Mobilisation générale dès le 9 mars jusqu’au retrait du projet de loi Travail

2016-03-09_loi_travailContrairement à la propagande du gouvernement et du MEDEF, ce projet de casse généralisée des protections et acquis sociaux des salariés ne résoudra en rien le problème du chômage. On ne combat pas ce fléau en permettant de licencier toujours plus facilement ou en augmentant le temps de travail de celles et ceux qui ont un emploi, au contraire !

La dérégulation du droit du travail, la facilitation des licenciements, le développement de la précarité, les pressions sur les chômeurs et cadeaux par milliards aux entreprises sont toujours les mêmes vieilles recettes que l’on nous sert jusqu’à la nausée. Et pour quel résultat ! D’une part, l’augmentation continue du chômage qui touche des millions de personnes, la pauvreté qui s’accroit et la dégradation des conditions de travail. Et d’autre part des profits par dizaines de milliards d’euros pour les entreprises et les dividendes pour les actionnaires et des ultra-riches toujours plus riches !

Après la loi Macron I, cette loi organisera si elle est adoptée la généralisation de la précarité et de l’insécurité professionnelle, salariale et sociale pour toutes et tous. Elle est ni négociable, ni amendable ! Pour nous, un seul mot d’ordre :

Retrait immédiat de la loi El Khomri-Valls-Macron !

Les organisations syndicales appellent par conséquent l’ensemble des salariés, précaires ou non, les chômeurs, les retraités et la jeunesse à se mettre en grève le 9 mars et à participer au rassemblement qui aura lieu place Stanislas, devant la préfecture à partir de 13h00 auquel se joindront à Nancy les cheminots en lutte contre la casse du rail public et de leur statut.

Nos organisations syndicales sont conscientes de s’engager dans un véritable combat contre ce gouvernement de mercenaires qui mène une véritable guerre sociale pour le compte des capitalistes. Nous devons tous ensemble nous mobiliser jusqu’à l’abandon du projet de loi.

Nos organisations s’engagent durant le mois mars à mobiliser chaque semaine afin de préparer la journée de grève interprofessionnelle du 31 mars et à organiser la convergence des nombreuses luttes : le 10 mars avec les retraités, le 12 mars contre l’état d’urgence et la déchéance de nationalité, le 16 et le 24 mars à nouveau contre la loi Travail, le 22
mars avec les fonctionnaires et agents publics.

À l’appel de l’UL CGT Nancy, CNT Interco 54, FSU 54, Solidaire 54, UNEF 54.

Calendrier des rendez-vous à Nancy :

  • mercredi 9 mars : rassemblement contre la loi Travail (13h, place Stanislas, devant la préfecture)
  • jeudi 10 mars : rassemblement pour la défense des retraites (14h30, place Stanislas, devant la préfecture)
  • samedi 12 mars : manifestation contre l’état d’urgence (14h, place Maginot)
  • mercredi 16 mars : rassemblement contre la loi Travail (17h30, place Charles III), puis Assemblée Générale de mobilisation
  • jeudi 24 mars : manifestation contre la loi Travail (14h place Dombasle)
  • jeudi 31 mars : grève et manifestation interprofessionnelle contre la loi Travail (14h30, place Dombasle)

Samedi 30 janvier : Manifestation contre l’état d’urgence

Pour défendre nos droits et nos revendications,
Dans les entreprises, les services publics comme dans la rue,

À Air France, Goodyear comme partout ailleurs

Non à la répression du mouvement syndical et social !
Non à l’état d’urgence !

Affiche 30 janvier 2016Le gouvernement mène une politique cassant l’ensemble des acquis sociaux : le code du travail est attaqué, les licenciements sont facilités, les chômeurs et précaires sont stigmatisés. Le gouvernement fait des cadeaux par milliards aux grands patrons, aux banquiers et aux actionnaires et pour nous c’est l’austérité sans fin, la casse des services publics et de la protection sociale.

Et dans le même temps il entend faire taire toute contestation sociale par la répression, en envoyant des syndicalistes et des salariés en prison ! C’est ainsi que les cas de syndicalistes ou de salariés qui subissent les foudres de la police et de la justice se multiplient – d’Air France à Goodyear, en passant par ErDF, Ford Blanquefort, l’inspection du travail, etc. ; souvent juste parce qu’ils voulaient simplement sauver leur emploi et donc ne pas sombrer dans le chômage et la misère !

