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Burn all flags !
  • A tous les enfermés dans le confinement…

    21 avril 2020

    En ces temps où l’inquiétude se généralise, sous la forme insaisissable de cette pandémie gérée en désordre par un Etat qui cherche à nous exploiter autant qu’il peut jusqu’au-delà du raisonnable,

  • Covid-19 : Passage en revue des transformations rapides d’une justice qui se prétend « au ralenti »

    21 avril 2020

    La justice française est « au ralenti » depuis le début de la pandémie et des mesures d’état d’urgence sanitaire prises à son égard, nous répète la presse nationale… Alors examinons ce que ce « ralentissement » signifie pour ceux et celles qui nous intéressent, c’est-à-dire que la justice arrête, condamne et emprisonne.

  • La situation ne saurait être plus triste

    Par Luigi Bertoni (octobre 1914) 21 avril 2020

    La situation ne saurait être plus triste et il ne servirait à rien de se le dissimuler. La guerre, en déchaînant les pires instincts de la bête humaine, refoule brutalement toute noble préoccupation, tout idéal élevé. Les foules aveuglées sont entraînées à prendre parti et ne voient plus l’ennemi, là où il est réellement, dans la classe qui exploite leur travail, mais croient le voir dans toute la population, sans distinction, d’un autre pays à la langue différente. Les esclaves se solidarisent avec leurs (…)

  • Pandémie, autorité et liberté

    Une page régulièrement mise à jour sur la situation actuelle 10 avril 2020

    Voici quelques remarques préalables à la publication et à la lecture de contenus sur notre site en temps de confinement et de pandémie, ainsi qu’une liste mise à jour des articles publiés.

  • L’homme qui va bientôt mourir

    Par Stig Dagerman (1955) 10 avril 2020

    L’homme qui va bientôt mourir fixe de ses yeux sagaces ce ciel qui renferme tout, aussi bien des pierres en train de voler qu’un oiseau en train de tomber. Il aperçoit Dieu ployant sous le joug des étoiles. Mais Dieu ne peut plus le forcer à se tenir droit. Sa main a mis trop longtemps à atteindre ce front. Lorsqu’elle y est enfin parvenue, il était froid comme un poisson. L’homme qui va bientôt mourir demande au monde : que me donneras-tu si je reviens sur ma décision ? Il connaît bien la réponse : une rose, un réveille-matin ou bien une cocktail-party. S’il ne s’en contente pas, on le traitera d’ingrat.

  • Psychiatrie : « Avec le confinement, on revient à quelque chose d’asilaire »

    10 avril 2020

    Comment se déroule le confinement pour des patients bien souvent déjà enfermés ? En psychiatrie, l’épidémie de Covid a réduit les espaces de liberté des malades et révèle crument les différences de pratiques selon les établissements.

  • Priso-corps

    10 avril 2020

    Une prise au corps. Voilà ce que ça me fait. La peur d’abord. Une peur terrible, corporelle, comme un étau sur le cœur, de refiler ce truc à ma grand-mère avec qui je vis. De la contagier. De la tuer. Ce truc que je ne vois pas, que je ne comprends pas, qui est partout et nulle part. Comment vivre ensemble sans contact ? Je n’ai jamais eu les mains aussi propres mais le savon n’enlève pas la peur.

  • Conseils aux mouchards

    Dans Le Père Peinard (1898) 4 avril 2020

    Tous les marloupiers qui, pour quelques pièces de cent sous, remuent la casserole et dégringolent dans la mouchardise devraient bien ruminer l’histoire suivante.

  • Contre toutes les prisons : Avec ou sans épidémie, liberté pour tous et toutes !

    1er avril 2020

    Alors que les prisonnier-ere-s se révoltent, nous sommes confiné.e.s, sommé.e.s de déclarer chaque déplacement. Ecrire sur ce qu’il se passe à l’intérieur des taules et sortir pour tenter de l’afficher dans la rue, est une des possibilités pour exprimer notre solidarité avec les révolté.e.s et essayer de rompre avec notre propre isolement !

  • Appel à la grève des loyers

    Le refus de paiement des loyers d’avril marquera le début de cette grève 1er avril 2020

    La proposition d’une grève des loyers se propage depuis quelques jours, parallèlement au coronavirus, en réaction à la crise politique, économique et surtout sociale qu’il provoque, qui vient s’ajouter à ladite « crise sanitaire » qui dure depuis quelque temps.

  • Y a t’il une vie avant la mort ?

