Heuringhem

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Heuringhem
Heuringhem
La mairie.
Blason de Heuringhem
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Jean-Paul Lefait
2020-2026
Code postal 62575
Code commune 62452
Démographie
Population
municipale
1 371 hab. (2020 en augmentation de 2,62 % par rapport à 2014)
Densité 237 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 44″ nord, 2° 17′ 00″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 84 m
Superficie 5,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Omer
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Heuringhem
Liens
Site web mairie-heuringhem.fr

Heuringhem [øʁɛ̃ɡɛm] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, plutôt rurale, est située au cœur du Nord-Pas-de-Calais, non loin de la frontière entre les deux départements, près de Saint-Omer sur le plateau d'Helfaut, dans une zone qui va de Helfaut à Coubronne (Ecques), jouxtée au nord par Blendecques. Située près des grands axes, Heuringhem s’étend de la vallée où coule la Melde jusqu’au plateau des Landes.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est drainée par la Melde du Pas-de-Calais, cours d'eau d'une longueur de 15,29 km, qui prend sa source dans la commune d'Helfaut et se jette dans le bras de décharge de la lys oduel au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[1]

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2].

Dans ce cadre, la commune fait partie de quatre espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] le plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem. Cette ZNIEFF correspond à un vaste plateau détritique de moins d’un kilomètre de large et de près de 10 km de long qui surplombe de plus de 90 m la vallée de l’Aa dont les versants abrupts taillés dans la craie sont en partie occupés par les pelouses de Wizernes[6].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[7].

Site Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et le système alluvial de la moyenne vallée de l'Aa d'une superficie de 389 hectares et répartis sur 14 communes[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Heuringhem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[13] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), forêts (18,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %), zones urbanisées (4,3 %)[18].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

Environnement[modifier | modifier le code]

Zone humide en sous-bois, réserve naturelle d'Heuringhem (2006).

Sur la commune se trouvent des landes océaniques. Des espèces végétales y vivent, ainsi qu’une dizaine d’amphibiens-reptiles rares et protégés. Il existe différents types de landes : la lande de bruyère, la lande herbeuse, la lande humide. La partie située sur le territoire de la commune est aménagée pour l’accueil du public, la pratique du sport et les activités de loisirs. Accès à la réserve naturelle du plateau des Landes (secteur de Blendecques) gérée par EDEN 62.

De par les caractéristiques géologiques du plateau (plateau acide, couvert d'argile à silex retenant l'eau), la commune abrite un patrimoine écologique exceptionnel, qui a donné lieu à la création de quatre réserves naturelles régionales, dont l'une est sise sur la commune, gérée par Eden 62, sous le contrôle du sous-préfet de Saint-Omer.

Ces réserves sont une des mesures compensatoires et conservatoires prises à la suite du passage d'une route (voie nouvelle de la vallée de l'Aa ou contournement d'Heuringhem) au travers du plateau d'Helfaut qui abritait de nombreuses espèces rares, menacées et/ou protégées. Jusque dans les années 1990, la commune abritait la plus belle population de crapauds alytes de l'Audomarois. Le plateau est une des zones retenues pour le réseau Natura 2000 et la trame verte régionale.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes successives du nom attestées pour la localité[20],[21]


  • Huringhem, 1171 (terrier A du chapitre de Thérouanne, 2e partie, fo 3 ro )
  • Huringehem, 1178 (cartulaire de Thérouanne, p. 47)
  • Hueringhem, 1254 (cartulaire de Thérouanne, p. 174)
  • Horinghem, 1259 (chartes de Saint-Bertin, no 1061)
  • Oringhehem, 1287 (titres et comptes d'Artois, t. I, fo 6)
  • Heringuehan, 1323-1324 (Arthur Giry, Analyse et extraits d'un registre des archives municipales de Saint-Omer, 1166-1778, no 20)
  • Heuringhem, 1326 (chartes de Saint-Bertin, no 1511)
  • Hoeringuehem, 1329 (chartes d'Artois, acte 505, no 2)
  • Eringhem, Horinghehem, 1345 (chartes d'Artois, acte 641)
  • Heringuehen, XIVe siècle (Archives nationales, P//137, fo 82 ro )
  • Huringuehem, 1430 (Archives nationales, JJ//998, no 3, fo 27 ro )
  • Heringhem, 1474 (Bulletin historique de la Société des antiquaires de la Morinie, t. III, p. 170)
  • Huringhen, 1495 (cartulaires des chartreux, fo 355 vo )
  • Heurenghem, 1761 (Archives nationales, P//1315)
  • Euringhen, XVIIIe siècle (carte de Cassini)
  • Heuringhen, 1793-1801 (Bulletin des lois, t. 4, 3e série, bulletin no 132, loi no 1013)
  • Heuringhem, depuis 1801

Ernest Nègre avance un toponyme composé de l'anthroponyme germanique Uro, suivi de -ingen « gens de (famille) » + heim « demeure, maison », donnant la « demeure des gens (famille) d'Uro »[22].

