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Le 31 mars sera le moment de lancer un ultime avertissement au gouvernement libéral : s’il ne fait pas marche arrière sur son projet de hausser les frais de scolarité, les étudiantes et les étudiants déclencheront un mouvement d’opposition généralisé.
Parce que nos frais de scolarité ne cessent d’augmenter ;
Parce que l’accessibilité aux études est attaquée de toute part ;
Parce que l’éducation est un droit et non un privilège ;
Parce que le gouvernement a lancé une attaque sans précédent contre l’ensemble de nos services publics ;
Parce que d’autres alternatives existent !
Manifestons le 31 mars !
Jeudi, 31 mars 2011
13h00
Rendez-vous devant le Centre de Commerce Mondial
747, rue du Square-Victoria, Montréal (métro Square-Victoria)
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MONTRÉAL, le 27 sept. /CNW Telbec/ - L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) se scandalise de la décision du congrès du Parti libéral du Québec (PLQ) d’instaurer des frais de scolarité au collégial. "Cette mesure des libéraux va avoir comme conséquence directe de nuire à l’accessibilité aux études", affirme Christian Pépin, porte-parole de l’ASSÉ.
"Contrairement à ce que dit le PLQ, le dégel des frais de scolarité nuit à l’accès aux études. Pour preuve, le récent dégel des frais de scolarité au niveau universitaire empêchera, selon une étude du gouvernement, 6000 étudiant-es d’aller sur les bancs d’écoles. Encore une fois, le gouvernement libéral poursuit une logique d’utilisateur-payeur néfaste pour les étudiant-es, leur faisant payer la note des dérives du système économique mis de l’avant par ce même gouvernement", s’indigne le porte-parole de l’ASSÉ.
L’ASSÉ tient de plus à rappeler qu’il existe actuellement des frais administratifs dit "champignons" au Québec, qui sont une façon déguisée pour les administrations de tout de même percevoir des frais de la part des étudiant-es. L’ASSÉ se positionne contre ce type de frais, dans le but d’instaurer une réelle gratuité scolaire au niveau collégial au Québec.
"La tarification des services publics n’est pas la solution à la récession actuelle au Québec. Que se soit des hausses de tarifs en éducation, au niveau d’Hydro-Québec, ou plus tard au niveau des garderies et de la santé, notre réponse est la même : non à toute hausse de tarifs !", rétorque Christian Pépin. "Dans un contexte de crise économique, la classe moins aisée a au contraire besoin d’avoir accès aux services essentiels. Le gouvernement devrait plutôt, entre autre, proposer des solutions pour contrer l’évasion fiscale, et instaurer une imposition plus progressive au Québec", propose-t-il.
Seule association étudiante nationale comprenant des membres de tous les cycles d’enseignement supérieur confondus, l’ASSÉ regroupe actuellement plus de 40 000 membres à travers le Québec. Elle milite depuis sa création pour l’accessibilité à un système d’éducation gratuit, public et de qualité. Renseignements : Anne-Marie Provost, secrétaire aux communications pour l’ASSÉ, (514) 882-8726 ; Bureau de l’ASSÉ : (514) 390-0110 ; http://www.asse-solidarite.qc.ca/
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L’administration a d’abord prévu de changer le lieu du Conseil d’administration du 7 octobre vers l’Hôtel Hilton de Laval prétextant de faux problèmes techniques, ce qui a effectivement été fait hier. Puis, il s’agissait de fermer l’institution pour la journée du 8 octobre toujours et encore sous de faux motifs.
Elle le fait en ayant préalablement manigancé un quelconque problème de force majeur et ainsi, déjoue et ment délibérément à toute la communauté collégiale. Il est ici essentiel de se demander ce qui peut motiver, ce qui peut pousser ces gestionnaires à agir de cette façon.
La direction du cégep a eu peur que nous tenions un événement politique, libre et ouvert à tous et toutes permettant de discuter, d’échanger et de débattre sur les enjeux qui touchent et le mouvement étudiant et la jeunesse en général, en dépassant le cadre trop étroit de la politique qu’on nous présente lors des élections.
Aujourd’hui cette direction ferme le Cégep sous de faux prétextes en ayant au préalable manigancé un plan construit sur des mensonges.
