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dimanche, mars 25, 2012

Lisa LeBlanc : « tannée de chanter des chansons de fi-filles! »


Tiré de sa page facebook :

« Moi, Lisa LeBlanc, je joue du folk trash. Je suis une Acadienne qui roule ses « r », qui aime se moquer d'elle-même, qui écrit des textes sans trop de froufrous et qui est tannée de chanter des chansons de fi-filles! »

C'est en plein coeur de Rosaireville, son village natal de 40 habitants au Nouveau-Brunswick, à Granby, lors de sa formation à l'École nationale de la chanson, ainsi qu'à Montréal, où elle réside depuis maintenant un an, que Lisa LeBlanc a écrit l'ensemble des chansons qui composent son premier album en carrière. Réalisé par Louis-Jean Cormier (Karkwa) et enregistré au studio Piccolo, l'album sera disponible en mars prochain sur Bonsound Records!

L'acadienne, qui composait ses premiers textes cinq ans plus tôt, est originaire d'une famille de mélomanes assumés. Excellente guitariste et auteure-compositrice-interprète prometteuse, Lisa LeBlanc a partagé la scène avec plusieurs artistes déjà. Lauréate de la grande finale du prestigieux Festival international de la chanson de Granby en septembre 2010, cet honneur lui donne une importante visibilité auprès des médias francophones du pays. Elle a depuis participé à la dernière édition du Coup de coeur francophone, aux FrancoFolies de Montréal ainsi qu'au Festival d'été de Québec l'été dernier, pour ne nommer que ceux-ci. Véritable bête de scène qui accumule déjà plus de 200 spectacles aux quatre coins du pays, en France et en Suisse, cette jeune artiste de 21 ans sait comment s'y prendre pour faire lever une soirée et faire danser son public! Trimbalant toujours avec elle son énergie, sa joie de vivre, son charisme, sa sincérité et bien sûr, sa belle voix et sa musique, le but de Lisa LeBlanc est simple: chanter aussi souvent qu'elle le peut! Et ce, pour notre plus grand plaisir!

Et pourquoi je lui fais de la pub comme ça? Tout simplement parce que j'ai bien aimé ce que j'ai entendu d'elle jusqu'à maintenant et que j'ai hâte d'écouter l'album au complet! Allez, je vous laisse juger par vous-même...


À matin mon lit simple fait sûr de m’rappeller
Que j’dors dans un lit simple
Avec les springs qui m’enfoncent dans l’dos
Comme des connes
J’ai pu l’goût qu’on m’parle de conte de Disney
Le prince charmant c’t'un cave
Pis la princesse c’t'une grosse salope
Y’en aura pas d’facile

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

J’avais les genous mous pis toute
C’était la plus belle affaire du monde
On aurait pu être l’inspiration d’une toune de Céline Dion
Quand y’a vu l’autre fille
Qui était plus chicks que moi
Il l’a ramené chez eux drette devant mes yeux
Osti de gang de pas d’classe!

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

J’ferais attention à toi mon p’tit gars
Parce que mes chums de fille veulent te casser les jambes
J’f'rais attention à toi mon p’tit gars
Parce que mes chums de fille veulent te casser les jambes

J’ai l’air d’une grosse robineuse assis toute seule au bar
En bitchant toute la soirée à ceux qui ont le malheur de m’écouter
J’leur dis p’t'être que demain ça ira mieux 
mais aujourd’hui ma vie c’est d’la marde

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

dimanche, janvier 09, 2011

Un poème de Louise Michel

On est le 9 janvier 2011. Bien sûr, les dates et le temps tel que nous le concevons ne sont que des conventions sociales dont le rôle pourrait faire l'objet d'une critique, mais ce n'est pas le but de ce billet. Eh non, je vais plutôt profiter de cet étrange intérêt qu'on porte aux anniversaires en tous genres pour vous faire lire Louise Michel, décédée il y a exactement 106 ans, drette aujourd'hui.

Je pourrais raconter sa vie, mais vous n'avez qu'à fouiller un peu sur internet ou passer à la librairie anarchiste l'Insoumise - au 2033 St-Laurent - pour trouver un bouquin d'elle (ou à propos d'elle).

Je vais donc me contenter de vous partager un de ses poèmes, La nuit de la mort de Vaillant. S'agit d'Auguste Vaillant, anarchiste guillotiné en 1894 après avoir lancé une bombe à clous, deux mois plut tôt, dans la chambre des députés. Faut savoir que ce sont les belles (et brèves) années de la propagande par le fait, durant lesquelles quelques anarchistes pensaient que l'action individuelle directe suffirait à entraîner un soulèvement, par un effet boule de neige. Comme on le sait, c'est pas exactement comme ça que ça s'est passé... La répression qui a suivi a plutôt contribué à mettre sur le cul ce qu'il pouvait y avoir de mouvement anarchiste organisé. En dehors de périodes révolutionnaires, Vaillant est d'ailleurs le seul Français condamné à mort pour un crime n'ayant tué personne.
Dies irae, Dies illa
Solvet scelum in favilla.

