gesù Nuovo, sur la place du même nom. Aménagé dans l'ancien palais Sanseverino au XVIe siècle, l'édifice étonne par sa sombre façade à bossage, en pointes de diamant. Selon les Napolitains, les sillons gravés dans le basalte représenteraient des notes de musique. Plus avant dans le dédale des venelles, via Francesco de Sanctis se cache un autre petit miracle : le « Christ voilé » du sculpteur Giuseppe Sammartino (1753). Ce messie de marbre est étendu au centre de la chapelle Sansevero, les côtes saillantes, un voile semblant ondoyer sous ses yeux. Il faut aussi prendre le funiculaire de Montesanto qui grimpe vers le nord. Dominant la colline du Vomero, la Chartreuse de San Martino reste souvent déserte. Pourtant, elle recèle des perles baroques : les motifs floraux en marbres rouge, jaune et noir de la nef de l'église, les incrustations de lapis-lazulis dans la balustrade du maître-autel, ou encore les crânes du grand cloître ciselés au XVIIe siècle par l'architecte Cosimo Fanzago. Tout aussi impressionnante est la vue depuis le belvédère. D'est en ouest, du Vésuve à Posillipo, le regard embrasse toute la baie napolitaine. Pour ne pas la quitter des yeux, on descend la Pendamentina di San Martino, ce grand escalier en pierre qui serpente entre des maisons avec jardins[32].
L'écrivain Curzio Malaparte rend dans son roman La peau un hommage à Naples en la décrivant, en 1943, comme "la seule cité antique qui n'ait pas fini comme Rome, comme Babylone, comme Ninive".
[modifier] Édifices religieux
- Musée d'anatomie humaine
- Musée d'anatomie vétérinaire
- Musée d'anthropologie
- Musée archéologique national
- Musée "Diego Aragona Pignatelli Cortés"
- Musée d'art contemporain "Donnaregina" (MADRE)
- Musée d'art de la Fondation Pagliara
- Musée d'art religieux contemporain (ARCA)
- Musée artistique industriel "Filippo Palizzi"
- Musée de l'acteur napolitain
- Musée Capodimonte
- Musée national de la céramique "Duca di Martina"
- Musée de la chapelle San Severo
- Musée civique de Castel Nuovo
- Musée civique "Filangieri"
- Musée didactique de la Mer
- Musée diocésain
- Musée d'ethnopréhistoire
- Musée national ferroviaire "Pietrarsa"
- Musée de la physique
- Musée de la glace
- Musée de minéralogie
- Musée historique musical
Salone della meridiana, Musée archéologique national
- Musée naval
- Musée de l'observatoire astronomique de Capodimonte
- Musée de l'œuvre de Santa Chiara
- Musée du Palais royal
- Musée de paléobotanique et ethnobotanique du jardin botanique
- Musée de paléontologie
- Musée du plastique PLART
- Musée de San Lorenzo
- Musée de San Martino
- Musée des sciences naturelles
- Musée du trésor de saint Janvier
- Musée du textile et de l'habillement "Elena Aldobrandini"
- Musée de zoologie
- Collections de l'Institut universitaire "L’orientale"
- Palais des arts de Naples (PAN)
- Pinacothèque des Girolamini
- Pinacothèque du Pio Monte della Misericordia
- Ville de la science
[modifier] Bibliothèques et Instituts de culture
- Academia Pontaniana
- Archives d'État de Naples
- Bibliothèque nationale Victor-Emmanuel III
- Bibliothèque universitaire de Naples
- Bibliothèque de l'oratoire des Hiéronymites
- Fondation bibliothèque "Benedetto Croce"
- Institut italien d'études historiques
- Institut italien d’études philosophiques
- Société napolitaine d'histoire de la patrie
[modifier] Instituts scientifiques
La principale université de Naples est l'Université de Naples « Frédéric-II » (en italien, Università degli studi di Napoli « Federico II ») qui est la plus ancienne université laïque et d'État au monde et une du plus anciennes en absolu, ayant été fondée en 1224 par l'empereur Frédéric II Stupor mundi.
Plus récemment, d'autres universités ont été fondées à Naples: la « Seconde Université de Naples » (SUN), la « Parthénope », « L'Orientale » et la « Università degli studi Suor Orsola Benincasa ».
