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Dossier: La coopération archéologique française en Afrique

Fouilles récentes à Alger

François Souq et Kemal Stiti
p. 44-48

Résumé

Le développement économique de l’Algérie se manifeste par une accélération des programmes d’aménagement, par la mise en place de nouvelles infrastructures sur tout le territoire et par l’importance des projets de construction dans des zones de plus en plus densément urbanisées. Les risques d’atteinte au patrimoine culturel enfoui qui en découlent, avec la destruction des vestiges archéologiques lors des travaux, sont de plus en plus importants. Les méthodes et techniques de l’archéologie préventive, développées dans les pays européens depuis plusieurs décennies afin de répondre à des problématiques similaires, peuvent apporter des solutions pour une gestion raisonnée de l’aménagement du territoire autorisant à la fois la poursuite des travaux et la « sauvegarde par l’étude » des archives du sol. Conscientes des enjeux, les autorités algériennes, représentées par le ministère de la Culture, et l’Inrap ont mis en place dès 2003 un programme d’échanges et de formation visant à sensibiliser les archéologues algériens à ce type d’intervention et à permettre le transfert des compétences acquises de l’autre côté de la Méditerranée.

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Texte intégral

Un partenariat en archéologie préventive

1Le développement économique de l’Algérie se manifeste par une accélération des programmes d’aménagement, par la mise en place de nouvelles infrastructures sur tout le territoire et par l’importance des projets de construction dans des zones de plus en plus densément urbanisées. Les risques d’atteinte au patrimoine culturel enfoui qui en découlent, avec la destruction des vestiges archéologiques lors des travaux, sont de plus en plus importants. Les méthodes et techniques de l’archéologie préventive, développées dans les pays européens depuis plusieurs décennies afin de répondre à des problématiques similaires, peuvent apporter des solutions pour une gestion raisonnée de l’aménagement du territoire autorisant à la fois la poursuite des travaux et la « sauvegarde par l’étude » des archives du sol. Conscientes des enjeux, les autorités algériennes, représentées par le ministère de la Culture, et l’Inrap ont mis en place dès 2003 un programme d’échanges et de formation visant à sensibiliser les archéologues algériens à ce type d’intervention et à permettre le transfert des compétences acquises de l’autre côté de la Méditerranée.

L’opération préventive sur le tracé du métro d’Alger

2L’intervention archéologique située dans le centre historique d’Alger était motivée par le projet d’extension d’une ligne de métro et plus particulièrement par la construction d’une station de voyageurs dans la Basse Casbah, sur la place des Martyrs. Ces travaux sont localisés dans le périmètre classé de la Casbah, patrimoine national algérien depuis 1973 et site inscrit au Patrimoine mondial par l’Unesco en 1992.

3Il était dès lors nécessaire de réaliser un diagnostic archéologique préalable afin d’évaluer le potentiel archéologique à l’emplacement des travaux et de préciser l’étendue, la chronologie et l’état de conservation des vestiges présents dans le sous-sol. Ces informations étaient essentielles pour adapter le projet d’aménagement, préparer la mise en place d’une éventuelle fouille préventive et prévoir les structures nécessaires à la présentation au public des vestiges exhumés.

4Pour mener à bien cette opération, un partenariat a été mis en place sous l’égide de l’Unesco, et un accord passé entre l’Inrap et le ministère de la Culture algérien, avec le soutien du ministère des Transports et de l’Entreprise du Métro d’Alger, établissement public maître d’ouvrage. L’intervention a été réalisée par des archéologues relevant à la fois de l’Inrap et du ministère de la Culture : Centre national de recherche en archéologie, Office de gestion et d’exploitation des biens culturels, direction de la Culture de la Wilaya d’Alger. Elle s’inscrivait dans une démarche plus globale de transfert de savoir-faire et devait contribuer à la formation des archéologues algériens à la pratique du diagnostic archéologique en milieu urbain.

Le contexte historique

5Avant d’aborder l’opération archéologique proprement dite, faisons un bref résumé de l’état actuel de nos connaissances sur l’histoire d’Alger.