    1er avril 2020

    On espère bien qu’il n’y aura pas de retour à la normale. L’avant Covid 19 ne faisait pas rêver, et ce que prépare le pouvoir pour l’« après » est glaçant : mobilisation pour le rétablissement de l’économie du pays à coups de restrictions budgétaires, « d’effort national » et de mise au travail forcé.

  • L’abject « Monologue du Virus »

    1er avril 2020

    « Le monologue du virus », publié sur lundimatin a déjà beaucoup circulé. Ce texte nous invite à accueillir le coronavirus comme le Messie venant nous sortir de notre servitude volontaire et de notre apathie quotidienne. Mais dans ce monologue abject, il est oublié (ou dénié) que tout le monde n’a pas le luxe de se demander s’il faut concevoir le temps de la pandémie comme des vacances ou bien comme l’occasion de cultiver son jardin et l’art de se saluer.

  • Toulouse : On ne paie plus !

    1er avril 2020

    La campagne internationale pour ne plus payer s’installe à Toulouse ! Tandis que nous galérons, l’Etat et les propriétaires continuent à s’enrichir sur nos fatigues. Quitte à être en temps de crise, autant qu’eux et elles aussi la payent ! Ne plus payer son loyer, non seulement parce que c’est désormais mathématiquement impossible, mais aussi parce qu’on peut se demander pourquoi payer pour avoir l’autorisation de se loger ?

  • Fermeture temporaire des Fleurs Arctiques et bribes de réflexions sur la situation en cours

    1er avril 2020

    Quels vont être les dégâts sur nous les humains, nos psychismes, nos corps, notre désir de liberté, notre capacité à l’insurrection ? Les réflexions autour de ces questions, ne pourront venir que plus tard, elles seront pour sûr difficiles mais ne feront qu’accentuer l’espoir de la possibilité d’un dépassement de ce monde de merde.

  • Grève des loyers à Montréal à partir du 1er avril 2020

    1er avril 2020

    Les pauvres, les sans-emploi, les précaires, les sans-papiers, les travailleur.ses à contrats et autres travailleur.ses — nous tous et toutes qui joignons les deux bouts un mois à la fois — nous ne serons pas en mesure de payer notre loyer ce 1er avril. Beaucoup d’entre nous avions déjà de la difficulté à payer le loyer avant que cette crise ne frappe, et accumulons probablement déjà du retard. Dans une perspective d’action directe et de solidarité sociale, TOUTES ET TOUS les locataires peuvent refuser de payer leur loyer ce 1er avril.

  • Le pire des virus… l’autorité

    1er avril 2020

    Le décompte macabre des décès augmente de jour en jour, et dans l’imaginaire de chacun prend place la sensation, d’abord vague puis toujours un peu plus forte, d’être toujours plus menacé par la Grande Faucheuse. Pour des centaines de millions d’êtres humains, cet imaginaire n’est certainement pas nouveau, celui de la mort qui peut s’abattre sur n’importe qui, n’importe quand. Il suffit de penser aux damnés de la terre sacrifiés quotidiennement sur l’autel du pouvoir et du profit : ceux et celles qui (…)

  • Paris : Contre les frontières, leurs prisons et le monde qui les produit

    10 mars 2020

    Discussion proposée par des participants à la bibliothèque des Fleurs Arctiques et au journal De Passage, le samedi 14 mars à 19h aux Fleurs Arctiques (Paris).

  • Émeute et massacre à la prison de Modène suite aux mesures de confinement liées au Covid-19

    10 mars 2020

    Les prisonniers italiens se défendent actuellement contre la suppression des parloirs décidée par l’administration. Selon les informations récoltées – qui ne sont surement pas complètes, il y a eu des mutineries dans vingt établissements pénitentiaires, huit prisonniers sont morts et au moins cinquante prisonniers italiens se sont évadés. Nous traduisons un témoignage, recueilli par le site Round Robin, à propos des révoltes de la prison de Modène.

  • Les camps sous le ciel

    10 mars 2020

    Le droit est un immense dispositif qui crée l’exclusion, qui se fonde sur l’exclusion, et pourtant contre toute sorte d’exclusion le chœur de la protestation ne fait que demander des droits, espérant que le ciel du Droit s’étende à des terres toujours nouvelles. La démocratie est précisément conçue comme cette conquête progressive de nouveaux espaces. C’est pour cela que celle-ci n’est pas seulement défendue, mais aussi exportée. Le ciel de la reconnaissance juridique doit chaque jour couvrir de plus en plus les possibilités et les aspirations des individus. Un individu qui détient des droits est un citoyen, c’est-à-dire un être qui a droit à la citoyenneté dans la Cité démocratique.

