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jeudi, octobre 28, 2010

[Photo-reportage no.5] Manif du 28 octobre à Toulouse! Le mouvement s'essouffle?Vraiment?

Un autre photo-reportage de notre camarade. Décidément, ça brasse à Toulouse! D'autres belles photos de la manif d'aujourd'hui. N'hésitez pas (pour les camarades en France) à nous envoyer vos photos/textes/commentaires/impressions de ce qui se passe chez vous à notre adresse ucl.montreal@causecommune.net.
Nous serons heureux de vous publier afin que l'info circule un peu plus  de ce côté-ci de l'Atlantique.
Et je vous laisse sur le commentaire de notre camarade:
Entre 100 000 et 120 000 personnes à Toulouse (15 000 pour la police...) C'est pas mal pour un mouvement qui s'essouffle!


Afin de lire le compte-rendu un peu plus détaillé du Nouvel Obs...

mercredi, octobre 27, 2010

[Photo-reportage no.3] Grève, blocage, sabotage ! La patronat ne comprend qu'un seul langage!

Un autre photo-reportage de notre camarade et correspondant à Toulouse. Une multitude d'actions ont encore eu lieu aujourd'hui. Évidemment, ça les médias ne vous en parlerons pas, puisque semble-t-il le mouvement "s'essouffle". À mon avis c'est plutôt les politiciens et le capital qui perdent leur souffle à chaque nouveau coup en pleine gueule!
Un petit descriptif des photos par notre camarade:

On bloque tout, on ne lâche rien!
Blocage de la zone Euro-Centre à 3h du matin.
-Zone logistique Midi-Pyrénées (Poste, Supermarché....) qui était une action interprofessionnelle. De plus, les camarades d'EDF (Électricité de France) s'étant occupés de couper l'électricité sur tout la zone. Et nous, de notre côté, de couper les routes d'accès et de sortie de la zone.

-Puis, soutient aux éboueurs de la ville de Toulouse, en grève depuis 10 jours. Ambiance tendu, car il y avait présence de non-grévistes (c'est-à-dire des membre de l'UMP, le parti de Sarkozy).

La suite, ce soir. Avec un nouveau blocage...

Grève, blocage, sabotage ! La patronat ne comprend qu'un seul langage !!!



dimanche, octobre 24, 2010

[France]Alternative Libertaire: La victoire est à portée de main, arrachons-la !

Un tract de nos camarades d'Alternative libertaire. La lutte continue et se radicalise!


Avec 3,5 millions de manifestantes et manifestants lors de la journée interprofessionnelle de manifestations du 19 octobre, la mobilisation, loin de faiblir face à la fermeté et à la répression d’un gouvernement de plus en plus tyrannique, ne fait que s’amplifier et se radicaliser.
Nous devons continuer dans cet voie, pour faire céder et délégitimer ce gouvernement, à la fois raciste et ultralibéral, au service du MEDEF et des actionnaires. C’est possible !
La grève s’installe dans certaines secteurs clés de l’économie, comme dans les raffineries, le rail, l’énergie, mais aussi dans les facs et les lycées. A nous de la généraliser ! C’est en organisant des assemblées générales massives dans nos boîtes que nous nous donnerons confiance avec nos collègues pour nous engager dans la grève. Pour que des départs en grève tiennent sur la durée, il est crucial de rompre l’isolement entre secteurs professionnels, en mettant à profit les débrayages pour faire des tournées de services et d’entreprises, en organisant des coordinations interprofessionnelles de grévistes, en organisant la solidarité entre et avec les grévistes.
En l’absence de grève générale pour le moment, la grève reconductible dans ces secteurs clés est le pilier qui soutient les actions de l’ensemble des salarié-e-s. Il faut donc que ces mouvements durent, et pour cela, la solidarité des travailleurs et travailleuses est indispensable, notamment au niveau financier par la création et l’alimentation de caisses de grèves, comme cela est déjà fait à la raffinerie Total de Frandres ou à celle de Grandpuits.
Au-delà de la grève, on ne compte plus les signes que les travailleurs et les travailleuses de tous les secteurs ont vraiment envie d’en découdre. Le mot d’ordre de blocage de l’économie est sur toutes les bouches et parvient de plus en plus souvent à se traduire dans les faits, des actions les plus symboliques (une société de retraites par capitalisation à Montpellier) aux plus concrètes (routes, ponts, tunnels voire aéroports comme à Bordeaux, et bien sûr les raffineries qui font planer de plus en plus fortement la menace d’une pénurie de carburants). Pour faire plier le gouvernement, nous devons multiplier ce genre d’initiative, faire feu de tout bois pour alimenter un climat de tension sociale permanente, à un rythme quotidien ou en tout cas plus soutenu que ne le propose l’intersyndicale nationale.