Abandon immédiat de toutes les poursuites judiciaires envers l’ensemble
des militants et militantes du mouvement syndical et social.

Nous ne nous tairons pas et nous continuerons à mobiliser dans les entreprises et les services publics, comme dans la rue, par la grève et les manifestations, ou tout autre moyen que nous jugerons nécessaire ! Nous avons toute légitimité à défendre nos droits et acquis sociaux face à la rapacité du patronat et aux ultra-riches qui se gavent pendant que nous crevons au boulot ou au chômage.

Avec la constitutionnalisation de l’état d’urgence, comme avec la déchéance de la nationalité, Hollande et Valls veulent nous faire croire qu’ils se préoccupent de notre sécurité. C’est de l’enfumage !

L’état d’urgence ne nous protégera jamais contre des candidats à la barbarie terroriste, mais par contre ce sera un outil supplémentaire pour tenter de faire taire toute contestation sociale, en interdisant, par exemple, comme ça s’est déjà fait, des manifestations. Et demain pourquoi pas des grèves, en arrêtant sans contrôle judiciaire les militants ou toute personne qui aura participé de près ou de loin à un mouvement social. Nous n’avons rien à gagner avec l’état d’urgence, sa prolongation et sa constitutionnalisation.

Toutes et tous ensemble décrétons l’état d’urgence social

Abandon immédiat de la proposition d’inscrire dans la Constitution la
« déchéance de nationalité » et l’état d’urgence

Manifestation samedi 30 janvier à 14h00 place Maginot

À l’appel de l’UL CGT Nancy, CNT Interco 54, FSU 54, Solidaires 54.

Téléchargez, affichez, diffusez l’information :

Vos ¿cómo trabajás? – Autogestion au féminin

Affiche « Vos ¿cómo trabajás? »Projection du documentaire de Lucile Nabonnand et Étienne Simon (2011), suivie d’un débat en présence des documentaristes.

Mercredi 25 novembre à partir de 19h30, au CCAN (69 rue de Mon-Désert, Nancy).

Résumé :

Lors de la crise économique et financière de 1999-2001, de nombreuse usines ont été récupérées à Buenos Aires par leurs ouvriers, tandis que les patrons les fermaient les unes après les autres. Ce mouvement est né d’une nécessité de survie dans un contexte social très dur, mais qui perdure depuis comme une réponse prolétaire actuelle à la fermeture d’un lieu de travail. En allant rencontrer ces travailleurs, nous voulions porter un regard sur la récupération et l’autogestion comme facteurs d’émancipation pour les femmes dans la société argentine globalement misogyne. La question sous-tendue par notre documentaire est de savoir si une organisation du travail plus solidaire, collective autogérée amène aussi à un autre regard sur le travail féminin. D’un point de vue plus symbolique, il pose ces deux questions : les choix d’organisation du travail transforment-ils les relations sociales et ces changements ont-ils une incidence sur le statut et la vie des femmes ?

Site du filmBande annonce

Code du travail : Réforme ou casse ?

Code du travail : Réforme ou casse ?Réunion-débat avec l’intervention d’une inspectrice du travail.

Jeudi 19 novembre à 18h30, salle Raugraff (13 bis rue des Ponts, Nancy).

Le patronat et ses soutiens politiques, au nom de l’illisibilité d’un code prétendument de 3900 pages, entendent en finir avec l’Etat de droit dans les entreprises et exigent la réforme du code du travail ! En acceptant de le réformer, il se fait l’allié de la défense des intérêts du patronat contre les droits salariés.

Pourtant la lecture du code du travail se résume à 675 pages de droits et 3300 de commentaires et jurisprudences ! Et, à y regarder de plus prêt, à une cinquantaine d’articles de référence. Si le droit du travail s’est complexifié, s’est uniquement à cause des dérogations exigées par le patronat afin de faciliter les licenciements, précariser et flexibiliser le travail. Par exemple 24 contrats précaires dérogatoires au CDI.

De quelle réforme s’agit-il ? Le gouvernement entend privilégiés le niveau de l’entreprise pour négocier des accords et le droit du travail au détriment de la loi et des accords de branche d’une part. L’accord pourrait s’imposer aux salarié-e-s même si ce qui est prévu par l’accord est moins favorable que ce qui est prévu par le contrat de travail. Pour enfoncer le clou, il serait question que les indemnités de licenciements en cas de refus par les salariés de la modification de leur contrat de travail suite à un accord soient inférieurs à ce qui est prévu actuellement par la loi.

