Famille
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Une famille est une communauté d'individus réunis par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines — selon l'anthropologue Claude Lévi-Strauss[1]. Elle est dotée d'un nom, d'un domicile, et crée entre ses membres une obligation de solidarité morale (qui peut se concrétiser par la réalisation d'une vendetta) et matérielle (notamment entre époux, d’une part, et entre parents et enfants, d’autre part), censée les protéger et favoriser leur développement social, physique et affectif. Si cette notion est universelle, le nombre d'individus qu'elle inclut ou la solidarité accordée est variable, c'est même une des notions centrales dans la culture. Il en découle de grandes différences par exemple dans le droit, dans la transmission du patrimoine ou la religion.
Étymologie[modifier | modifier le code]
Selon Engels « Famulus veut dire « esclave domestique » et la familia, c'est l'ensemble des esclaves qui appartiennent à un même homme. Encore au temps de Gaïus la familia, « id est patrimonium » (c'est-à-dire la part d'héritage) était léguée par testament. L'expression fut inventée par les Romains afin de désigner un nouvel organisme social dont le chef tenait sous l'autorité paternelle romaine la femme, les enfants et un certain nombre d'esclaves, et avait, sur eux tous,droit de vie et de mort[2]. »
Caractéristiques[modifier | modifier le code]
Généalogie et étendue[modifier | modifier le code]
La famille est essentiellement définie par les liens de parenté constatés par la généalogie familiale. Elle recouvre aujourd'hui des ensembles plus ou moins importants et diversifiés allant de la famille nombreuse à la famille monoparentale, en passant par la famille dite famille recomposée. Les relations de parenté résultent principalement de la filiation, de l'alliance, et l'adoption, selon des règles qui diffèrent selon les sociétés et les époques. Elles tendent généralement à recommander et promouvoir des relations exogamiques entre les personnes. D'où l'interdit visant généralement les relations sexuelles, et donc les alliances, entre les membres d'une même famille (endogamie) et a fortiori celui de l'inceste.
L'étendue, la composition de la famille, le nombre des individus considérés comme en faisant partie, sont déterminés par le degré de parenté permettant de savoir où commencent les droits et devoirs attachés à la notion de parenté et à l'obligation de solidarité. Dans les sociétés traditionnelles, les familles élargies (qu'on désigne actuellement sous l'appellation de clan), comportent des dizaines, voire des centaines de ménages ayant des fonctions diversifiées. Elles possèdent un patrimoine communautaire, comportant des terres, des maisons, des métiers, qui sont attribués ou loués comme biens privatifs pour permettre aux nouveaux ménages de s'établir. Les familles claniques permettent la réaffiliation, non seulement d'individus isolés, mais aussi des familles étrangères complètes[3]. Dans la Rome antique, mais aussi en Europe sous l'Ancien Régime, le terme de familia s'étend à l'ensemble de la maisonnée, c'est-à-dire aux domestiques, aux esclaves et même aux clients. Dans les sociétés modernes, la famille s'est progressivement restreinte à un seul degré de parenté ou d'alliance : la famille nucléaire. Pour les statisticiens français, la famille, ou ménage, est un ensemble d'au moins deux personnes — soit un couple avec ou sans enfant(s), soit un parent seul vivant avec au moins un enfant.
Le terme famille est également utilisé par analogie symbolique pour désigner des regroupements dont les liens ne sont pas fondés sur la parenté. De même, des individus partageant des pratiques ou des idéologies communes peuvent parler de famille, alors qu'aucun lien de sang ne les lie : on parle ainsi de famille politique, de frères d'armes, etc. Il existe par exemple la famille religieuse dans les couvents et les communautés : ainsi les religieux s'appellent-ils entre eux frère, sœur, père, mère. Des entreprises ont également ce type de politique : mettre les employés dans une atmosphère et des relations telles qu'ils se sentent appartenir à la même famille que les autres employés et que leurs dirigeants. On utilise alors parfois le terme de gestion paternaliste du personnel.