6La présence d’îlots offrant un abri sur la côte méditerranéenne a probablement motivé l’installation d’une escale maritime, puis d’un port. La première occupation attestée remonte au iiie siècle avant notre ère. La ville, alors dénommée Ikosim, devait être un des comptoirs gravitants dans l’orbite carthaginoise. Elle devint municipe romain, sous le nom latinisé d’Icosium, et reçut le droit latin de l’empereur Vespasien. Après l’intermède vandale, elle repassa sous contrôle byzantin jusqu’au viie siècle.

7Le prince ziride Bologhine refonda, vers l’an 959, la ville d’El-Djazaïr Bani Mezghanna sur les vestiges de l’agglomération antique. Vers le milieu du xive siècle, elle se constitua en une petite cité indépendante qui accueillit, après la chute de Grenade, une importante immigration de musulmans andalous. Le contrôle de la Méditerranée occidentale était disputé. L’Espagne créait des points d’appui sur la côte africaine et édifia un fort en 1510 sur les îles faisant face à Alger. Afin de se défaire de la tutelle espagnole, les habitants firent appel à des corsaires, les frères Barberousse, qui en profitèrent pour prendre le pouvoir et consolider leur emprise en se déclarant vassaux du sultan.

8La domination ottomane correspond à un essor particulier d’Alger. Son port, avec la flotte de course qui y était établie, devint une base maritime de première importance dans la concurrence qui se jouait alors entre pays musulmans et États européens pour le contrôle de la Méditerranée occidentale. La puissance maritime turque et l’influence de la ville diminuèrent à partir du xviie siècle. En 1830, les Français s’emparèrent d’Alger, prélude à la colonisation de l’Algérie. La révolution algérienne, lancée en 1954, aboutit à l’accession du pays à l’indépendance en 1962, avec Alger comme capitale.

Le contexte archéologique

9Si le tracé de la ligne de métro proprement dite, creusé dans le substrat rocheux à 20 m de profondeur, n’a pas d’impact sur d’éventuels vestiges archéologiques, il n’en est pas de même pour la station « Place des Martyrs » construite depuis la surface. Dans le projet initial, son impact au sol était de l’ordre de 8 000 m² et c’est à son emplacement que le diagnostic a été réalisé (fig. 1).

Fig. 1

Fig. 1

Le secteur sauvegardé de la Casbah à Alger avec le tracé projeté de la ligne de métro et l’extension supposée de la ville antique.

Fr. Souq/Inrap.

10Une étude documentaire succincte a permis une première approche du quartier et du site : si aucune découverte relevant de la préhistoire n’est documentée, les travaux de restructuration urbaine menés après l’occupation française ont mis au jour de nombreux vestiges d’époque antique. Un état de la question a été réalisé en 1968 (Le Glay 1968). Les fouilles réalisées en 1995-1997 sur l’îlot Lallahoum (Souq 2005) ainsi que les sondages archéologiques menés en 2008 par la direction de la Culture de la Wilaya d’Alger, bien que restreints, ont confirmé et précisé ces informations.

11Nous pouvions approcher l’extension de la ville antique : encadrée par deux nécropoles, l’occupation urbaine se déploie de la porte Bab al-Oued à la porte Bab ‘Azoun en remontant sur les pentes basses de la Casbah. Les découvertes de l’époque punique sont distantes de moins de 100 m. Les trouvailles romaines encadrent littéralement le site. Les fouilles menées en 1995-1997, puis en 2008, ont mis au jour des sols mosaïqués antiques entre 1 et 4 m de profondeur. Le substrat géologique n’a alors malheureusement pas été atteint et nous ne connaissions pas la nature des couches archéologiques les plus profondes.

12Nos informations concernant la période islamique étaient plus lacunaires et reposaient essentiellement sur des textes descriptifs difficilement interprétables pour la zone qui nous intéresse. Les hypothèses les plus récentes (Missoum 2003 : 20 et 28) localisaient l’agglomération au nord-ouest de la Casbah, sous le mausolée de Sidi Ramdan. On supposait que les zones s’étendant au sud de la rue Bab al-Oued actuelle n’étaient pas ou peu bâties, occupées par des cultures ou des dépôts de potiers.

13Ce n’est qu’à partir de la présence française qu’ont été établis des relevés et plans des bâtiments existants, offrant un aperçu de la ville à la fin de la période ottomane. La partie sud du quartier, à proximité du port, avait alors une vocation essentiellement commerciale et artisanale (souks). Sa situation était privilégiée avec, à l’ouest, la proximité immédiate du palais du Dey, siège du pouvoir jusqu’au xixe siècle, et de la mosquée Jama ‘al-Sayyida, au sud un arsenal pour les vaisseaux de course. La partie nord de la zone à reconnaître était alors occupée par des habitations.

