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samedi 12 décembre 2015

V/A The bastards can't dance - A tribute to Leatherface Cd 04 (Snuffy smile)



















Pas facile de faire un tribute je trouve. Ce qui fait l'attrait d'un groupe, c'est pas forcément ses compos, son son, son inventivité ou sa technicité, c'est en grosse partie ça mais ça va un peu plus loin. Et même si le morceau est bon, s'il est repris par un autre groupe bon lui aussi, il sera pas obligatoirement aussi bon. C'est une lapalissade mais c'est pas toujours évident dans la tête des groupes qui reprennent. On croit s'approprier le talent en même temps que le morceau mais c'est pas aussi facile!
Dans le cas d'un tribute comme celui qu'on a sous les yeux, c'est même rare que ce soit satisfaisant. Un tribute à Leatherface, ça me parait d'une prétention sans nom! C'est sûr que le talent y est pour beaucoup dans la qualité des disques du combo de Sunderland et se lancer dans une aventure comme celle là, moi je trouve ça hautement audacieux, voir téméraire.
Il y a pourtant quelques groupes qui s'en sortent bien une fois qu'on a oublié que l'original était déjà presque parfait. Je trouve Que I excuse ne sont pas si mal. Presque aussi bons que les originaux. Ça me donne envie de réécouter les disques. Il y a quelques groupes dont j'avais jamais entendu parler et qui s'en sortent bien, par exemple Drift age, The urchins ou Zero fast...
Il faut préciser tout de même que tous les groupes sont japonais et que j'ai pas une grande culture punk japonais. Peut être que ces groupes sont connus là-bas mais moi, ça ne me dit pas grand chose. A part Long ball to no-one et 1000 travels of Jawarharlal dont je vous avais déjà parlé (, et ) . Ces deux là s'en sortent honnêtement, quoique Jawarharlal n'est pas du tout dans son registre habituel avec un Shipyard au piano (comme l'original mais chanté plus faux). Pour le reste, je vous laisse découvrir...

V/A The bastards can't dance Cd 04 (13 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 89MB)
 

vendredi 18 octobre 2013

BLOCKO / MINORITY BLUES BAND - Split 7" 04 (Snuffy smile)















Difficile quand on parle de punk anglais, disais-je dans l'article de Political asylum, de ne pas évoquer le label Boss tuneage. Ce split Ep le confirme encore une fois bien qu'il ne soit pas sorti sur le label anglais mais sur Snuffy smile, label japonnais ayant une connexion plus qu'évidente avec Boss tuneage et ayant sorti plusieurs split Ep remarquables, regroupant des groupes anglais et japonnais. Les groupes anglais pour la plupart ont sorti des disques sur Boss tuneage.
C'est le cas de Blocko encore tout récemment avec un double cédé South london vs the world. Il s'agit d'une compile de tout ce que Blocko a fait à part l'album Edmondson avenue (Il y est sous forme de démo avec le batteur de Strike anywhere aux baguettes. En passant, je trouve cette démo, totalement dispensable). Vous trouverez donc les 2 morceaux de ce split sur la disco de Blocko ainsi que tout un tas autres tout aussi appréciables (et d'autres moins).
Minority blues band est un groupe japonais qui fait du punk rock à l'anglaise comme beaucoup de groupes japonais que je connais. Mais je dois pas en connaitre beaucoup.
Les deux groupes font chacun une reprise, une de All saints pour Blocko et une de Drive pour MBB.

BLOCKO / MINORITY BLUES BAND - Split 7" 04 (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + flyer = 29MB)

vendredi 7 juin 2013

SOUTHPORT / LONGBALL TO NO-ONE - International match 2001 split Ep 01 (Snuffy smile)






