L’Administration a d’abord déplacé la réunion du Conseil d’Administration du 7 octobre à l’Hôtel Hilton de Laval, en prétextant de graves problèmes techniques dans la Salle du Conseil (alors que celle-ci était parfaitement fonctionnelle). Aujourd’hui, elle continue à utiliser des mensonges pour justifier sa décision de fermer tout bonnement le Cégep en prétextant un quelconque cas de force majeure. La direction du Cégep ment délibérément aux étudiantes et étudiants et à toute la communauté collégiale.
Ce comportement hypocrite ne fait que témoigner de la mauvaise foi de la direction.
Malgré de nombreuses rencontres avec des étudiants organisateurs de l’événement, l’administration du Collège Lionel-Groulx sans raison justifiée a décidé de bafouer le droit à la liberté d’expression dans un établissement d’éducation et d’ouverture intellectuelle, l’administration a aujourd’hui fait le choix de fermer l’établissement.
Le comité organisateur du 8 octobre, dont la section locale est composé d’une dizaine d’étudiants et étudiantes du Collège souhaite tenir diverses activités de discussions, d’échanges et de débats sur des thématiques alternatives, dans le cadre du quarantième anniversaire des occupations d’octobre 68, qui avait débuté au Collège Lionel-Groulx. L’Association des Étudiants et Étudiantes du Collège Lionel-Groulx (AGEECLG) a appuyé l’événement, car elle y a vu une occasion pour les jeunes d’aujourd’hui de s’approprier la politique à leur manière, au-delà du contexte électoral, d’occuper politiquement c’est-à-dire par leur simple présence et les débats qui s’y feront, un espace libre et disponible dans une institution qui se veut publique.
L’Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante appuie l’Association générale des étudiants et étudiantes du Collège de Lionel-Groulx (AGEECLG) dans sa dénonciation de l’attitude répressive de la direction du Collège Lionel-Groulx
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Renseignements :
Porte-parole de l’Association générale des étudiants et étudiantes du Collège de Lionel-Groulx (AGEECLG) : (819) 660-1687
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La direction de l’UQO et la firme Laliberté en sont venus à une entente de résiliation du contrat de gestion de l’ensemble des services alimentaires de l’Université, qui sera effective le 31 décembre prochain.
Les étudiantes et étudiants impliqué-e-s dans le mouvement pour l’autogestion des café-bars se réjouissent de cette entente et espèrent que l’UQO répondra aussi à leur revendication d’attribuer la gestion du café-bar Taché, et possiblement celui de Brault, à une coopérative étudiante autogérée.
« C’est la preuve que le syndicalisme de combat et l’action directe sont des stratégies efficaces pour contrer l’ingérence du privé dans les services publics », affirme David Clément, porte-parole de l’Association étudiante du module des sciences sociales (AÉMSS).
Pour la reprise en main des café-bars, les étudiantes et étudiants ont lancé le processus de création d’une coopérative de solidarité, qui va bon train et qui sera en mesure de soumissionner afin d’obtenir la gestion légale des cafés-bars.
Selon la loi 32 sur l’accréditation et le financement des associations d’élèves, les associations étudiantes ont comme mandat de promouvoir les intérêts des étudiants et étudiantes. Toutefois, en bloquant l’accès de l’AGECD à son local et en empêchant les membres de l’association de passer librement sur le campus des journaux étudiants, l’administration du Cégep empêche l’AGECD de respecter son mandat. De plus, la loi 32 stipule que l’administration doit fournir gratuitement à l’AGECD un local. Aussi, quoique les étudiants et étudiantes de Drummondville sont actuellement membres de l’Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)* ceux-ci et celles-ci ne peuvent pas avoir accès au journal de leur syndicat étudiant.
Pendant l’été l’administration a entrepris des rénovations au Cégep dans les locaux de l’association étudiante, mais quoique la rentrée est commencée l’AGECD n’a toujours pas de locaux. La rentrée scolaire est le moment le plus important pour les associations étudiantes d’informer les étudiantes et étudiants de leurs droits. « Comment est-il possible pour une association d’être capable de répondre aux besoins des étudiants et étudiantes et de défendre leurs intérêts sans local et sans pouvoir se promener librement dans le Cégep avec des journaux étudiants » se questionne Éric Faucher porte-parole de l’AGECD. Si l’administration n’agit pas rapidement l’AGECD songe à intenter une injonction contre celle-ci.
