Pour les prochaines échéances électorales : Programme commun ou accords de circonstances ?
Voila la question que se posent les "stratèges" de la rue de Solférino en ce qui concerne le MODEM ou du moins ceux qui votent pour ses candidats.
Le nouveau "candidat" à la primaire présidentielle du PS : Manuel Valls, propose même, "un rapprochement avec la formation centriste. Il se dit favorable à des discussions "avec le Modem, avec la société, les syndicats, le monde de l'entreprise aussi"
Or, ne nous y trompons pas : Nous sommes loin de la Présidentielle 2007 où François Bayrou habitué à des scores à un chiffre obtenait 18,57% et lançait le MODEM à partir de cadres de l'UDF et d'anciens Verts. La mécanique "à gagner en 2012" était en route et malgré les défections d'élus préférant s'abriter dans le Nouveau Centre (faux nez centriste au sein de la majorité), la presse ne cessait de parler du nouvel opposant au Président de la République et le Parti Socialiste ... tremblait sur ses bases.
Enivré par sa fulgurante mais nouvelle popularité, François Bayrou continuait à asséner ses diatribes sans pour autant mettre au point un programme d'alternance ni vraiment se préoccuper de démocratie à l'intérieur de sa propre formation. Coût de l'opération : le 7 juin 2009, les listes MODEM aux élections européennes obtenaient 8,46 %.
Et depuis, "magic François" a des soucis !
PARIS (AFP) — Corinne Lepage, tête de liste du MoDem dans le Nord-Ouest, a déclaré dimanche sur France 2 que le "mauvais" score du MoDem aux élections européennes était "une déception". "Bien sûr, c'est une déception. Les soirs d'élections, la coutume, c'est que tout le monde est content. Moi, je ne suis pas contente. On a fait un mauvais score", a-t-elle dit.
A ses yeux, le Modem, "n'a pas bien su convaincre: si on avait su convaincre on n'aurait pas 8 ou 9%, on aurait fait 13% ou 14%". "Je pense que toute la partie écolo du Modem - Dieu sait comme elle est importante - n'a pas pu s'exprimer et être suffisamment mise en valeur", a-t-elle poursuivi. Mme Lepage a expliqué être "partagée" face aux estimations de résultats étant "au Modem avec un mouvement qui s'appelle Cap 21". "Je suis une écologiste convaincue: qu'il y ait 14% de Français qui votent pour l'écologie, je ne vais pas dire que je vais pleurer, je trouve ça formidable", a-t-elle poursuivi. Interrogée sur une responsabilité du leader du Modem François Bayrou dans le score des européennes, elle a répondu: "J'aurais eu toute seule à prendre un certain nombre de décisions, je n'aurais pas pris les mêmes". Mais "je vais y rester" au Modem. Source AFP/Google
Voila la question que se posent les "stratèges" de la rue de Solférino en ce qui concerne le MODEM ou du moins ceux qui votent pour ses candidats.
Le nouveau "candidat" à la primaire présidentielle du PS : Manuel Valls, propose même, "un rapprochement avec la formation centriste. Il se dit favorable à des discussions "avec le Modem, avec la société, les syndicats, le monde de l'entreprise aussi"
Or, ne nous y trompons pas : Nous sommes loin de la Présidentielle 2007 où François Bayrou habitué à des scores à un chiffre obtenait 18,57% et lançait le MODEM à partir de cadres de l'UDF et d'anciens Verts. La mécanique "à gagner en 2012" était en route et malgré les défections d'élus préférant s'abriter dans le Nouveau Centre (faux nez centriste au sein de la majorité), la presse ne cessait de parler du nouvel opposant au Président de la République et le Parti Socialiste ... tremblait sur ses bases.
Enivré par sa fulgurante mais nouvelle popularité, François Bayrou continuait à asséner ses diatribes sans pour autant mettre au point un programme d'alternance ni vraiment se préoccuper de démocratie à l'intérieur de sa propre formation. Coût de l'opération : le 7 juin 2009, les listes MODEM aux élections européennes obtenaient 8,46 %.