Si le gouvernement privilégie l’accord d’entreprise à la loi ou l’accord de branche à la demande du patronat, ce n’est pas pour privilégier la négociation de proximité, au plus près de la prétendue réalité du terrain. Mais c’est bien parce qu’à ce niveau, il est plus difficile de créer un rapport de force favorable aux salariés et que les pressions sur les négociateurs sont les plus fortes.

Ils espèrent ainsi dégrader les garanties collectives des salariés, avec des conséquences importantes sur nos conditions salariales et de travail (baisse de salaire, hausse du temps de travail, paiement des heures supplémentaires, congés, sécurité au travail, etc.). En réalité, cette réforme du code du travail va permettre d’attaquer entreprise par entreprise tout les acquis sociaux obtenus par plus d’un siècle de luttes.

Comme ils le disent eux-mêmes, la loi a pour objectif de « renforcer la compétitivité et la souplesse des entreprises ». Par exemple, travailler 48 heures par semaine pendant une période, en fonction uniquement des besoins de l’entreprise.

Cela ne va pas simplifier le droit du travail mais au contraire créer une multiplicité du droit. Et pourquoi pas autant de droit qu’il y a d’entreprises !

C’est de la destruction du droit du travail dont il est question qui déjà, qui a déjà commencé avec la loi Macron, Rebsamen… A quel titre devrions-nous accepter une régression pareille ?

Au nom de l’accroissement sans précédents des inégalités, de l’accroissement de l’exploitation du travail, de la flexibilité et de la précarité ou pour le dire autrement à celui de l’enrichissement invraisemblable de nos maîtres ? (10% détiennent 50% de tout ce qui existe dans le pays !)

L’intersyndicale, UL CGT, FSU, SOLIDAIRES, CNT et UNEF vous propose de participer à une réunion pour en débattre.

Téléchargez le tract ici.

Toutes et tous uni·e·s contre les extrêmes droites, le racisme et les discriminations !

Pour la fermeture de la Taverne de Thor

Fermeture de la Taverne de ThorLa « Taverne de Thor » s’est installée au printemps 2015 à Combres-sous-les-Côtes (55). Il s’agit d’un local destiné à accueillir les activités, conférences et concerts des Hammerskins, un groupe néonazi international, raciste et violent. Ce groupe s’est par exemple illustré en 2013 par l’agression à l’arme blanche d’un homme d’origine sénégalaise en plein centre-ville de Metz, sous le seul prétexte qu’il était noir.

Les Hammerskins sont des suprémacistes blancs, c’est-à-dire qu’ils revendiquent ouvertement la supériorité de la « race blanche ». À l’origine affiliés au Ku Klux Klan et à l’American Nazi Party (ANP), ils se définissent comme « aryens ». Ils participent systématiquement aux rassemblements anti-étrangers et aux manifestations racistes, et ils agressent les manifestations comme la Gay Pride ou les manifestations égalitaires.

Le précédent local des Hammerskins en Lorraine, installé dans le toulois, avait clos ses portes à l’occasion de la St-Patrick, le 16 mars 2013, à la suite de pressions administratives. Quelques mois auparavant, 2000 militants de la « race blanche » venus de toute l’Europe avaient en effet participé à un concert RAC (Rock Against Communism) organisé initialement par une des sections allemandes du mouvement. Cesactivitésprétendument festivesne sontqu’un paravent pour leurs réunions où circule une idéologie dont les discriminations racistes et sexistes sont les fondements réels et assumés. Nous ne saurions le tolérer.

Pour l’instant, aucune entrave administrative n’a été opposée à l’installation des Hammerskins à Combres-sous-les-Côtes. La mobilisation doit grandir pour les faire partir.Nous refusons de laisser perdurer et se développer les activités d’un mouvement prônant le génocide.

Hammerskins et néo-nazes, dehors !

