Sylvain Cossette (born May 8, 1963) is a French-Canadian singer-songwriter from Grand-Mère, Quebec (located in the Mauricie region). Sylvain was a founding member of the Quebec-based English language band Paradox in 1984, before becoming a French language solo artist by 1994. During his career he has sold over 800,000 albums, recorded several hit albums, won many Quebec Felix Music Awards and Juno nominations, and performed in Canada and Europe in the hit stage musicals Notre Dame De Paris and Dracula. Cossette's 2001 album Rendez-vous was certified Platinum by the CRIA in November 2002. His 2007 album 70s (#1 Quebec, #2 Canada) is his first all English release and produced four #1 hit singles and two #1 hit videos. The album went Gold (50,000 CDs sold) in 27 days and Platinum (100,000 CDs sold) in 15 weeks. The 70s concert tour went Silver Ticket (25,000 tickets sold) in 3 months and Gold Ticket (50,000 tickets sold) within a year. On October 21 2008, he released the album 70s Volume 2 and produced three #1 hit singles and one #1 hit video. The album went Gold (50,000 CDs sold) in 19 days and Platinum (100,000 CDs sold) in 11 weeks. The 70s project has so far sold 260,000 albums, 100,000 concert tickets and been seen by over a 400,000 people at outdoor festivals. On August 22nd, Cossette announced the recording of the album 70s Volume 3 to be released October 25th, 2010.
Bruno Pelletier (born August 7, 1962), is a francophone Quebecer singer.
Pelletier was born in Charlesbourg, a suburb of Quebec City. In 1983 Pelletier performed in the bands Amanite and Sneak Preview, which sang in English. He later started a group called Pëll, singing in French. At 23 years old, he moved to Montreal, where he sang in bars. In 1989, he participated in the rock competition Envol, where he was awarded a special mention. In 1991, he had a role in the musical Vu d'en haut, presented at the Festival of the Montgolfières in Saint-Jean-sur-Richelieu. The following year, he joined the musical spectacle Les fous du rock'n'roll, at which he has performed forty times.
In 1992, he released his first self-titled album in October and played the role of James Dean in the rock opera La Légende de Jimmy, by Luc Plamondon and Michel Berger in November.
In the summer of 1994, Pelletier was invited to participate in the FrancoFolies de La Rochelle. In September, he returned to the Mogador Theater in Paris to perform in Starmania until the end of the year, which he performed 400 times. He also recorded his second album, Défaire l'Amour, released in 1995. In 1997, his third studio album, Miserere, surpassed 200,000 copies sold. He also won the Félix Award for male singer of the year. At the same time, he appeared on the Quebec TV series Omertà II.
(S. Cossette / S. Cossette, R. Marchand)
Comme une image familiere
Un livre deja lu, un film deja vu
Je revis le meme drame qu'hier
Une corde rompue
Un nuage, un deluge
Pendant des jours, je saisis
Puis tout s'enfuit, j'oublie
Refrain:
Mais si j'me rappelle
Ce sera moins penible, moins penible...
Et si de ma bulle je surveille
J'aurai moins d'ennuis, moins d'ennuis...
Une lueur qui s'eveille
Une flamme qui monte
Qu'on veut clamer au monde entier...
Mais les lumieres se referment et tout devient sombre
Le drame sortant de l'ombre
Pendant des jours je saisis
Puis tout s'enfuit, j'oublie
Refrain
Sur ce grand chantier de mines
Cette immense terre bordee de fontieres
Il y a trop de tresors qui se vident
Des voix qui se taisent
Et trop d'ames prises au piege
Un bleu intense
Voile toutes les ombres qui m'entourent
Ce ciel immense
Soulage mon ennui
Ces feuilles qui tombent
Dansent tout autour de ma peine
Le vent qui chante
Ne parle que de toi
Chaque nuit souligne ton absence
Dans le noir
Ton image
Vient troubler ma mémoire
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Lié au temps perdu
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Car rien ne reste de nous
Ce feu qui brûle
Sent la froideur du silence
Ce coeur si lourd
Ne parle que de toi
Chaque nuit souligne ton absence
Dans le noir
Ton image
Vient troubler ma mémoire
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Lié au temps perdu
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Car rien ne reste de nous
D'un jour à l'autre
Je pense à toi
D'une nuit à l'autre
Je compte les heures oubliées
Si près de moi
Mais loin des yeux
Rien ne pourra
Couvrir tes pas
J'te trouverai
Je te trouverai
D'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Lié au temps perdu
D'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Car rien ne reste de nous
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Lié au temps perdu
Je vis d'un jour à l'autre
D'un jour à l'autre
Car rien ne reste de nous
D'un jour à l'autre
Je pense à toi
Si près de moi
Mais loin des yeux
Rien ne pourra
Couvrir tes pas
J'te trouverai
J'te trouverai
D'un jour à l'autre
Je pense à toi
Si près de moi
Mais loin des yeux
Rien ne pourra
Couvrit tes pas
J'te trouverai
Il y a des choses qu'on vit
Trop souvent seul et en silence
Et y'a des causes qu'on dit
Apparamment perdues à l'avance
On n'aura pas eu le temps
De comprendre le pourquoi
La vie donne... et elle reprend...