Gouvernement aux abois

Déjà, des signes que le gouvernement et le patronat sont aux abois se font sentir. Côté MEDEF, les patrons s’affolent face aux blocages de zones industrielles, comme à Amiens. Côté gouvernement, la mise en place de déblocages et de mesures de réquisition dans les raffineries sont un signe de la pression qui monte.
La répression du mouvement social, et particulièrement au sein de celui-ci, du mouvement lycéen, montre que le gouvernement a peur et qu’il est prêt à tout pour faire peur à celles et ceux qui luttent – jusqu’à crever un oeil à un adolescent à coup de flash-ball comme à Montreuil ou asperger des lycéens bloqueurs de gaz lacrymogène. Contre le gouvernement, qui s’efforce de délégitimer le mouvement lycéen, et sans doute bientôt étudiant, sous le prétexte fallacieux que les jeunes ne toucheront (peut-être…) leur retraite que dans des décennies, nous devons au contraire affirmer que les lycéen-ne-s et les étudiant-e-s, en tant que travailleurs et travailleuses exploité-e-s en formation, ont leur mot à dire sur cette question comme sur tout autre. Nous devons dénoncer la répression dont sont victimes les lycéens, et qui a pour seul but d’intimider les acteurs et actrices d’un mouvement central dans la lutte actuelle.

Et après?

La possibilité et la solidité d’un mouvement d’ensemble suffisamment fort pour achever le gouvernement dépend des revendications portées par la mobilisation. Nous demandons le retrait du projet, mais au-delà de ça, quoi d’autre ? Le statu quo ? On attend 2012 en espérant qu’un soit-disant gouvernement de gauche revienne sur la réforme ? Non ! Il faut arracher tout ce que nous pouvons dès maintenant et battre le fer tant qu’il est chaud. 60 ans, c’est bien trop tard pour échapper à l’exploitation capitaliste : nous sommes déjà usé-e-s par des décennies de travail aliéné, et ces années où nous pouvons retrouver un peu de liberté et de dignité, qui devraient être les meilleures, nous ne pouvons pas en profiter pleinement.
Il faut donc, au-delà de cette réforme, remettre en cause la manière dont les capitalistes nous font travailler et organisent la société. Leur beurre, ils le font sur notre dos. Et pour eux pas de problème de retraite ! En nous mettant en position de gagner sur les retraites, nous devons pousser notre avantage pour revenir sur les régressions sociales des quinze dernières années.  
Et penser à aller plus loin…


samedi, octobre 23, 2010

[Photo-reportage no.2]: Mobilisation et blocage à Toulouse le 21 octobre.

Un camarade français de passage à Toulouse était présent lors des tentatives blocages des dépôts d'essence et de la gare routière jeudi dernier (21 octobre). Voici donc un autre photo-reportage avec un commentaire qui est repris de ce même camarade. Vous verrez donc, dans l'ordre, dans ce photo-reportage:

1-La tentative de blocage du dépôt d'essence et le refoulement des travailleur-euses en lutte par les flics. Les manifestant-es adoptèrent alors "une stratégie de guérilla", afin d'éviter l'affrontement direct et de couper au maximum les routes.