[modifier] Administration
[modifier] Municipalità et quartiers de Naples
Le territoire de la Commune est divisé en 10 Municipalità, elles-mêmes subdivisées en quartiers (31 au total):
Les dix
Municipalità de Naples
- Municipalità 1 - San Ferdinando - Chiaia - Posillipo
- Municipalità 2 - San Giuseppe - Montecalvario - Avvocata - Mercato - Pendino - Porto
- Municipalità 3 - Stella - San Carlo all'Arena
- Municipalità 4 - Vicaria - San Lorenzo - Poggioreale - Zona Industriale
- Municipalità 5 - Vomero - Arenella
- Municipalità 6 - Ponticelli - Barra - San Giovanni a Teduccio
- Municipalità 7 - Miano - Secondigliano - San Pietro a Patierno
- Municipalità 8 - Chiaiano - Piscinola - Marianella - Scampia
- Municipalità 9 - Soccavo - Pianura
- Municipalità 10 - Bagnoli - Fuorigrotta
[modifier] Communes limitrophes
Arzano, Casandrino, Casavatore, Casoria, Cercola, Marano di Napoli, Melito di Napoli, Mugnano di Napoli, Portici, Pouzzoles, Quarto, San Giorgio a Cremano, San Sebastiano al Vesuvio, Volla
[modifier] Évolution démographique
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text:Source ISTAT - Élaboration graphique importée de Wikipedia Italie
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Contrairement à beaucoup de villes européennes, Naples possède une part très faible d'immigrés, du fait de son importante pauvreté et de son insécurité. En effet, 98,5 % de sa population est italienne. En 2006, il y avait officiellement 19 188 étrangers vivant dans la ville de Naples, mais ce chiffre est sous-estimé, Naples étant l'une des plaques tournantes de l'immigration illégale en Europe. La majorité de ceux-ci sont originaires d'Europe de l'Est, plus particulièrement d'Ukraine et de Pologne. Les non-Européens sont très peu dans la ville, et sont surtout originaires du Sri Lanka et de Chine. Les statistiques montrent que la majorité des immigrés sont des femmes ; en effet, les hommes ont tendance à migrer vers le nord, là où il y a du travail et des bassins industriels. Naples a actuellement le plus fort taux de natalité d'Italie avec 10,46 naissances pour 1 000 habitants (la moyenne italienne étant de 9,45 naissances pour 1 000 habitants[33]).
Naples est un des nœuds routiers et ferroviaires importants du pays. Les autoroutes A1 Milan-Rome-Naples, A3 Naples-Reggio de Calabre et A16 Naples-Foggia relient la ville au reste du pays et de l'Europe. La ville est ceinturée par plusieurs rocades, mais qui ne permettent pas de décongestionner le trafic du centre. La circulation en ville en dehors des grandes artères est difficile et mal organisée.
Station
Piscinola de la ligne
Arcobaleno
Le réseau ferroviaire se déploie principalement au nord et à l'est de la ville. Une ligne du TGV italien (TAV) a été inaugurée en 2007 reliant la gare de Napoli Centrale à Rome puis Florence-Milan, mettant cette dernière à 3h30 de voyage seulement. Une autre ligne est actuellement en construction et reliera Naples à la ville de Bari en passant par le Salento.
Le métro de Naples comprend pour l'heure 8 lignes, mais est appelé à se développer de manière importante au cours des prochaines années.
L'aéroport (Aeroporto internazionale di Napoli) se situe à 9 km du centre. Il engendre un trafic de 5 millions de passagers par an et est en cours de transformation pour augmenter sa capacité.
Le port de Naples est le point départ de nombreux ferrys à destination des îles environnantes et pour les îles principales du pays, ainsi que de bateaux de croisières. Le trafic de marchandises est relativement faible en comparaison des autres ports du pays, mais reste actif et stratégique pour le sud du pays.
Le plus beau golfe du monde, le jardin des délices, le rivage des sirènes... Naples et la côte amalfitaine collectionnent les surnoms flatteurs. Et pour cause : ce petit bout de littoral est un concentré de pures merveilles, villas aristocratiques, vestiges antiques ou îles enchantées.
La promenade sur le bord de mer, c'est une institution, et l'occupation favorite des Napolitains, le dimanche. Rendez-vous d'abord sur la vaste piazza del Plebiscito, au Gran café Gambrinus. Puis, on prend la direction du rivage, vers l'ouest. Très vite, se profile le Castell dell'Ovo, bastion avancé sur un îlot. Cette forteresse, érigée au XIIe siècle, a recouvert les ruines d'une villa romaine. Sur les rochers blancs environnants, les amoureux s'enlacent, tandis que les familles vont déjeuner à l'ombre des murailles, sur la piazza Maginara. On pousse la balade jusqu'à Mergellina, un minuscule port où subsistent quelques barques de pêcheurs. C'est le meilleur endroit pour admirer le Castel dell'Ovo dans toute sa splendeur, au crépuscule, avec le Vésuve en toile de fond.