Dis moi,
C'est comment le Paradis?
Si c'est bien ce qu'on en dit,
Si c'est grand ou bien petit,
Si, de là-haut, tu m'envies
Dans le noir de mes nuits blanches
Je pense à toi si souvent
Viens me voir si t'as la chance,
Mon ami...
On marche sur un fil,
Dès que l'on naît,
Dès nos premiers jours,
Le corps est si fragile;
On ne se méfie pas de l'amour
Dans le cirque de la vie
Dans nos terres ou dans nos tours,
On n'est jamais à l'abri...
Dis moi,
C'est comment le Paradis?
Si c'est bien ce qu'on en dit,
Si c'est grand ou bien petit,
Si, de là-haut, tu m'envies
Dans le noir de mes nuits blanches
Je pense à toi si souvent
Viens me voir si t'as la chance,
Mon ami...
(solo)
Dis moi,
C'est comment le Paradis?
Si c'est bien ce qu'on en dit,
Si c'est grand ou bien petit,
Si, de là-haut, tu m'envies
Dans le noir de mes nuits blanches
Je pense à toi si souvent
Viens me voir si t'as la chance,
(S. Cossette, M. Langis / M. Langis)
Seras-tu a Paris en decembre
Ou bien a Venise au Nouvel An
Ou seras-tu en avril, en septembre
Loin de moi, loin de moi
Je relis souvent tes missives
Quelques mots et je chavire
Reviens-moi
Refrain:
Que tu sois aux quatre coins du monde
Aussi loin que tu voudras
Je te suivrai comme une ombre
Tant que le soleil sera
Si rendu au bout de la terre
Le temps n'y est pas plus clair
N'oublie pas, reviens-moi
Reviens-moi
L'ete va venir pour me voir
L'automne, me prevenir que le froid...
Rapporteras-tu tes valises en novembre
Tu me manques, tu me manques
Les mots tardent a venir
Le son de ta vois me dechire
Reviens-moi
(S. Cossette / S. Cossette, M. Corriveau)
Y'a des histoires que la memoire
Devrait laisser mourir au fond d'un tiroir
Y'a meme des sages qui ne peuvent contrer la rage
Quand le souvenir montre son vrai visage
Refrain:
Elle attire dans son lit
Et retient tel un vampire
Une morsure
Et l'amertume coule dans les veines
Rancune
Oublier...
Effacer...
Pardonner, ne jamais retenir
Avancer...
Ignorer...
Liberer...
Dans les decombres ou tout est sombre
Y'a parmis les cendres une bombe
Des profondeurs eclate la douleur
Quand l'ennemi montre ses vraies couleurs
(S. Cossette / S. Cossette, M. Corriveau, R. Marchand)
Comme si le vent m'avait
Tendrement tire d'un long sommeil...
Que me vaut cce geste si doux
Qui me menera tout pres de vous, pres de vous...
Une attirance soudaine
Ou toute resistance est vaine
Je crois bien devenir fou
Je suis maintenant fou de vous, fou de vous...
Refrain:
Mais ce secret, ce livre dans un coffret
Ne parle que de nous
Il s'ouvrira quand on se reverra
Pour ce rendez-vous
Un long regard, un sourire
Un je-ne-sais-quoi qui inspire...
Elle habite un coin de mon coeur
Elle y a depose tout plein de fleurs, plein de fleurs...