Je vous avais promis une série sur les démos sorties en cd et je suis pas certain de la faire pour l'instant pour une histoire d'interview  que je voudrais mettre pour accompagner le disque et que je retrouve pas. Ce n'est que partie remise! En attendant, les disques à poster c'est pas ce qui manque!
Il y a peu de temps, je suis allé en Allemagne pour jouer avec Heyoka. Ce fut une bonne expérience et j'ai trouvé quelques disques que je cherchais non pas désespérément mais pas loin. C'est donc de ces disques que je vais vous parler et je m'étendrai peut être un peu sur l'Allemagne aussi. J'ai la place pour ça, 3 disques, 3 articles. Alors pour ceux que ça n'intéresse pas, sautez directement ce paragraphe, voir même contentez vous simplement de télécharger ce disque.
Pour commencer, je trouve qu'il y a 2 choses surprenantes  dans les concerts en Allemagne, c'est que d'une part, il y a très peu de relous genre mecs ultra bourrés qui soit dorment par terre ou traversent la salle en te donnant de grands d'épaules. Non, bizarrement la discipline règne et plutôt l'autodiscipline et ça fait du bien! Comment imaginer en France que les chiottes soient encore accessibles passé 10h alors qu'en Allemagne tu pourrais y dormir après le concert. Ça c'est le point positif. Le négatif, c'est que dans ces concerts, il y a jamais une distro. En france, c'est le genre de chose qui se fait bien. L'asso du coin ou la personne qui veut se séparer de quelques occasions se pointe avec un bac ou deux, mais en Allemagne, nib! A se demander où ils achètent leurs disques? Ça on l'a appris quand on a joué à Hamburg. On est arrivés un peu en avance et on a été acceuilli par  Sven un grand punk d'une élégance et d'une amabilité remarquables. Il nous a fait visiter la ville et surtout le magasin de disques qu'ils tenaient lui et ses amis et c'est vrai que là Thierry (du label General strike) et moi, on a fait quelques trouvailles. D'aucuns prétendent que nous étions proches de l'orgasme, je trouve qu'ils exagèrent un peu, c'est à peine si j'ai souillé mon slip!
Bref, niveau punk, il y avait le choix et c'était pas spécialement cher, ce qui fait que j'aurais facilement pu revenir avec une trentaine de disques. Malheureusement mon budget était serré et pour me satisfaire, j'ai du me restreindre à fouiller dans les bacs de soldes pour dépenser mes derniers 2 euros cinquante. C'est là dedans que j'ai trouvé ce split Ep Longball to no-one/Southport, dans le bac des eps à 50 centimes. J'en ai pris 5 et c'est pas sûr que je vous parle de tous. Mais revenons à cette petite escapade Hambourgeoise.
On est rentré juste à temps pour bouffer. Je me rappelle plus ce qu'on avait dans nos assiettes. Tout ce dont je me souviens, c'est que c'était vegan et excellent, de quoi convertir le pire des viandards en végétalien militant. Les deux groupes qui ont ouvert pour nous (Ourang outang et  S.O.S.) m'ont bien emballé. C'était du petit groupe qui débutait mais ça jouait. A l'allemande quoi! Tout ce que je pouvais leur reprocher, c'est qu'ils avaient ni démo, ni disque à vendre. Ensuite on a joué et c'était torride. La salle était assez petite (une bonne centaine de personne peut être) et le public nous a franchement fait un bon acceuil.C'était un concert de rêve me direz vous? Sans doute! Seulement, c'est après que ça s'est gâté.
Il y a une chose que je trouve vraiment insupportable dans les concerts punks, c'est l'attente. Il faut toujours en attendre un qui soit a une bière à finir, soit a disparu on ne sait où, soit a simplement envie de se faire attendre. C'est une constante et en plus de ça la majorité des punks pensent qu'un concert ne peut se passer correctement qu'à partir d'un certain degré d'imbibation d'alcool, ce qui perturbe notablement la perception du temps. L'allemagne échappe un peu à la règle mais ça nous a pas empêché d'attendre, d'attendre et d'attendre encore.... Et comme je suis le couillon de service qui ne boit pas et qui est le seul à pouvoir conduire le camion passé une certaine heure, je dirais que j'ai tendance à attendre un peu plus que les autres.
La soirée s'est donc terminé tranquillement et Sven l'élégant s'est improvisé DJ. Il a réussi à faire danser tout le monde sur des tubes imparables d'Exploited ou des Ramoheurs de menhir. Au bout d'un moment j'ai commencé d'en avoir marre d'attendre et ça m'aurait pas déplu d'aller foutre la viande sous le torchon. Mais fallait attendre. Quoi, je vous le demande? Que la personne qui s'occupe de nous finisse le ménage et nous montre où se trouvait le sleeping. Je patiente encore un peu en me disant qu'on va certainement prendre le camion et aller dormir chez quelqu'un. Sauf que le temps passe, les gens partent, les balayeurs balaient et il y a personne qui semble vouloir nous indiquer où on peut pioncer. Bon, je me suis rabattu sur le camion et j'ai dormi pas si mal que ça en compagnie de Fred.
Le lendemain, plus personne dans cette putain de salle, les portes fermées et impossible  de savoir où étaient partis dormir les autres. Avec Fred on est allé petit déjeuner dans un café à la française où on a bu un café somptueux. On est revenu à la salle en pensant repetit-déjeuner sur place. Mais de petit déjeuner, on en a pas vu la queue d'un. Les autres se sont réveillés doucement. En fait ils dormaient sur place. Je comprends pas pourquoi quelqu'un s'est pas donné la peine la veille de nous indiquer avant le concert où on pouvait dormir. Ou même pendant la soirée, cette même personne ou une autre aurait pu lâcher son balai et faire 10 mètres pour nous emmener au sleeping. Bref! Il y avait toujours personne dans la salle et je pouvais toujours attendre ma réponse. Attendre, j'en avais ma dose! On est retourné traîner dans la ville et on est allé manger une pizza chez un libanais dans Sankt Pauli. Là j'ai appris que Sven l'élégant nous avait payé avant le concert. c'est à dire qu'il nous a filé les 150 euros minimum sans même se préoccuper si la salle allait être pleine ou pas. Il se trouve qu'elle était archi-pleine et qu'en nous filant seulement 150 euros, l'enfoiré a du s'en mettre pas mal de coté. Ça commençait à être un peu trop pour moi! Pas de petit déjeuner, on nous avait enflé niveau cachet et en plus de ça, il avait fallu attendre je ne sais quoi la veille avant d'aller se coucher. Ça faisait beaucoup et je commençais à voir Sven non pas comme un punk aimable et élégant mais comme un branleur de première. On la recroisé au retour et je me suis contenté de lui dire au revoir plutôt que "du bist ein gross arschloch". Ça m'aurait peut être fait plus de bien mais ça aurait servi à quoi? C'est à peu près tout ce que je peux dire en Allemand, ça, richtig et wunderbach. Pas de quoi construire une conversation, alors une prise de tête pour dire "eh, tu nous as pas pris un peu pour des flans?".
Si je devais mettre des notes pour cette soirée, je mettrais 10 pour le concert, 8 pour l'ambiance, 4 pour la décoration et 2 pour l'accueil et encore parce que le repas de la veille était succulent. Heureusement que j'ai ramené des disques, sinon.... Je crois que je vais arrêter là pour ce tour report. C'est pas que je me sens à l'aise avec ce genre de discipline. Si ça vous intéresse de savoir comment s'est passée cette tournée allez plutôt voir sur le site d'Heyoka, il y a Cédric de Fuck da tourist qui nous accompagne souvent et qui en a  fait un long et détaillé.