Membres[modifier | modifier le code]
Les membres de la famille ont des statuts différenciés issus de la généalogie familiale, et attribués en fonction de l'âge, du sexe, du rang dans la filiation, des talents, et de divers autres critères d'attribution de rôles sociaux ou économiques. Dans l'aire de civilisation européenne, ces statuts sont les suivants.
Famille nucléaire[modifier | modifier le code]
C'est la famille réduite à un seul degré de parenté ou d'alliance :
- les parents nucléaires : père(s) ou mère(s) ;
- le couple : époux ou épouse(s) ;
- les enfants : fils ou fille.
Famille élargie[modifier | modifier le code]
Plusieurs degrés de parenté :
- les descendants : petit-fils ou petite-fille, arrière-petit-fils ou arrière-petite-fille ;
- les ascendants : grand-père(s) ou grand-mère(s) ;
- les alliés : gendre ou bru ;
- les alliés ascendants : beau(x)-père(s) ou belle(s)-mère(s)[4], oncle(s) ou tante(s), grand-oncle(s) ou grand-tante(s), grand-cousin ou grande-cousine ;
- les alliés descendants : beau-fils ou belle-fille, petit-neveu ou petite-nièce, arrière-petit-neveu ou arrière-petite-nièce, cousin germain ou cousine germaine ;
- cousin(e), petit-cousin(e), arrière-cousin(e), etc.
On peut parler aussi de :
- grand-père paternel et maternel ou grand-mère paternelle et maternelle ;
- oncle paternel et maternel ou tante paternelle et maternelle ;
- parrain, marraine et filleul (e) ;
- alliés, collatéraux, etc.
On entendra également des expressions comme :
- père(s) adoptif(s) ou mère(s) adoptive(s), parents adoptifs ;
- enfants adoptés, enfants naturels, enfants légitimes, enfants légitimés ;
- enfants illégitimes, enfants adultérins, enfants cachés ;
- enfants abandonnés ;
- enfants exhérédés ;
- frère aîné ou sœur aînée ;
- benjamin, cadet ;
- aïeul(e),
- bisaïeul(e) ;
- trisaïeul(e) ;
- cousins « à la mode de Bretagne » ;
- « la marâtre » ;
- « les pièces rapportées ».
Système et institution[modifier | modifier le code]
Système de parenté selon l'ethnologie[modifier | modifier le code]
L'ethnologie fait de l'étude des systèmes de parenté un objet de recherche à part entière. Ces travaux cherchent à comprendre les diverses règles qui président à la composition et au développement de la famille : des règles d'alliance : inceste, exogamie, endogamie, monogamie, polygamie, polyandrie, mariage homosexuel ; des règles de filiation : patrilinéarité, matrilinéarité, ambilinéarité (en), filiation cognatique (ou indéterminée), parallèle, croisée, ou encore clonage[5].
Système de solidarité[modifier | modifier le code]
Le mot famille vient du mot latin fama qui veut dire réputation. De fait, les membres d'une même famille portent le même nom et jouissent d'un crédit et d'un honneur qu'ils doivent entretenir et défendre en commun. La famille s'est caractérisée, jusqu'à une période très récente, par la possession d'une personnalité collective exercée par un chef de famille, dont la suppression[6] marque la fin de son existence comme structure d'organisation juridique autonome. De nombreux chercheurs, comme Claudine Attias-Donfut, mettent en avant le rôle des grands-parents. Le sociologue Serge Guérin insiste sur le fait que le senior forme la génération pivot assurant le lien solidaire au sein de la famille entre les parents âgés et les enfants et petits-enfants.
Selon Emmanuel Todd, plusieurs systèmes familiaux peuvent être caractérisés en croisant deux critères principaux (relations entre parents et enfants, relations au sein de la fratrie) et un critère secondaire (relations endogames ou exogames) :
- la famille nucléaire absolue ;
- la famille nucléaire égalitaire ;
- la famille souche ;
- la famille communautaire.