2-Le blocage de la gare routière, d'où partent les autobus pour toute la région.

3-Une assemblée générale publique des boîtes privées (Freesacal, Thales...) de la zone du Mirail.

4-Tentative et échec du blocage de la gare. Les flics bloquent tous les accès et les cheminots ont décidé de ne pas prendre le risque de la répression. Les cheminots ne sont donc entré que pour expliquer la situation aux usagers.

5-Un moment de détente après la bataille à l'invitation des cheminots de SUD (un syndicat très à gauche et fortement implanté chez les cheminots).

...à suivre...


mercredi, novembre 28, 2007

Vidéo des émeutes en France.

Les émeutes qui ont lieu en France, ont provoqué l'apparition d'une tonne de blogues et de vidéos sur le web. Malheureusement les flics de la censure font leur boulot et ferment ou enlèvent beaucoup de matériel de différentes pages web. Voici 2 vidéos qui ne proviennent pas des médias de masse.

Une vidéo qui montre des affrontements entres jeunes de banlieue et CRS.



Lors de la manifestation pour dénoncer la mort des 2 jeunes, un manifestant donne son point de vue sur la question de la violence.

mardi, novembre 27, 2007

La révolte de novembre prise 2?


Après la mort de 2 jeunes suite à la collison de leur moto avec une voiture de flic, Villiers-le-Bel, une banlieue au nord de Paris, a vécu sa deuxième nuit consécutive d'émeutes. Ce matin, on dénombrait 82 blessés parmi les policiers, dont 4 grièvement. L'un des syndicats de flics mentionne même qu'il y a eu utilisation d'un fusil de chasse contre les policiers. De plus, 63 voitures et cinq bâtiments ont été incendiés à Villiers-le-Bel et dans six municipalités proches. La police a arrêté six personnes rapporte Radio-Cadenas.


Par ailleurs le journal Libé, quant à lui mentionne que des émeutes ont éclaté dans cinq autres communes du Val-d’Oise, dont Goussainville, Sarcelles et Garges-lès-Gonesse. La soirée confirme la promesse d’une inscription écrite sur l’autoroute A1 hier matin : «Vengeance pour Villiers-le-Bel» en référence aux jeunes tués par les flics. Même si l'enquête et certains médias clament que les flics ont fait leur boulot après être entré en collision avec la moto, d'autres, par contre, clament qu'il y a eu non-assistance à des personnes en danger:

"(...)les policiers «ont fait le massage cardiaque et qu’ils sont partis». Laissant les jeunes par terre, tout seuls. Une version qu’ici beaucoup répètent(...)"(ici).


Beaucoup craignent que ce soit une répétition des émeutes de novembre 2005, alors que des flics poursuivant des jeunes avaient causé leur mort.

De plus, si ca vous intéresse, un article en page 13, est paru hier dans le journal Anarchosyndicalisme (no 103), dont le titre est "A propos de la violence des jeunes des quartiers populaires", qui est une analyse par les camarades de la CNT-AIT sur la violence dans les banlieues françaises. Selon leur analyse, les émeutes de 2005 n'auraient pas été le fruit du hasard, contrairement à l'analyse véhiculée par certains "groupes révolutionnaires", mais bien la conséquence d'humiliation quotidienne de jeunes vivant dans des quartiers où le taux de chomâge avoisine souvent les 50%.
D'autres informations à venir...

jeudi, novembre 22, 2007

L'élite française et la légitimation du racisme.


Un entrevue dans le journal Libération, avec un rapporteur de l'ONU sur le racisme, la discrimination raciale et la xénophobie, qui accuse Sarkozy et l'élite française de tenir un discours légitimant le racisme. Pour reprendre ses mots :"L’Occident connaît une crise identitaire grave parce que les identités nationales, constituées pour justifier les Etats nations, ne sont plus conformes aux réalités multiethniques de ces sociétés. Or, les intellectuels se pensent comme étant, en quelque sorte, les gardiens de ces identités nationales."