Et si on en parlait un peu de ce split Ep Longball to no-one/Southport...Si je recherchais ce disque c'était pour LBTNO et non pas pour Southport. C'était peut être un peu pour les deux mais c'est vrai que j'aie une préférence pour Longball. Southport, ça sonne moins original, très Snuff en fait. Ce qui s'explique et qui est pas du tout dommageable. En fait, j'aime beaucoup Southport même si les morceaux de ce split ont vraiment un son de merde. Pour l'un d'eux on s'en fout, on le retrouve sur le split Ep avec Leif erickson et le son est correct, mais l'autre n'existe que dans cette version. A propos, Southport viennent de sortir un 3ème album.
C'est vraiment évident que le choix d'un son peut définir le style que fait un groupe. Sur le cd que je vous avais précédemment présenté, j'avais qualifier le musique de Longball to no-one de post punk qui me rappelait un peu les allemands de Kurt. Il faut dire que sur l'album il y avait ce son de caisse très synthétique qui donnait cette couleur particulière au groupe. Sur ce split, il sont revenus à un son beaucoup plus conventionnel et du coup ça sonne plus conventionnel, à l'anglaise, sauf que le groupe est japonnais. C'est ça d'ailleurs qui est paradoxal puisque le seul anglais qu'il y avait dans le groupe et qui était je vous le rappelle un ex membre des Broccoli ne joue plus sur ce split. Ce qui n'empêche pas que ça sonne très punk mélodique comme Boss tuneage aime à sortir des disques. J'aimerai bien savoir comment est le deuxième album...
Tout est dit, même un peu plus. A l'occasion, on aura sûrement l'occasion de reparler d'un de ces groupes tout à fait respectables et recommandables.

