Les auxiliaires de vie scolaire (AVS) sont devenues indispensables pour accompagner les enfants en maternelle ou les élèves en situation de handicap. Beaucoup aiment ce travail, qui demande une grande capacité d’écoute et beaucoup d’ingéniosité. Pourtant, toutes ou presque en cherchent un autre : les bas-salaires, la précarité, le manque de formation et de reconnaissance les usent jusqu’à l’épuisement. D’autant plus que, malgré les multiples promesses gouvernementales, une véritables politique leur donnant les moyens de bien faire leur travail se fait toujours attendre.
Rentrée scolaire
Auxiliaire de vie scolaire, un métier d’utilité publique mais confronté à une grande précarité