- published: 24 May 2007
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Jean Gabin (French pronunciation: [ʒɑ̃ gabɛ̃]; 17 May 1904 – 15 November 1976) was a French actor and sometime singer. Considered a key figure in French cinema, he starred in several classic films including Pépé le Moko (1937), La grande illusion (1937), Le Quai des brumes (1938), La bête humaine (1938), Le jour se lève (1939), and Le plaisir (1952). Gabin was made a member of the Légion d'honneur, due to the important role he played in French Cinema.
Gabin was born Jean-Alexis Moncorgé in Paris, the son of Madeleine Petit and Ferdinand Moncorgé, a cafe entertainer whose stage name was Gabin. He grew up in the village of Mériel in the Seine-et-Oise (now Val-d'Oise) département, about 22 mi (35 km) north of Paris. The son of cabaret entertainers, he attended the Lycée Janson de Sailly. Leaving school early, he worked as a laborer until the age of 19 when he entered show business with a bit part in a Folies Bergères production. He continued performing in a variety of minor roles before going into the military.
http://www.formation-vente-directe.com ... Maintenant je sais, je sais qu'on ne sait jamais" !
Abonnez-vous http://bit.ly/Inastars Dernière interview de Jean GABIN par Frédéric ROSSIF ? quelques mois avant la mort de l'acteur. Il raconte le déroulement d'une conférence de presse (qualifiée de brillante) donnée en Italie lors du tournage de "l'année sainte", son dernier et 94ème film. Il parle de ses projets de films, il n'est plus producteur, la GAFER a été dissoute.
Las de la grisaille parisienne, un clochard décide de s'installer sur la côte d'Azur.
un filme de jean gabin qui joue le role d'un prédent.
Retrouvez la critique du Tatoué dans notre grand dossier Saga Louis de Funès: http://lemondedesavengers.fr/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-2eme-partie#2 Rejoignez la discussion Louis de Funès sur notre forum: http://avengers.easyforumpro.com/t2134p300-louis-de-funes Devenez fan de notre page pour retrouver d'autres séquences cultes avec Louis de Funès: http://www.facebook.com/lemondedesavengers
En compagnie de la team #Clhebdo, Anne-Élisabeth Lemoine donne la parole à ses invités pour décrypter et analyser l’actualité de la semaine. Plus de coulisses, de photos, d'infos, d'échanges, de Live-Tweet, de videos, de #Clhebdo sur : - Facebook : https://www.facebook.com/clhebdo - Twitter : @clhebdo5
Bande annonce de la rétrospective consacrée à Jean Gabin, à la Cinémathèque française du 16 mars au 30 mai 2016
Présentation de la rétrospective Jean Gabin, du 16 mars au 30 mai 2016 à la Cinémathèque française, par Murielle Joudet
Jean GABIN Jean GABIN s’installe dans l’Orne au début des années 50 comme agriculteur. Il cultive les terres et élève des vaches normandes. Sa passion des chevaux deviendra la plus forte et le conduiront à créer un haras et un hippodrome à Moulins-la-Marche qui porte aujourd’hui son nom et fait partie des rares hippodromes privés en France . L’Association « Perce Neige », créée par Lino VENTURA , organisera durant plusieurs années un grand rassemblement à l’hippodrome au profit des personnes handicapées, les « Journées Perce Neige ».
Jean Gabin aura tourné deux films avec Jean Grémillon, deux grands mélodrames français : "Remorques" et "Gueule d'amour". L'acteur et le cinéaste ont en commun d'envisager le temps d'un film comme la lente consomption d'un personnage dans la passion. Chez l'un comme chez l'autre, la passion est une éthique, une façon pour l'individu de préserver paradoxalement son intégrité et sa liberté en allant au bout d'une logique passionnelle, même si c'est pour s'y perdre parfois. Pour Gabin comme pour Grémillon, on prend toujours un grand risque à «faire du sentiment». Cette conférence sera l'occasion de revenir sur leur collaboration et de poser les bases du jeu d'acteur de Gabin. En partenariat avec l'Université Permanente de Paris
"La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses... On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses, C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le SAIS... !" Feel free to Stendhal... <42 Date: The 21st of June, a Sunday. Location: Stendhal, Avenue de la Croix, Cimetière de Montmartre, Paris, France. GPS: 48°53'13.76"N 2°19'47.31"E Musica: “Maintenant je sais” by Jean-Loup Dabadie, Philip Green & Jean Gabin.