Refrain
Bridge:
Et je le sais, ce carnet de promesses
N'appartient qu'a nous
Et dans un an ou peut-etre dans cent
Ce rendez-vous...
Cet amour tendre et fragile
Nous attendra sur une ile
Nous le retrouverons tout a l'heure
Juste a cote du bonheur
Il s'ouvrira quand on se reverra
Pour ce rendez-vous
Croire, seulement croire
Sans demander pourquoi
Combien de temps perdu emprisonné
À ignorer la liberté
Tant d'espoirs qui retombent
Tant d'angoisses qui jailissent soudain
Tant de désarroi qui trompe
Je ne baisse plus les yeux
Je vois bien plus loin
Je veux croire, seulement croire
Sans demander pourquoi
Combien de temps perdu emprisonné
À ignorer la liberté
Oh je veux voir, seulement voir
Et soulever ce voile
Qui tout ce temps gardait l'obscurité
Autour de moi et dans mon coeur
Tant de passé qui remonte
Tant de peurs qui surgissent de loin
Tant de rêves qui s'estompent
Je ne pose plus de questions
Je suis mon chemin
Je veux croire, seulement croire
Sans demander pourquoi
Combien de temps perdu emprisonné
À ignorer la liberté
Oh je veux voir, seulement voir
Et soulever ce voile
Qui tout ce temps gardait l'obscurité
Autour de moi et dans mon coeur
Oh je veux voir
Même au-delà de ce miroir
Voir... au-delà des mots
(solo)
Combien de temps perdu emprisonné
À ignorer la liberté
Oh je veux voir, seulement voir
Et soulever ce voile
Qui tout ce temps gardait l'obscurité
Quand tes cheveux s'etalent
Comme un soleil d'ete
Et que ton oreiller
Ressemble aux champs de ble
Quand l'ombre et la lumiere
Dessinent sur ton corps
Des montagnes, des forets
Et des iles au tresor
Que je t'aime (6x)
Quand ta bouche se fait douce
Quand ton corps se fait dur
Quand le ciel dans tes yeux
D'un seul coup n'est plus pur
Quand tes mains voudraient bien
Quand tes doigts n'osent pas
Quand ta pudeur dit non
Tu doutes un peu plus fort
Que je t'aime (6x)
Quand tu n'te sens plus chatte
Et que tu deviens chienne
Et qu'a l'appel du loup
Tu brises enfin tes chaines
Quand ton premier soupir
Se finit dans un cri
Quand c'est moi qui dit non
Quand c'est toi qui dit oui
Que je t'aime (6x)
Quand mon corps sur ton corps
Lourd comme un cheval mort
Ne sait pas, ne sait plus
S'il existe encore
Quand on a fait l'amour
Comme d'autres font la guerre
Quand c'est moi le soldat
Qui meurt et qui la perd
Que je t'aime (12x)
Si j'te parlais de mon pays
Où coulent le lait et le miel
Où l'hirondelle a fait son nid... aussi
Si je me disais héritier
D'un glèbe, une terre promise
Que j'aurais voulu partager...
même ma chemise
Chaque homme a sa maison, sa rue
Une femme dort au chevet de son enfant
Les roses ont des épines bien entendu
Mais la neige est fidèle en son temps
Tu me dirais, c'est légitime
Qu'on t'a volé jusqu'à ton nom
Qu'on a souillé jusqu'à ton hymne... de front
Les yeux rougis d'un sang amer
Tu envirais mon abondance
Qu'on a refusée à ton père... pour peu de chance
Le sable a balayé ta rue
Et la mort s'attarde encore sur ton enfant
Les larmes sèches et ta terre aride
N'ont jamais vu refleurir un printemps
Un jour, j'ai quitté mon palais
Pour goûter un peu ta misère
Et j'ai silonné tes secrets mon frère
Et j'ai compris tes mots troublants
Le regard en furie au ciel
Lui que j'ai jugé trop pesant... et si cruel
Alors un sage, un inconnu
En mon âme a dit "sois fort, toi mon enfant"
J'ai le monde à refaire, je t'ai entendu
L'aube déchire le voile d'un ciel obscur
Dirige les ombres sur les murs
Ces murs qui cachent une solitude
Pendanr que le soleil s'allonge doucement
Sous ces premiers rayons vivants
S'allume en nous le feu du jour
