Nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus accepter la dictature des media pilotés ou orientés par le SIG (service d'information du gouvernement).
Le seul problème c'est que pour lire et partager des idées, il faut trouver un media qui n'appartient pas à un groupe financier ou économique.
Pour ceux qui ont aujourd'hui la cinquantaine (dont le rédac chef de Slovar les Nouvelles) il existait le "poil à gratter " suprême dans nos jeunes années : Charlie Hebdo.
Cavanna, Choron, Reiser, Wolinski, Cabu et tant d'autres résistaient toutes les semaines aux coups de boutoir et interdictions du pouvoir.
Et puis un jour, le journal a changé de mains et est devenu la propriété de Philippe Val, ancien chanteur engagé et collègue de scène de Patrick Font.
Rapidement le ton a changé au point de ne plus reconnaître que le titre du journal. Arrive "l'affaire des caricatures" qui conduit la direction de Charlie Hebdo devant les tribunaux. Lors de cette affaire, Philippe Val se découvre un soutien de choc pour le journal, un ministre de l'intérieur portant le nom de Sarkozy.
Nul ne saura si ce soutien sera lié à la cause du licenciement d'un des piliers de l'aventure de Charlie Hebdo : Bob Siné.
Ce licenciement aurait eu pour cause la publication d'un article sur le mariage du fils du Président et jugé anti sémite par Philipe Val.
Lorsque nous avons appris, il y a plus d'un an, la façon dont Bob Siné avait été viré par l'ancien patron de Charlie Hebdo, nous avions été scandalisé et l'avions fait savoir en publiant sa dernière chronique destinée à être publiée dans Charlie Hebdo mais refusée par la direction : "Je ne partirai que par la force des baïonnettes !"
Extraits
"Il a préféré s’exclure de nos colonnes et je le regrette." C’est dans ces termes que Philippe Val terminait son éditorial dans le dernier Charlie.
Mes avocats sont formels : cela ne signifie aucunement que je sois viré. Il laisse seulement croire que j’ai démissionné, ce qui est absolument faux. Je continuerai donc, jusqu’à la réception d’une lettre officielle de licenciement à envoyer régulièrement ma rubrique !
Je vais, aujourd’hui, vous dire mon intime conviction : Philippe Val ayant tous les pouvoirs à Charlie et régnant en maître absolu sans jamais tenir aucun compte de l’avis de ses collaborateurs, m’en voulait à mort d ‘être le seul résistant depuis la mort de Gébé et d’écrire, dans ce qu’il appelait, avec un certain culot, "SON" journal, des propos souvent diamétralement opposés aux siens. Il caressait, depuis longtemps, l’envie de m’évincer mais craignait de violentes réactions. (A juste titre, car on assiste, depuis une semaine, à un véritable tsunami de protestations indignées).
Il n’osait m’attaquer de front, mais m’asticotait souvent, me demandant lui-même ou par sectateurs interposés, de changer un mot ou de corriger une phrase qui le choquait. L’excuse invoquée, à tous les coups, était la crainte d’un procès. Certains de mes propos pouvaient, d’après lui, être mal interprétés et passer pour homophobes, antiféministes mais, le plus souvent, antisémites.
Je luttais pied à pied mais abandonnais toujours et finissais par trouver une formule moins percutante mais qui le satisfaisait. (Je ricane doucement quand il prétend ne pas avoir lu mon texte car, quand il ne les épluchait pas lui-même, il envoyait au charbon Gérard Biard, Oncle Bernard ou carrément Richard Malka, son avocat (qui est aussi celui de Clearstream !) ... / ... "
Or, quelques mois plus tard, on pouvait lire : "... / ... Le président du Tribunal de Lyon, Fernand Schir, s’est montré très ferme et n’a épargné aucun de ceux qui, sur la place publique, avaient soutenu l’accusation d’incitation à la haine raciale : BHL, Val, Alexandre Adler, Askolovitch, leur rappelant un des arguments de Philippe Val lors du procès des caricatures : « Le crime est dans l’œil de celui qui regarde le dessin ». « Le lectorat de Charlie Hebdo est un public éclairé » a t-il affirmé. « Le caricaturiste n’a fait qu’exercer la liberté d’expression de manière satirique, dans un débat public touchant à la laïcité ... / ... " - Source Siné Hebdo - Télécharger le jugement de la Cour de Lyon
En juillet 2008, nous avions publié : "Philippe VAL ou la deuxième mort de Charlie Hebdo" dans lequel nous écrivions :
" ... / ... La peur n'évite pas le danger M. VAL, et si la peur l'emporte sur tout le reste que penser de votre vue de l'impertinence ?