  • Pourquoi l’Appel est une impasse – Compte rendu d’un groupe de lecture impossible

    3 mars 2020

    Dans le cadre du groupe de lecture proposé par la bibliothèque Les Fleurs arctiques, nous avions prévu une lecture collective et commentée de l’Appel. Nous voici donc une dizaine d’âges et d’expériences divers, prêts à échanger autour de ce texte, comme nous le faisons de façon hebdomadaire autour de textes d’intérêt et de facture très divers depuis maintenant plusieurs années. Il nous faut peu de temps pour nous rendre compte que d’une part nous tournons en rond tellement ce qu’il y a à dire de ce texte est avant tout une affaire de forme, qui reste au fond toujours la même, et d’autre part nous percevons à quel point prendre au sérieux ce texte comme nous avons l’habitude de le faire pour d’autres, c’est déjà s’y soumettre, puisque c’est avant tout un texte qui asservit, qui enrôle, qui embrigade. Pour le reste, bien peu à se mettre sous la dent. Alors nous mettons fin à l’expérience, et, pour la première fois, un projet de lecture tourne court, et voici le comment du pourquoi de ce groupe de lecture impossible.

  • Paysage d’hiver

    Par Octave Mirbeau (1921) 2 mars 2020

    L’autre jour, j’étais invité à une partie de chasse. Je ne suis pas chasseur, je suis même ce qu’on pourrait appeler un antichasseur. Mais je résolus, néanmoins, d’accepter cette invitation et de m’y rendre avec ma canne.

  • God does not exist

    1er mars 2020

    All religions, with their gods, their demigods, and their prophets, their messiahs and their saints, were created by the credulous fancy of men who had not attained the full development and full possession of their faculties.

  • Le SNU, ça pue

    1er mars 2020

    Le gouvernement envoie sa fanfare et ses clairons : « La promotion des valeurs républicaines et l’éducation à la citoyenneté, dans le cadre d’une expérience de la vie collective, sont au cœur des finalités du séjour de cohésion. À cette fin, la journée débute par un moment organisé autour des symboles de la République, en particulier le lever des couleurs et le chant de l’hymne national. La participation de l’ensemble des cadres, du personnel et des volontaires à ces temps collectifs est obligatoire. Le port (…)

  • « Ce n’est pas à la faillite qu’il faut souscrire, mais à la liquidation »

    Par Georges Herzig (14 novembre 1914) 25 février 2020

    Ce n’est pas à la faillite qu’il faut souscrire, mais à la liquidation, quand les prolétaires seront revenus de leur folie patriotique et de leur adhésion à toutes les œuvres nationalistes et bourgeoises.

  • 2020 : Pour un combat antimilitariste sans merci

    25 février 2020

    Pas un homme, pas une arme pour l’État. C’est ainsi que l’anarchiste Rudolf Rocker s’exprimait au congrès des travailleurs de l’industrie de l’armement à Erfurt en mars 1919. Une revendication qui est encore nécessaire aujourd’hui, étant donné les scènes de guerre qui existent aujourd’hui dans le monde. D’une part, en France, le culte de l’armée et de tout type de force armée continue d’être promu. Les jeunes sont endoctrinés dans le nationalisme, la soumission à l’État et l’admiration de l’armée ou de tout (…)

  • Contre le « milieu » et ses pratiques de keuf

    25 février 2020

    [Ce texte coup-de-gueule, à qui nous pardonnons volontiers sa rage et son ton tant ce qu’il expose est à la fois gravissime et désormais banal, est repris d’Indymedia Nantes, où sont régulièrement publiés des textes mettant en danger la sécurité individuelle et collective de camarades, compagnons et compagnonnes sous des prétextes idéologiques et dénonciateurs divers.]

  • Contre les lieux d’enfermement en France et ailleurs, attaquons Eiffage !

    25 février 2020

    90 jours de rétention maximale, 481 nouvelles places en CRA dans les prochaines années en France hexagonale : l’État s’emploie à enfermer, torturer et expulser de plus en plus d’étranger·ère·s. Et il ne lésine pas dans la guerre qu’il mène contre les personnes qui n’ont pas les bons papiers.