Il y a longtemps que j'ai appris
Un sens plus profond que la vie
Jamais je n'ai aimé autant
Jamais je n'ai aimé autant
Le coeur souffre en sachant
L'inévitable qui l'attend
Rien n'est plus fragile que ton soupir
En toi
En toi
Vit l'âme de ma rage
En toi
En toi
Le torrent qui me noie
Les échos qui chantent brisent le silence
Et touchent le reste d'une existence
Où bat une sourde mélancolie
Tandis que les heures se suivent lentement
Pris dans le vide de chaque instant
On laisse les traces d'une vie
Il y a longtemps que j'ai compris
Que tout ce qui compte un jour s'enfuit
Jamais je n'aimerai autant
Jamais je n'aimerai autant
L'âme se désole quand elle sent
Que tout doit passer comme le vent
Rien ne m'est plus triste que ton sourire
En toi
En toi
Vit l'âme de ma rage
En toi
En toi
Le torrent qui me noie
Le souffle qui m'anime
Une flamme dans le vent
(solo)
En toi
En toi
Vit l'âme de ma rage
En toi
En toi
Le torrent qui me noie
En toi
En toi
Vit l'âme de ma rage
En toi
En toi
Le torrent qui me noie
En toi
En toi
Vit l'âme de ma rage
En toi
En toi
(S. Cossette / S. Cossette)
Tu es la mais, helas, tu sembles lasse, Belle
Il se passe trop de choses juste la dans ta tete
La tu casses les miroirs, t'as plus rien a te mettre
Va voir la, juste la, t'oublie ta robe verte
Tu te glaces, te pourchasses, te menaces...
Refrain:
Crie pour que tout ça s'arrete
Prie pour que plus rien ne t'arrete
Vis comme si y'avait pas de lendemain
Tant pis si un jour tu t'embetes
Et tu t'enfuis sur une autre planete
Je te dis, pour moi tu seras toujours Belle
J'etais la ce jour-la quand tu faisais la fete
Ce voile-la qui te cache, t'en avais pas besoin
Tu t'inquietes, tu te guettes, tu ne te pretes a rien
C'est peut-etre que la Bete te garde dans son coin
T'as pas l'droit, reveille-toi, tu te noies...
Refrain
La ça va, tu te vois
Y'a plus rien qui te gene
Y'a pourtant une chose qui restera pareille
Tu m'appelles, te reveles, tu es Belle
Quand je pense à tous ces mots
À ce qui cause tous ces maux
On laisse échapper trop de haine
Même si tu m'aimes
Je ne serai plus le même
Différent comme les semaines
Où le désir m'emmène et m'entraîne
Aimer si fort
Mais le rêve s'endort
Aimer si fort
Et pourtant
Comme l'océan
Tes vagues ont tout emporté si loin
Comme le vent
J'efface les souvenirs de toi
Tout ce monde qui s'interpose
Qui s'oppose à toute chose
Mais qui se sauve dès que ce n'est plus rose
Et souvent
Ce qui cause les tourments
Qui fait que ce n'est plus comme avant
Avant on en oubliait le temps
Aimer si fort
Et le rêve s'endort
Aimer si fort
Et pourtant
Comme l'océan
Tes vagues ont tout emporté si loin
Comme le vent
J'efface les souvenirs de toi
(solo)
Comme l'océan
Tes vagues ont tout emporté si loin
Comme le vent
J'efface les souvenirs de toi
Comme l'océan
Tes vagues ont tout emporté si loin
Comme le vent
(S. Cossette / S. Cossette)
Je t'offre aujourd'hui
Car hier s'est eteint
Je te donne tout de suite
Car demain, c'est trop loin
Je te tends le present
Le passe s'est absente
Attends un instant
L'avenir va rappeler
Refrain:
Reste si tu veux
Reste si tu peux
Si t'en as envie
Ouvre tes yeux
Regarde un peu
Reste un peu, je t'en prie
Goute ces instants
Ne comte pas les secondes
Savoure, prends le temps
N'effleure pas ta montre
Refrain
Allons, n'aie pas peur, reste la un moment
Dors quelques heures
Tu survivras, meme quand minuit hurlera
Je quitterai mon île et lèverai les voiles
De peur que l'avenir me glisse entre les doigts
Et que s'abîme ce rêve qui s'enflamme
Sens-tu mon c?ur battre pour toi
Je regarderai devant moi et quitterai tes bras