Tribute * Pierre Granier-Deferre, 1971 Soundtrack: Philippe Sarde
French Cancan est l'aboutissement, en forme d'apothéose, d'une collaboration entre Jean Gabin et Jean Renoir qui s'est développée en quatre films ("Les Bas-fonds", "La Grande Illusion", "La Bête humaine"). C'est aussi un des plus grands films du cinéma français où Gabin déploie l'une des facettes les plus émouvantes de son identité d'acteur : l'homme-peuple, agrégeant autour de lui et de sa personnalité toute une petite communauté qui le soutient et, grâce à lui, donne le meilleur d'elle-même. C'est aussi un grand film hédoniste et sentimental, à l'image de Gabin et du cinéma de Renoir. La splendeur de "French Cancan" nous rappelle aussi qu'il y eut un temps où les grands films avaient la beauté lancinante des chansons populaires. En partenariat avec l'Université Permanente de Paris
Abonnez-vous http://bit.ly/Inastars Dernière interview de Jean GABIN par Frédéric ROSSIF ? quelques mois avant la mort de l'acteur. Il raconte le déroulement d'une conférence de presse (qualifiée de brillante) donnée en Italie lors du tournage de "l'année sainte", son dernier et 94ème film. Il parle de ses projets de films, il n'est plus producteur, la GAFER a été dissoute.
Interview de Jean Gabin, lors du tournage d'Archimède le clochard
Abonnez-vous http://bit.ly/Inastars 03 décembre 1959 Jean GABIN nommé chevalier dans l'ordre de la Légion d'Honneur : sur une péniche-guinguette des bords de Marne, le comédien reçoit ses amis et répond avec complaisance aux questions de Léon ZITRONE sur sa carrière, sa famille et la guerre.
Disparu le 15 novembre 1976, l'immense acteur Jean Gabin évoque pour "L'entrevue de la mort qui tue" ses grands classiques, ses grands amours et le cinéma français actuel. #EntrevueDeLaMortQuiTue Une série de la Radio Télévision Suisse à suivre chaque lundi ici: Playlist: https://youtube.com/playlist?list=PLkDhl_ki3WcHmMmjEVk3N04JTYozfl1y8 Site: http://rtsculture.ch Portail vidéo: http://rts.ch/play Facebook: https://facebook.com/rts.ch
Abonnez-vous http://bit.ly/Inastars Pour le cinéma : émission du 6 décembre 1970 Jean GABIN interviewé par Robert CHAZAL. Il parle des films muets qu'il a tournés, de ses débuts avec le parlant dans une opérette "Chacun sa chance". Il parle de ses chansons notamment de "Quand on s'promène au bord de l'eau" du film "La belle équipe". Parle de son premier grand film "La belle marinière", de "La bandera". Il parle de "Golgotha", de Julien DUVIVIER et des réalisateurs RENOIR, CARNE, GREMILLON avec lesquels il a tourné plusieurs fois. Il parle de sa courte carrière américaine pendant la guerre, et de sa période noire d'après-guerre (ses cheveux avaient blanchi). Il parle des films "Touchez pas au grisbi", "Les grandes familles", des "Maigret" avec DELANNOY, "La traversée de Paris". Parle de Gil...
