- published: 30 May 2016
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Gerty Theresa Cori (née Radnitz; August 15, 1896 – October 26, 1957) was a Czech-American biochemist who became the third woman—and first American woman—to win a Nobel Prize in science, and the first woman to be awarded the Nobel Prize in Physiology or Medicine.
Cori was born in Prague (then in the Austro-Hungarian Empire, now the Czech Republic). Growing up at a time when women were marginalized in science and allowed few educational opportunities, she gained admittance to medical school, where she met her future husband Carl Ferdinand Cori; upon their graduation in 1920, they married. Because of deteriorating conditions in Europe, the couple emigrated to the United States in 1922. Gerty Cori continued her early interest in medical research, collaborating in the laboratory with Carl. She published research findings coauthored with her husband, as well as publishing singly. Unlike her husband, she had difficulty securing research positions, and the ones she obtained provided meager pay. Her husband insisted on continuing their collaboration, though he was discouraged from doing so by the institutions that employed him.
C'est pas seulement ma voix qui chante.
C'est l'autre voix, une foule de voix,
Voix d'aujourd'hui ou d'autrefois,
Des voix marrantes, ensoleill?es,
D?sesp?r?es, ?merveill?es,
Voix d?chirantes et bris?es,
Voix souriantes et affol?es,
Folles de douleur et de gaiet?.
C'est la voix d'un chagrin tout neuf,
La voix de l'amour mort ou vif,
La voix d'un pauvre fugitif,
La voix d'un noy? qui fait plouf.
C'est la voix d'une enfant qu'on gifle,
C'est la voix d'un oiseau craintif,
La voix d'un moineau mort de froid
Sur le pav? d' la rue d' la joie...
Et toujours, toujours, quand je chante,
Cet oiseau-l? chante avec moi.
Toujours, toujours, encore vivante,
Sa pauvre voix tremble pour moi.
Si je disais tout ce qu'il chante,
Tout c'que j'ai vu et tout c'que j'sais,
J'en dirais trop et pas assez
Et tout ?a, je veux l'oublier.
D'autres voix chantent un vieux refrain.
C'est leur souvenir, c'est plus le mien.
Je n'ai plus qu'un seul cri du c?ur :
"J'aime pas l'malheur ! J'aime pas l'malheur !"
Et le malheur me le rend bien
Mais je l' connais, il m' fait plus peur.
Il dit qu'on est mari?s ensemble.
M?me si c'est vrai, je n'en crois rien.
Sans piti?, j'?crase mes larmes.
Je leur fais pas d'publicit?.
Si on tirait l'signal d'alarme
Pour des chagrins particuliers,
Jamais les trains n'pourraient rouler
Et je regarde le paysage.
Si par hasard, il est trop laid,
J'attends qu'il se refasse une beaut?
Et les douaniers du d?sespoir
Peuvent bien ?ventrer mes bagages,
Me palper et me questionner,
J'ai jamais rien ? d?clarer.
L'amour, comme moi, part en voyage.
Un jour je le rencontrerai.
A peine j'aurai vu son visage,