14Dès les premières années de la conquête française, les souks furent arasés afin de permettre l’installation d’une vaste place d’arme fermée au nord par l’hôtel de la Régence. La mosquée Jama ‘al-Sayyida fut le dernier monument détruit en 1832. Au nord, par contre, les quartiers ottomans conservèrent leur caractère résidentiel et furent petit à petit transformés et adaptés selon l’évolution du mode de vie des habitants. Ils ont été démolis dans les années 1950, à l’occasion de la restructuration radicale du quartier de la Marine et de l’agrandissement de l’actuelle place des Martyrs.

Méthodes 
et techniques

15Nous devions évaluer le potentiel archéologique sur une surface de près de 8 000 m² dans un contexte urbain. Les résultats des sondages géotechniques laissaient entrevoir la présence du rocher naturel à plus de 7 m sous le niveau du sol actuel. Il était donc nécessaire de mettre en œuvre une méthode qui permette l’exploration jusqu’à cette profondeur tout en restant compatible avec les délais impartis (un mois de terrain) et la gestion en centre-ville d’un important volume de terres à extraire. Deux sondages ont été ouverts aux extrémités sud et nord du projet afin d’appréhender la stratigraphie jusqu’au substrat rocheux (fig. 2). Pour éviter la mise en place de soutènements de grande ampleur, difficiles à mettre en œuvre sans disposer d’une infrastructure spécifique, et pour des raisons de sécurité, nous avons procédé aux terrassements par paliers successifs, en retrait les uns des autres au fur et à mesure de l’approfondissement de l’excavation.

16Le traitement et l’étude du mobilier exhumé ont été réalisés durant les travaux de terrain et le rapport de synthèse a été rédigé en France par les cadres de l’opération, tant algériens que français. Le souci de transférer les savoir-faire de l’Inrap aux archéologues locaux a été permanent et les résultats de l’opération sont le produit d’une réelle collaboration entre tous les membres de l’équipe de fouille.

Fig. 2

Fig. 2

Vue d’ensemble des sondages 
sur la place des Martyrs à Alger.

Photo P. Chapon/ Inrap.

La valorisation

17L’information de la population locale n’a pas été oubliée : des panneaux expliquant le contexte historique, les découvertes en cours et la spécificité de la démarche d’archéologie préventive employée ont été apposés sur les clôtures du chantier (fig. 3). Des visites de presse ont été organisées par le ministère de la Culture afin que les journaux locaux rendent compte des découvertes réalisées. Les quotidiens et revues spécialisées françaises, le site web de l’Inrap, ont relayé l’information à l’étranger. Les habitants d’Alger ont pu redécouvrir leur histoire au travers des résultats de la fouille et partager une information trop souvent réservée aux spécialistes.

Fig. 3

Fig. 3

L’information destinée au grand public sur la place des Martyrs.

Photo H. Petitot/Inrap.

Les découvertes

18Même s’il ne s’agissait pas d’une fouille de grande envergure, mais seulement d’un diagnostic intéressant une surface très restreinte, mené très rapidement dans un contexte préventif, les résultats scientifiques sont remarquables. Soyons conscients que certaines questions posées alors n’obtiendront de réponse définitive que si une fouille d’ampleur est réalisée ultérieurement. Toutefois, les observations faites permettent d’ores et déjà de renouveler nos connaissances de l’histoire d’Alger et révèlent la remarquable conservation des vestiges dans son sous-sol.

19Le premier état anthropique reconnu sur le terrain remonte à la seconde moitié du ier siècle avant notre ère et au début du siècle suivant. Les vestiges reposent directement sur le substrat rocheux. Un puits et les sols de circulation associés sont situés en bordure d’une vaste dépression, orientée nord-sud, au pied de la Casbah et formant un oued qui se jette dans la mer. Très rapidement, les colluvions comblent le thalweg. L’épaisseur des sédiments accumulés atteint plus de 2 m. Elle témoigne de l’importance du processus d’érosion qui affecte alors les pentes dominant le site.

