Bienne (Suisse): Ouverture d’un nouveau squat

Communiqué des occupants

En ce samedi 27 septembre 2008, nous nous réjouissons de vous informer de l’occupation du bâtiment situé Chemin des tulipes 4 et 6 à Bienne. Nous avons procédé à l’ouverture d’un nouvel espace de vie autogéré, d’expression libre, d’émancipation privilégiant des rapports de solidarité, d’entraide et de partage des savoirs. Nous voulons tendre à l’autonomie face à ce système qui ne sait créer que des dépendances, de l’irresponsabilité et des humains soumis.
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Grenoble: Quelques photos et une affiche

Des photos de Palm Bitch (prises en mai 2008), squat ouvert en 2007, expulsé en juin 2008:


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Paris: Expulsion du plus vieux squat de la capitale !

Info trouvée dans les « brèves du désordre » de Cette Semaine (il s’agit d’un article du torchon quotidien « Le Parisien »):

La police évacue le plus vieux squat de Paris

Le Parisien | 26 septembre 2008

LE BOULEVARD bouclé dès l’’aube, des dizaines de policiers (en tenue de maintien de l’’ordre) mobilisés et plusieurs bus ainsi que des camions de déménagement en place… Hier matin, « par mesure de sécurité », la préfecture de police a entamé l’’évacuation d’’un immeuble vétuste situé au 150, boulevard Vincent-Auriol (XIIIe) : le plus vieux squat de Paris ! L’’ancienne Maison des étudiants de Côte d’’Ivoire (ex-propriété de l’’Etat ivoirien rachetée par des marchands de biens qui ne l’’ont jamais entretenue) faisait l’’objet d’’une ordonnance d’’expulsion depuis… 1972. Read More

Caen: Le Pavillon Noir bientôt expulsé ?

25 septembre 2008

Ce matin, un huissier de justice est venu constater l’occupation du Pavillon Noir, squat occupé depuis mars dernier par un collectif d’occupant-e-s. Il dit attendre lundi une éventuelle remise des clés ou un signe manifeste de départ… il les attendra longtemps. Read More

Lyon: A peine ouvert, un nouveau squat expulsé illégalement !

  Lyon: A peine ouvert, un nouveau squat expulsé illégalement !


Le nouveau squat, 1 impasse Jeanne d’arc, dans le 3e arrondissement de Lyon, s’est fait expulser ce dimanche 21 septembre [2008] dans l’après-midi alors qu’il y avait les preuves que les habitants y demeuraient depuis plus de 48 heures.
A 16h30, ce dimanche 21 septembre 2008, après plusieurs heures de présence policière et d’un rassemblement de soutien, les forces de l’ordre sont entrées et ont arrêté les occupants.

Pourtant, cette maison étant habitée depuis plus de 48 heures, les habitants avaient toutes les raisons d’y rester !

Quasiment neuve, elle était vide depuis 2 ans. Le propriétaire était mort ; c’est le Grand Lyon qui l’a rachetée. Il n’y avait que la poussière de gênant, l’eau et l’électricité fonctionnant parfaitement. Ajouté à cela, une cave, un jardin d’hiver, un petit jardin et un grenier…

Vers 13h, la police a tenté d’entrer. Les renforts sont vite arrivés. BAC, flash-ball, RG, matraques, lacrymo et une caméra. Les premières personnes venues en soutien sur le lieu se sont faites contrôler leur identité. Le représentant du Grand Lyon est rapidement arrivé aussi, avec ses « équipes de sécurité ».

Les premières communications avec la police tournent court, ils n’acceptent pas la lettre sur laquelle figure la preuve d’arrivée de plus de 48 heures (date au cachet de la poste). Il faut savoir qu’il ne peut y avoir d’expulsions sans décisions du tribunal d’instance lorsque la plainte est nominative (cf. brochure « Le squat de A à Z »), il leur fallait donc un témoignage relatant la présence des occupants depuis plus de 48 heures.

Vers 16h, les policiers décident de briser les chaînes du portail et se préparent à entrer lorsqu’un témoin les interpelle pour leur faire savoir qu’il a vu du mouvement dans la maison déjà le mercredi 16 septembre. Ceux-ci répondent que si c’est bien le cas, il faut qu’il se présente au commissariat et fasse enregistrer sa déposition pour que le témoignage soit valide. Ils refusent de suspendre l’expulsion. En attendant, un policier filme les visages des personnes rassemblées, et on peut entendre certains uniformes chanter : « Sainte Ed(w-v)ige, jolie Ed(w-v)ige ». Les personnes présentes s’adressent au représentant du Grand Lyon, qui est informé des nouvelles preuves, donc de l’illégalité de l’expulsion : aucune réaction de sa part ; il dit qu’il n’a aucun pouvoir sur la situation.

