Le journal populaire du faubourg Saint-Jean est en ligne. Au menu:
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- et plus encore
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La bras droit du maire Labeaume, Julie Lemieux, démissionne et pour une fois le côté bully du maire n’est pas en cause. L’ancienne journaliste évoque, comme le font tous les élu-e-s dans la même situation, des raisons familiales.
Publié dans actualité, personnelle, ville de Québec
Mots-clés Chantal Gilbert, démocratie, démocratie municipale, Francis Dupuis-Déry, François Picard, Julie Lemieux, liberté, Régis Labeaume
Ballade dans la vielle capitale pour s’imprégner de l’ambiance festive. La terrasse Dufferin était comme elle est, égale à elle-même, toujours autant exposée au vent. En bonus, pour le 150e anniversaire de la confédération, il y avait une belle mise en scène, de l’authenticité canadienne. J’étais tout de même surpris de ne pas avoir vu de manifestation pour souligner l’absurdité de cette fête du Canada. Jusqu’au moment où je rencontre des gens autour d’une bannière avec des symboles qui m’étaient jusqu’alors inconnu et le message « 150 ans de tentatives d’extermination ».
Redécouvrir Québec ou ce qu’on fête le 1 juillet. Par Najah.
Montréal, 1er mai 1906. À la surprise générale, des centaines de personnes d’origines diverses manifestent dans la métropole à l’occasion de la Fête des travailleurs et des travailleuses. Pour la première fois au Québec, des socialistes et des anarchistes prennent la rue ensemble, drapeaux rouges au vent. Leur action prend rapidement de l’ampleur. En l’espace de quelques années, Montréal devient l’un des principaux foyers d’agitation ouvrière au Canada grâce à leur implication dans le syndicalisme et l’action politique.
À travers cette conférence, nous tenterons de mieux comprendre de quelles façons les idées socialistes et anarchistes ont pu prendre racine au Québec avant la Première Guerre mondiale grâce à la mobilisation de ces militant-e-s. Nous mettrons en relief la diversité et la convergence de leurs pratiques politiques, de même que leurs liens avec d’autres militant-e-s révolutionnaires disséminé-e-s à travers le monde.
Par Mathieu Houle-Courcelles, doctorant en histoire Montréal.
La conférence dure 1 heure 8 minutes.
le 1 er avril 2017 au soir un groupe de jeunes féministes est allé devant le bar L’Anti pour s’exprimer sur le fait que le groupe rap Black Taboo, connu pour son contenu misogyne et violent, était en spectacle ce soir-là malgré les contacts tentés avec les propriétaires avant la soirée, l’attitude de ceux-ci a plutôt été très arrogante, et durant la manif, BT et l’Anti Bar ont fait un direct sur Facebook, suscitant les injures et les moqueries de leur clientèle…
On peut en voir un exemple sur place, dans cette vidéo…
Publié dans actualité, externe, féminisme, Saint-Roch
Mots-clés manifestation