Et depuis, "magic François" a des soucis !
PARIS (AFP) — Corinne Lepage, tête de liste du MoDem dans le Nord-Ouest, a déclaré dimanche sur France 2 que le "mauvais" score du MoDem aux élections européennes était "une déception". "Bien sûr, c'est une déception. Les soirs d'élections, la coutume, c'est que tout le monde est content. Moi, je ne suis pas contente. On a fait un mauvais score", a-t-elle dit.
A ses yeux, le Modem, "n'a pas bien su convaincre: si on avait su convaincre on n'aurait pas 8 ou 9%, on aurait fait 13% ou 14%". "Je pense que toute la partie écolo du Modem - Dieu sait comme elle est importante - n'a pas pu s'exprimer et être suffisamment mise en valeur", a-t-elle poursuivi. Mme Lepage a expliqué être "partagée" face aux estimations de résultats étant "au Modem avec un mouvement qui s'appelle Cap 21". "Je suis une écologiste convaincue: qu'il y ait 14% de Français qui votent pour l'écologie, je ne vais pas dire que je vais pleurer, je trouve ça formidable", a-t-elle poursuivi. Interrogée sur une responsabilité du leader du Modem François Bayrou dans le score des européennes, elle a répondu: "J'aurais eu toute seule à prendre un certain nombre de décisions, je n'aurais pas pris les mêmes". Mais "je vais y rester" au Modem. Source AFP/Google
L'Elysée qui cherche à nuire au Président du MODEM a décidé de s'occuper un peu moins du PS pour son ouverture et cherche maintenant à dépouiller le mouvement de quelques figures.
Braderait-on, chez les cadres du MODEM, ses convictions pour rejoindre le gouvernement ? C'est ce qui est en train de se jouer en ce moment en coulisses.
Ministre de l'Ecologie dans le gouvernement d'Alain Juppé de 1995 à 1997, Corinne Lepage a rejoint le Mouvement démocrate (MoDem), sous la bannière duquel elle a été élue députée européenne le 7 juin. "Je ne suis pas pour un casting, je ne suis pas une prise de guerre, autrement dit je ne vais pas dans un gouvernement pour faire bien", a-t-elle déclaré sur i-Télé.
"Si c'est un changement de politique, si le président de la République veut changer de cap, changer de manière de faire, oui pourquoi pas. Si c'est pour dire 'comme on a pris M. Kouchner, on a pris Mme Lepage', non ça ne m'intéresse pas", a-t-elle expliqué, se présentant comme une "femme de conviction". "Pour l'instant on ne m'a rien proposé du tout donc tout cela est tout à fait aléatoire", a-t-elle souligné.
Un autre membre du MoDem, l'ancien Vert Jean-Luc Bennahmias, a balayé les rumeurs le présentant comme un possible futur membre du gouvernement de François Fillon qui doit être remanié dans les jours qui viennent. Le député européen a expliqué sur France Info avoir rejoint le Mouvement démocrate il y a deux ans "pour construire une alternative politique au gouvernement de M. Fillon et à la politique de l'UMP et de M. Sarkozy". "Donc tout cela ne tient pas la route. Si je rentrais dans un gouvernement, je ne serais pas crédible", a-t-il ajouté.
Le centriste Michel Mercier pourrait entrer au gouvernement lors du prochain remaniement. Proche du président du Mouvement démocrate (MoDem), François Bayrou, et trésorier du MoDem, Michel Mercier est le président du groupe de l'Union centriste du Sénat - Source L'Express
Mais, il y a pire pour François Bayrou : "La vice-présidente du Mouvement démocrate (MoDem), Marielle de Sarnez, a reconnu aujourd'hui avoir été approchée "de manière informelle" dans l'hypothèse d'une entrée au gouvernement, qui ne l'intéresse pas. La députée européenne a précisé que le trésorier du MoDem Michel Mercier, pressenti pour entrer dans l'équipe gouvernementale, devrait le cas échéant se mettre en retrait du parti centriste de François Bayrou. Source Le Figaro
Même si nous reprochons à Corinne Lepage de ne pas être assez claire sur son futur politique, nous ne pouvons qu'approuver les propos qu'elle a tenu dans une "Tribune libre" publiée par le Nouvel Obs :
... / ... le choix fait par quelques personnalités de gauche ou même du Modem, (à moindre mesure si elles ont un passé de droite marqué), de rejoindre le gouvernement est d’autant plus grave. Il illustre à la fois la crise de la conviction en politique qui explique évidemment aussi la désaffection des citoyens et la crise profonde du modèle actuel des partis politiques.