[modifier] Problèmes de la ville
Naples connait de gros problèmes sociaux. Le taux de chômage avoisine les 25 % de la population active et la pauvreté règne sur près de 32 % de la population. Même si ces statistiques doivent être relativisés à cause notamment du travail au noir qui caractérise une bonne partie de l'économie de la ville.
Très présente dans les quartiers populaires, la mafia locale (Camorra) y exerce, aujourd'hui encore, une activité très développée. Le livre et le film "Gomorra", sortis en 2008, décrivent la réalité mafieuse dans le quartier défavorisé de Scampia. Les règlements de compte de la Camorra font généralement une centaine de morts chaque année[34].
Un autre problème, cette fois-ci environnemental, est celui de la crise des déchets. Récurrente depuis 1994, elle s'explique par une mauvaise gestion par les autorités locales, de même que par l'infiltration de la Camorra dans le marché des ordures[35]. La ville fut ainsi régulièrement envahie par les ordures, faisant courir à la population des risques sanitaires conséquents. Même si la crise s'est améliorée ces dernières années, la situation reste cependant précaire.
[modifier] Risques naturels
À mi-chemin entre 2 volcans (Vésuve à l'est et Champs Phlégréens à l'ouest), Naples est soumise au risque volcanique. Les 4 millions d'habitants de l'agglomération seraient en danger en cas d'éruption explosive du Vésuve accompagnée de nuées ardentes et de coulées de lave pyroplastique (du même type qu'à Pompéi). En 1984, 40 000 personnes ont dû être évacuées à la suite d'une alerte sur les Champs Phlégréens. Afin d'anticiper les risques d'une éruption volcanique, des plans d'évacuation de la ville sont à l'étude, tandis que le volcan et sa poche magmatique sont soumis à une surveillance scientifique permanente et minutieuse. En cas d'alerte d'éruption imminente, l'immense population de l'agglomération napolitaine aurait au minimum 4 à 5 jours pour évacuer Naples et ses environs à plus de 30 km du Vésuve.
Naples est aussi soumise au risque sismique, comme en témoignent les destructions causées par les séismes de 1930 et 1980 dont les épicentres se situaient dans l'Irpinia.
Principales installations sportives :
- Stade "San Paolo", 60 240 places
- Stade "Arturo Collana", 12 000 places
- Palais des Sports "PalaBarbuto", 5 000 places
- Hippodrome d'Agnano
- Piscine Olympique "Scandone"
Principaux clubs de sport :
La ville organise chaque année en mars un important tournoi de tennis sur terre-battue du circuit ATP Challenger Tour.
[modifier] Personnalités nées à Naples
XVe siècle :
- Mgr Francesco Carbone ( ? -1405), cardinal et légat apostolique
- Mgr Enrico Minutoli ( ? -1412), cardinal et camerlingue du Collège des cardinaux
- Mgr Angelo d'Anna de Sommariva ( ? -1428), cardinal et doyen du Collège des cardinaux
- Mgr Rinaldo Piscicello (1415 ou 1416-1457), cardinal
- Jacopo Sannazaro (1457-1530), poète et humaniste
- Mgr Marino Ascanio Caracciolo (1468-1538), cardinal et diplomate actif contre Martin Luther
- Mgr Antonio Sanseverino (1477-1543), cardinal, vice-doyen du Collège des cardinaux et chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
- Mgr Andrea Matteo Palmieri (1493-1537), cardinal, camerlingue du Collège des cardinaux et nommé gouverneur de Milan par Charles Quint
XVIe siècle :
XVIIe siècle :
XVIIIe siècle :
XIXe siècle :
- Giacinto Gigante (1806-1871), peintre
- Mgr Francesco Saverio Apuzzo (1807-1880), cardinal lors du concile Vatican I
- Mgr Sisto Riario Sforza (1810-1877), cardinal lors du concile Vatican I
- Enrico Alvino (1810-1876), architecte
- Mgr Gaetano de Ruggiero (1816-1896), cardinal et préfet de l'économie de la Congrégation pour la Propaganda Fide.
