Lambres-lez-Douai

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Lambres-lez-Douai
Lambres-lez-Douai
La mairie en mars 2019.
Blason de Lambres-lez-Douai
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Bernard Goulois
2020-2026
Code postal 59552
Code commune 59329
Démographie
Gentilé Lambrésiens
Population
municipale
4 953 hab. (2020 en diminution de 2,81 % par rapport à 2014)
Densité 562 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 13″ nord, 3° 04′ 07″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 42 m
Superficie 8,81 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Douai
Législatives Dix-septième circonscription
Localisation
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Lambres-lez-Douai
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Lambres-lez-Douai

Lambres-lez-Douai est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Lambres-lez-Douai
Cuincy Douai
Lambres-lez-Douai Sin-le-Noble
Brebières Courchelettes Corbehem Férin

Géologie, relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

Lambres-lez-Douai est traversée par la Scarpe.

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Un béguinage a été ouvert en 1997[1],[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 703 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[9] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 716,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 15 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lambres-lez-Douai est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[19] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,3 %), zones urbanisées (24,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20 %), prairies (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[24].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

À l'origine, Lambres-lez-Douai s'appelait Lambrae Vicius.

Histoire[modifier | modifier le code]

Initialement, la ville était trois fois plus grande que Douai ; à cette époque, un petit hameau. La légende dit que Sigebert Ier fut enterré ici avec son trésor et que ce dernier n'a pas été déplacé par la suite...En revanche le corps de Sigebert aurait ensuite été amené à l'abbaye Saint-Médard de Soissons pour y être enseveli auprès de son père[26].

Charles II le Chauve posséda à Lambres un manoir avec un moulin qu'il donne par diplôme du à l'Abbaye de Marchiennes[27].

En 1933, la commune de Lambres devient Lambres-lez-Douai.

L'usine Georges-Besse du groupe automobile Renault est implantée en partie sur le territoire de la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 677 inscrits, dont 1 003 votants (27,28 %), 31 votes blancs (3,09 %) et 879 suffrages exprimés (87,64 %). La liste étiquetée divers droite Avec vous, Lambres demain menée par Bernard Goulois recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[28],[29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Martial Vandewoestyne lors de la manifestation contre la suppression des dessertes TGV en gare de Douai du 2 mars 2019.

Maire de 1802 à 1807 : Bart. Lecq[30],[31].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 1835 Jean Marie Grossema    
septembre 1843 Louis Joseph Bury    
février 1844 François Joseph Lecq    
décembre 1846 Jean Marie Grossema    
juin 1861 Augustin Joseph Lecq    
janvier 1878 Jules Théophile Tarlier    
octobre 1894 Alfred Trannin Républicain antirévisionniste Député de la 1re circonscription de Douai de 1889 à 1893.
mai 1904 Oscar Antoine Benoît Sylvin    
mai 1912 Émile Deligny    
décembre 1919 Oscar Antoine Benoît Sylvin    
avril 1932 Léon Humez    
octobre 1944 Paul Hennebois    
mai 1945 Alexis Macart    
octobre 1947 Henri Troyon    
mars 1959 Jean Guilbert    
juin 1966 Alexis Macart    
mars 1971 Raymond Masclet    
décembre 1979 Michel Hennebois    
mars 2001 Jules Fromont    
2020 Martial Vandewoestyne DVD Président du Symevad (SI de traitement des déchets)[32]
Réélu pour le mandat 2014-2020[33]
2020 En cours Bernard Goulois DVD  

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2020, la commune comptait 4 953 habitants[Note 8], en diminution de 2,81 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
595620626678800782739718811
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8758999109511 0821 1461 3851 4991 634
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7211 6381 6111 5882 2082 3692 6232 9044 010
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4 4615 1595 5095 0875 0434 9115 0395 1755 092
2015 2020 - - - - - - -
5 1124 953-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 372 hommes pour 2 699 femmes, soit un taux de 53,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,3 
8,1 
75-89 ans
11,4 
19,2 
60-74 ans
19,9 
20,2 
45-59 ans
20,2 
17,6 
30-44 ans
15,8 
15,2 
15-29 ans
13,6 
18,7 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,1 
75-89 ans
8,1 
14,3 
60-74 ans
15,6 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,6 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,7 
0-14 ans
18,5 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • le collège André Malraux.
  • le monument aux morts.
  • l'église Saint-Sarre, reconstruite vers 1960.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de la ville de Lambres-lez-Douai (59) Nord-France.svg