Heuringhin en picard et Horingem en flamand.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune apparaît vers 800. La tradition rapporte que saint Riquier prêcha à Heuringhem, et en convertit les habitants au VIIe siècle.

Heuringhem a été une seigneurie mouvante du bailliage d'Aire. La famille de Heuringhem est mentionnée au XIVe – XVe siècle. Vers 1533, la seigneurie qui est alors en possession d'Antoine d'Ailly, est vendue à Liévin de Rebecque, seigneur de Becquestraeten. La seigneurie passe par héritage à son beau-fils Isembart de Houchin et restera dans la famille de Houchin jusqu'en 1784 environ, quand la seigneurie passe par mariage famille de Bessuejouls de Roquelaure[23].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands ont une aire secrète de construction d'armes V au nord de Heuringhem[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2008 Paul Hochart   Président de la CC de la Morinie (1994 → 2008)
mars 2008 En cours
(au 23 mars 2022)
Jean-Paul Lefait DVG Réélu pour le mandat 2014-2020[25],[26],[27]
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29],[30]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec :

Carte
Jumelages et partenariats de Heuringhem.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Heuringhem.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Sandhurst[31]Flag of the United Kingdom (3-5).svgRoyaume-Unidepuis

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2020, la commune comptait 1 371 habitants[Note 5], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400358455453460442439466463
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
482494494481488557559582579
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
563583600532513520512490500
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5445886609241 2121 2871 3191 3111 299
2014 2019 2020 - - - - - -
1 3361 3601 371------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 682 hommes pour 668 femmes, soit un taux de 50,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,9 
4,7 
75-89 ans
5,2 
23,9 
60-74 ans
24,7 
23,4 
45-59 ans
24,4 
15,7 
30-44 ans
16,0 
14,3 
15-29 ans
13,1 
17,3 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,5 
5,4 
75-89 ans
8,9 
15,9 
60-74 ans
17,3 
20,2 
45-59 ans
19,4 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,6 
15-29 ans
16,3 
20,3 
0-14 ans
18,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Riquier. Dans l'église, une statue de saint Riquier du XVIIe siècle et deux tableaux qui proviendraient selon la tradition de l'abbaye de Sainte-Colombes-de-Blendecques, sont classés monuments historiques à titre d'objet[37].
  • L'école communale Condorcet, dont Heuringhem a fêté en 2013 le 130e anniversaire[38].
  • Le manoir de Lescoire.

Patrimoine commémoratif[modifier | modifier le code]

  • Sur le mur de l'église, une plaque commémorant les morts de la guerre de 1870.
  • Le monument aux morts commémore les guerres de 1914-1918 et de 1939-1945[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Heuringhem Blason
D'argent à deux branches de bruyère de sinople mouvant de la pointe, celle de dextre posée en bande et fleurie de pourpre, l'autre, plus courte, posée en pal et fleurie d'or, à une salamandre tachetée au naturel, brochant en barre ; le tout enfermé dans une bordure d'or*[40].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent).
La bruyère et la salamandre tachetée renvoient aux landes d'Heuringhem, aujourd'hui réserve naturelle régionale.

Utilisé par la municipalité.
Alias
Alias du blason de Heuringhem
De sinople à l'écusson d'argent chargé d'un plant de bruyère de gueules, tigé et feuillé du champ.
Blason proposé en 1996 par les archives départementales, mais jamais adopté par la municipalité.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Melde du Pas-de-Calais (E3610750) » (consulté le )
  2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
  3. « espace protégé FR3800334 - Landes Du Plateau D'Helfaut », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  4. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  5. « espace protégé FR9300087 - Plateau Des Landes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  6. « ZNIEFF 310007011 - Plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  7. « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le )
  9. « Natura 2000 FR3100487 - Pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et système alluvial de la moyenne vallée de l'Aa », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  20. « Dictionnaire topographique de la France - Heuringhem », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 1004.
  23. Mémoires de la société des antiquaires de la Morinie, tome XXXIII (1921-1924).
  24. [1].
  25. « Jean-Paul Lefait réélu maire d’Heuringhem en compagnie de trois adjoints : Les douze élus de la « Liste d’action sociale et républicaine », conduite par Jean-Paul Lefait, et les trois élus de la liste « Heuringhem Autrement » de Bernard Rommens étaient réunis, vendredi soir, à la salle des fêtes pour l’élection du maire et de ses trois adjoints en présence de nombreux Heuringhèmois. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Les projets du maire d’Heuringhem: entre l’assainissement, les tablettes numériques et la sécurité…: la fierté de Jean-Paul Lefait : Jean-Paul Lefait, élu depuis 2008, entame son deuxième mandat de maire, après avoir été premier adjoint de 1989 à 2008. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Cafeyn - reader », sur cafeyn.co (consulté le ).
  29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Heuringhem (62452) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  37. [2]
  38. La Voix du Nord, Dictée à la plume : souvenir souvenir à l’école Condorcet d’Heuringhem, 17 septembre 2013
  39. memoiresdepierre: Heuringhem
  40. « 62452 Heuringhem (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).