Et de ville en ville, je pousserai le vent
Rien n'est plus fragile que l'être qui s'endort
Sens-tu les flammes courir en moi
Un beau jour, la vie
Te mène à l'envie
Mais la peur et le doute
Ton âme les poursuit
Tous ces rêves qui brillent
Nourriront tes désirs
Mais un jour, tu reviendras
Sauras-tu me dire si je vis dans le noir
Pour que ne persiste ce doute, ce désespoir
Et que ne s'abîme ce rêve tout en moi
Sens-tu mon c?ur battre pour toi
Un beau jour, la vie
Te mène à l'envie
Mais la peur et le doute
Ton âme les poursuit
Tous ces rêves qui brillent
Nourriront tes désirs
Mais un jour, tu reviendras
solo
Un beau jour, la vie
Te mène à l'envie
Mais la peur et le doute
Ton âme les poursuit
Tous ces rêves qui brillent
Nourriront tes désirs
Mais un jour, tu reviendras
Un beau jour, la vie
Te mène à l'envie
Mais la peur et le doute
Ton âme les poursuit
Tous ces rêves qui brillent
Nourriront tes désirs
(S. Cossette / S. Cossette)
Qu'est-ce qui se passe pour que tout d'un coup
Tu me fasses le coup
Tu t'en vas
Tu m'a conte de belles histoires avec ton air de tsar
T'en avais plein comme ca
T'etais sage comme une image
Qu'il etait doux ton pelage
J'en reviens pas
Tu te disais valet
La pretention? Jamais
Tu te proclames maintenant "Roi"
Ton royaume n'est pas un baume
Aucune de mes plaies ne s'y nourrira
Tes sujets sont navets et ta garde est ringarde
Est-ce que t'en as ras... le Roi?
Alors je te dis... demenage
Toi le prince qui tient la corde qui lynche
La nuit venue, est-ce que tu dors?
Et tes chiens que tu laches pour un rien
Qui chassent tes voisins
Dis-moi, tu les mords?
Tu veux qu'on polisse tes trophees de chasse
Mais tes frasques t'entachent
Alors je te dis... demenage, fais tes bagages, rame
Maintenant, tu fais le fou du roi, tu fais le troubadour
Dis, qu'est-ce que tu joues-la?
Un air que j'ai connu, j'en veux plus
Charme-en un autre que moi
T'as epuise toutes tes fleches
Et ton arc se detraque, tu craques
(S. Cossette / S. Cossette)
Osera-t-elle se moquer d'autrui
Et explorer l'autre cote de ma vie
Osera-t-elle...
Ira-t-elle jusqu'a me decouvrir
Et trouver un tresor enfoui au fond de ma caverne
Je lui dirai "Je t'aime"
Mais ces mots ne seront que mots
Je lui puiserai de l'eau
Mais de l'eau je la sauverai
Pourra-t-elle trouver la force...
Ouvrir cette porte qui m'arrete, me gene et m'ennuie
Foutue timidite...
Saura-t-elle trouver la lueur
Trouver la chandelle qui me menera au bout
Interminable tunnel
Refrain:
Je lui dirai "Je t'aime"
Mes ces mots ne seront que mots
Je lui puiserai de l'eau
Mais de l'eau je la sauverai
Je lui tiendrai la main
Nous danserons jusqu'a demain
Demain et le lendemain, demain et le lendemain
Marchera-t-elle jusqu'a l'autel
Prononcera-t-elle ces mots
Et l'anneau, le portera-t-elle quoi qu'il advienne
Voudra-t-elle donner la vie
Et ainsi amoindrir un peu ma folie
M'aimeras-tu mon petit
Malgré le temps passé, je ne t'ai jamais perdu
Comme une voix qui chante en moi
Ne sera jamais perçue comme triste mélodie
Je n'y vois qu'une douce symphonie
Mais tous ces mots qui chantent
Cet air qui me hante
Une ombre qui suivra mes pas
Je parcourrai le monde
Et comme la route est longue
Je t'emporterai avec moi
Je t'emmène, passion lointaine
J'ai pris le temps de tout comprendre
De ne pas souffler sur tes cendres
Tout simplement comme le vent
Qui donne des formes à l'océan
Qui donne des formes à l'océan
Moi, je construis à ma façon
Une nouvelle image de foi
Je prêcherai en ce monde
Ce sentiment pour toi
Et cette image de toi gravée comme sur un mur
Se touchera du bout des doigts