Les armes de Lambres-lez-Douai se blasonnent ainsi : "D'argent à trois pots à deux anses de sable, au franc quartier brochant de gueules semé de billettes d'argent au lion brochant du même."

Folklore[modifier | modifier le code]

Le 1er géant de la commune.
Le 2nd géant

Lambres-lez-Douai a pour géant Sigebert Ier[42].

Le 1er géant est apparu en 1956 soutenu par les propriétaires d'un Café-Epicerie. Il était porté par 1 homme et sortait pour les deux ducasses de la commune en mai et août. Quelques années après, il est laissé a l'abandon, on dit même qu'il aurait brulé.

En 1980, Un second géant est construit par la MJC et le collège André Malraux. Réalisé en bois, il a une hauteur de 4,20 m. pour un poids de 150 kg et est porté par 4 hommes.

Son arrivée est accompagné par le début des Fêtes de Sigebert.

En 2003, Sigebert est transformé, toujours par la MJC, Un sculpteur de la commune réalise la nouvelle tête, les mains et la nouvelle ossature en partant de l'ancien fait d'aluminium et de bois.Son poids est réduit de 150 à 110 kg et il n'est plus porté que par deux personnes

L'avant dernier géant (communément appelé "l'Ancien")

En 2022, la création est confié au constructeur cominois Pierre Loyer. Fait en osier, il s'allège encore pour passer à environ 100 kg. Il perd son épée et récupère son sceptre avec un pigeon sur le haut et le style de sa jupe. Un Scramasaxe est ajouté en référence à celui qui a servi à deux esclaves de la 3e épouse son frère Chilpéric pour le tuer.

Sigebert 1er devant l'église St Sarre

.

Le nouveau géant Sigebert 1er présenté au public pour la 1ère fois le Vendredi 13 Mai 2022.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Une société HLM réinvente le béguinage
  2. Le béguinage, alternative à la maison de retraite, reportage sur TF1, 2012, consulté le 31 octobre 2012
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  9. « Station Météo-France Douai - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Lambres-lez-Douai et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Lambres-lez-Douai et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  26. Anselme de Sainte-marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France- Tome I (lire en ligne), p. 17.
  27. Archives historiques et littéraires du nord de la France, et du midi de la Belgique, Volume 5, Au Bureau des Archives., 1829, [1]
  28. « Élections municipales, Lambres-lez-Douai », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 33.
  29. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Lambres-lez-Douai », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
  30. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
  31. « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166.
  32. « Traitement des déchets : le syndicat garde son président : Martial Vandewoestyne, maire de Lambres, reste président du Symevad », L'Observateur du Douaisis, no 595,‎ , p. 4.
  33. Dorothée Delomez, « Rythmes scolaires : « au cœur du projet, c’est l’enfant » : Attaqué sur ses choix dans le contexte des rythmes scolaires, Martial Vandewoestyne, le maire, explique pourquoi son équipe s’est portée sur le samedi matin d’école, plutôt que le mercredi. », L'Observateur du Cambresis, no 1336,‎ , p. 13.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lambres-lez-Douai (59329) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  40. Alban Bulter, Jean-françois Godescard, Charles Butler, Lactantius - Vies des pères, des martyrs, et des autres principaux saints - page 52 - 1832 - chez Vanlinthout et Vandenzande à Louvain - archive de abbaye of Ghethsemani université de Californie - numérisé par Google Books
  41. Aimé Nicolas Leroy, Les hommes et les choses du nord de la France et du midi de la Belgique,Bureau des Archives du Nord, 1829, [2]
  42. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15