- Eduardo Scarpetta (1853–1925) , acteur et dramaturge
- Ruggero Leoncavallo (1857-1919), compositeur
- Salvatore Di Giacomo (it) (1860-1934), poète
- Roberto Bracco (it) (1861-1943), écrivain
- Victor-Emmanuel III (1869-1947), roi d'Italie
- Enrico Caruso (1873-1921), ténor d'opéra
- Antonio de Curtis dit Totò (1898-1967), acteur, compositeur et poète
XXe siècle :
- Eduardo De Filippo (1900-1984), acteur, poète, scénariste et dramaturge
- Renato Caccioppoli (1904-1959), mathématicien
- Roberto Murolo (1912–2003) chanteur
- Ettore Giannini (1912-1990), réalisateur
- Luigi Compagnone (it) (1915-1998), écrivain
- Giuseppe Patroni Griffi (1921-2005), romancier, dramaturge, scénariste
- Renato Carosone (1920-2001), pianiste et chanteur de variété
- Mgr Roberto Tucci (1921), cardinal, jésuite et président émérite de Radio Vatican depuis 2001
- Raffaele La Capria (1922, écrivain
- Francesco Rosi (1922), réalisateur et scénariste
- Aurelio Fierro (1923-2005) chanteur et acteur
- Giorgio Napolitano (1925), 11e président de la République italienne
- Luciano De Crescenzo (it) (1928) écrivain et réalisateur
- Antonio Napolitano (1928), critique et historien du Cinéma
- Renato De Fusco (it) (1929), historien de l'architecture et du design
- Roberto De Simone (1933), compositeur et musicologue
- Pasquale Squitieri (1938), réalisateur et scénariste italien
- Riccardo Muti (1941), chef d'orchestre
- Silvio Orlando (1957) acteur
- Mario Martone (1959, réalisateur
- Valeria Golino (1966), actrice de cinéma
- Paolo Sorrentino (1970) réalisateur et scénariste italien
- Fabio Cannavaro (1973) footballeur, défenseur international de renom
- Massimiliano Rosolino (1978) nageur
- Roberto Saviano (1979) écrivain et journaliste.
- Ambra Vallo, danseuse classique
[modifier] Personnalités liées à Naples
Liste de personnalités liées à la ville de Naples, bien que n'y étant pas nées, soit qu'elles y aient vécu longtemps, soit qu'elles y soient mortes :
[modifier] Vedi Napoli e poi muori
Littéralement : « Vois Naples et puis meurs », plus souvent traduite par « Voir Naples et mourir ». Cette expression connue, les Napolitains l'utilisent pour souligner la beauté de leur ville qu'il faut avoir vue au moins une fois dans sa vie.
Elle peut aussi faire allusion à l'accomplissement souhaité d'un désir si important qu'au-delà l'existence n'a plus de sens.
[modifier] Films tournés à Naples
Ces films, même des fictions, donnent souvent une idée précise de l'âme de la ville et restent un témoignage exceptionnel sur ses problèmes et sa beauté.
- Assunta Spina, Gustavo Serena (1915)
- Lady Hamilton, Alexander Korda (1941)
- Les Amants de Capri, William Dieterle (1950)
- L'Or de Naples, Vittorio De Sica (1954)
- Voyage en Italie, Roberto Rossellini (1954)
- Totò, Peppino e... la malafemmina, Camillo Mastrocinque (1956)
- Le Défi, Francesco Rosi (1958)
- Mademoiselle Scampolo, Alfred Weidenmann (1958)
- La Grande Pagaille, Luigi Comencini (1960)
- Plein soleil, René Clément (1960)
- Le Jugement dernier, Vittorio De Sica (1961)
- La Bataille de Naples, Nanni Loy (1962)
- Hier, aujourd'hui et demain, Vittorio De Sica (1963)
- Main basse sur la ville, Francesco Rosi (1963)
- Mariage à l'italienne, Vittorio De Sica (1964)
- Les Sorcières, AA.VV. (1967)
- Les Amours de Lady Hamilton, Christian-Jaque (1968)
- Eika Katappa, Werner Schroeter (1969)
- Le Décaméron, Pier Paolo Pasolini (1971)
- Avanti!, Billy Wilder (1972)
- Lucia et les Gouapes, Pasquale Squitieri (1974)
- Parfum de femme, Dino Risi (1974)
- Le Règne de Naples, Werner Schroeter (1978)
- Café express, Nanni Loy (1980)