Par la suite, un compromis est trouvé. Ils expulsent les occupants, mais les laissent repartir avec le rassemblement. L’idée est d’éviter une garde à vue (donc un prélèvement ADN). La responsable (commissaire ?) semble satisfaite et enthousiaste. Mais la suite se passe autrement. Après avoir essayé de défoncer les portes Sitex indéfonçables, ils ont fini par entrer, toujours accompagnés par le policier cameraman. Les personnes sortent alors que dehors un flic vise des habitants du quartier avec un flash-ball et que d’autres chiens de garde chantonnent le « chant des partisans » en se moquant. A ce moment, on apprend que les personnes partent en garde à vue. La responsable des flics : « Non, je ne reviens pas sur sur ma parole… c’est qu’on s’est mal compris ». Elle dit à ce moment-là que les personnes du rassemblement auraient dû faire descendre les occupants si elles voulaient repartir avec. La police les ayant délogés elle-même, elle se réserve le droit de les garder, évidemment sans en faire part au rassemblement ! On ne peut jamais se fier à une parole policière…

Le représentant du Grand Lyon est resté jusqu’à la fin, alors qu’il ne voulait reconnaître aucune responsabilité dans l’affaire (alors que propriétaire), il a refusé de divulguer son identité et nous a conseillé de « faire confiance à la police »…

http://rebellyon.info/article5489.html


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Grenoble: Quelques précisions sur l’expulsion illégale du squat de la rue de l’Ancien Champ de Mars

Non aux Expulsions et à la Répression des Squats!

Mercredi 17 septembre [2008], la maison du 3 rue de l’Ancien Champ de Mars est expulsée.

Cette maison, vide depuis près d’une dizaine d’années, était occupée depuis le jeudi 11 septembre par un groupe de personnes qui avaient décidé d’investir les lieux pour y habiter et pour en faire un espace d’activités non-marchandes. Déjà le dimanche, un goûter avait été organisé pour permettre aux ami-e-s et voisin-e-s de découvrir le lieu et rencontrer les habitant-e-s.

Encore une fois, avec cette expulsion, les aberrations de ce système apparaissent au grand jour. Est-il vraiment normal qu’autant de maisons soient vides, simples outils de spéculation financière, quand autant de personnes n’ont pas les moyens de s’offrir un logement décent? Read More

Angers: Le Slip est ouvert !

Mi-septembre 2008

Un nouveau squat politique est en train de naître à Angers. Le [Sli:p] a ouvert ses portes ce week-end au 26,5 rue Maillé.

***

Bonjour à tous et toutes,

Nous sommes vos nouveaux-elles voisin-e-s depuis le week end dernier, nous avons investi le 26,5 rue maillé. Cet espace, racheté par la mairie, était inoccupé depuis deux ans et demi. Dans le cadre du « réaménagement » du quartier, il est destiné à la destruction.

C’est parce que nous pensons que l’espace appartient à ceux/celles qui le font vivre, que nous nous sommes rencontré-e-s autour d’une envie commune de se réapproprier cette maison. Nous considérons que la spéculation immobilière morcelle l’espace, institue des rapports de pouvoir entre propriétaires et locataires, et participe dà (1) l’individualisation des modes de vie.
Investir ce lieu, c’est aussi marquer nos désaccords avec le réaménagement de ce quartier qui conduit à l’éloignement des plus précaires du centre ville.
Et puis au quotidien nous essayons de créer et de vivre des expériences fortes, enthousiasmantes et enrichissantes (car quoi qu’on en dise, le slip est excitant). Read More

Grenoble: Expulsion « illégale » d’un nouveau squat, rue de l’Ancien Champ de Mars

Aujourd’hui, mercredi 17 septembre 2008, aux alentours de 13h30 / 14h, les flics ont déboulé en force dans la petite rue de l’Ancien Champ de Mars, située entre le cours Berriat et l’avenue Alsace-Lorraine.

Dans cette petite rue, se trouvait depuis environ cinq jours un squat, dans une belle maison abandonnée depuis au moins dix ans. Read More

Nantes: Expulsion du squat de Doulon

Mercredi 17 septembre 2008 au matin, le squat de Doulon, à Nantes, a été expulsé. On n’a pas beaucoup plus d’info pour l’instant.

Il y a un article en ligne sur Indymedia-Nantes qui sera peut-être complété par la suite :
https://nantes.indymedia.org/article/14903

k.

