Car nul ne le sait, dans notre CHU, où il y a 6 étages de spécialités chirurgicales, le service de réanimation chirurgicale ne dispose que de... Vous ne devinerez jamais...
Et oui, vous avez bien lu ! Je me suis inscrite à Poudlard, la prestigieuse école de sorcellerie, celle où de grands sorciers ont fait leurs études.
Ces écarts éthiques risquent de lui coûter son maintien dans la course à l'Elysée et tout le monde se souviendra du courage des journalistes et de leurs informateurs, ces valeureux lanceurs d'alerte.
Qui n'a jamais songé à monter de toutes pièces une excuse pour se sauver d'une réunion ? Selon certaines statistiques, un employé passe en moyenne 30 heures par mois en réunion. Trop c'est trop. Ce phénomène, communément appelé "réunionite aigue", est très répandu de nos jours.
Ce mouvement de grève et de révolte vise uniquement et simplement à protéger nos jeunes qui suivent un cursus universitaire et qui font ce qu'on leur demande! Ne brisons pas leurs rêves!
Aujourd'hui je souffre car je ne serai pas à vos côtés, ce sera un moment difficile, inédit, mais nécessaire. Car aujourd'hui nous allons mener une autre lutte, celle contre les dérives d'un système aux lois poussiéreuses qui étouffent l'élan vital de chaque médecin.
INTERNATIONAL - L'Arabie saoudite va-t-elle participer au projet de zone économique de la Nouvelle route de la soie (NRS)? Le projet saoudien "Vision 2030" et le projet pharaonique chinois "une ceinture, une route" peuvent-ils s'imbriquer? Le projet saoudien vise à rendre l'économie saoudienne plus robuste et sortir de l'ère du "tout pétrole".
ÉCONOMIE - La Banque centrale marocaine (Bank al-Maghrib) a annoncé le 3 janvier dernier avoir accordé des agréments à cinq banques islamiques dites participatives. Trois autres établissements conventionnels seront également autorisés à ouvrir des "guichets participatifs". Pour rappel ce n'est pas la première fois que le Maroc tente l'expérience, puisque déjà en 2007, les produits de la finance islamique ont été lancés, mais c'était un fiasco. Dix ans après, plusieurs incertitudes subsistent quant aux chances de sa réussite.
Ici ne sera pas traitée une solution globale d'utilisation optimale des ressources humaines de la Tunisie mais plutôt une solution concrète plus ciblée qui pourrait montrer la voie à d'autres reformes plus ambitieuses.
Le rayonnement culturel d'un pays est la responsabilité de plusieurs acteurs. En grossissant le trait, nous pourrions dire qu'ils sont au nombre de trois : les citoyens, l'Etat et les entreprises. Analysons leurs rôles et les solutions qu'ils pourraient apporter.
POLITIQUE - Benkirane ne serait-il pas entrain de "se battre contre des moulins à vent"? La réforme ne serait-elle qu'un rêve dont le combat a peu de chance d'aboutir?
Mais flancher n'est pas une option, il y a tant de vies à sauver et beaucoup d'autres patients qui comptent sur nous, alors c'est dans le déni qu'on continuera, les robots que nous sommes, programmés à appliquer ce qu'on nous a toujours appris.
Il ne s'agit donc pas de la médecine contre le journalisme, ni des médecins contre l'opinion publique, mais de deux médecins et de certains journaux, de deux citoyens en somme et d'un abus réglementé.
En quelques instants par jour, vous pouvez cultiver, non pas "LE" bonheur, mais bien votre bonheur à vous. Lorsqu'on le cherche trop loin de soi, le bonheur fuit.
Voici quelques conseils pour aller plus loin et provoquer l'étincelle qui fera la différence auprès de vos prestataires.
Comme déjà dit à maintes reprises, la révolution en Tunisie reste encore à imaginer, et révolte n'est pas révolution.
impose les activités et donne son avis sur vos invités. Cela vous amusait parce qu'"il savait ce qu'il voulait". La maison ressemble à une salle de jeux mais cela vous importait peu car vous voyiez votre enfant heureux et vous, vous étiez comblés. Puis, il a fini par ne plus vous écouter. Plus il grandit, plus il prend de l'assurance et plus il impose ses décisions.
POLITIQUE - Time goes by... Nous sommes à 4 mois des élections du 7 octobre 2016, le "citoyen" marocain semble oublier ou presque qu'il vit sans gouvernement. Un droit à part entière, mais qui s'estompe derrière une succession d'événements amnésiants.
SOCIÉTÉ - La levée de boucliers de certains journaux et radios, ainsi que de la société civile, concernant la décision de séparation des espaces hommes et femmes dans les salons de coiffure, prise par le conseil de la ville de Fès, a de quoi nous interpeller.