Gabin
Abonnez-vous http://www.youtube.com/subscription_center?add_user=Inastars Les dossiers de l'écran 01/12/1987 Claude SERILLON s'entretient avec Michèle MORGAN sur le célèbre baiser donné à Jean Gabin dans le film "Quai des brumes" Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr
Abonnez-vous http://bit.ly/Inastars L'invité du dimanche 15/02/1970 Max FAVALELLI interviewe Jean GABIN et Michel AUDIARD sur leur première rencontre lors du film "Gas-oil"; ils évoquent les collaborations suivantes. La psychologie de GABIN (son mauvais caractère), il dit être "un révolté naturel..., je ne vote pas je subis". Michel AUDIARD et Jean GABIN parlent de lecture, de la passion de GABIN pour les chevaux de course; il parle de son métier de "saltimbanque". Max FAVELLI questionne Jean GABIN sur ses défauts. Jean GABIN parle des bonnes bouffes entre amis grands mangeurs, surtout Lino VENTURA et Bernard BLIER Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel http://www.ina.fr
Disparu il y a trente ans, Michel Audiard, ciseleur de dialogues hors pair, se dévoile dans ce documentaire riche en archives et en témoignages, dont celui de son fils, le cinéaste Jacques Audiard. Enfant abandonné, formé à l’école de la rue dans le Paris des années 1920, Michel Audiard, certif’ en poche, tente vainement d’embrasser une carrière de coureur cycliste, avant de se faire voleur de bicyclettes pour survivre sous l’Occupation. Après la guerre, le voilà critique de cinéma dans une revue sur les vedettes et auteur de trois polars où éclate son goût pour les petits malfrats et les blondes plantureuses. La suite est connue : plus de cent films comme dialoguiste dans les années 1950 à 1960, dont les cultissimes Tontons flingueurs, huit comme réalisateur dans la décennie suivante, et...
Le site FilmoTV a eu la gentillesse de m'interviewer pour introduire leur cycle de films "Bouffe et Cinéma". Filmo TV est un (excellent) site de VOD. En août 2013, le spectateur peut savourer 8 films particulièrement bien choisis autour de la nourriture à l'écran. Dans cet épisode : "Voici le temps des assassins...", de Julien Duvivier (1956) avec Jean Gabin. Interview : Laurent Delmas Publié avec l'aimable autorisation de FilmoTV. www.filmotv.fr
Reportage et interview de Marcel Carné, sur son film "LES PORTES DE LA NUIT", initialement prévu pour être interprété par Marlène Dietrich et Jean Gabin, mais finalement "massacré" par le jeu d'Yves Montand et Nathalie Nattier ; remplaçants de presque dernière minute... Ce long-métrage fut plus qu'un demi-échec qui discrédita Marcel Carné auprès des producteurs pour la suite de sa carrière ; notamment à cause de son désir de reconstruire en décors, la station de métro "Barbès-Rochechouart", immortalisée par les répliques lumineuses de Julien Carette, soigneusement concoctées par Jacques Prévert. Dans son interview, initiée par Armand Panigel, Carné ne mâche pas ses mots sur la véritable "nature" d'Yves Montand, souvent mal exploité dans des rôles dramatiques...
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Las de la grisaille parisienne, un clochard décide de s'installer sur la côte d'Azur.
un filme de jean gabin qui joue le role d'un prédent.
Retrouvez la critique du Tatoué dans notre grand dossier Saga Louis de Funès: http://lemondedesavengers.fr/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-2eme-partie#2 Rejoignez la discussion Louis de Funès sur notre forum: http://avengers.easyforumpro.com/t2134p300-louis-de-funes Devenez fan de notre page pour retrouver d'autres séquences cultes avec Louis de Funès: http://www.facebook.com/lemondedesavengers
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Bande annonce de la rétrospective consacrée à Jean Gabin, à la Cinémathèque française du 16 mars au 30 mai 2016
Présentation de la rétrospective Jean Gabin, du 16 mars au 30 mai 2016 à la Cinémathèque française, par Murielle Joudet
Jean GABIN Jean GABIN s’installe dans l’Orne au début des années 50 comme agriculteur. Il cultive les terres et élève des vaches normandes. Sa passion des chevaux deviendra la plus forte et le conduiront à créer un haras et un hippodrome à Moulins-la-Marche qui porte aujourd’hui son nom et fait partie des rares hippodromes privés en France . L’Association « Perce Neige », créée par Lino VENTURA , organisera durant plusieurs années un grand rassemblement à l’hippodrome au profit des personnes handicapées, les « Journées Perce Neige ».