Institution selon le droit positif[modifier | modifier le code]
Pour l'Organisation des Nations unies, l'article 12 de la Déclaration universelle des droits de l'homme garantit théoriquement depuis 1945 que dans le cadre de
« Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. »
— Article 12 de la Déclaration universelle des droits de l'homme
Le droit européen garantit également le droit à vivre en famille (article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme[7]
En droit français, les personnes mariées se doivent « secours et assistance ». Les ascendants et les descendants, par filiation ou par alliance, se doivent aussi l'aliment. Mais plus les frères et sœurs, beaux-frères et belles-sœurs.
Dans les sociétés traditionnelles, ce sont rarement les individus, et plutôt les familles qui avaient une capacité juridique et politique complète. Dans la famille, les membres ont des statuts diversifiés selon le sexe, l'âge, de la position généalogique, etc., et qui changent selon des règles coutumières de succession.
Ainsi en France avant 1789, les votes pour élire les syndics des communautés de village ou de métier, les conseils municipaux, se font par feu, c'est-à-dire par famille restreinte représentée par son chef qui légalement le père de famille : une famille, un vote. De même, pour les actions en justice, et tous les actes juridiques importants, sauf lorsque la femme exerce une activité publique en nom propre (dame de X = seigneur de X, marchande publique, etc.), c'est le représentant légal de la famille qui en a la capacité (comme actuellement dans une entreprise dont les membres n'ont pas la capacité juridique de l'engager). En cas de veuvage, la femme qui a la charge d'enfants mineurs devient presque toujours chef de famille et acquiert la pleine capacité juridique et politique. Avant, seul l’aîné touchait l'héritage de ses parents (les biens, la ferme, etc.).
En France[modifier | modifier le code]
En France, le droit de la famille a évolué au travers de la législation et de la jurisprudence, avec parmi les dates clés :
- 1215 : IVe concile du Latran, l'Église catholique régit officiellement qu'il doit y avoir :
- le consentement mutuel des époux (et non décision du mari comme il était courant dans l'Antiquité) ;
- des témoins (ce n'est plus un contrat privé) ;
- un âge minimal
- 1582 : rappel du caractère public de la cérémonie de mariage, et de la nullité des mariages clandestins.
- 1792 : autorisation du divorce.
- 1804 : le Code civil français consacre les notions de père et mère des enfants de la famille, ainsi que l'incapacité juridique de la femme mariée. La logique concernant le vote est l'expression d'une voix par foyer, l'homme représente le foyer.
- 1938 : réforme des régimes matrimoniaux : suppression de l'incapacité juridique de la femme mariée ; les femmes peuvent en théorie ouvrir seules un compte en banque.
- 1941 : les époux mariés depuis moins de trois ans ne peuvent plus divorcer.
- 1965 : une femme mariée peut exercer une activité professionnelle sans l'autorisation du mari.
- 1970 : loi relative à l'autorité parentale conjointe: le père n'est plus le chef de famille. Cette loi repose sur le principe d'égalité des sexes.
- 1975 : instauration du divorce par consentement mutuel
- 1985 : égalité des époux dans la gestion des biens de la famille et des enfants
- 1987 : élargissement des cas où l'autorité parentale peut être conjointe (divorce, concubinage)
- 1993 : principe de l'exercice conjoint de l'autorité parentale à l'égard de tous les enfants, quelle que soit la situation des parents
- 2001 : un congé de paternité de onze jours est octroyé au père à la naissance d'un enfant.
- 2002 : l'enfant est au placé au cœur de la coparentalité, le lien avec ses parents et avec ses proches est réaffirmé, il est consulté pour les décisions le concernant. l'exercice de l'autorité parentale est simplifié et redéfini[8].
- 2005 : un nouveau-né est en droit de recevoir le nom de famille du père, ou de la mère, ou des deux accolés[9].
- 2013 : ouverture du mariage aux couples de même sexe
Regards[modifier | modifier le code]
Vision sociologique[modifier | modifier le code]
La famille est valorisée dans les sociétés traditionnelles car représentant l'unité de base de la société, mais aussi le principal lieu d'éducation et de solidarité. De nombreux sociologues ont mis en avant la multiplicité des formes de familles qui est une des caractéristiques essentielles de la société. Comme souligné dans un article s’intéressant à la migration matrimoniale de Maurice, les modèles familiaux évoluent et se modifient suite aux situations de migration[10]. Des auteurs comme Odile Roy évoquent la notion de pluralisme familial [11]. Pour le chercheur Serge Guérin, avec le vieillissement de la population, une autre figure émerge avec l'aidant familial.