L’ASSÉ dénonce l’attitude répressive de l’administration du Cégep de Drummondville qui brime le droit associatif, et la liberté d’expression dans les murs du Cégep. Pour construire une société plus juste, l’ASSÉ croit qu’il est primordial de commencer la lutte chez soi et de dénoncer la montée de l’autoritarisme et de la répression au Canada. Le sous-financement de l’éducation ne doit pas être un prétexte pour les instituons scolaires d’enlever l’espace nécessaire au bon déroulement de la démocratie étudiante.
L’ASSÉ invite la population à signifier son support à l’AGECD en exigeant à l’administration du Cégep d’offrir un local décent à l’AGECD et de lui permettre de distribuer tout le matériel d’information jugé pertinent par l’association. Vous pouvez le faire par télécopieur au numéro suivant (819) 474-6859 ou au coordonnés suivantes :
Direction générale
Téléphone : (819) 478-4671, poste téléphonique 206
Courriel : dg@cdrummond.qc.ca
Direction des études
Téléphone : (819) 478-4671, poste téléphonique 211
Courriel : de@cdrummond.qc.ca
* Seule association étudiante nationale comprenant des membres de tous les cycles d’enseignement supérieur confondus, l’ASSÉ regroupe actuellement plus de 42 000 membres dans les cégeps et les universités du Québec. Elle milite depuis sa création pour la gratuité scolaire à tous les niveaux.
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Renseignements :
Éric Faucher, porte-parole de l’AGECD
Pascal Chabot, Coordonnateur de l’ASSÉ : (514) 835-2444
Bureau de l’ASSÉ : (514) 390-0110
Site Internet : www.asse-solidarite.qc.ca
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Le Réseau Anarchiste en Milieu Étudiant (RAME) est né des conséquences
immédiates de la grève générale illimitée de l'hiver 2005. Sa mise à pied
s'est faite lors d'une rencontre du comité Libertad, collectif
anticapitaliste au sens large, au mois de juin 2005. Le but initial était
de regrouper certains anarchistes, tout en s'auto-excluant des divers
courants ''radicaux'' qui prennaient corps suite à la grève. Le RAME était
donc une conclusion de nos analyses et directions politiques suite à la
grève.
Le comité Libertad a lancé un appel à la formation d'un tel réseau lors de
l'été. Il fut globalement bien reçu, et c'est lors de cette période que
fut décidée le nom de l'organisation ainsi que les grandes orientations.
Lors des premières rencontres de fondation, l'optimisme était de mise :
beaucoup de militantEs provenaient de Montréal, mais aussi de Sherbrooke
et de Québec. L'idée de construire un grand réseau national au coeur du
mouvement étudiant prenait forme. Le RAME se voulait être un réseau de
groupes locaux, à l'image du comité Libertad, réseauté entre eux par le
biais de divers comités d'organisation (comité suivi, comité agit-prop) et
chapeauté par des assemblées générales locales et, instance suprême,
l'assemblée nationale. Il est important de souligner politiquement que le
RAME fut la deuxième organisation spécifiquement communiste libertaire à
voir le jour au Québec. Cette affirmation claire d'une tendance anarchiste
fut le fruit de longues discussions, parfois générant certaines
polémiques.
Dans sa première moitié d'existence, le RAME se concentra sur
l'élaboration d'un journal, appelé La Marmite. Celui-ci fut complété et
distribué à l'échelle du Québec, via de nombreux contacts, et même
jusqu'en Colombie-Britannique et en France, où des camarades nous
félicitaient pour cette initiative qu'ils et elles jugeaient inspirante.
Il est à noter qu'historiquement les jeunes anarchistes qui tentent de
s'organiser au sein ou autour du mouvement étudiant en mettant de l'avant
un processus organisationnel défini n'a pas été un franc succès dans les
dernières années, tout du moins sur la durée. Il reste peu, aujourd'hui,
de ''groupes de jeunes libertaires'' spécifiques - peut-être parce que la
plupart des différents groupes, collectifs ou organisations anarchistes
sont elles-mêmes constituées de jeunes.