Jean Gabin aura tourné deux films avec Jean Grémillon, deux grands mélodrames français : "Remorques" et "Gueule d'amour". L'acteur et le cinéaste ont en commun d'envisager le temps d'un film comme la lente consomption d'un personnage dans la passion. Chez l'un comme chez l'autre, la passion est une éthique, une façon pour l'individu de préserver paradoxalement son intégrité et sa liberté en allant au bout d'une logique passionnelle, même si c'est pour s'y perdre parfois. Pour Gabin comme pour Grémillon, on prend toujours un grand risque à «faire du sentiment». Cette conférence sera l'occasion de revenir sur leur collaboration et de poser les bases du jeu d'acteur de Gabin. En partenariat avec l'Université Permanente de Paris
"La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses... On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses, C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le SAIS... !" Feel free to Stendhal... <42 Date: The 21st of June, a Sunday. Location: Stendhal, Avenue de la Croix, Cimetière de Montmartre, Paris, France. GPS: 48°53'13.76"N 2°19'47.31"E Musica: “Maintenant je sais” by Jean-Loup Dabadie, Philip Green & Jean Gabin.
Tribute * Pierre Granier-Deferre, 1971 Soundtrack: Philippe Sarde
French Cancan est l'aboutissement, en forme d'apothéose, d'une collaboration entre Jean Gabin et Jean Renoir qui s'est développée en quatre films ("Les Bas-fonds", "La Grande Illusion", "La Bête humaine"). C'est aussi un des plus grands films du cinéma français où Gabin déploie l'une des facettes les plus émouvantes de son identité d'acteur : l'homme-peuple, agrégeant autour de lui et de sa personnalité toute une petite communauté qui le soutient et, grâce à lui, donne le meilleur d'elle-même. C'est aussi un grand film hédoniste et sentimental, à l'image de Gabin et du cinéma de Renoir. La splendeur de "French Cancan" nous rappelle aussi qu'il y eut un temps où les grands films avaient la beauté lancinante des chansons populaires. En partenariat avec l'Université Permanente de Paris
Quand j'?tais gosse, haut comme trois pommes,
J'parlais bien fort pour ?tre un homme
J'disais, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS
C'?tait l'd?but, c'?tait l'printemps
Mais quand j'ai eu mes 18 ans
J'ai dit, JE SAIS, ?a y est, cette fois JE SAIS
Et aujourd'hui, les jours o? je m'retourne
J'regarde la terre o? j'ai quand m?me fait les 100 pas
Et je n'sais toujours pas comment elle tourne !
Vers 25 ans, j'savais tout : l'amour, les roses, la vie, les sous
Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout le tour !
Et heureusement, comme les copains, j'avais pas mang? tout mon pain :
Au milieu de ma vie, j'ai encore appris.
C'que j'ai appris, ?a tient en trois, quatre mots :
"Le jour o? quelqu'un vous aime, il fait tr?s beau,
j'peux pas mieux dire, il fait tr?s beau !
C'est encore ce qui m'?tonne dans la vie,
Moi qui suis ? l'automne de ma vie
On oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse !
Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire JE SAIS
Seulement, plus je cherchais, et puis moins j' savais
Il y a 60 coups qui ont sonn? ? l'horloge
Je suis encore ? ma fen?tre, je regarde, et j'm'interroge ?
Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS !
La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses
On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses
C'est tout c'que j'sais ! Mais ?a, j'le SAIS... !