LONGBALL TO NONE-ONE / SOUTHPORT split Ep 01 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure =30MB)

lundi 1 avril 2013

LONGBALL TO NO ONE - The little boy picked up a rock... Cd 03 (Snuffy smile)

























Mon matos est toujours pas d'attaque et moi non plus pour jeter un oeil à ce qui va pas. C'est pas grave, j'avais envie de toute façon de vous concocter une petite série sur le hardcore des années 2000, celui qui m'a fait vibrer, pas celui qui s'est contenté de reprendre les vieilles recettes comme c'est encore plus le cas maintenant. Non, je vous parle d'une musique qui a su évoluer et qui a incorporé des éléments inhérents à  son époque, tel que la noise, l'emo, le screamo, le métal... Pour le coup, on serait tenté de qualifier ce genre de post hardcore. C'est envisageable et assez pratique comme étiquette, bien qu'un peu réducteur.
Dans le cas de Longball to no-one, si je vous dis post hardcore, je pense pas que ça vous aidera beaucoup. Par contre, si je vous dis Broccoli? Là non plus, je ne pense que ça vous aide beaucoup... Si je vous dis Japon, non plus? Et si je vous dis que Longball to no one est également le titre d'un Ep de Snuff, je crois qu'on s'éloigne carrément! En fait plus je vous en dis et plus je vous perds, non? Bon, pour être plus clair, on trouve dans Longball to no-one, un des membres de Broccoli, groupe emo punk anglais très apprécié sur JolicCoeur, sauf que là, le groupe est japonnais. Je pourrais pas vous dire dans quelles circonstances ce groupe a été formé mais en tous cas, je trouve que c'est plutôt une bonne chose, surtout si on écoute ce qu'a fait Graeme Gilmour après Broccoli, c'est à dire Shonben et Bitter pills parce que c'est vraiment pas terrible! Tandis que là LBTNO, j'avoue que c'est pas loin de faire partie de mes cds de chevet aux cotés de groupes tel que Kurt si ça peut vous donner un indice...
Longball to no one est un groupe relativement discret et n'a sorti que cet album, un autre que je ne connais pas et un split Ep avec Southport (des anciens Snuff) que je n'ai pas la chance de posséder mais ça viendra, j'en doute pas une seconde.
Bonne écoute et  joyeuses pâques. Moi je retourne traîner sur le net, il s'y passe des choses passionnantes!

LONGBALL TO NO-ONE - The little boy picked up a rock... Cd 03 (11 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 67MB)

jeudi 16 décembre 2010

DISCOUNT / CIGARETTEMAN split Ep 97 (Suburban home)



Un pote qui joue dans un groupe, Who needs maps pour ne pas les nommer, me dit toutes les fois qu'il revient de tournée ou de concert (et c'est souvent), qu'il a rencontré des lecteurs de mes blogs. Alors je lui réponds que je sais pas si je suis aussi lu que ça, surtout le Jolicoeur. Mais d'après lui, si! Les gens viennent mais ne laissent pas forcément de commentaires. Voilà qui me réconforte, moi qui cherchait la renommée, je crois que j'y suis enfin arrivé... Et surtout, je me dis que j'ai pas à me fier aux nombres de commentaires, je parle de ce que je veux, si les gens ne réagissent pas (surtout sur JoliCoeur en fait), ça veut pas dire qu'ils n'apprécient pas. Génial...
Et si on revenait à nos chanteuses? Bon, Discount, c'est un groupe dont j'aurais pu parler sur Jolicoeur, c'est d'ailleurs ce que j'ai déja fait. Et c'est pas impossible que j'y revienne de temps en temps, sur un blog comme sur l'autre, comme ça, juste pour le plaisir. Discount donc, c'est pas la peine de présenter ce groupe pop punk de floride, dont la chauteuse fait maintenant carrière dans le show business et dont certains membres ont joué avec des mecs de Hot water music dans Unitas ou The Draft.
Cigaretteman, c'est déjà beaucoup moins connu mais c'est pas loin d'être aussi bon que Discount. C'est aussi bon en fait! C'est japonnais et ça s'entend bien dans la façon de chanter. Je trouve ça adorable!
Là, par exemple, je sais que personne ne va laisser de commentaires. Mais je m'en fous! Quoique, je m'en foutais avant aussi... Mais moins quand même!