Impertinence, nous vous le rapellons, sans laquelle le journal que vous dirigez n'aurait jamais existé
J'avais déja du mal ces derniers temps à acheter Charlie en raison de la faible qualité de son contenu. Cette fois-ci lorsque j'aurai cette envie, je me plongerai dans la lecture d'un livre qui m'a été récemment offert et qui montre et parle des années Charlie. Les vraies !!!
Pour finir, j'aimerais pasticher Diane Dufresne et sa "Chanson pour Elvis".
Le seul problème c'est que pour lire et partager des idées, il faut trouver un media qui n'appartient pas à un groupe financier ou économique.
Pour ceux qui ont aujourd'hui la cinquantaine (dont le rédac chef de Slovar les Nouvelles) il existait le "poil à gratter " suprême dans nos jeunes années : Charlie Hebdo.
Cavanna, Choron, Reiser, Wolinski, Cabu et tant d'autres résistaient toutes les semaines aux coups de boutoir et interdictions du pouvoir.
Et puis un jour, le journal a changé de mains et est devenu la propriété de Philippe Val, ancien chanteur engagé et collègue de scène de Patrick Font.
Rapidement le ton a changé au point de ne plus reconnaître que le titre du journal. Arrive "l'affaire des caricatures" qui conduit la direction de Charlie Hebdo devant les tribunaux. Lors de cette affaire, Philippe Val se découvre un soutien de choc pour le journal, un ministre de l'intérieur portant le nom de Sarkozy.
Nul ne saura si ce soutien sera lié à la cause du licenciement d'un des piliers de l'aventure de Charlie Hebdo : Bob Siné.
Ce licenciement aurait eu pour cause la publication d'un article sur le mariage du fils du Président et jugé anti sémite par Philipe Val.
Lorsque nous avons appris, il y a plus d'un an, la façon dont Bob Siné avait été viré par l'ancien patron de Charlie Hebdo, nous avions été scandalisé et l'avions fait savoir en publiant sa dernière chronique destinée à être publiée dans Charlie Hebdo mais refusée par la direction : "Je ne partirai que par la force des baïonnettes !"
Extraits
"Il a préféré s’exclure de nos colonnes et je le regrette." C’est dans ces termes que Philippe Val terminait son éditorial dans le dernier Charlie.
Mes avocats sont formels : cela ne signifie aucunement que je sois viré. Il laisse seulement croire que j’ai démissionné, ce qui est absolument faux. Je continuerai donc, jusqu’à la réception d’une lettre officielle de licenciement à envoyer régulièrement ma rubrique !
Je vais, aujourd’hui, vous dire mon intime conviction : Philippe Val ayant tous les pouvoirs à Charlie et régnant en maître absolu sans jamais tenir aucun compte de l’avis de ses collaborateurs, m’en voulait à mort d ‘être le seul résistant depuis la mort de Gébé et d’écrire, dans ce qu’il appelait, avec un certain culot, "SON" journal, des propos souvent diamétralement opposés aux siens. Il caressait, depuis longtemps, l’envie de m’évincer mais craignait de violentes réactions. (A juste titre, car on assiste, depuis une semaine, à un véritable tsunami de protestations indignées).
Il n’osait m’attaquer de front, mais m’asticotait souvent, me demandant lui-même ou par sectateurs interposés, de changer un mot ou de corriger une phrase qui le choquait. L’excuse invoquée, à tous les coups, était la crainte d’un procès. Certains de mes propos pouvaient, d’après lui, être mal interprétés et passer pour homophobes, antiféministes mais, le plus souvent, antisémites.