Comment en effet les Français pourraient-ils croire les discours politiques, les projets, les promesses lorsque des responsables de haut niveau changent de camp et de lignes politiques dans un seul objectif : satisfaire leur égo ... / ...
Et c'est avec le MODEM dans son état actuel que : Devant les présidents de région socialistes, la première secrétaire du PS a défendu la possibilité d'accords avec les centristes au second tour. Même Ségolène Royal était là. Comme presque tous les autres présidents de région socialistes, l'ancienne candidate à la présidentielle de 2007 a déjeuné, mardi à la questure de l'Assemblée nationale, avec la première secrétaire du PS, Martine Aubry. Elles étaient même assises l'une en face de l'autre ... / ... Le président de la Région Rhône-Alpes, Jean-Jacques Queyranne, a conseillé de conserver «une attitude ouverte» vis-à-vis des centristes durant la campagne. Ségolène Royal a acquiescé.- Source Le Figaro
Heureusement qu'on peut lire les déclarations de Didier Migaud sur ce même sujet dans une interview récente donnée à GRENEWS.COM
... / ... Mais dans quelle direction ce PS aux 1001 sensibilités doit-il aller ? Que faut-il faire, par exemple, avec le MoDem ?
Mais ce n'est pas le sujet ! Commençons par nous retrouver, par travailler, par proposer un projet et ensuite, on verra avec qui nous pourrons discuter ! Pourquoi se situer sans cesse par rapport aux autres ? N'inversons pas les choses ! Je suis étonné par votre question, parce que c'est vraiment la politique par le petit bout de la lorgnette. Vous me provoquez, je vous provoque... Commençons donc par être à nouveau nous.
- A cette question qui vous surprend, voici la sous-question: être socialiste, ça veut aussi bien dire être social-démocrate qu'avoir les mêmes idées que Mélenchon. Donc sans parler d'alliance, puisque ça vous agace, il est où, le cap ? Vers le centre ? Vers votre gauche ?
Il faut que le PS se rassemble, face preuve d'imagination, d'audace. Ensuite, il faut qu'il rassemble la gauche.
- Mais elle va jusqu'où, cette gauche que vous voulez rassembler ?
Jusqu'à toutes celles et tous ceux qui s'y retrouveront. La méthode de François Mitterrand reste bonne: renforcer le Parti socialiste, rassembler la gauche et rassembler au-delà de la gauche. A nous, d'abord, de montrer, si nous étions au pouvoir, en quoi nous aurions une politique différente, et en quoi nous pourrions impulser, amorcer un autre modèle de développement. On voit bien que la croissance pour la croissance, ce n'est pas satisfaisant. Nous avons une vraie valeur ajoutée à apporter.
- Restons sur les alliances: quand vous parlez de rassemblement, dans le "toute la gauche" dont vous parlez, il y a les écologistes ? Le PCF ? Le Front de gauche ?
Le Front de gauche et le PCF ont toute leur place. Et les écologistes aussi, bien sûr. On ne peut pas tout réduire à l'écologie, mais on a beaucoup de valeurs communes, les écologistes et nous. Donc oui, je souhaite qu'on puisse se rassembler ... / ...
Et les électeurs de gauche dans tout ça. Pensent-ils comme Manuel Valls et Martine Aubry que la victoire électorale dans les années à venir repose sur un accord avec le parti de François Bayrou ?
PARIS (AFP) — Une majorité de Français - 54% - se disent favorables à une fusion du PS avec d'autres partis pour créer un grand parti de gauche, selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest dimanche réalisé après les élections européennes qui ont vu l'échec des socialistes.
20% des personnes interrogées se disent "tout à fait" favorables à l'hypothèse d'un tel regroupement, et 34% "plutôt" favorables.
43% sont d'un avis inverse, dont 24% résolument contre. 3% ne se prononcent pas.
Les sympathisants de gauche (sous-catégorie de l'échantillon sondé) sont encore plus massivement favorables à la création d'un grand parti regroupant les gauches: 77% pour les sympathisants du PCF, 71% pour ceux du PS, 61% pour ceux des Verts. - Source AFP/Google
Message sans appel adressé aux "stratèges" de la rue de Solférino !!!
Crédit image
Vidberg
Braderait-on, chez les cadres du MODEM, ses convictions pour rejoindre le gouvernement ? C'est ce qui est en train de se jouer en ce moment en coulisses.
Ministre de l'Ecologie dans le gouvernement d'Alain Juppé de 1995 à 1997, Corinne Lepage a rejoint le Mouvement démocrate (MoDem), sous la bannière duquel elle a été élue députée européenne le 7 juin. "Je ne suis pas pour un casting, je ne suis pas une prise de guerre, autrement dit je ne vais pas dans un gouvernement pour faire bien", a-t-elle déclaré sur i-Télé.
"Si c'est un changement de politique, si le président de la République veut changer de cap, changer de manière de faire, oui pourquoi pas. Si c'est pour dire 'comme on a pris M. Kouchner, on a pris Mme Lepage', non ça ne m'intéresse pas", a-t-elle expliqué, se présentant comme une "femme de conviction". "Pour l'instant on ne m'a rien proposé du tout donc tout cela est tout à fait aléatoire", a-t-elle souligné.
Un autre membre du MoDem, l'ancien Vert Jean-Luc Bennahmias, a balayé les rumeurs le présentant comme un possible futur membre du gouvernement de François Fillon qui doit être remanié dans les jours qui viennent. Le député européen a expliqué sur France Info avoir rejoint le Mouvement démocrate il y a deux ans "pour construire une alternative politique au gouvernement de M. Fillon et à la politique de l'UMP et de M. Sarkozy". "Donc tout cela ne tient pas la route. Si je rentrais dans un gouvernement, je ne serais pas crédible", a-t-il ajouté.
Le centriste Michel Mercier pourrait entrer au gouvernement lors du prochain remaniement. Proche du président du Mouvement démocrate (MoDem), François Bayrou, et trésorier du MoDem, Michel Mercier est le président du groupe de l'Union centriste du Sénat - Source L'Express
Mais, il y a pire pour François Bayrou : "La vice-présidente du Mouvement démocrate (MoDem), Marielle de Sarnez, a reconnu aujourd'hui avoir été approchée "de manière informelle" dans l'hypothèse d'une entrée au gouvernement, qui ne l'intéresse pas. La députée européenne a précisé que le trésorier du MoDem Michel Mercier, pressenti pour entrer dans l'équipe gouvernementale, devrait le cas échéant se mettre en retrait du parti centriste de François Bayrou. Source Le Figaro
Même si nous reprochons à Corinne Lepage de ne pas être assez claire sur son futur politique, nous ne pouvons qu'approuver les propos qu'elle a tenu dans une "Tribune libre" publiée par le Nouvel Obs :
... / ... le choix fait par quelques personnalités de gauche ou même du Modem, (à moindre mesure si elles ont un passé de droite marqué), de rejoindre le gouvernement est d’autant plus grave. Il illustre à la fois la crise de la conviction en politique qui explique évidemment aussi la désaffection des citoyens et la crise profonde du modèle actuel des partis politiques.
Comment en effet les Français pourraient-ils croire les discours politiques, les projets, les promesses lorsque des responsables de haut niveau changent de camp et de lignes politiques dans un seul objectif : satisfaire leur égo ... / ...
Et c'est avec le MODEM dans son état actuel que : Devant les présidents de région socialistes, la première secrétaire du PS a défendu la possibilité d'accords avec les centristes au second tour. Même Ségolène Royal était là. Comme presque tous les autres présidents de région socialistes, l'ancienne candidate à la présidentielle de 2007 a déjeuné, mardi à la questure de l'Assemblée nationale, avec la première secrétaire du PS, Martine Aubry. Elles étaient même assises l'une en face de l'autre ... / ... Le président de la Région Rhône-Alpes, Jean-Jacques Queyranne, a conseillé de conserver «une attitude ouverte» vis-à-vis des centristes durant la campagne. Ségolène Royal a acquiescé.- Source Le Figaro
Heureusement qu'on peut lire les déclarations de Didier Migaud sur ce même sujet dans une interview récente donnée à GRENEWS.COM
... / ... Mais dans quelle direction ce PS aux 1001 sensibilités doit-il aller ? Que faut-il faire, par exemple, avec le MoDem ?
Mais ce n'est pas le sujet ! Commençons par nous retrouver, par travailler, par proposer un projet et ensuite, on verra avec qui nous pourrons discuter ! Pourquoi se situer sans cesse par rapport aux autres ? N'inversons pas les choses ! Je suis étonné par votre question, parce que c'est vraiment la politique par le petit bout de la lorgnette. Vous me provoquez, je vous provoque... Commençons donc par être à nouveau nous.
- A cette question qui vous surprend, voici la sous-question: être socialiste, ça veut aussi bien dire être social-démocrate qu'avoir les mêmes idées que Mélenchon. Donc sans parler d'alliance, puisque ça vous agace, il est où, le cap ? Vers le centre ? Vers votre gauche ?
Il faut que le PS se rassemble, face preuve d'imagination, d'audace. Ensuite, il faut qu'il rassemble la gauche.
- Mais elle va jusqu'où, cette gauche que vous voulez rassembler ?
Jusqu'à toutes celles et tous ceux qui s'y retrouveront. La méthode de François Mitterrand reste bonne: renforcer le Parti socialiste, rassembler la gauche et rassembler au-delà de la gauche. A nous, d'abord, de montrer, si nous étions au pouvoir, en quoi nous aurions une politique différente, et en quoi nous pourrions impulser, amorcer un autre modèle de développement. On voit bien que la croissance pour la croissance, ce n'est pas satisfaisant. Nous avons une vraie valeur ajoutée à apporter.
- Restons sur les alliances: quand vous parlez de rassemblement, dans le "toute la gauche" dont vous parlez, il y a les écologistes ? Le PCF ? Le Front de gauche ?
Le Front de gauche et le PCF ont toute leur place. Et les écologistes aussi, bien sûr. On ne peut pas tout réduire à l'écologie, mais on a beaucoup de valeurs communes, les écologistes et nous. Donc oui, je souhaite qu'on puisse se rassembler ... / ...
Et les électeurs de gauche dans tout ça. Pensent-ils comme Manuel Valls et Martine Aubry que la victoire électorale dans les années à venir repose sur un accord avec le parti de François Bayrou ?
PARIS (AFP) — Une majorité de Français - 54% - se disent favorables à une fusion du PS avec d'autres partis pour créer un grand parti de gauche, selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest dimanche réalisé après les élections européennes qui ont vu l'échec des socialistes.
20% des personnes interrogées se disent "tout à fait" favorables à l'hypothèse d'un tel regroupement, et 34% "plutôt" favorables.
43% sont d'un avis inverse, dont 24% résolument contre. 3% ne se prononcent pas.
Les sympathisants de gauche (sous-catégorie de l'échantillon sondé) sont encore plus massivement favorables à la création d'un grand parti regroupant les gauches: 77% pour les sympathisants du PCF, 71% pour ceux du PS, 61% pour ceux des Verts. - Source AFP/Google
Message sans appel adressé aux "stratèges" de la rue de Solférino !!!
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Vidberg