20Au nord, la zone reconnue est urbanisée à la fin du ier siècle ou au début du iie siècle. Les murs dégagés sont bâtis en opus africanum. Ils délimitent une grande pièce au sol de béton qui comporte deux petites cuves maçonnées. Nous sommes probablement en présence d’un espace de service ou à vocation artisanale qui sera occupé sans modification notable jusqu’au ive siècle, avant qu’au début du ve siècle les espaces ne soient restructurés par l’ajout de murs de refends dans les pièces périphériques.

21Au sud, au milieu du iie siècle, un fossé est aménagé avant qu’un bâtiment important ne soit édifié. Il n’en subsiste que les fondations ancrées jusqu’au rocher. Il est arasé pour faire place à un monument public, probablement une basilique, sans que l’on puisse en préciser la date d’édification (iiie ou ive siècle ?), dont nous n’avons dégagé qu’une petite partie. Deux rangées de colonnes séparent les bas-côtés de la nef principale. Leurs bases, de type composite, sont probablement des remplois. Le soubassement d’un podium et six blocs mortaisés délimitant une clôture occupent la partie centrale. Ces éléments architectoniques, ainsi que les traces d’encastrement de barrière subsistant sur les bases de colonne, pourraient être mis en relation avec des aménagements liturgiques correspondant à la dernière utilisation du bâtiment. Deux états du sol ont pu être reconnus : à un premier terrazzo succède une mosaïque au décor géométrique (fig. 4). Les espaces périphériques présentent une composition noire et blanche, alors que le tapis de la nef principale est polychrome. L’ampleur du bâtiment est remarquable : la portée de l’espace central atteint près de 10 m. On remarque toutefois des irrégularités dans le plan, en particulier dans la valeur des entrecolonnements. Il subsiste donc des interrogations auxquelles seule une fouille exhaustive pourrait répondre. Quelle est la destination initiale de cet édifice ? S’agit-il d’un bâtiment civil transformé en édifice religieux ? Les irrégularités de plan sont-elles à mettre en relation avec des contraintes liées à l’utilisation ou bien à celles résultant de son insertion au milieu de bâtiments environnants et préexistants ?

Fig. 4

Fig. 4

Détail du sol de la basilique romaine avec sa mosaïque, 
la nécropole byzantine dont les tombes sont recouvertes 
de dalles de grès et la fosse centrale creusée au xie ou xiie siècle.

Photo Fr. Souq/Inrap.

22Les constructions romaines de ce quartier s’inscrivent dans une trame orthogonale orientée au nord dont il ne subsiste rien dans la ville postérieure. Un écart de 3 degrés est toutefois perceptible sur les axes nord-sud. Il pourrait témoigner de contraintes dues à l’articulation entre plusieurs quartiers mais, encore une fois, seule la poursuite de l’exploration permettra d’obtenir une vision plus détaillée de la trame urbaine de l’antique Icosium.

23Le quartier est abandonné dans le troisième quart du ve siècle. Doit-on mettre en relation ces événements avec l’occupation vandale de l’Afrique du Nord et l’évolution des conditions économiques qui en découlent ? L’emprise urbaine de la ville se rétrécit, le secteur est réinvesti par la végétation et reçoit un nouvel apport de colluvions qui indique la réactivation d’une dynamique torrentielle des versants.

24Au viie siècle, une vaste nécropole recouvre la zone. Les tombes orientées est-ouest sont fermées par des dalles de grès et ne contiennent aucun mobilier d’accompagnement. Elles constituent un témoin précieux de la fin de l’occupation byzantine, à ce jour très mal connue.

25Les premiers vestiges de la période islamique remontent aux xie-xiie siècles, avec la découverte d’une fosse dont le creusement peut être mis en relation avec l’installation d’un chemin creux descendant de la Casbah. Les éléments présents dans son comblement témoignent de l’existence d’ateliers de potiers à proximité. Le quartier est urbanisé entre le xiie et le xive siècle, sans que les éléments recueillis lors de la fouille ne permettent d’avancer une datation précise. Au nord, nous avons dégagé des pièces au sol chaulé, donnant sur une rue qui perdurera jusqu’à la période coloniale sous le nom de « passage Parodi ». Au sud, un quartier est bâti selon un plan orthogonal. Il est totalement reconstruit au xviiie siècle en reprenant les substructions des bâtiments médiévaux. Il correspond à un secteur à vocation économique (souks), situé entre le port et la Casbah. Les façades de boutiques et un atelier d’artisanat métallurgique donnant sur deux rues soigneusement pavées ont été dégagés. Notons également la présence de sols construits en brique, découverts en 2008, qui pourraient correspondre à des installations annexes de la mosquée Jama ‘al-Sayyida si l’on suit les dernières hypothèses émises sur son emplacement (Missoum 2003).

