Les flics et les divers services de renseignement disposent d’un arsenal d’outils impressionnant lorsqu’il s’agit de fouiner dans les affaires des gens. D’autant plus lorsque ceux-ci portent des idées et défendent des pratiques hostiles à l’État, au petit train-train quotidien du capitalisme pacifié, et par extension, aux prisons, aux centres fermés, à tout ce qui permet à ce monde d’exister et de se perpétrer. D’autant plus quand il les a nommés « terroristes ». L’idée, pour cette « édition spéciale » de la Lime, serait de se pencher sur ces méthodes, en ...
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