Fléchin
Fléchin | |||||
L'église Saint-Martin, monument historique | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | CA du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Jacqueline Dumetz 2020-2026 |
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Code postal | 62960 | ||||
Code commune | 62336 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fléchinois | ||||
Population municipale |
480 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 44 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 33′ 34″ nord, 2° 17′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 178 m |
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Superficie | 10,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Fruges | ||||
Législatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Fléchin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fléchinois.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune est insérée dans un environnement boisé et irriguée par divers cours d’eau et zones humides.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
On distingue dans la commune (également visible sur la carte géologique, quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Aumerval, Burbure, Divion, Bourecq. Ces affleurements du cénozoïques peuvent abriter une flore originale.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Le village est drainé et irrigué par divers cours d’eau et zones humides La Douce Fontaine, les Petites Laquette, la Fosse Baudrelle, et beaucoup de petites sources qui expliquent la présence d’un ancien moulin avec chute d’eau, et d'anciennes cressonnières.
la commune est traversée par le ruisseau Surgeon, cours d'eau d'une longueur de 9,37 km, qui prend sa source dans la commune de Febvin-Palfart se jette dans la Laquette au niveau de la commune d'Estrée-Blanche[1].
Le ruisseau Surgeon a trois affluents sur la commune :
- le ruisseau de boncourt, d'une longueur de 2,44 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau Surgeon au niveau de la commune[2] ;
- le ruisseau de boncourt, d'une longueur de 1,52 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau Surgeon au niveau de la commune[3] ;
- le Cuhem, d'une longueur de 0,79 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau Surgeon au niveau de la commune[4].
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[5].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
Statut biogéographique des espèces[modifier | modifier le code]
Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) présente les statistiques sur le statut biogéographique des 293 espèces faunistiques et floristiques recensées sur le territoire de la commune[6].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Fléchin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,4 %), prairies (38,8 %), zones urbanisées (5,5 %), forêts (1,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par les routes départementales D 77, D 95 E1 et D 159 et est située à 18 km de la sortie no 5 de l'autoroute A 26, aussi appelée autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[13].
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
La commune se trouve à (18 km) de la gare de gare de Pernes - Camblain, située sur la ligne de Fives à Abbeville, desservie par des trains TER Hauts-de-France[14].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Felciacus en 994 ; Felzi en 1096 ; Felchin en 1152 ; Flechin en 1168 ; Felcin en 1187 ; Flécin en 1299 ; Fléchy en 1318 ; Fleschin en 1545 ; Fléchain en 1559[15] ; Flechin en 1793-1801 et Fléchin depuis 1801[16].
Félchin en picard.
La commune de Fléchin absorbe en 1822 les communes de Boncourt et de Cuhem[16].
- Boncourt est attesté sous les formes Bocot en 1136 ; Bocolt en 1157 ; Bechout au XIIe siècle ; Bécout en 1294 ; Bekourt à la fin du XIIIe siècle ; Boucoud en 1342 ; Becoud en 1353 ; Boincourt en 1520-1521 ; Boucourt en 1444 ; Bécourt en 1528[17].
- Il s'agit d'une altération romane du flamand (néerlandais) *Beukenhout, finalement francisé en bon-court (d'après les nombreux toponymes en -court « domaine rural »). Ce composé néerlandais est formé des éléments boek / beuk « hêtre » et holt / hout « bois »[18], d'où le sens global de « bois de hêtres, hêtraie ».
- Cuhem est attesté sous les formes Culham en 1096 ; Culhem en 1187 ; Chuhem en 1199 ; Cuhem en 1223 ; Cohem en 1227[19] et Cuhem en 1793-1801[20].
- Cuhin en picard et Kulem en flamand.
Histoire[modifier | modifier le code]
Fléchin a donné son nom à une famille de la noblesse : la famille de Fléchin.
En 1285, selon Jacques Bretel, un certain Simon, surnommé Boulles de Fléchin, se distingue dans la mêlée du tournoi de Chauvency.
Au XVIIe siècle, des membres de la famille de Fléchin combattent au service du roi de France et sont seigneurs puis marquis de Wamin.
En , la terre (seigneurie) de Fléchin est érigée en comté, unie à celle de Marles, (sans doute Marles-les-Mines), pour porter le nom de comté de Marles[21].
Famille de Fléchin[modifier | modifier le code]
Édouard de Fléchin, seigneur de Wamin, est chef d'un régiment de cavalerie au XVIIe siècle. Il est mort colonel de cavalerie après s'être distingué au siège de Saint-Omer[22].
