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mercredi, décembre 16, 2009

Lois C46 et C47: Vers la fin de la vie privée au Canada.


Un texte intéressant qui traite du resserrement des lois sur la surveillance électronique par le gouvernement conservateur.Tiré de L'Anarcarnet - The Anarblog.

Il y a présentement un mouvement très fort au sein du gouvernement conservateur, appuyé par "l'opposition" libérale pour fortement resserrer les lois sur la surveillance téléphonique et informatique. En bref: vous allez être surveillés par votre police locale, provinciale, fédérale ou étrangère sans mandat et sans être averti. En tant qu'administrateur système pour le Réseau Koumbit où ma tâche est justement de m'assurer de la confidentialité et de la sécurité de vos données, ceci m'inquiète au plus haut point. Le Canada, jusqu'à maintenant épargné par cette folie, était considéré comme un symbole international de la liberté sur internet. Il rejoindrait maintenant la tendance internationale (en fait, américaine, européenne et chinoise) et embarquerait dans le bateau de la surveillance globale, style 1984.

Un projet de surveillance globale et arbitraire

Le gouvernement Canadien complote présentement à forcer les fournisseurs d'accès et de services Internet (les FAI/FSI, par exemple Koumbit, Bell Canada, Vidéotron, Google, Hotmail, etc) à vous surveiller sans mandat et sans vous avertir. Ces fournisseurs seront forcés par la loi de garder trace (les "journaux" ou "logs" en anglais) de toute activité de votre part. Voici les informations que les fournisseurs seront forcés de fournir, par la loi, à tout officier de police, ou "personne autorisée" par la loi, qui en fera la demande:


dimanche, janvier 20, 2008

Rassemblement d'appui au pirate Gérémi Adam

Reçu sur notre mail... un envoie des anarcho-gangster....

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Gérémi Adam a été arrêté par la GRC, suite à des indications obtenues
du FBI, le 8 septembre 2006 alors qu'il enregistrait un film quelconque dans un cinéma Guzzo de la ville. Il a été de nouveau intercepté par le SPVM le 26 octobre suivant en train de répéter le geste, suite à une dénonciation de Vincent Guzzo, vice-président des cinémas du même nom. Gérémi est accusé d'avoir contrevenu à la Loi sur le droit d'auteur, modifiée en 2005 pour réprimer plus sévèrement le piratage informatique.
Ce n'est pas seulement le procès d'un pirate qui s'ouvre ce 30 janvier, mais le procès politique d'Internet. On lui reproche de laisser libre cours à la culture populaire du partage, favorisant le viol de la propriété intellectuelle. La bourgeoisie tente désespérément de résoudre la contradiction entre le capitalisme et le potentiel de détournement issu de son développement technologique. Plus que jamais, il existe un marché florissant pour les nouveaux produits qui peuvent détruire le marché.
Pirater est un geste politique. HØ, tout comme vous et Gérémi, pille et distribue. Pour nous, si la marchandise culturelle de notre époque a un prix, elle n'a absolument aucune valeur. C'est pour cette raison que l'on doit rendre hommage à notre camarade Gérémi Adam, « l'un des plus importants pirates de films de la planète. »


MERCREDI 30 JANVIER 2008
8h30, au Palais de justice de Montréal (coin St-Laurent / St-Antoine)

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Hors-d'Øeuvre
Un élément parmi rien d'autre



http://www.hors-doeuvre.org/ (malheureusement pas updaté...)

jeudi, janvier 03, 2008

Le film que les studios d'Hollywood ne veulent pas que vous voyiez.



Vous ne verrez jamais ce film dans un cinéma payant ou sur les tablettesd'un magasin de location. Steal this Film part 2, tout comme sonprédécesseur STF1, a été créé de façon ouverte en ligne par des membresde la communauté internationale du partage numérique (ou « piratesinformatiques » comme certains les appellent). Pour le voir, vous devrezdonc le voler! C'est-à-dire que vous devrez faire appel aux nouvellestechnologies du partage d'information, comme BitTorrent<http://fr.wikipedia.org/wiki/Bittorrent> ou Direct Connect<http://fr.wikipedia.org/wiki/Direct_Connect>.

Le film, lancé le mois dernier, survole l'histoire du partaged'information à travers le temps, passant de la parole à l'écrit, à lareproduction mécanique puis numérique. Il établit que le partage estfondamentalement humain et que la musique et le cinéma, loin d'êtremenacés par la piraterie, sont en train de subir des transformations...pour le mieux.

Je vous conseille fortement de vous procurer les sous-titres afin decomprendre les tounes de rap.