Rendez-vous le samedi 14 novembre à Verdun :

  • Manifestation : 14h, départ Parc de Londres
  • Rassemblement, stands, ateliers et concerts : de 15h30 à 19h00, au monument de la Victoire

Imprimez, affichez, distribuez :

Initiative soutenue par : AFA Strasbourg, Alternative Libertaire (51, 54, 57, 67-68), Association Meusienne d’Accompagnement des Trajets de vie des Migrants, Association Nationale Transgenre, ATTAC (54, 55), Autonome Antifa Freiburg, BAF Nancy, CCAN, CGT Lorraine, Collectif Debout!, Ensemble 54, Équinoxe, FSU (54, 55), Honneur aux Dames, Initiateurs de la pétition pour la fermeture définitive de la Taverne de Thor, Jeunes écologistes de Lorraine, L’Autre Cercle, La Crise, La Horde, Le Kreuji, Les Mauvais Jours Finiront – chorale révolutionnaire verdunoise, Les Oublié-e-s de la Mémoire, MJCF (57, 67), MRAP Nancy, NPA, PCF (55, 57, Nancy, Thionville), PG 55, RésisteR!, Solidaires 54, SUD Éducation Lorraine, SUD Rail Metz Nancy, Transnational Information Exchange Germany, UD CGT 55, UEC Strasbourg, UL CGT Nancy, Union Régionale CNT Lorraine.

Débat sur la montée de l’extrème droite et son programme dans l’éducation

Le mardi 28 avril 2015 à partir de 19h au CCAN, la CNT Interco 54 en partenariat avec le BAF (Bloc Anti Fasciste Nancy) vous invite à débattre sur la montée de l’extrême droite et son programme dans l’éducation en présence de Gregory Chambat, animateur de la formation syndicale « subvertir ses pratiques pédagogiques » organisée le même jour par Sud Education à Nancy.

Le débat aura lieu au Centre Culturel Autogéré de Nancy, 69 rue Mon Désert
à partir de 19h.

affiche cnt education

Notre responsabilité c’est la riposte sociale : toutes et tous en grève le 18 mars !

Aytocollant « Riposte syndicale — Grève générale »Depuis mai 2012 et l’accession au pouvoir de François Hollande, les mauvaises nouvelles pour les classes populaires ne cessent de s’accumuler : allongement de la durée de cotisation à 43 ans pour les retraites, hausses des impôts et de la TVA, destruction des services publics, trahisons tout azimut et amplification des plans sociaux. Le chômage et la précarité explosent, les salaires sont au plus bas.

Dans le même temps, les profits du CAC 40 ont progressé de près de 35% sur la même période. Mais cela ne suffit pas à la voracité d’un patronat en pleine lune de miel avec cette majorité de « gauche de droite » : Crédit Impôt Compétitivité Emploi, Pacte de Responsabilité, réforme Unédic stigmatisant les chômeurs du régime général comme des annexes 4 (intérimaires), 8 et 10 (intermittents du spectacle et de l’audiovisuel).

Les sacros saints dogmes de la compétitivité, de la baisse du « coût du travail » et de la compétitivité amènent à toujours plus de misère d’exploitation. Le capitalisme se gave, les pauvres souffrent !

Mais dans le pays, des millions d’hommes et de femmes ne baissent pas pour autant la tête, se battant pieds à pieds dans les entreprises et les quartiers afin de défendre nos intérêts de classes, nos emplois, nos conditions de vie et nos droits. Ils et elles essaient au quotidien de faire reculer un patronat tout répressif, qui multiplie les mises à pieds, les entretiens préalables, les licenciements… Bref, la pression et la tension montent dans tous le pays. Il est temps pour les classes populaires de réagir.

Le 18 mars, l’intersyndicale regroupant la CGT, FO, FSU et Solidaires appelle à une journée de grève et de manifestation. Si chaque centrale a un intérêt distinct pour cette journée, dans une période où les échéances électorales tant professionnelles que politiques vont aller s’accentuant, il importe pour nous CNT de faire de cette journée un point d’appui afin de faire converger les différentes luttes sectorielles, permettant ainsi l’émergence d’un mouvement interprofessionnel, seul à même de construire une riposte coordonnée du monde du travail dans le cadre d’Assemblées générales souveraines, de grèves et de toutes formes d’actions directes permettant l’amplification du combat social.

Pour exiger des hausses de salaires, l’amélioration de nos conditions de travail et de vie, la fin de la répression sociale, le retrait du Pacte de Compétitivité et du CICE (qui représentent près de 60 milliards d’euros de cadeaux au patronat sous forme de baisse des cotisations sociales, et donc autant de manque à gagner dans les caisses de la sécurité sociale et de l’assurance chômage), la CNT appelle toutes et tous à se mettre massivement en grève le mardi 18 mars, à participer aux manifestations qui se dérouleront à travers tout le pays, et à initier toute dynamique permettant la convergence interprofessionnelle et la reconduction du mouvement là où les conditions le permettront.