François de Fléchin, seigneur de Wamin, fils d'Édouard, reçoit en novembre 1693, des lettres prises à Versailles, lui accordant le titre de marquis. François de Fléchin, jusque là, écuyer et seigneur de Wamin, a servi en qualité de page à la Chambre du roi pendant trois ans puis a été trois ans officier subalterne dans le régiment de cavalerie de feu le sieur de Wamin, son père, dans lequel le roi lui a donné une compagnie incorporée ensuite dans le régiment de Bardage (ou Bordage). François de Fléchin est resté neuf ans dans ce régiment et a participé à plusieurs batailles, aux prises de Condé, Bouchain, Gand, Ypres, Saint-Omer, Cambrai et Valenciennes (Guerre de Hollande terminée par les traités de Nimègue en 1678). Son grand-père commandant le régiment de Rambux (régiment de Rambures?) a été tué au siège de La Rochelle, les deux frères de son aïeul étant également tués, l'un le sieur de La Ferté, proche du château de Caumont près d'Hesdin étant major de cavalerie, et l'autre au siège d'Aire, capitaine d'infanterie[22]. Sa fille Marie Jeanne de Fléchin épouse Oudart François Lhoste, seigneur de Willeman[23].
Autres personnalités[modifier | modifier le code]
Adrien de Noyelles, seigneur de Marles, Fléchin, Corroy, baron de Rossignol, chevalier, conseiller d'État et de guerre des archiducs, (gouverneurs des Pays-Bas espagnols), gouverneur d'Arras, chef des domaines et finances, bénéficie en janvier 1621, de lettres données à Bruxelles érigeant la terre de Fléchin en comté, unie à celle de Marles, (sans doute Marles-les-Mines), pour porter le nom de comté de Marles[21].
Regroupement de communes[modifier | modifier le code]
La commune de Fléchin absorbe en 1822 les communes de Boncourt et de Cuhem[16].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[16].
Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]
La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]
La commune est rattachée au canton de Fruges. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Fauquembergues[16].
Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
Elle administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 113)[30].
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[31].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Fléchinois[32].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2020, la commune comptait 480 habitants[Note 4], en diminution de 2,83 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 243 hommes pour 236 femmes, soit un taux de 50,73 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
La commune de Fléchin a la particularité de posseder trois églises, résultat de l'absorption, en 1822, des communes de Boncourt et Cuhem : l'église Saint-Martin (XIIe – XVIIe siècle) à Fléchin, l'église Saint-Pierre (XVIIIe siècle) à Boncourt et l'église Saint-Jacques (XVIe – XIXe siècle) à Cuhem. Les trois églises sont des édifices de culte[38].
Monument historique[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Martin de Fléchin (XIIe – XVIIe siècle) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [39]. Elle héberge 17 éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont dix sont classés[40].
Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Jacques de Cuhem. Elle héberge treize éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont deux sont classés[41].
- L'église Saint-Pierre de Boncourt. Elle héberge cinq éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques, dont deux sont classés[42].
- Le monument aux morts[43].
- Le moulin du Crocq, XIXe siècle.
- Le moulin de la Carnoye, XVIIIe siècle.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Octave-Joseph de Trazegnies (1637-1698), comte de Fléchin.
- Charles Jonnart (1857-1927) est un homme politique français, né à Fléchin. Député, gouverneur d'Algérie. Jonnart est élu en 1923 à l'Académie française.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Blason | Fascé d'or et de sable, à un lion de gueules brochant[44]. |
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Détails | Armes de la famille de Fléchin, auxquelles a été ajouté le lion de la maison de Trazegnies. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Fléchin » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau Surgeon (E3510870) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de boncourt (E3510940) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de boncourt (E3510900) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cuhem (E3510910) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « statistiques sur le satut biogéographique des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Pernes - Camblain », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 151-152.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 59.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 1029.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 119.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cuhem », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 221, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 57, lire en ligne
- ¬de Vegiano, Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne: 2, Gyselynck, (lire en ligne), p. 1077
- Source : registre d'état civil
- « Fléchin: Jacqueline Dumetz succède à Albert Piquet comme maire de Fléchin : Samedi après-midi, les conseillers élus le dimanche précédent ont désigné Jacqueline Dumetz comme première magistrate. L’incertitude régnait avant la désignation du maire, la tête de liste Albert Piquet n’ayant pas été élue », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Marie Jansana, « Les projets des maires à Fléchin : une pause dans les projets après l’ouverture de la médiathèque : La médiathèque, qui accueillera les Fléchinois et les lecteurs des communes voisines, ouvrira le 6 décembre. Un projet d’envergure pour le village de 530 habitants, dirigé par une nouvelle maire depuis mars. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fléchin (62336) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Églises de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
- « Église », notice no PA00108278, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
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- « Les monuments aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « 62336 Fléchin (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).