De notre côté de l'Atlantique on peut facilement faire la même analyse. On peut penser à la commision sur les accommodements raisonnables et le discours xénophobe qui en découle de plus en plus. Charest, Dumont, Marois et "l'élite québécoise" s'inscrivent parfaitement dans le discours légitimant le racisme. Mais ici, les gens sont trop occupés à dénoncer l'épisode du YMCA ou de la cabane à sucre pour analyser rationnellement que la droite sécuritaire gagne du terrain à chaque jour...

Doudou Diène, rapporteur spécial de l’ONU sur le racisme, la discrimination raciale et la xénophobie, et intellectuel sénégalais vivant à Paris, a accusé, devant les Nations unies, le président Sarkozy de «légitimer le racisme».

Pensez-vous vraiment que Nicolas Sarkozy soit raciste ?

Non, je n’ai jamais dit qu’il était raciste. S’il l’était, il n’aurait pas nommé Rama Yade ou Rachida Dati au gouvernement. Mais, par son discours à Dakar [prononcé le 26 juillet, ndlr], il s’inscrit dans ce que je dénonce, dans mon rapport à l’ONU, comme une dynamique de légitimation scientifique et intellectuelle du racisme par les élites. Je cite en particulier le prix Nobel James Watson, qui a affirmé que les Noirs sont moins intelligents que les Blancs. Le discours de Dakar relève expressis verbis des discours racistes des XVIIIe, XIXe et XXe siècles. A l’époque, une abondance de textes légitimaient la colonisation en la présentant comme une entreprise de civilisation pour apporter les lumières à l’homme africain. Sarkozy reprend presque les mêmes arguments. Certes, il dénonce la colonisation en tant qu’entreprise d’exploitation économique. Mais cela n’a pas de sens si c’est pour reprendre son argument fondateur : l’infériorité intellectuelle des Africains. Ce discours a profondément blessé en Afrique. Je crois que ceux qui l’ont écrit et lu n’ont pas assez réfléchi à sa portée.
Pour lire la suite...

mardi, octobre 23, 2007

Jeudi noir pour le petit Sarko: Grève contre les mesures antisociales d’un gouvernement ultra-libéral.

Il y'a quelques jours, nous avions publié sur ce blogue des photos de la manifestation du jeudi noir à Paris (Ici). Notre correspondant à l'étranger et camarade de la NEFAC-Montréal, en collaboration avec nos camarades d'Alternative Libertaire, nous a envoyé un compte-rendu de cette manifestation et du mouvement social qui s'amorce en France.

La situation social en France est très tendue depuis l’élection au printemps dernier du petit nabot dénommé Nicolas Sarkozy. Minable et petit Président de la République il un égo surdimensionné qui le pousse à croire que son élection est une autorisation à mettre à sac l’ensemble des droits et des avantages durement acquis par les français et des françaises. Tout comme Charest l’a fait et continue de le faire, Sarko attaque partout et simultanément que ce soit l’immigration (avec la loi sur les tests d’ADN[1]), le logement (de plus en plus de sans-logis devant vivre dans des chambres d’hôtels hors de prix), le travail (offensive sur les régimes spéciaux[2]) ou encore en éducation (avec la loi sur l’autonomie des universités[3]).