Les différents groupes qui ont été proches ou ''membres'' du RAME ont été :
- Le comité Libertad (cégep du Vieux-Montréal)
- Le Comité d'Action Politique de l'UQÀM (CAP-UQÀM)
- Le Collectif Anarchiste du Cégep de Sherbrooke (CACS)
- Le Collectif Libertaire pour l'École Buissonnière de Québec (CLEB)
- Le Grassroots Association for Student Power (McGill)
- Le Front de Réflexion et d'Action contre le Capitalisme (FRAC-Maisonneuve)
- Le Groupe d'Action Sociopolitique et Environnementale du cégep de
Trois-Rivières (GASPE)
- Les ÉtudiantEs Libertaires de l'Ouest de Montréal (ELOM)
- Des individus du cégep de St-Laurent
- Des individus de l'Université de Montréal
Tous ces participantEs mis ensemble ont atteint des assemblées générales
nationales qui variaient entre 20 et un peu plus de 40 personnes (ce fut
le cas lors d'une assemblée à Québec). La Marmie ayant été produite, un
comité s'est assurée de sa distribution. Au même moment, l'effort était
constant sur la consolidation du réseau. Les réunions et les assemblées
étaient continuellement ralenties par des questions de structure. Une
combinaison d'indiscipline, de manque de temps et de priorité a fait en
sorte qu'au bout du compte, de sa naissance jusqu'à sa mort, le RAME
n'aura jamais réglé les questions de structure interne. Il est essentiel
de préciser que la plupart des militantEs actifs et actives l'étaient
aussi ailleurs, notamment dans leurs propres associations étudiantes. Un
dédoublement de tâches a rapidement vu le jour et s'est retrouvé être un
problème central au coeur de presque toutes nos discussions. Comment
consolider une organisation anarchiste en milieu étudiant tout en militant
au sein de l'exécutif de l'association étudiante locale ? Cette question
en pose d'autres, et c'est un débat important qui n'a pas été résolu.
Dans le courant de cette période, le RAME a fait un atelier sur
l'éducation à l'Université McGill, pour le compte du GRASPE, en plus
d'être présent dans les quelques manifestations anticapitalistes qui
eurent lieu à pareille date (notamment contre la présence canadienne en
Afghanistan et à plus large échelle contre la guerre impérialiste toujours
en cours). Quelques présences à des entrevues radios communautaires sont
aussi à souligner. Nous avons également mis en place un site web et un
forum d'organisation interne, en plus d'une liste d'envoi qui regroupait
92 personne, ce qui représentait un important bassin de contacts.
Lors de la deuxième moitié d'existence du RAME, c'est à dire à partir de
la toute fin de l'année 2006, deux campagnes furent mises sur pied. Malgré
que le réseau était (et fut toujours) chambranlant, notamment en ce qui
avait attrait à la séparation groupes/individus (réseau de groupes ou
réseau d'individus ?) le RAME plonge tête la première dans une campagne
anti-guerre, et une autre anti-élections, avec les camarades de la
Fédération des Communistes Libertaires du Nord-Est (NEFAC). On peut très
clairement dire que la campagne anti-guerre fut un échec. Le RAME a
participé avec d'autres groupes et collectifs à des actions, mais n'a rien
organisé sur ses propres bases, si ce n'est une action à la Fête des
Neiges de Montréal. Cette action ne fut plus clairement organisée par le
RAME, même si la plupart des militantEs montréalaisEs s'y sont retrouvés,
ainsi que des individus. Nous cherchions alors à entarter la mascotte de
l'armée canadienne présente à la Fête, ainsi qu'à déranger le camp de
l'armée sur les lieux. Ce fut partiellement réussi. Quand aux
participations aux manifestations, il faut quand même dire qu'en terme de
visibilité, le RAME eut un franc succès, surtout grâce à la présence dans
nos rangs du ''couturier révolutionnaire'' et sa fabrication d'une
multitude de drapeaux rouge et noir ainsi que d'une magnifique bannière.