Je luttais pied à pied mais abandonnais toujours et finissais par trouver une formule moins percutante mais qui le satisfaisait. (Je ricane doucement quand il prétend ne pas avoir lu mon texte car, quand il ne les épluchait pas lui-même, il envoyait au charbon Gérard Biard, Oncle Bernard ou carrément Richard Malka, son avocat (qui est aussi celui de Clearstream !) ... / ... "
Or, quelques mois plus tard, on pouvait lire : "... / ... Le président du Tribunal de Lyon, Fernand Schir, s’est montré très ferme et n’a épargné aucun de ceux qui, sur la place publique, avaient soutenu l’accusation d’incitation à la haine raciale : BHL, Val, Alexandre Adler, Askolovitch, leur rappelant un des arguments de Philippe Val lors du procès des caricatures : « Le crime est dans l’œil de celui qui regarde le dessin ». « Le lectorat de Charlie Hebdo est un public éclairé » a t-il affirmé. « Le caricaturiste n’a fait qu’exercer la liberté d’expression de manière satirique, dans un débat public touchant à la laïcité ... / ... " - Source Siné Hebdo - Télécharger le jugement de la Cour de Lyon
En juillet 2008, nous avions publié : "Philippe VAL ou la deuxième mort de Charlie Hebdo" dans lequel nous écrivions :
" ... / ... La peur n'évite pas le danger M. VAL, et si la peur l'emporte sur tout le reste que penser de votre vue de l'impertinence ?
Impertinence, nous vous le rapellons, sans laquelle le journal que vous dirigez n'aurait jamais existé
J'avais déja du mal ces derniers temps à acheter Charlie en raison de la faible qualité de son contenu. Cette fois-ci lorsque j'aurai cette envie, je me plongerai dans la lecture d'un livre qui m'a été récemment offert et qui montre et parle des années Charlie. Les vraies !!!
Pour finir, j'aimerais pasticher Diane Dufresne et sa "Chanson pour Elvis".
Tu vieillis mal, Charlie
T'aurais p't'êt dû mourir
Comme Marilyn ou Janis
T'avais pas l'droit d'vieillir
Décidément M. VAL, vous êtes un imbécile que j'espère ... malheureux. Rendez-nous Charlie Hebdo et baptisez votre journal VAL Hebdo !!!"
Philippe Val fera une sortie "honorable" en prenant la tête de France Inter
Ce que nous écrivions le 2 avril 2009 : " ... / ... Et puis aujourd'hui au gré de mes surfs dans l'actualité, j'apprend que Nicolas Sarkozy a choisi le patron de Charlie Hebdo pour diriger l'antenne de France Inter. Sa nomination pourrait avoir lieu après l'arrivée de Jean-Luc Hees à la tête de Radio France.
Le Nouvel Obs écrit : "Hees et Val sont de vieux amis et Philippe Val est aussi un ami de Carla Bruni…Dans ce qu’il faut appeler l’"affaire Charlie", Philippe Val a aussi été un défenseur, de facto, du fils et de la belle fille du président de la République. Voila qui peut donc expliquer le choix de Val par l’Elysée ... / ...
L'éditorialiste du Nouvel Obs ajoute : "Si Val est bien confirmé, la gauche sera fort embêtée pour critiquer les choix de l’Elysée en matière de nomination dans l’audiovisuel" Et là, nous ne sommes pas d'accord car cela fait très longtemps que Philippe Val a quitté la gauche active pour se réfugier dans le giron des philosophes amis du Président. Val ne représente plus que lui même et son ambition.
Alors vraiment, pourquoi la gauche aurait le moindre complexe pour le critiquer s'il ne fait pas correctement le travail pour lequel il va être embauché !!!
Choron, avec tout le respect du à ta famille il vaut mieux que tu sois mort plutôt que d'apprendre ça !!!
La rédaction de Slovar souhaite faire passer un message personnel à Philippe Val : "Tu vois camarade le rubicon n'est pas si difficile à passer. Ne reste plus qu' trouver de gentils petits mickeys pour les pages de Charlie Hebdo"
T'aurais p't'êt dû mourir
Comme Marilyn ou Janis
T'avais pas l'droit d'vieillir
Décidément M. VAL, vous êtes un imbécile que j'espère ... malheureux. Rendez-nous Charlie Hebdo et baptisez votre journal VAL Hebdo !!!"
Philippe Val fera une sortie "honorable" en prenant la tête de France Inter
Ce que nous écrivions le 2 avril 2009 : " ... / ... Et puis aujourd'hui au gré de mes surfs dans l'actualité, j'apprend que Nicolas Sarkozy a choisi le patron de Charlie Hebdo pour diriger l'antenne de France Inter. Sa nomination pourrait avoir lieu après l'arrivée de Jean-Luc Hees à la tête de Radio France.
Le Nouvel Obs écrit : "Hees et Val sont de vieux amis et Philippe Val est aussi un ami de Carla Bruni…Dans ce qu’il faut appeler l’"affaire Charlie", Philippe Val a aussi été un défenseur, de facto, du fils et de la belle fille du président de la République. Voila qui peut donc expliquer le choix de Val par l’Elysée ... / ...
