Plusloin.org, le site, contient essentiellement des archives tournant autour de l’ultra gauche, communiste de conseil, Maximilien Rubel, des archives strasbourgeoises des années 70.
Les textes qui avaient été hébergés sur le site Après Auschwitz, site partagé avec Mato Topé et Thierry G. autour d’une réflexion sur la Shoah et ses suites ont été déménagé sur sur le site d’informations libertaires Divergences.be
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Sur le site Textes et idées- j’ai rassemblé l’ensemble des textes que j’ai été amené à écrire et qui ont été publiés dans le Monde libertaire, dans Réfractions, sur A contretetemps ou ailleurs. P.S.
Réfractions Revue de recherches et d’expressions anarchistes
Le Comité Louis Lecoin donne des nouvelles des objecteurs de conscience du monde
Souvenirs de la Guerre d’Espagne A partir des souvenirs d’Antoine Gimenez une réflexion et des recherches en profondeur sur cette période historique.
Anarchisme et non-Violence Les animateurs du site reprennent une réflexion pourtant jamais complètement interrompue, et toujours vivante par ailleurs, et comptent donner un nouvel essor à
l’association des deux idées-forces : l’anarchisme et la non-violence.
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A contretempsBulletin de critique bibliographique
Pensée Librele site des amis d’André Arru, la Libre pensée autonome
Dictionnaire des militants anarchistes plus de 4300 notices biographiques
Los de la sierra- Dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste.
Il faut oser rompre avec cette société qui meurt et qui ne renaîtra plus. Il faut oser l’Exode. Il faut ne rien attendre des traitements symptomatiques de la "crise", car il n’y a plus de crise : un nouveau système s’est mis en place qui abolit massivement le "travail". Il restaure les pires formes de domination, d’asservissement, d’exploitation en contraignant tous à se battre contre tous pour obtenir ce "travail" qu’il abolit.
Ce n’est pas cette abolition qu’il faut lui reprocher : c’est de prétendre perpétuer comme obligation, comme norme, comme fondement irremplaçable des droits et de la dignité de tous, ce même "travail" dont il abolit les normes, la dignité et l’accessibilité. Il faut oser vouloir l’Exode de la "société de travail" : elle n’existe plus et ne reviendra pas. Il faut vouloir la mort de cette société qui agonise afin qu’une autre puisse naître sur ses décombres. Il faut apprendre à distinguer les contours de cette société autre derrière les résistances, les dysfonctionnements, les impasses dont est fait le présent. Il faut que le "travail" perde sa centralité dans la conscience, la pensée, l’imagination de tous : il faut apprendre à porter sur lui un regard différent : ne plus le penser comme ce qu’on a ou n’a pas ; mais comme ce que nous faisons. Il faut oser vouloir nous réapproprier le travail.
André Gorz, Misères du présent, richesse du possible