Caen: Programme des activités du Pavillon Noir, septembre 2008

VENDREDI 19 SEPTEMBRE, 20H30
PROJECTION/DEBAT AUTOUR DE « LA BOMBE »

Docu-Fiction de Peter Watkins – années 1960 – « La bombe » dresse un tableau terrifiant des conséquences qu’aurait une guerre nucléaire.

SAMEDI 20 SEPTEMBRE
ATELIER « CONFECTION ARTISANALE DE SAVON »

VENDREDI 26 SEPTEMBRE
PROJECTION/DEBAT AUTOUR DE « LA DIALECTIQUE PEUT ELLE CASSER DES BRIQUES? »

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Besançon: Canot se jette à l’eau, embarquez avec nous

Nous sommes un collectif composé d’individus de tous horizons et unis par la même volonté de créer un lieu de vie et de culture alternatif. C’est avec plaisir que nous vous annonçons l’ouverture d’un nouvel espace de vie autogéré, d’expression libre, d’émancipation privilégiant des rapports de solidarité, d’entraide et de partage des savoirs.

L’ancienne cité universitaire Canot, d’une superficie de 7000 m2, était laissée ouverte et à l’abandon depuis juillet 2007 ; pourtant ce lieu n’est pas insalubre et ne menace pas de s’effondrer. Alors que de plus en plus de personnes rencontrent des problèmes de logement, des centaines de bâtiments restent vides et sont laissés à l’abandon, profitant ainsi à la spéculation immobilière. Aucun projet de rénovation n’est en cours puisque le CROUS n’a nullement l’utilité de ce bâtiment. Read More

Besançon: Ouverture d’un nouveau squat du côté de l’ancienne cité universitaire « Canot »

COMMUNIQUE POUR LE SQUAT CANOT

Ancienne cité universitaire, Canot est désaffectée depuis plus d’un an, avec un projet de rénovation qui ne verra pas le jour avant au moins 2012. Read More

Parution du nouveau numéro de « Cette Semaine »

Le nouveau « Cette Semaine » est prêt depuis un mois et son sommaire est fort intéressant: de nombreux textes sur l’opération « anti-terroriste » menée par l’Etat contre l’invention « MAAF » (« mouvance anarcho-autonome francilienne ») et, concernant les squats, un petit dossier « restructurations urbaines » (des textes de Marseille, de Lyon et des Cévennes) et des textes issus de squats de Marseille et des Cévennes encore, ainsi qu’un compte-rendu critique du livre « Parisquat« , dont l’annonce de parution est passée sur squat.net il y a quelques mois.
Et l’on peut dire que la critique émise dans « Cette Semaine » a son utilité tant le discours qui suinte du bouquin « Parisquat » transpire la défaite et la résignation.
Bref, lisez donc ce nouveau numéro de « Cette Semaine » ! Hop: Read More

Ontario: Quelques voix du Wood Squat de Guelph

Anonyme, samedi 30 août 2008

Le Wood Squat de Guelph, en Ontario est le squat d’une portion d’un parc public. Quoi que puissent en penser les fonctionnaires du gouvernement, si le terme « développement durable » existe vraiment, c’est probablement dans un habitat de ce genre. Les gens qui y squattent ont cultivé un grand jardin, ont installé des bâches pour s’abriter et ont même transformé un vélo pour qu’il produise des smoothies. Récemment, ils et elles ont entrepris de construire des fondations de béton avec de la paille pour pouvoir y habiter durant l’hiver. Read More

Marseille: « Mad(e) in squat » le 5 septembre 2008 à l’Equitable Café

Info trouvée sur le site de Mille Babords:
http://www.millebabords.org/spip.php?article9022

Le vendredi 5 septembre 2008
20h30 à l’Équitable Café, 27 rue de la Loubière, 13006 Marseille
Projection-débat
« Mad(e) in squat »
Organisé par l’Équitable Café et le Kollectif Kokunka

« Patchwork décousu d’écrits d’Aït Djafer, Molière, Sartre, Coluche (et bien d’autres), ainsi que d’anonymes d’un journal de bord ayant tourné dans des squats autonomes (le « Livre Rouge »), le flim de fiction « Mad(e) in Squat » vous propose de suivre les péripéties quotidiennes de son équipe de bras cassés. »

Flim du Kollectif Kokunka, écrits cousus par Véronique Fallot et Sophistik, réalisé par Ioan Haug, avec la participation d’autochtones de différents quartiers de Marseille.

Débat : On s’essaiera sur un paradoxe : « l’enfermement dans lequel peuvent se trouver des personnes prônant pourtant l’ouverture et la liberté. L’humain face à lui même… ou le ch’suis libre alors ta gueule !!! »

04 91 48 06 62

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