Jamais ne viendra donc la fin?
Dorment-ils tous, les meurt-de-faim?
Jamais, jamais le dernier jour
Ne les jettera-t-il à leur tour
Dans les angoisses de la mort,
Ces bandits que la rage mord?

Toujours, esclaves et bourreaux,
Pâtiront-ils leurs échafauds?
Amis, dans l’ombre entendez-vous
Gronder la mer aux noirs remous?
Elle monte et les couvrira.
Dies irae, Dies illa...
Elle couvre, pourpre de sang,
L'Élysée et le Vatican.
Compagnons, arrachons nos cœurs,
Ne soyons plus que des vengeurs.

Passons, effrayants et maudits,
Afin que les maux soient finis.
Comblons l’abîme avec nos corps.
Amis, n’oubliez pas les morts...
La légende des temps nouveaux
Fleurira parmi les tombeaux.
C’est le destin ; le maître est dur.
C’est pourquoi le fer sera pur.

Dies irae, Dies illa,
Solvet scelum, in favina.
On dira ce qu'on voudra : les poètes d'aujourd'hui sont bien tranquilles.

jeudi, septembre 30, 2010

spectacle bénéfice pour l'OPDS

Il y aura un spectacle bénéfice à ne pas manquer le mercredi 6 octobre prochain!

En effet, Yvon Deschamps, Richard Déjardins, Paul Cagnello et Ève Cournoyer seront sur la scène du Club Soda pour aider l'OPDS a se remettre sur pied financièrement. Les artistes présents sont tous engagés dans la lutte pour la justice sociale et ils ont choisi de supporter l’OPDS dans sa difficile recherche de financement pour combler des années de déficit accumulé. Sans ce spectacle, l’OPDS est dans une précarité insoutenable.

C'est quoi l'OPDS? bien c'est un organisme à but non lucratif qui existe depuis plus de trente ans. Ils ont deux locaux de quartier dans Hochelaga-Maisonneuve et St-Michel et couvrent une grande partie de la région de Montréal et des environs. Ils luttent pour la défense des droits des familles et des personnes vivant en situation de pauvreté et d’exclusion.

« J’ai déjà été sur le bien-être. Je connais ça. Si Robert Bourassa était né dans le mauvais quartier, il aurait pu être sur le bien-être […] Il n’y a pas que les grosses compagnies qui font rouler le Québec, il y a aussi les associations de bénévoles et les groupements communautaires ». Richard Desjardins

« Ça prend une réforme en profondeur de toutes nos lois et de notre façon de penser. Il y a une grosse majorité de femmes et d’enfants sur l’aide sociale. […] Des fois j’entends du monde dire : « Je travaille et je les fais vivre ». À ceux-là, je réponds : « Si tu les trouves privilégiés, lâche ta job. Vas-y sur le bien-être. Ce monde-là ne sont pas là par choix ». » Yvon Deschamps

Malgré un prix rébarbatif, c'est une occasion à ne pas manquer!

mercredi, 6 octobre 2010 – Portes 19h et Spectacle 20h
Club Soda, 1255 boul. St-Laurent
50.06 $ + taxes et frais de services

mercredi, mai 05, 2010

Cinquième Festival International de théâtre anarchiste de Montréal


Pour sa cinquième édition, le Festival International de Théâtre Anarchiste de Montréal (FITAM) présente deux nuits de théâtres engagés en français et en anglais mardi 18 et mercredi 19 mai à la Sala Rossa, 4848 boul St-Laurent à 19h30.

Les billets sont disponibles au coût de 10 $ à la porte ou à la librairie anarchiste «L'Insoumise » située au 2033, boul St-Laurent (tel: 514- 313-3489).

Pas de réservations. Le programme est en bas.


Mardi 18 mai, Théâtre en français :


- LA DISEUSE QUELQU’UN par la Compagnie Monsieur Madame, avec Maylis Isabelle Bouffartigue (France);

- INSPIREE ET ASCENSEUR POUR LE PARADIS par le ParkerBoro Lab de Rita Parker et Fabio Fabbri (France);

- ET ON DANSERA SUR LES CENDRES par Le Théâtre du fil jaune (Montréal);

- IN-TERREUR-GATION par et avec Bruno Massé (Mtl);

- VOYAGE AU CLUB MED par Geneviève Fortin avec Emilie Monnet (Mtl);

- ORAISON par et avec Marie France Bancel (Mtl)



Wednesday May 19th, English language theatre:


- THE BOMB, A monologue of the Haymarket Riot (based on the Frank Harris novel), by Kevin Mullins and Kevin Kordis from Flat Earth Theatre (USA);


