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CARACAS | - de pauvreté + de violence





Maurice Lemoine


Moins de pauvreté et... une insécurité galopante Caracas brûle-t-elle ?


Le Monde Diplomatique | 2010

Christopher Anderson 

CAPITOLIO | Caracas



Malgré une politique active de justice sociale, le Venezuela affiche toujours un taux d’homicides parmi les plus élevés au monde. Comment s’explique cette violence persistante, que le gouvernement du président Hugo Chávez a longtemps négligée et que ses opposants, tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur, ne se privent pas d’instrumentaliser ? 

Dans l’expression de son hostilité au Venezuela « bolivarien », le quotidien espagnol El País fait rarement dans la nuance. Mais il lui arrive de se surpasser : « Caracas est une ville sanglante. De ses immeubles coulent des fleuves de sang, de ses montagnes coulent des fleuves de sang, de ses maisons coulent des fleuves de sang (...) (1). »



Hugo Chavez : Tourisme Social et Ecotourisme

Vénézuela : l'archipel Los Roques

L’archipel de Los Roques, au large des côtes du Vénézuela, est un véritable paradis : un atoll corallien aux eaux calmes et cristallines, aux plages de farine blanche, une faune aquatique d'une richesse exceptionnelle ; un chapelet d'îles protégé depuis 1972 en tant que réserve naturelle, afin de le préserver des promoteurs immobiliers et du tourisme de masse. Un sublime archipel qui est fréquenté par une grande variété d'oiseaux marins mais aussi par les plus riches vénézuéliens et la jet set internationale, venant ici mouiller leur luxueux yacht.  Fin 2011, le président Hugo Chavez, décide de "nationaliser" l'archipel  : « J’ai toujours dit que je nationaliserai Los Roques », affirme-t-il ; un territoire qu'il s'agit de libérer de la main-mise  - selon les termes du président - des privilèges de la « haute bourgeoisie » et des élites internationales. 

Caracas : Luttes urbaines et Démocratie


Caracas Golpe 2002
Armelle Racinoux
Emiliano Zapata

Luttes urbaines et démocratie à Caracas
(2001-2004).
Vers la redéfinition de l’espace public vénézuélien

L’élection à la présidence du Venezuela d’Hugo Chávez Frias en 1998 a été renouvelée en 2000 et confirmée par le référendum de 2004. Cette période s’est accompagnée d’une crise politique d’envergure. Dans un contexte de tensions classistes, la Coordinadora Democrática 1 (dissoute en 2005) dénonce le mode autoritaire de gouvernement du président à l’agenda « socialiste révolutionnaire » et cherche à le pousser à la démission.Fin novembre 2001, les 49 décrets-lois passés par Hugo Chávez suscitent en effet un tollé politique : ils entérinent entre autres une réforme agraire qui permet la réquisition des terres non exploitées et leur redistribution à des fins productives et une restructuration du domaine clef de l’industrie pétrolière.

CARACAS : Guérilla Communicationnelle

Collectif Guerrilla comunicacional 

Le collectif Guerrilla comunicacional à Caracas, s'inscrit dans la stratégie « Trueno comunicacional » [Tonnerre de la communicationimaginée par le gouvernement du  Président Hugo Chavez, afin  de combattre le monopole et d'opposer une contre-propagande aux médias privés - chaînes de télévision et grands quotidiens - hostiles à la Révolution. Leurs actions ne s'arrêtent pas à couvrir les murs de Caracas et des villes de province,  de [magnifiques] slogans et d'images glorifiant la Révolution - plus que Chavez - : leurs membres forment de jeunes adolescents aux différentes techniques du street art, au sein d'ateliers. Ils nous offrent ce Manual de producción comunicacional destiné à vous en apprendre les rudiments.

Hugo Chávez | Le front Internet : Livrons la bataille !




Envahissez Twitter, Facebook, 
montrez votre présence 
sur Internet. 

Livrons la bataille sur ce front-là aussi !



Hugo Chávez 


http://www.chavez.org.ve et @chavezcandanga sur Twitter ont donc été créés pour livrer bataille sur le champs du web. Il s’agit plutôt d’un site fédérateur, une sorte de portail qui reprend et organise ce qui se trouve déjà ailleurs : les messages de @chavezcandanga sur Twitter, les écrits des Líneas de Chávez, des reportages sur le programme télévisé Aló Presidente, quelques vidéos, quelques photos, quelques discours, ainsi que des informations plus générales sur le pays. Les Reflexiones de Fidel Castro ont également droit à un espace dans un coin de la page d’accueil. Au final, le principal intérêt de la chose est de permettre de trouver toutes ces informations au même endroit.

Hugo CHAVEZ | Habitat social

Barrios Caracas

Les détracteurs, les ennemis et les opposants de Hugo Chavez, président de la République Bolivarienne du Vénézuela, reconnaissent, avec amertume, que les réformes sociales engagées depuis son arrivée au pouvoir, en 1999, ont permis une formidable amélioration des secteurs de l'éducation et de la santé, félicitée par l’ONU, l’UNESCO et  l’Organisation Mondiale de la Santé. A l'inverse, l'habitat social n'a jamais été une des priorités du gouvernement Chavez, bien au contraire. Chavez emprunte ainsi, les mêmes chemins balisés par d'autres dirigeants marxistes ou sociaux-démocrates " radicaux ", pour qui le logement est considéré comme un élément de moindre importance, secondaire. 

« Le logement est un des grands échecs de ce gouvernement », constate l’historienne Margarita Lopez Maya, chercheuse à l’Université centrale du Venezuela. En 2011, selon la chambre vénézuélienne de la construction, « Il manque au moins deux millions de logements dans ce pays de 28,8 millions d’habitants », ce qui est considérable.


Hugo Chavez et l'habitat social





La Revolution Vive
2011


Le président Chávez ordonne d’accélérer les réquisitions de terrains pour construire des logements et prend de nouvelles mesures pour protéger les locataires. Peu avant de s’envoler pour une tournée officielle qui le mènera successivement au Brésil, en Equateur et ce jeudi à Cuba, le président vénézuélien a pris de nouvelles mesures sociales.

CARACAS, une favela verticale



La Confinanzas Tower, au centre de Caracas, construite dans les années 1990 devait symboliser l'optimisme et le progrès économique du pays. La crise économique de 1994 et le décès de l'investisseur laisseront ce building, un des plus hauts de l'Amérique du Sud, en état d'inachèvement. L'Etat devient propriétaire des lieux et Hugo Chavez accède à la présidence.