Qu’à cela ne tienne, les travailleurs et les travailleuses, les étudiants et les étudiantes, les mal-logés et les groupes de défenses des sans-papiers ont entrepris de faire comprendre à Sarko, que son élection ne voulait pas dire qu’il pouvait s’attaquer impunément à tous et à toutes ! Jeudi le 18, les syndicats ont donc appelé à l’ouverture d’un front social marquant la riposte. Des travailleurs et des travailleuses de plusieurs domaines, mais principalement du transport (SNCF, RATP…)[4] ont amorcé une journée de grève. La question, cette grève d’une journée allait-elle déborder dans un mouvement plus radical de grève reconductible ? La direction de la CGT[5], le plus important syndicat de la France, annoncait qu’elle n’irait pas en grève reconductible. Chez les cheminots, SUD-Rail[6] (dans lequel nos camarades de Alternative Libertaire sont assez influents) et FO[7] (réformiste et corrompue mais capable d’être parfois assez radical) et d’autres regroupements syndicaux appellent pour leur part à des grèves reconductibles. L’appel de la direction de la CGT a fait l’effet d’une douche froide sur les militant-e-s qui espéraient voir dans le 18 octobre une reprise des mouvements historiques de 1995 et 2003. Malgré tout, on remarque qu’à plusieurs endroits au sein de la CGT, des voix discordantes se font entendre et dépassent sur la gauche les mots d’ordre de la bureaucratie syndicale. Au moment d’écrire cet article, certains mots d’ordre d’AG appelait à une reconductible d’une journée, mais tranquillement les services de transport reprenaient. Lundi nous saurons peut-être mieux si la grève est reconduite et surtout, si la reconductibilité est suivie par les travailleurs et les travailleuses.

Les travailleurs et les travailleuses ont été rejoint hier dans la manifestation par les étudiants et les étudiantes qui semblent eux et elles aussi déterminé-e-s à en découdre avec le pouvoir. Fort des erreurs commises lors de la mobilisation contre le CPE[8], certain-e-s étudiant-e-s s’organisent en vue d’un débrayage solidaire aux côtés de leur camarades travailleur-euse-s. Des AG de grèves sont prévues dans quelques fac et certains lycéens semblent également vouloir se joindre à la lutte. Par contre, la réponse dans les Facs aux mobilisations est encore assez nébuleuses, tout comme chez les travailleur-euse-s. Beaucoup craigne de voir les perfides négociateurs de l’UNEF (l’équivalent français des corpos collabos que sont notre FECQ et notre FEUQ) trahir encore une fois le mouvement.

Question trahison, la FGAAC, un syndicat corporatiste (il syndique uniquement les conducteurs de trains) s’est désolidarisé des autres syndicats en négociant une entente permettant aux conducteurs seulement de sauver leurs avantages sur la question des régimes spéciaux de retraite. Aussitôt cette entente conclu ce syndicat a immédiatement retiré ses appels à la grève. Preuve que la collaboration et le corporatisme n’ont pas de frontières.

Pour le moment, il est trop tôt pour prédire le dénouement de ce vent d’agitation. Plusieurs possibilités existent. Soit le mouvement continu et prend de l’ampleur au point de venir une véritable fronde au visage du nabot présidentiel. Soit la grève cesse pour mieux en préparer une autre plus tard. Ou bien, tout rentre dans l’ordre Sarko gagne et le mouvement se meurt. Il est évident que la NEFAC espère que les travailleurs, les travailleuses, les étudiants et les étudiantes ainsi que l’ensemble des victimes du petit Sarko se lèvent et se mobilisent en profitant du 18 octobre pour lancer un mouvement d’ampleur.

[1] Loi obligeant les ressortissants étrangers qui demandent le regroupement familial à passer une test adn pour prouver leur liens familiaux.
[2] Les régimes spéciaux sont en fait les plans de retraite de certains secteurs que le gouvernement Sarko tente en ce moment de restreindre, donc faire passer l’age de la retraite à plus tard.
[3] Loi facilitant la privatisation des universités en attribuant d’autonomies aux différentes universités, semblable au projet d’habilitation des cégeps.
[4] Société Nationale des Chemins de Fers, et Régie Autonome des Transports Parisiens
[5] Confédération Général du Travail
[6] Solidaire, Unitaire et Démocratique
[7] Force Ouvrière
[8] Contrat Premier Embauche, contrat permettant de virés plus facilement les nouveaux travailleurs et nouvelles travailleuses qui en sont à leur première présence sur le marché du travail