Eh oui... ! C'est bien depuis Houston, capitale de l'industrie pétrolière, que le ministre algérien de l'Énergie, M. Nourredine Boutarfa, annonce l'ouverture prochaine d'un appel d'offres pour la réalisation de la plus grande centrale photovoltaïque du monde. 4.000 mégawatts... !
Nous avons commis des bêtises, nous avons commis des erreurs. Mais on va les corriger. On assume. Personne ne fait pas d'erreurs ! ». C'est ainsi que le très controversé Ali Haddad, Président du FCE a présenté ses plates excuses au gouvernement SELLAL suite à l'incident protocolaire qui a fait quitter la salle au premier ministre ou Erb3tou !
L'Algérie est en passe de retrouver son destin de grande puissance en Méditerranée et en Afrique. Sans bouleversements intempestifs, l'économie et les mentalités se transforment en profondeur. Se dessine une vision ambitieuse et historique pour les Algériens, mais aussi une vision ...
Nos députés ont donc adopté le projet de loi de finances et du budget pour l'année 2017 ! En une après midi ya Bou galb ! Quelle efficacité ! Et notre cher journal El Moudjahid de nous préciser que "les voix pour l'adoption du texte de loi se sont traduites par un grand « oui » de la majorité des membres de la chambre basse du Parlement".
Les exemples de l'Égypte , de la Grèce et du Venezuela sont devant nous. Devons-nous attendre la faillite de l'Etat pour entreprendre les réformes qui préservent l'Etat social? Un Etat failli ne peut venir en aide à des citoyens démunis dont le nombre s'accroît. Devons-nous attendre la faillite de l'économie centralisée afin que des responsables se déchargent de leur responsabilité, vaquent à leurs comptes privés et que l'étranger prenne en charge nos comptes publics?
La Russie de par son président M.Poutine, s'est engagé depuis une décennie à purger le pays de tous les "islamismes", à commencer par la Tchétchénie qui était une menace certaine pour son développement économique et social. De par la mentalité régressive des "pseudos-Imams" du pays. Ce qui s'est vérifié en Chine !.Puis dans de nombreux pays ou l'Islamisme est présent.
Le réchauffement climatique est un problème mondial majeur qui reste ignoré et/ou marginalisé par les médias, les politiques et mêmes les acteur...
Dans un contexte où la succession future du roi Salmane alimente nombre de scénarios, les investisseurs ont donc tranché : pour eux, il y aura continuité et le plan de diversification à 2000 milliards de dollars, vanté par le vice-prince héritier Ben Salman (MBS) est pérenne.
Rosneft est la plus grande capitalisation boursière russe (devant Gazprom !) puisqu'il pèse près de 60 milliards de dollars. En début de semaine, le groupe s'est aussi illustré en déboursant avec ses partenaires - le courtier européen Trafigura et le fonds russe United Capital partners (UCP) - la somme coquette de 13 milliards de dollars pour acquérir la branche pétrolière (dont des raffineries) du groupe indien (très endetté) Essar.
Aujourd'hui c'est sur la base d'un certain socialisme que la différenciation sociale et l'évolution du pouvoir d'achat peuvent être acceptés. On pourra parler plus tard, avec le développement de l'économie de marché, de social-démocratie.
Le gouvernement s'est engagé dans une nouvelle épreuve de force avec les syndicats autonomes. En jeu : la retraite proportionnelle.
Le ministère du Commerce, chargé de mettre un système de licences, a pris des mesures draconiennes. Initialement fixé à 152.000 véhicules, le quota des importations a été ramené à 83.000, réduisant considérablement la voilure des principaux acteurs et poussant d'autres à la marge. Les prix ont aussitôt explosé.
Cinq entrepreneurs et chefs d'entreprises algériens figurent dans le "TOP 100" des "leaders économiques africains de demain", dans un rapport publi...
L'économie étasunienne va bien et Hillary Clinton pourrait s'en prévaloir. Décidé à la soutenir activement pour empêcher Trump de l'emporter (ce que Bill Clinton n'avait pas fait en 2000 en faveur d'Al Gore...), Barack Obama a brandi cet argument à plusieurs reprises.
Lors de sa réunion, hier, à Alger, l'OPEP a aplani le terrain pour un prochain accord sur un gel de la production, ce qui est suffisant pour redonner des cours à un marché amorphe. Elle n'a, toutefois, pas fixé de baisse précise de la production : celle-ci, estimée à 33.2 millions de barils/jour, devrait être ramenée entre 32.5 et 33 millions. A ce rythme, il faudrait de longs mois pour rééquilibrer le marché, en raison du surplus de l'offre.