Contre le capital, le gouvernement et ses politiques libérale construisons la grève générale. Toutes et tous dans la rue le 18 mars !
À Nancy, rendez-vous à 14h30 place Dombasle !

  • Retrait du Pacte de Responsabilité et du Crédit Impôt Compétitivité Emplois ;
  • Smic à 1500 € nets avec échelle mobile des salaires ;
  • Amnistie sociale, civile et pénale ;
  • Un accès aux indemnités de chômage sans condition et sans durée limite avec un taux de remplacement à 100% du meilleur salaire ;
  • Rétablissement du droit à l’allocation chômage en cas de démission ;
  • Arrêt des exonérations des cotisations sociales patronales ;
  • Autogestion des caisses de solidarités (sécurité sociale, Unédic etc.) par les salariés eux-mêmes, selon le modèle existant avant les ordonnances de 1967 (qui ont introduit le paritarisme syndicats/patronat).

Téléchargez le tract confédéral ici.

« Toutes et tous des privilégié-es » ?! Qu’ils disent…

Organise-toi ! et lutteNégociation de la nouvelle convention UNEDIC 2014

Commencée en janvier dernier, elle doit se terminer ce jeudi 13 mars. Les syndicats patronaux, le MEDEF en tête, voire avec la complicité de l’État, envisagent de supprimer les annexes 4 (intérimaires), 8 et 10 (intermittents) donc  de  démanteler  les  droits  légitimes  de  tou-tes  les  demandeur-es d’emploi, à commencer par les travailleur-es précaires, les intérimaires et les intermittent-es du spectacle.

Agir ensemble plutôt que subir !

Intermittent-es du spectacle comme de la vie, intérimaires, chômeur-es indemnisé-es ou non, « travailleur-es au noir », C.A.Fard-es RSAstes, auto-entrepreneur-ses, salarié-es permanent-es du privé ou du public, stagiaires, préretraité-es survivant en A.S.S, etc.

Toutes et tous concerné-es !!

Rendez-vous à Nancy jeudi 13 mars 2014 :

  • à 10 h pour un rassemblement d’agitation place Maginot
  • à 12 h pour un pique-nique collectif devant le MEDEF
    (8, rue Alfred Kastler à Maxéville — En bus : ligne 2, arrêt St-Jacques II)

En ce jour de dernière rencontre de la nouvelle négociation UNEDIC, exprimons notre désaccord !

  • Plus d’un-e chômeur-e sur deux n’est pas indemnisé-e.
  • 500 milliards d’euros de droits sociaux ne sont pas réclamés.
  • Pour rappel, les allocations chômage ont été cotisées.
  • Pôle Emploi, avec le soutien de certains médias, ne cesse de jouer la culpabilisation, de multiplier les radiations, de renforcer les contrôles comme si le droit à vivre était un privilège à mériter !

Pour que l’on ne décide plus à notre place,
Parce que nul-le ne peut se croire protégé-e,
Commençons par nous battre contre
les VRAI-ES PRIVILÉGIÉ-ES et leur système !

À l’appel de la C.R.I.S.E., de la CGT Spectacle, de la CNT Interco 54, de l’UL CGT Nancy, de Solidaires 54 et du SYNAVI Lorraine.

Téléchargez le tract ici.

150 ans de la Première Internationale

Logo du Collectif 150Il y a quelques semaines, le Collectif150 s’est constitué à Nancy. A l’initiative de la chorale des Sans Nom, il est aujourd’hui soutenu par plusieurs organisations, collectifs locaux et individus. Notre souhait est d’organiser un événement pour les 150 ans de la Première Internationale.

Débats, concerts, manifestation seront au menu des ces trois jours (13-14-15 juin 2014 – Nancy – France). La présence de militants politiques, syndicaux, associatifs comme celle de musiciens, artistes et de chorales révolutionnaires d’autres pays en feront un événement politique, culturel et festif.

L’organisation de cette manifestation est collective. Avec la diffusion de ce premier communiqué, nous appelons les associations, partis politiques, syndicats, collectifs de lutte et individus souhaitant participer à lire l’appel du projet et à nous contacter.

Merci de diffuser le plus largement possible ces informations dans vos réseaux :