La famille, avec son mode de transmission parent-enfant, est considéré comme le lieu par excellence de la transmission des patrimoines (financier, culturel, social) et donc de la reproduction des groupes sociaux et culturels. Certains socialistes et anarchistes (tel Karl Marx dans le Manifeste du Parti communiste) ont réclamé l'abolition de la famille au profit d'une éducation collective des enfants nés dans la communauté. Certaines expériences ont été tentées dans des communautés relevant du socialisme utopique, mais généralement sans succès.[12]
La famille est également un cadre d'évolution et de développement des qualités des parents. La vie familiale améliorerait ainsi la capacité à gérer des équipes dans la vie professionnelle : "Le vécu familial donne aux managers des sentiments positifs qu'ils transfèrent sur leur lieu de travail et qui facilitent la performance. Il les aide à développer leur capacité à prendre en compte les autres, ce qui est crucial pour encadrer les autres, travailler en équipe ou se référer à ses supérieurs."[13]. Sont également citées les qualités de négociation, compromis, de résolution des conflits et de mener de front plusieurs tâches.
La question de la bonne parentalité, ou de la parentalité suffisante, est au cœur des représentations contemporaines de la famille. Cette notion évolue dans le temps et diffère en fonction des sociétés. Comme l’a montré le sociologue Pascal Gaberel, elle est cadrée par des politiques sociales établissant des indicateurs statistiques qui définissent implicitement les normes de la bonne parentalité[14].
Vision politique[modifier | modifier le code]
L'attitude des pouvoirs politiques vis-à-vis de la famille dépend de l'idéologie politique du gouvernant :
- Les milieux bourgeois ont souvent valorisé la famille en tant que préservatrice de la notion de propriété privée. La fonction de la famille est donc, dans cette optique utilitaire ;
- Les milieux socialistes sont plus ou moins réticents face à la notion de famille ;
- Les idéologies racistes (tel le nazisme au XXe siècle) ont une attitude plus ambiguë face à la famille. Si elle est dans certains cas promue afin d'encourager la natalité, la priorité nataliste peut parfois amener à promouvoir d'autres modèles (par exemple le programme Lebensborn des nazis).
Les politiques familiales peuvent poursuivre des objectifs de natalité, de solidarité en s'efforçant de réduire le surcoût entraîné par la présence d'enfants. Ainsi le dispositif dit de quotient familial, la gratuité ou la modulation des tarifs des prestations ou services dédiés aux enfants ou à leur mère, ou l'édition de réglementations favorables à la maternité (congé maternel, octroi de points retraite…).
Vision religieuse[modifier | modifier le code]
Catholicisme[modifier | modifier le code]
Au XIXe siècle, l'avènement de la République française marque le déclin de l'influence sociétale de l'Église catholique. Tandis que les découvertes scientifiques[Lesquelles ?] remettent en cause les vues traditionnelles sur la reproduction humaine[réf. nécessaire], l'institution catholique remanie, dans une lecture néothomiste, son discours religieux sur l'ordre naturel des choses issu de la volonté divine au fil des lois découvertes par les sciences naturelles, infléchissant sa conception naturalisante des liens familiaux. À la même époque, elle combine cette définition naturalisante avec la mise en avant du culte de la Sainte Famille – instauré en 1893 – qui doit représenter les liens entre Dieu et l’Église : la cellule familiale humaine devient une véritable « cellule d’Église », cellule de base de la reproduction sociale, seul cadre légitime et naturel des rapports sexuels possiblement féconds[15].