- La Peau (La pelle) par Liliana Cavani (1981)
- Luca le contrebandier, Lucio Fulci (1980)
- Le Talentueux Mr Ripley, Anthony Minghella (1999)
- Leçons de ténèbres, Vincent Dieutre (2000)
- La Mort dans la peau, Paul Greengrass (2004)
- La Vie aquatique, Wes Anderson (2004)
- La Sanfelice, Frères Taviani (2004)
- Vento di terra, Vincenzo Marra (2004)
- Mange, prie, aime, Ryan Murphy (2010)
[modifier] Notes et références
- ↑ (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
- ↑ Source Svimez [1]
- ↑ 1.700 hectares Site Comune.napoli.it
- ↑ Vitiello Gabriella et Helbert Frank, Naples et Pompei Guida Direct, Ed. Dumont 2008, ISBN 88-95093-45-3
- ↑ Centre historique de Naples - UNESCO World Heritage
- ↑ Vittorio Gleijeses, The History of Naples, since Origins to Modern Times, Naples, 1977
- ↑ Chronologie de l'histoire de Naples
- ↑ Greek Naples,Faculty.ed.umuc.edu accès le 25 janvier 2010
- ↑ Virgile est un exemple de la liberté politique et culturelle de Naples
- ↑ Napoli, La Storia della Città Napoli Musei – Napoli chiese – Napoli museo archeologico – Napoli monumenti – Napoli teatri – Napoli Italia, Pintostorey.it date d'accès 28 mars 2010
- ↑ Centro Storico di Napoli Site Unesco.it date d'accès 25 janvier 2010
- ↑ Le centre historique de Naples
- ↑ Villes d'Italie par population
- ↑ Seminario-aprile2001.PDF date d'accès 19 juillet 2009
- ↑ Accès mars 2010
- ↑ Competitive Cities in the Global Economy,OCDE, date d'accès 30 avril 2009
- ↑ Sur le site institutionnels des commune, accès le 13 septembre 2010
- ↑ City Mayors reviews the richest cities in the world in 2005, Site Citymayors.com, du 11 mars 2007, date d'accès 25 janvier 2010
- ↑ Le port de Naples
- ↑ Site3-TGM table, Epp.eurostat.ec.europa.eu date d'accès 25 janvier 2010
- ↑ Cordova: 'Visto? La corruzione a Napoli non si è mai fermatà – Repubblica.it, Ricerca.repubblica.it date d'accès 14 mars 2010
- ↑ SRM Studi e Ricerche per il Mezzogiorno – Ricerche site Srmezzogiorno.it date 1er mai 2006 date d'accès 14 mars 2010
- ↑ Eurrocities, the network of major European cities site Eurocities.eu, date d'accès 3 février 2010
- ↑ Dipartimento politiche comunitarie: Napoli sede dell'ACP-UE. Ronchi: « Pieno sostegno dei nostri europarlamentari », site Politichecomunitarie.it, date d'accès 14 mars 2010
- ↑ Naples city of Unesco's literature
- ↑ site Faculty.ed.umuc.edu Bombing of Naples7 octobre 2007
- ↑ Manuela Proietti, Expo 2012, Napoli capitale dello spazio| Iniziative | Diregiovani, site Diregiovani.it, date d'accès 25 janvier 2010
- ↑ Michel Mourre, Dictionnaire d'histoire, Larousse, Paris, 1996, p. 3809
- ↑ Le Guide du Routard. 2006. Italie du Sud. Hachette, p. 139.
- ↑ http://www.ovpm.org/fr/italie/naples
- ↑ http://www.red-travel.com/uk/ferrari-tour-italy/places/naples-english-guided-visit.htm
- ↑ GEO N°398 d'avril 2012 p.83
- ↑ (it) Napolionline.org
- ↑ Gomorra, de Roberto Saviano
- ↑ Le Monde.fr, 16/06/2010 [2]
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[modifier] Articles connexes
[modifier] Ouvrages anciens
- (fr) Stanislao d'Aloe, Naples, ses monumens et ses curiosités, avec un catalogue détaillé du Musée royal bourbon, suivi d'une description d'Herculanum, Pompéi, Stabies, Pæstum, Pouzzoles, Cumes, Baïa, Capoue, etc., Imprimerie Piscopo, Naples, 1856, 602 p.
[modifier] Ouvrages contemporains
- (fr) Colette Vallat, Brigitte Marin et Gennaro Biondi, Naples : démythifier la ville, L'Harmattan, Paris, 1998, 362 p. (ISBN 9782738454317)
- (fr) Naples, ville ouverte, film documentaire de Ben Hopkins, Royaume-Uni, 2009, 70'
[modifier] Liens externes