L'éditorialiste du Nouvel Obs ajoute : "Si Val est bien confirmé, la gauche sera fort embêtée pour critiquer les choix de l’Elysée en matière de nomination dans l’audiovisuel" Et là, nous ne sommes pas d'accord car cela fait très longtemps que Philippe Val a quitté la gauche active pour se réfugier dans le giron des philosophes amis du Président. Val ne représente plus que lui même et son ambition.
Alors vraiment, pourquoi la gauche aurait le moindre complexe pour le critiquer s'il ne fait pas correctement le travail pour lequel il va être embauché !!!
Choron, avec tout le respect du à ta famille il vaut mieux que tu sois mort plutôt que d'apprendre ça !!!
La rédaction de Slovar souhaite faire passer un message personnel à Philippe Val : "Tu vois camarade le rubicon n'est pas si difficile à passer. Ne reste plus qu' trouver de gentils petits mickeys pour les pages de Charlie Hebdo"
Entre temps, Bob décidait, à 80 piges, de se lancer et de créer son propre journal.
Nous avons été, et nous en sommes fiers, dans les premiers à faire la promo de Siné Hebdo en publiant un article "spécial copinage" chaque semaine dans lequel nous présentions la couverture et le sommaire du numéro en concluant : "Encore un très bon numéro qui mériterait le slogan créé par l'équipe du défunt Hara Kiri : "si vous ne pouvez pas l’acheter, volez-le ! "
Et puis, les semaines ont passé et puis il y a quelques jours, le verdict est tombé : Siné Hebdo vient de souffler sa première bougie !!!
Bob et Catherine Siné nous ont fait parvenir un message que nous vous donnons ci-dessous en intégralité et en profitons pour souhaiter longue vie à leur "bébé" et encore de nombreux anniversaires à venir
Texte de Bob et Catherine Sinet
Siné en rigole encore il n’avait jamais touché un ordinateur de sa vie ! Et pourtant ce sont les bloggeurs et les internautes qui lui ont sauvé la mise alors qu’il était lynché par les médias traditionnels. Ils ont signé les pétitions de soutien, impulsé l’élan de solidarité : Nous comptons toujours sur vous aujourd’hui pour continuer un combat tout azimut pour lutter
contre le consensus mou, la terreur intellectuelle et la pensée unique.
L’aventure Siné Hebdo était improbable. Lancer un nouvel hebdo, en trois semaines, pendant l’été 2008, et en pleine crise de la presse : il fallait être fou ou très en colère ! Nous étions les deux. Le succès fut au-delà de toute attente : 140 000 exemplaires vendus dès le premier numéro, le 10 septembre 2008.
Nous avons été, et nous en sommes fiers, dans les premiers à faire la promo de Siné Hebdo en publiant un article "spécial copinage" chaque semaine dans lequel nous présentions la couverture et le sommaire du numéro en concluant : "Encore un très bon numéro qui mériterait le slogan créé par l'équipe du défunt Hara Kiri : "si vous ne pouvez pas l’acheter, volez-le ! "
Et puis, les semaines ont passé et puis il y a quelques jours, le verdict est tombé : Siné Hebdo vient de souffler sa première bougie !!!
Bob et Catherine Siné nous ont fait parvenir un message que nous vous donnons ci-dessous en intégralité et en profitons pour souhaiter longue vie à leur "bébé" et encore de nombreux anniversaires à venir
Texte de Bob et Catherine Sinet
Siné en rigole encore il n’avait jamais touché un ordinateur de sa vie ! Et pourtant ce sont les bloggeurs et les internautes qui lui ont sauvé la mise alors qu’il était lynché par les médias traditionnels. Ils ont signé les pétitions de soutien, impulsé l’élan de solidarité : Nous comptons toujours sur vous aujourd’hui pour continuer un combat tout azimut pour lutter
contre le consensus mou, la terreur intellectuelle et la pensée unique.
L’aventure Siné Hebdo était improbable. Lancer un nouvel hebdo, en trois semaines, pendant l’été 2008, et en pleine crise de la presse : il fallait être fou ou très en colère ! Nous étions les deux. Le succès fut au-delà de toute attente : 140 000 exemplaires vendus dès le premier numéro, le 10 septembre 2008.
Depuis, c’est 2 millions 700 000 exemplaires vendus, 50 000 mails et courrier des lecteurs, 12 000 dessins reçus dont plus de 2 650 publiés, grâce à une équipe de chroniqueurs, journalistes et dessinateurs enragés. Nous fêtons ce mois-ci le premier anniversaire de Siné Hebdo, via un hors-série de 96 pages, «Un an… et toutes ses dents ! », qui retrace cette incroyable aventure.