  • A relire en ce moment :

    Désertons la terreur sanitaire

    24 février 2020

    L’épidémie de grippe A est la nouvelle menace avec laquelle l’Etat et ses maîtres entreprennent de nous terroriser. Face à ce péril indiscutable, puisque décrété par l’autorité de « la science », nous sommes invités à participer corps et âme à l’effort de guerre sanitaire. L’unanimité est exigée, s’y soustraire ne serait qu’une faute morale ou une preuve de manque d’instruction. La réalité des conflits sociaux disparaît opportunément derrière cette fausse union et derrière le conflit factice qui en découle entre ceux qui sont « pour » et ceux qui sont « contre » le vaccin. Ce spectacle mobilise nos affects – la frustration, le ressentiment, l’angoisse – et les autorise à se décharger d’une manière valorisante et inoffensive pour l’ordre social qui les fait naître : contre un ennemi chimérique, contre ceux de nos concitoyens qui se font ses complices en refusant de se soumettre à la bienveillante protection du gouvernement et de l’industrie, ou tout aussi bien contre quelques méchants gouvernants et patrons – cela revient au même si l’on se laisse emporter dans la panique et si l’on ne voit pas la continuité politique derrière cette campagne.

  • Le concombre fugitif

    Par Octave Mirbeau (1921) 19 février 2020

    Je vous dirai que j’aime les fleurs d’une passion presque monomaniaque. Les fleurs me sont des amies « silencieuses et violentes », et fidèles. Et toute joie me vient d’elles. Mais je n’aime pas les fleurs bêtes, car si blasphématoire que cela paraisse, il y a des fleurs bêtes, ou plutôt des fleurs, des pauvres fleurs à qui les horticulteurs ont communiqué leur bêtise contagieuse. Tels les bégonias, dont on fait, dans les jardins, aujourd’hui, un si douloureux étalage. Au point que toute autre fleur en (…)

  • La création du Soleil — Une légende indienne

    Par B. Traven 17 février 2020

    Les hommes vivaient en paix sur la Terre et ils étaient heureux. Ils jouissaient du Soleil, qui leur offrait la lumière et la chaleur, donnait leurs fruits à leurs champs, leur parfum et leurs belles couleurs aux fleurs, conférait aux arbres leur toit ombrageux de vertes frondaisons, et aux oiseaux du ciel l’envie de chanter leur allégresse.

  • L’Appel constant du nationalisme

    Par Fredy Perlman (1984) 7 février 2020

    Au cours de ce siècle, la mort du nationalisme a été proclamée à de nombreuses reprises : Après la Première guerre mondiale, lorsque les derniers empires d’Europe — autrichien et turc — ont été morcelés en nations autodéterminées et qu’il ne restait plus de nationalistes dépossédés, à l’exception des sionistes ; Après le coup d’État bolchevique, quand on a dit que les luttes de la bourgeoisie pour son autodétermination étaient dorénavant supplantées par les luttes des travailleurs, qui eux n’avaient pas de patrie (…)

  • Faire violence ?

    Par Maria Desmers (Février 2020) 6 février 2020

    Toutes les violences ne se valent pas, mais toutes les pacifications sont des entreprises de domination et de maintien de l’ordre, que nous subissons et dont nous payons le prix. Et nous savons bien que tout ce qui se fera pour s’y opposer s’appellera « violence ».

  • Oubli de principes

    Par Errico Malatesta (novembre 1914) 5 février 2020

    Au risque de passer pour un esprit simpliste, je dois avouer que je n’aurais jamais cru possible que des socialistes — même des social-démocrates — puissent applaudir et participer volontairement, soit à côté des Allemands, soit à côté des alliés, à une guerre comme celle qui ravage actuellement l’Europe. Mais que dire lorsque cette attitude est adoptée même par des anarchistes, peu nombreux il est vrai, mais au nombre desquels se trouvent des camarades que nous aimons et respectons profondément.

  • A propos de la Nomenklatura et de Hô chi Minh

    Par Ngô Van (1998) 3 février 2020

    Au Viêt nam, la nomenklatura compte, à Hanoi environ 10 000 membres haut placés dans les services civils et 3 000 dans l’armée et la police. À Saïgon, environ 4 000. Dans l’ensemble du pays, des villes au plus profond des campagnes, à tous les échelons de la pyramide du pouvoir, environ 50 000 familles de privilégiés dominent une population de 75 millions d’habitants. Il existe des organismes spéciaux qui organisent le service de ces nouveaux potentats des villes et des provinces.

  • Juré craché

    Par Abdel-Hafed Benotman (1993) 3 février 2020

    J’aurai bien voulu arriver dans le box des assises avec un costume décent mais ma garde-robe ne savait pas compter jusqu’à trente et un. C’est avec ma panoplie d’enfant sage, trouée par l’arrestation et recousue à la diable, que je posai mon cul sur le banc d’infamie. J’avais trois jours de procès, trois jours assis sur le bois à furoncle.