- WORDS OF A REVOLUTIONARY, based on the writings of Kaneko Fumiko, by Cecilia Copeland, with Jessica Rose (Montréal);

- RED RIDING HOOD & THE FREUDIAN EXPERIMENT, by Teatro Experimental del Zurdo (Mtl);


- THE RECESSION OF EVELYN GREY, by La Bouche (Mtl)



En 2009, le FITAM avait présenté au D.B. Clarke Theatre de l’Université Concordia, la troupe mondialement connue « The Living Theatre » de New York. Le FITAM fait partie du Festival de l’Anarchie précédant le Salon du Livre Anarchiste de Montréal, le 29 et 30 mai, 2010.




Pour connaître le programme complet cliquez sur

lundi, mars 22, 2010

Merci patron!

Si vous ne connaissez pas, ça manque à votre culture. Heureusement, dans trois minutes, ce sera réglé. Question de bien commencer une autre semaine : Merci Patron, des Charlots! Téléchargeable en mp3 par là : avec la compilation Pour en finir avec le travail.



Quand on arrive à l'usine
La gaieté nous illumine
L'idée de faire nos huit heures
Nous remplit tous de bonheur
D'humeur égale et joyeuse
Nous courrons vers la pointeuse
Le temps d'enfiler nos bleus
Et nous voilà tous heureux

Merci patron
Merci patron
Quel plaisir de travailler pour vous
On est heureux comme des fous
Merci patron
Merci patron
Ce que vous faîtes ici bas
Un jour Dieu vous le rendra

Quand on pense à tout l'argent
Qu'en fin de mois on vous prend
Nous avons tous un peu honte
D'être aussi près de nos comptes
Tout le monde à la maison
Vous adore avec passion
Vous êtes notre bonne ange
Et nous chantons vos louanges

Merci patron
Merci patron
Quel plaisir de travailler pour vous
On est heureux comme des fous
Merci patron
Merci patron
Ce que vous faîtes ici bas
Un jour Dieu vous le rendra

Mais en attendant ce jour
Pour vous prouver notre amour
Nous voulons tous vous offrir
Un peu de notre plaisir
Nous allons changer de rôle
Vous irez limer la tôle
Et nous nous occuperons
De vos ennuis de patron

Nous serons patron
Nous serons patron
A vous le plaisir de travailler pour nous
Vous serez heureux comme un fou
Nous serons patron
Nous serons patron
Ce que vous avez fait pour nous
Nous le referons pour vous...

dimanche, mars 14, 2010

Jean Ferrat nous quitte

Jean Ferrat, chanteur humaniste engagé, s'est éteint aujourd'hui à l'âge de 79 ans.

Si votre grand-mère se souvient les yeux dans l'eau de la chanson "La montagne", ode au terroir et à la France paysanne, peu de gens au Québec saisissent bien l'étendue de son engagement politique.

C'est en 1963 avec l'album "Nuit et brouillard", qui évoque la déportation, que sa carrière connait un vif succès. Les radios étaient pourtant dissuadées de diffuser la pièce titre.

Membre du parti communiste tout en prenant ses distances de l'URSS, il participe activement aux émeutes de 68. Lui et plusieurs camarades, dont Dominique Grange, chantent pour les ouvriers dans les usines en grève.

(Allez lire la suite sur Voix de faits)

mardi, mars 09, 2010

Contre-culture à vendre

Un court-métrage qui se penche sur la marchandisation du contre-culturel.

samedi, janvier 09, 2010

« Avatar » contre Cohn-Bendit : l'écologie doit être anticapitaliste

Lu sur Rue89, à propos du film Avatar. L'avez-vous vu?


Après l'échec du Copenhague institutionnel et la vivacité du Copenhague mouvementiste, on peut être tenté de se tourner vers la vitrine du marketing électoral d'Europe Ecologie. La bonne nouvelle ne viendrait-elle pas plutôt, et paradoxalement, d'un vieux routier de l'industrie hollywoodienne, James Cameron, avec son « Avatar » ?

En 1998, dans « Une envie de politique » (La Découverte), passé alors du statut d'icône soixante-huitarde à celui d'inspirateur d'un capitalisme vert, Daniel Cohn-Bendit écrivait ceci :
« Ce que la gauche doit donc faire valoir aujourd'hui, c'est que cette évolution a des aspects destructeurs, car la production menace de détruire la planète. Faire cette démonstration n'est pas facile, mais on peut le faire au nom même de l'économie de marché, car je suis pour le capitalisme et l'économie de marché. »
Pas le plus écolo, Marx pointait déjà la contradiction capital/nature

En se faisant le chantre d'un capitalisme chlorophyllisé et d'une écologie politique chloroformée, l'agité du bocage politicien a rejoint les rangs d'une défense consensuellement aseptisée de la nature : les Al Gore, Yann Arthus-Bertrand, Nicolas Hulot et autres Jean-Louis Borloo.
Marx, quelque peu fasciné par le productivisme industriel de son époque, n'était pas exempt d'ambiguïtés quant au rapport capitalisme/nature. Toutefois, il avait également commencé à percevoir une des contradictions principales travaillant le capitalisme en interaction avec la contradiction capital/travail : la contradiction capital/nature.