26L’aspect du quartier est radicalement modifié à partir de 1830. L’aménagement de la place coloniale est marqué par la découverte des niveaux de circulation correspondants, ainsi que par les caves de l’hôtel de la Régence qui en fermait l’extrémité septentrionale. De cette époque subsistent également les fondations d’une fontaine et un collecteur du réseau d’assainissement.

27Au nord de la zone, la trame urbaine issue de la période médiévale est conservée jusqu’à la démolition du quartier après la seconde guerre mondiale. On notera la découverte d’un ensemble de citernes voûtées, construit à la période ottomane et repris à la période coloniale, qui alimentait le quartier en eau.

Conclusion

28Bien que d’une ampleur limitée, les sondages ouverts lors de ce diagnostic par une équipe algéro-française ont démontré l’existence, sous une des principales places d’Alger, de vestiges archéologiques conservés sur plus de 7 m d’épaisseur. Les découvertes réalisées à cette occasion s’échelonnent sur plus de deux mille ans et renouvellent nos connaissances de l’histoire de la capitale algérienne. Plus généralement, le partenariat mis en œuvre à cette occasion et qui vise au développement de l’archéologie préventive laisse augurer d’une prise en compte toujours plus efficiente du patrimoine en Algérie et de sa gestion au quotidien face aux atteintes qu’occasionnent les travaux d’aménagement du territoire liés au développement économique de la société.

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Bibliographie

Le Glay, M. 1968. « À la recherche d’Icosium », Antiquités africaines, 2 : 7-52.

Missoum, S. 2003. Alger à l’époque ottomane, la médina et la maison traditionnelle. Aix-en-Provence, Édisud, 279 p.

Souq, Fr. 2005. « Rapport d’expertise du projet d’évaluation archéologique : Ilot Lallahoum (Icosium) », in : Atelier euro-maghrébin Patrimoine et aménagement du territoire : l’archéologie préventive, 26-30 novembre, Alger. Unesco-Inrap : 80-85, disponible en ligne, http://unesdoc.unesco.org/images/0014/001425/142598f.pdf [consulté en juillet 2011].

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Table des illustrations

Titre Fig. 1
Légende Le secteur sauvegardé de la Casbah à Alger avec le tracé projeté de la ligne de métro et l’extension supposée de la ville antique.
Crédits Fr. Souq/Inrap.
URL http://nda.revues.org/docannexe/image/1432/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 636k
Titre Fig. 2
Légende Vue d’ensemble des sondages 
sur la place des Martyrs à Alger.
Crédits Photo P. Chapon/ Inrap.
URL http://nda.revues.org/docannexe/image/1432/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 328k
Titre Fig. 3
Légende L’information destinée au grand public sur la place des Martyrs.
Crédits Photo H. Petitot/Inrap.
URL http://nda.revues.org/docannexe/image/1432/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 400k
Titre Fig. 4
Légende Détail du sol de la basilique romaine avec sa mosaïque, 
la nécropole byzantine dont les tombes sont recouvertes 
de dalles de grès et la fosse centrale creusée au xie ou xiie siècle.
Crédits Photo Fr. Souq/Inrap.
URL http://nda.revues.org/docannexe/image/1432/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 524k
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Pour citer cet article

Référence papier

François Souq et Kemal Stiti, « Fouilles récentes à Alger », Les nouvelles de l'archéologie, 124 | 2011, 44-48.

Référence électronique

François Souq et Kemal Stiti, « Fouilles récentes à Alger », Les nouvelles de l'archéologie [En ligne], 124 | 2011, mis en ligne le 30 septembre 2014, consulté le 07 juillet 2015. URL : http://nda.revues.org/1432 ; DOI : 10.4000/nda.1432

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Auteurs

François Souq

Institut national de recherches 
archéologiques préventives (Inrap),
Umr 5140 Archéologie des sociétés 
méditerranéennes

Kemal Stiti

Centre national de recherche 
en archéologie (Cnra), Alger

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Droits d’auteur

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