Depuis, les milieux catholiques valorisent fortement la famille, considérée comme la cellule de base de la société. Ceci par souci de préservation et de transmission des valeurs fondamentales, notamment morales et religieuses, voire des traditions. Plus récemment, en France, dans le cadre de l'élaboration du projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe et des quelques discussions sur le sujet, pour justifier sa position, l'Église avance des arguments anthropologiques et juridiques, c'est-à-dire des arguments de nature beaucoup plus large que de simples arguments religieux.
L'encyclique Caritas in Veritate sur le « développement humain intégral » insiste sur ce point :
« Dans cette perspective, les États sont appelés à mettre en œuvre des politiques qui promeuvent le caractère central et l’intégrité de la famille, fondée sur le mariage entre un homme et une femme, cellule première et vitale de la société, prenant en compte ses problèmes économiques et fiscaux, dans le respect de sa nature relationnelle[16]. »
Économie de la famille[modifier | modifier le code]
L'économie de la famille est une branche de la théorie économique consacrée à l'étude de la famille. Elle s'est notamment développée à la suite de l'ouvrage de Gary Becker A Treatise on the Family (en) (Traité sur la famille, 1981).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Les sociétés humaines et la famille » (consulté le 25 novembre 2014)
- Friedrich Engels, L'Origine de la famille, de la propriété privée et de l'État : (pour faire suite aux travaux de Lewis H. Morgan) [« Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats »], Paris, Carré, (1re éd. 1884) (OCLC 313398699, lire en ligne), p. 28
- Jacques Heerz, Le Clan au Moyen Âge, PUF
- Appelés auparavant parâtre et marâtre, termes étant progressivement remplacés au Moyen-Âge par beau-père et belle-mère lorsqu'ils se sont chargés d'une connotation négative.
- Des lois et invariants en anthropologie sociale
- Suppression du chef de famille dans la réforme française du droit de la famille en 1976.
- l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'Homme
- Loi n°= 2002-305 du 4 mars 2002, J.O. du 5-03-2002
- Service-Public.fr Choix du nom de famille
- Peerun Steiger, B., « De la colonisation politique à la colonisation symbolique : d'une servitude à l'autre : Comprendre la migration matrimoniale de la femme mauricienne vers l'Europe et la Suisse », In J. Gatugu (Dir.), Les familles africaines et le mythe de l'Occident : destins migratoires singuliers (pp. 31-59). Paris: L’Harmattan.,
- Voir Réflexions sur le pluralisme familial, Presse universitaire Paris Ouest, 2011.
- « Théories de la famille et rapports famille-pouvoirs dans le secteur éducatif au Québec et en France (1850-1960) »
- Laurent Graves, directeur d'une étude de la Clark university (États-Unis ,200) cité par Le Figaro Emploi, 8 novembre 2007.
- P-E Gaberel, « Instaurer des normes de bonne parentalité » in C. Martin (dir.), Être un bon parent, Rennes, Presses de l'EHESP, 2014, p. 53-71.
- Enric Porqueres, article « Famille », in Danièle Hervieu-Léger et Régine Azria (dirs.), Dictionnaire des faits religieux, éd. PUF, Paris, 2010, p.370
- Encyclique Caritas in Veritate, n° 44
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Emanuele Calò, Matrimonio à la carte- Matrimoni, convivenze registrate e divorzi dopo l'intervento comunitario, Giuffrè, Milan, 2009
- La Famille dans le roman, cycle 3 (broché), Miri (auteur), Peltier (auteur), Lecullée (auteur).
- Réenchanter son histoire familiale, Émilie Pécheul, éditions Arsis, 2008.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens de parenté[modifier | modifier le code]
Enfant[modifier | modifier le code]
Société[modifier | modifier le code]
- droit de la famille, droit de la famille en France, mariage, divorce
- médiation familiale, célibat, pacte civil de solidarité, lévirat, sororat
- patriarcat, matriarcat
- sociologie de la famille, système familial
- sexisme, violence conjugale
- sexualité humaine
- taux de fécondité, natalité, nuptialité, mortalité
- tribu, clan, mémoire familiale
Économie[modifier | modifier le code]
- allocations familiales (caisses d'allocations familiales)
- prestations sociales, prestations sociales en France
- actionnariat, entreprises familiales