Ne sera jamais perçue comme triste souvenir
Mais comme l'époque d'un grand roi
Mais tous ces mots qui chantent
Cet air qui me hante
Une ombre qui suivra mes pas
Je parcourrai le monde
Et comme la route est longue
Je vois son visage
Qui se profile fixant le ciel
Je ferme les yeux
Et la forme se renouvelle
Je peux voir
Que ce qu'elle entend
Est le silence et l'écho
D'un temps déjà loin
C'est son visage
Oublié dans la pénombre
Un rêve à finir
Que je vois glisser sur l'onde
Se peut-il
Qu'elle s'accroche au souvenir
Et les gardent pour toujours
Prisonniers du temps
Immobile
Elle observe entre les branches
Une rivière où sillonne le bois
Grande héritière
De milliers de secrets
Toujours là
Au fil des saisons, elle est patiente
Et cet air qu'elle chante
Berce la course du vent
Elle attend
Car peut-être
L'entendrez-vous
En vous rappelant
Les douceurs d'antan
Recueillis
Derrière l'ombre des feuillages
Le coeur fébrile
Et le sourire des sages
Si vous pouviez lui dire
Que vous saurez toujours
Vous souvenir
(solo)
Je vois son visage
Qui se profile fixant le ciel
Je ferme les yeux
Et la forme se renouvelle
Je peux voir
Que ce qu'elle entend
Est le silence et l'écho
(S. Cossette / S. Cossette)
Au fond d'un puits elle a jete ses promesses
Un jour de pluie, dans un geste de detresse
Mais tous les mots du monde se perdent dans un puits
En remontant la corde saans effort
J'ai su qu'il etait vide... le seau etait vide
Elle a pris la sortie de secours
Le chemin plus court
Elle a bati une forteresse
Loin de nous
Derriere un mur elle s'est cachee... peu sereine
A la pleine lune, j'ai meme chante a sa fenetre
Mais tous les airs du monde ne peuvent percer un mur
Elle a tire les rideaux
Et sa lampe s'est essoufflee depuis, son ombre aussi
Refrain:
Elle a pris la sortie de secours
Le chemin le plus court
Elle a bati une forteresse
Et ferme a double tour
Elle a quitte sans regarder autour
Pour un aller sans retour
Elle a bati une forteresse
Loin de nous
Tous les voeux du monde ne peuvent prendre vie
Mes prieres, mes offrandes et mes gestes
Ont tous atterri... au fond de son puits
Blanc, couleur eternelle qui ennoblie
Blanc, qui borde l'arc-en-ciel
Tu as donne la vie a tout ce qui etait gris
Blanc, comme au premier jour de la vie
Blanc, aussi pur que l'amour
On a pousse des cris quand tu es reparti
Refrain:
Tout ne reste pas blanc
Adieu manege et innocence
Meme la belle au bois dormant
Des barbeles entourent son chateau blanc
Blanc, la neige sur terre etend soom manteau
Blanc, splendeur ephemere
Toi qui nous eblouis, tu partiras aussi
Refrain
Blanc, a l'encre noire sur une feuille blanche
On ecrira l'histoire
On racontera la vie quand on aura grandi
Tout ne reste pas blanc
Adieu manege et innocence
Meme la belle au bois dormant
N'a pu empecher le sang
Devant moi l'infini
Fenêtre sur la vie
Où gravite l'univers
De mes sens en éveil
Astre qui soudain m'anime
Comme la lune soulevant terre et mer
Je vois le monde sans abîme
Aussi beau à l'endroit comme à l'envers
Tourne autour de moi, monde éternel
Tourne autour de moi
Le soleil et tous les feux du ciel
Autour de moi
Les étoiles me donnent le rythme
En scintillant, de plus en plus vite
Et mon corps suit le courant
Emporté par le tourbillon du temps
Tourne autour de moi, monde éternel
Tourne autour de moi
Le soleil et tous les feux du ciel
Autour de moi
Aucune éclipse me privera de ta lumière
Car tu brilles autour de moi
Autour de moi, monde éternel
Tourne autour de moi
Le soleil et tous les feux
Le soleil et tous les feux
Le soleil et tous les feux du ciel