Où il est démontré que Siné Hebdo ce n’est pas ce QUE les médias voudraient en faire : un journal de rigolade. Non, c’est AUSSI des enquêtes, des reportages, des rencontres…
Nous vous demandons, aujourd’hui plus que jamais, de parler de Siné Hebdo autour de vous, du hors-série…
Nous n’achetons pas de pub, nous n’en accueillons pas, nous n’avons que nos lecteurs et nos « soutiens » pour garantir notre indépendance et pérenniser l’aventure !
Merci à vous tous,
Bob et Catherine Sinet
C'est avec plaisir que nous publions ce nouveau "copinage"
Au fait, même s'il reconnaît que les nouvelles technologies ne sont pas son fort, Bob Siné a accepté de se mettre à la vidéo en ligne. Vous pourrez découvrir ci-dessous celle qui porte le nom de : "Un an et toutes ses dents : "L’incroyable aventure de Siné hebdo"
Où il est démontré que Siné Hebdo ce n’est pas ce QUE les médias voudraient en faire : un journal de rigolade. Non, c’est AUSSI des enquêtes, des reportages, des rencontres…
Nous vous demandons, aujourd’hui plus que jamais, de parler de Siné Hebdo autour de vous, du hors-série…
Nous n’achetons pas de pub, nous n’en accueillons pas, nous n’avons que nos lecteurs et nos « soutiens » pour garantir notre indépendance et pérenniser l’aventure !
Merci à vous tous,
Bob et Catherine Sinet
C'est avec plaisir que nous publions ce nouveau "copinage"
Au fait, même s'il reconnaît que les nouvelles technologies ne sont pas son fort, Bob Siné a accepté de se mettre à la vidéo en ligne. Vous pourrez découvrir ci-dessous celle qui porte le nom de : "Un an et toutes ses dents : "L’incroyable aventure de Siné hebdo"
Vidéo ENORME dont nous demandons immédiatement, à la ministre de la santé, le remboursement par la sécurité sociale !
Pour les fans de l'expérience Siné Hebdo, nous vous informons qu'un film est en chantier. Ce film dont nous vous donnons ci-dessous le descriptif a besoin de producteurs.
Réalisateur: Stéphane Mercurio
Avec: Guy Bedos, Gérard Depardieu, Sid Amed Ghozali, Benoît Delépine, Gustave Kervern, Catherine Sinet et l'équipe de Siné-hebdo
Format: cinema
Genre: documentaire
Epoque: contemporaine
Durée: environ 90'
Langues: français
Budget du film: 444 896€
Producteur: Iskra
Distributeur: Iskra
Bande annonce du film
Si vous voulez soutenir ce projet, vous pouvez devenir co producteurs du film en vous rendant sur le site de touscoprod.com et en investissant quelques € de votre poche.
Après ce "geste pour la planète", n'oubliez pas (même si vous ne fumez pas) de filer chez votre buraliste vous acheter le cigare que tout magnat du cinéma se doit de posséder.
Bonne route à cette nouvelle expérience et longue vie à l'impertinence et au refus du politiquement correct !
Sources et crédit images
Siné Hebdo
Pour les fans de l'expérience Siné Hebdo, nous vous informons qu'un film est en chantier. Ce film dont nous vous donnons ci-dessous le descriptif a besoin de producteurs.
Réalisateur: Stéphane Mercurio
Avec: Guy Bedos, Gérard Depardieu, Sid Amed Ghozali, Benoît Delépine, Gustave Kervern, Catherine Sinet et l'équipe de Siné-hebdo
Format: cinema
Genre: documentaire
Epoque: contemporaine
Durée: environ 90'
Langues: français
Budget du film: 444 896€
Producteur: Iskra
Distributeur: Iskra
Bande annonce du film
Si vous voulez soutenir ce projet, vous pouvez devenir co producteurs du film en vous rendant sur le site de touscoprod.com et en investissant quelques € de votre poche.
Après ce "geste pour la planète", n'oubliez pas (même si vous ne fumez pas) de filer chez votre buraliste vous acheter le cigare que tout magnat du cinéma se doit de posséder.
Bonne route à cette nouvelle expérience et longue vie à l'impertinence et au refus du politiquement correct !
Sources et crédit images
Siné Hebdo