Ainsi, pour lui, la production capitaliste épuisait « les deux sources d'où jaillit toute richesse : la terre et le travailleur » (« Le Capital », livre I, 1867).


Pour Gorz, impossible d'éviter la catastrophe sans rupture radicale

André Gorz prolongea cette analyse en notre début de XXIe siècle : « La question de la sortie du capitalisme n'a jamais été plus actuelle », écrit-il dans « Ecologica » (éd. Galilée, 1998). Et d'ajouter par avance contre une possible cohn-benditsation de la radicalité écologiste :
« Il est impossible d'éviter une catastrophe climatique sans rompre radicalement avec les méthodes et la logique économique qui y mènent depuis cent cinquante ans. »
C'est dans une telle perspective que s'est récemment situé le journaliste Hervé Kempf : « Pour sauver la planète, sortez du capitalisme » (éd. du Seuil, 1999).

« Avatar » : Hollywood dans la galaxie anticapitaliste ?

Les dénonciations gauchistes du capitalisme hollywoodien sont si courantes que les esprits anticapitalistes pourraient avoir du mal à reconnaître des potentialités critiques dans une de ses productions. Et pourtant…

samedi, novembre 28, 2009

Sur la lengue frenssèzeuh...


On assiste présentement à une surmédiatisation de ce que les spécialistes appellent (depuis 1990) la « nouvelle orthographe ». On peut lire, à peu près quotidiennement, les lettres ouvertes de braves gens, linguistes auto-proclaméEs et gérants d'estrade en tout genres plaidant pour ou contre l'offensive de rectification orthographique.

« Non! Je suis contre! J'aime ces difficultés et ces anomalies qui donnent son charme à la langue française! »

« Vous êtes borné, cher Môssieur; acceptez donc le progrès! La vie sera meilleure avec l'accent grave dans l'évènement et avec des traits d'union partout dans les nom-bres! »

« Vous gâchez la jeunesse en lui ôtant le plaisir-à-retardement d'apprendre les complexités du français. »

Ainsi de suite. Ad nauseam.

Les libertaires n'ont pas - à ce que je sache - l'habitude de se prononcer sur de tels sujets, probablement en raison de leur futilité profonde. Débattre de l'orthographe, c'est un peu comme les paris sportifs ou la prière : ce n'est ni intéressant, ni important, ni utile. Certains et certaines camarades auront peut-être une vision différente, mais est-ce que l'important n'est pas surtout de se comprendre? Est-ce que d'embarquer dans ce débat-là ne revient pas à jouer le jeu de l'intelligentsia, qui voudrait nous faire gober que la crédibilité - et, par extension, la justesse - d'une personne ou de ses idées est directement proportionnelle à sa capacité d'intégration des codes et des règles du langage officiel.

Quand bien même j'écrivais « que cé pas si important que sa décrire sans fer trop de faute », au final, vous comprenez l'essentiel. Non?

Et tant qu'à parler d'évolution de la langue, on pourrait pas aborder des trucs un peu plus concrets que des accents, des virgules et des traits d'union? Aux dernières nouvelles, nos chers Académiciens du progrès linguistique soutenaient encore que le masculin l'emporte sur le féminin...

mardi, avril 14, 2009

Spectacle : Des lendemains qui saignent

Le 4 octobre 2008, on recevait, à Montréal, la visite de Dominique Grange et de Jacques Tardi.











Dominique Grange, c'est cette chanteuse emblématique de l'époque de mai 68. Jacques Tardi, c'est cet auteur et dessinateur de BD qui l'accompagne, depuis. Les chansons de la première et les dessins du second se côtoient, dépeignent et dénoncent avec charme la misère de notre monde.
BAnQ présente en exclusivité à Montréal un spectacle de Dominique Grange, qui interprétera des chansons et des textes contestataires d'hier et d'aujourd'hui, inspirés et illustrés par les images du dernier ouvrage du bédéiste Tardi, Putain de guerre. Mme Grange sera accompagnée au piano par Philippe Mira.

À l'Auditorium de la Grande Bibliothèque
Le jeudi 16 avril 2009 à 19 h 30

Entrée libre.

Vous pouvez consulter l'annonce sur le site de la BAnQ.

Si, à tout hasard, vous étiez à Québec la fin de semaine prochaine, le duo sera au Musée de la Civilisation, samedi soir, 20h.