La campagne contre les élections, quand à elle, fut un succès.
L'implication avec nos camarades de la NEFAC en est une résultante
logique, puisque les tâches ont été réparties convenablement, et qu'à
plusieurs personnes motivées, l'effort est là. Le résultat est clair : une
coalition (''Nous On Vote Pas !''), un site web, un journal en commun, de
la propagande, une affiche couleur, des autocollants, beaucoup de pages
dans les médias, des entrevues, une plainte du Directeur Général des
Élections, de nombreux commentaires sur notre adresse e-mail, des
débats...bref, un vrai succès ! Par la suite, la revue francophone de la
NEFAC, Ruptures, donnera une entrevue d'excellente facture avec 4
militantEs du RAME.
Une soirée discussion sur le communisme libertaire fut organisée, et
n'attira qu'une dizaine de personnes. C'est suite à cette campagne que les
choses se sont tout simplement arrêtées. Il y eut peu ou pas de réunions
par la suite, et on sentit rapidement une perte d'intérêt et de motivation
chez les plus actifs et actives. La dernière assemblée générale nationale
eut lieu le 6 mai 2007 au local de l'Organisation Populaire des Droits
Sociaux. La dernière apparation publique du RAME fut lors de l'assemblée
publique des libertaires pour la mouvement de grève étudiante, en août
2007. CertainEs se sont tout bonnement rapprochés de la NEFAC-Montréal
pour en devenir soit sympathisantEs, soit membres. D'autres continuent à
s'impliquer dans différents collectifs et groupes anticapitalistes ou de
justice sociale. CertainEs ont disparus.
Une deuxième Marmite a tout de même été produite par un petit groupe de
personne, sans que l'on puisse dire que celà c'est fait à l'intérieur de
la structure du réseau. Elle a vu le jour à l'automne 2007, et continue à
être distribuée.
Le Réseau Anarchiste en Milieu Étudiant a été, en définitive, une aventure
intéressante pour ses principaux acteurs et actrices. Malgré l'échec,
l'expérience d'une organisation sur une plus grande échelle s'est fait
ressentir, et si aujourd'hui une plus grande maturité politique a vu le
jour chez plusieurs, c' est une incidence directe de la grève générale
illimitée et de l'expérience du RAME, aussi minime soit-elle. CertainEs
militantEs ont pu faire le choix de leur implication, et il est possible
dorénavant de situer certains débats et certaines analyses avec une
réalité qui nous a été propre. Il est parfois bon de ne pas voir l'échec
là où il semble le plus manifeste.
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Le Blogue d’Information Politique du Collectif Local de Montréal, groupe membre de l'Union Communiste Libertaire (UCL), est un nouvel outil de la presse d’agitation montréalaise. La branche de Montréal aura donc, en plus du matériel de l'UCL et du journal Cause Commune, une présence sur le web. Cette nouvelle presse d’agitation nous permettra de réagir immédiatement à l’actualité, de pouvoir se positionner rapidement, de cracher nos coups de gueules autant à gauche qu’à droite, d’analyser l’actualité locale et internationale, de dénoncer, de revendiquer, de provoquer, de débattre et de diffuser le plus largement nos idées… Bref, un blogue d’agitation libertaire!
Le contexte politique étant de plus en plus moribond, il est plus que nécessaire d’agir sur tous les fronts et de tenter d’influencer et de radicaliser autant les mouvements sociaux et la gauche réformiste, que « Mr. et Mme tout le monde », nos voisins ainsi que nos collègues de travail. En tant que communistes libertaires, nous croyons qu’il existe une alternative politique radicale à la démocratie bourgeoise, à la droite sécuritaire et à l’extrême gauche autoritaire. Ce blogue nous permettra donc de continuer notre lutte pour une société libertaire, sans classes et sans État. La classe dominante et sa propagande néolibérale a maintenant un nouvel ennemi dans le maquis de l’information alternative. Nous ne ferons pas de quartier!! Nous en avons marre des compromis et des fausses alternatives, c’est pourquoi nous proclamons la Commune!
Restez branché-e-s, les communards montent aux barricades…