  • « Les comportements violents seront sévèrement réprimés »

    1er février

    LA violence, ça ne veut pas dire grand chose. On y est évidemment favorable, surtout face à l’Etat et au pacifisme démocratique, par exemple. Mais « LA violence », c’est aussi un concept – qui simplifie, accuse et pacifie – utilisé par le pouvoir pour décrire sans les comprendre les révoltes et explosions humaines. Débuter un cycle sur la violence implique alors de faire un premier pas de côté par rapport à cette notion même de « violence », de réfléchir aux usages et fonctions de ce terme.

  • La police a encore tué à Toulouse

    28 janvier

    Le torchon local nous confirme ce 25 janvier qu’un corps retrouvé dans la Garonne est celui d’un jeune disparu depuis 2 mois, qui avait sauté à l’eau en voulant échapper à la police.

  • A propos de l’enfumage du retrait de la grenade GLI F4 du matériel policier

    28 janvier

    La GLI F4, utilisée depuis les années 1980, a arraché des mains de plusieurs personnes depuis 2001 (Edouard Walczak, Mickaël Cueff, Gabriel P., Ayhan P, Antoine Boudinet, Frédéric Roy, Sébastien Maillet, sans compter tout-tes celles et ceux qui ont perdu des morceaux de pieds où reçu de multiples éclats qui resteront dans leurs corps définitivement).

  • Australie : L’apocalypse alimentée par la course aux profits

    28 janvier

    Certains pompiers signalent des flammes de 150 mètres de haut. Relisez ça, lentement. Des flammes de 150 mètres de haut. Plus hautes qu’un immeuble de 40 étages.

  • Quelques affiches contre le SNU et l’armée

    27 janvier

    Quelques affiches détournées contre le service national universel (SNU), le nouveau service militaire, au format pdf directement imprimable et réappropriable. Les sélections pour la seconde session de la phase test commenceront en janvier, commençons des à présent à produire et répandre les moyens de l’insoumission.

  • Le mort saisit le vif

    26 janvier

    Ô vivants ! Au moment où nombre de lycéens choisissent de prendre part à la dernière vague de lutte, nous nous en tenons à nos ancestrales habitudes : l’institutionnaliser, la mener assurément à la défaite. C’est pourquoi, jetant nos dernières forces dans une bataille que nous voulons perdue par avance, nous nous bornons à ne porter que des revendications partielles et défensives, en lieu et place d’une critique radicale de la totalité sociale, dans laquelle les réformes en cours n’ont guère plus de (…)

  • SNU : La militarisation de nos vies

    26 janvier

    Cela fait plusieurs années que la jeunesse a été débarrassée du service militaire, mais cela n’a pas mis fin à la présence de l’armée dans nos existences. Depuis quelques années, les assassins en kaki essayent de nouveau d’étendre leur contrôle. C’est ces campagnes de recrutement incitant les plus pauvres à aller mourir au loin pour le service d’exploiteurs, ce sont ces stages de team building dans les casernes mais c’est aussi le Service National Universel (SNU).

  • L’enfermement, ça rapporte à SOS !

    25 janvier

    L’enfermement est un business juteux. En particulier pour le groupe SOS, conglomerat d’association, leader européen de l’économie sociale et solidaire, qui gère des prisons pour mineur·e·s, qui collabore à l’enfermement des étranger·e·s et qui est acteur dans les programmes anti-radicalisation de l’Etat via son association membre Artemis. Derrière une vitrine humanitaire et sociale, ces interventions sont simplement une manière de participer et profiter d’un système d’exploitation et de domination.

  • La bête insaisissable

    25 janvier

    A force d’être traqué, l’animal devient féroce.
    Il s’aperçoit à quel point le prétendue vivre-ensemble est une expression ridicule du fétiche étatique, et combien derrière tout ça, la vieille substance répressive de la domination reste intacte, celle de l’absolutisme indiscutable, car sûr de sa force.

  • Qui sont les collabos associatifs du SNU ?

    24 janvier

    Le 4 juin 2019, une convention de partenariat pour le SNU (service national universel) était signée par une vingtaine d’associations et Attal, secrétaire d’état auprès du ministre de l’Education Nationale. Certaines de ces associations s’illustrent déja pour leurs rôles dans la machine à expulser les sans-papiers (comme la Croix-Rouge et l’Ordre de Malte).

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