DISCOUNT / CIGARETTEMAN split Ep 97 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 19MB)

jeudi 22 octobre 2009

SCRAPS / DON DON split fexi 89 (MCR compagny)



Je suis pas tellement fan du punk japonnais, mais par contre qu'est ce que je peux aimer les eps flexi! Je trouve que c'est un format qui s'adapte bien à la musique punk, ça a un coté éphémère et pas crédible pour un sou qui lui va bien.
Je m'étais dit que ce flexi allait sans doute intéresser pas mal de monde qui comme moi apprécie Scraps, vu que l'un des 2 morceaux n'était trouvable jusqu'à il y a peu de temps que sur ce ep. Mais en faisant des recherches, je me suis rendu compte qu'une discographie de vieux morceaux (les 2 eps, la demo et le split flexi) était sorti sur Punk n vomit records. Quant à l'autre morceau, il apparaitra un an plus tard sur le Lp Wrapped up in this society.
Don don, je peux pas vous en dire grand chose....

SCRAPS / DON DON flexi ep 89 (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 25,5MB)

vendredi 6 mars 2009

FUCK GEEZ Here's the ... Ep 86 (Jungle hop internantional)

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J'ai jamais été un grand fan de punk japonais. Je sais pas pourquoi, la sauce a jamais pris. Ca s'explique pas, c'est comme ça! Pourquoi à l'inverse, j'éprouve un amour immodéré pour le punk italien?
Et pour le punk nippon, on peut pas dire que c'est parce que je m'y suis jamais intéressé. J'ai eu quelques disques que j'ai quasiment tous revendu, tous sauf ce ep de Fuck geez et la compile ep Jungle hop. Simplement parce que j'y étais attaché et que ça faisait parti des fondations de ma culture hardcore? Peut être, mais il y avait d'autres disques que j'avais acheté à peu près au même moment et qui me déplaisait pas moins, comme le split Rose rose/SIC dont je garde un bon souvenir. Ou la compile Farewell to arms, ou la compile Lp Jungle hop... Maintenant que je m'en suis débarrassé, je pense pas que je puisse les racheter parce que tous ces disques ont quand même pris une cote hallucinante. Et de toutes façons, je suis presque sûr que je les apprécierais pas plus. Je trouverais ça pas mauvais mais il n'y aurait pas cette excitation que je ressens quand j'écoute par exemple Disperazione.
Mais bon, j'ai un disque punk japonais, c'est ce ep de Fuck geez, c'est déja pas mal. C'est peut être pour ça que je l'ai gardé, pour dire que j'aie un disque japonais dans ma collection. Ou alors parce que ce disque est sorti sur Jungle hop et comme je l'ai expliqué dans je ne sais plus quel post, j'ai énormément de respect pour ce label français précurseur de la culture hardcore en france.
Il y a pas d'explication à trouver, j'ai ce disque et je le trouve assez écoutable. On est loin du hardcore tel qu'il est traditionnellement pratiqué au japon, c'est à dire les trucs bien bourrin à la Gauze ou SOB. En fait, ça sonne plutôt punk tendance punk's not dead. C'est assez mélodique et ce disque aurait pu faire parti de mes classiques si le groupe avait été allemand par exemple.
Difficile de savoir ce que Fuck geez a sorti comme disque. Ce que j'aie trouvé, c'est un flexi Ep qui porte le même nom que ce ep, mais à part ça...

FUCK GEEZ Ep JHI (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 32MB)

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