VERSION FRANCAISE EN BAS!
Weil jede Räumung eine zu viel ist, wehren wir uns! Unsere Waffe ist die Solidarität – egal ob Rigaer94, Bantelmann oder Weserstraße 58. Wir stehen entschlossen gegen (hohe) Mieten, Luxussanierungen oder herabwertendes Verhalten von Eigentümern oder ihren Kompliz*innen, wie Bauleiter*innen oder Hausverwalter*innen. Unsere Wohn- und Lebensräume sollen keine Ware sein. Deshalb kämpfen wir für eine solidarische Stadt von Unten, in der wir selbstbestimmt leben.
Es gibt viele Arten gegen die herrschende und versagende Stadtpolitik zu rebellieren. Sei es das Scheppern am Fenster, das Reden mit den Nachbar*innen und die gegenseitige Hilfe, das Plakatieren und Demonstrieren, das Aneignen von Häusern, Plätzen und Wänden oder direkte Aktionen gegen die Verdrängungsakteure. Werdet kreativ und rebellisch bei euch im Kiez, in der Straße oder in den Häusern.
Wir laden Euch recht herzlich ein: Kommt am Sonntag, den 19.03., und alle folgenden Sonntage, ab 14 Uhr zur Friedelstraße 54. Wir bieten ein Mikrophon und die Gelegenheit zum Austausch. Verdrängung kann jede*n treffen. Egal wie unterschiedlich unsere Meinungen sind, ist es wichtig zusammenzukommen um gemeinsam gegen Zwangsräumungen, hohe Mieten und die unsoziale Veränderungen unserer Kieze einzustehen.
Nach wie vor wollen wir die Friedelstraße 54 in Selbstverwaltung überführen! Die Rücknahme der Kündigung für den Kiezladen ist ja wohl das Mindeste! Die Wende in der Stadt beginnt mit uns allen selbst!
wo: Friedelstraße 54, 12047 Neukölln
Infos: https://friedel54.noblogs.org/
Schreibt uns: kiezladenf54bleibt(A)riseup.net
Weitere aktuelle Aktionen:
- Unterschreibt auf einer der Unterschriftenlisten im Laden
- Unterschreibt die Onlinepetition
- Fragt bei unserer Hausverwaltung nach, wann sie endlich das Haus verkauft oder die Räumung abbläst
- kommt zur Kiezversammlung44 an jedem ersten Sonntag im Monat um 12 Uhr in die Manege (Rütlistr. 1-3)
En français:
Et chaque dimanche… : rassemblement contre les évictions devant le collectif “Friedel54”
Chaque dimanche du mois de mars, de 14h à 16h, se tiendra un rassemblement devant le collectif Friedel54. Le statut “toléré” du collectif prend fin le 31 mars. On nous expulse des locaux que différentes personnes ont emplis pendant 13 ans d’actions, de discussions, de cantines populaires, d’un magasin gratuit, de sérigraphie, cinéma, d’une permanence pour le droit au logement, etc., etc.
Nous adressons notre colère à l’ordre établi qui prévoit et encourage cette forme d’expulsions.
NOUS RESTERONS TOUS ICI ! – LA FRIEDEL54 SE BAT !
Parce que chaque expulsion est une expulsion de trop, nous nous défendons ! Notre arme est la solidarité – peu importe que ce soit pour la Rigaer94 ou la Weserstrasse 58. Nous nous positionnons fermement contre les loyers (élevés), les rénovations de luxe ou le comportement rabaissant des propriétaires et des personnes qui les aident, comme les chefs de chantiers ou les gérant(e)s de nos immeubles. Nos lieux d’habitation et de vie ne doivent pas se transformer en marchandises. C’est pour cela que nous nous battons pour une “Ville venant d’en bas”. Dans laquelle nous tenons les rênes de nos vies.
Quand les politiques de la ville manquent à leur devoir, nous devons nous rebeller. Que ce soit en faisant du bruit à nos fenêtres, en discutant avec nos voisin(e)s, en collant des affiches et en manifestant, en nous appropriant des immeubles, des places, des murs, ou par des actions directes contre les acteurs et actrices de ce processus d’expulsions.
Investissez-vous dans vos quartiers, dans la rue ou dans vos immeubles !
Nous sommes heureux et heureuses de vous inviter chaque dimanche, à partir de 14h dans la Friedelstrasse 54. Nous vous offrons un micro et l’occasion de discuter. Nous pouvons tou(te)s être menacé(e)s d’expulsion. Peu importe les différences de nos idées, il est important de nous unir et de créer ensemble un barrage contre les expulsions forcées, les loyers élevés et les expulsions asociales dans nos quartiers.
“Nous n’avons pas besoin de propriétaires immobiliers, car les maisons nous appartiennent…” (traduction libre de Rio Reiser, Ton Steine Scherben)