- published: 31 Jan 2009
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Number Two, No. 2, or similar may refer to:
Anna Fedorova (born 27 February 1990) is a Ukrainian concert pianist.
Fedorova was born in Kiev, Ukraine, into a family of musicians, and she began playing the piano at age five. She gave her first public recital when she was six, and her national debut was in 1997, at the National Philharmonic Society of Ukraine.
Fedorova has given concerts in various halls across Europe, North America, and South America, including performances at the Concertgebouw in the Netherlands, the Palacio de Bellas Artes in Mexico, and the Teatro Colón in Argentina. She has won 14 international piano competitions, including First Prize at the International Rubinstein in Memoriam piano competition in Poland, in 2009.
In 2008, she graduated from the Lysenko Musical College for Gifted Children. She is currently a student of Leonid Margarius at the Accademia Pianistica Incontri col Maestro in Imola, Italy.
Honte à toi qui la première m'a appris la trahison,
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison,
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison.
Honte à toi femme à l'oeil sombre, dont les funestes amours,
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours,
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours.
C'est ta voix, c'est ton sourire, c'est ton regard corrupteur,
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur,
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur.
C'est ta jeunesse, c'est tes charmes qui m'ont fait desespérer,
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer,
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer.
Honte à toi, j'étais encore, aussi simple qu'un enfant,
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant,
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant.
Certes ce coeur sans défense, pu sans peine être abusé,
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé,
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé.
Honte à toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs,
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs,
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs.
Elle coule sois en sûr et rien ne la tarira,
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira,
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira.
Mais dans cette source amere, du moins je me laverais,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré.