Cambodia: SIHANOUK's ECONOMIC POLICY (1of2) [FR]

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• published: 06 Feb 2008
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FISH from the lake and rivers were plentiful. Cambodia regularly supplied its population more personally person than any other country in Southeast Asia, even when crops were poor. The landscape remained largely as in medieval times, awash with emerald rice paddies, shade and dotted by bamboo stands and knots of palm trees. Farmers lived in huts or traditional wooden houses built on stilts for protection from monsoon floods. The point spires of pagodas dominated village and the peasants' lives. As the embodiment of Cambodia's long help-belief, that monarch is a deva-raj or god king, a semi divine ruler with absolute secular power and the benedictions of the gods, Sihanouk saw Cambodia as his own paradise. He took it upon himself to design a state to "protect" Cambodia, to keep out unwanted foreign or modern influences that might disrupt the largely, rural, Buddhist life in his kingdom. Sihanouk saw independence from France largely as necessary step to prevent the first indo-Chinese war (1946-1954) from spilling into Cambodia and destroy it forever. Independence, in his view, was not the prelude for bringing Cambodia into the twentieth century. It was insurance that Cambodia could remain an Asian beauty, unspoiled by modernity. Interview of the Prime Minister for Kampuchea, prince NORODOM SIHANOUK: he speaks about his economic policy and of the nationalization/American colonialism, he explains why he does not want to depend on the American assistance. In 1963 the prince announced the nationalization of banking, foreign trade, and insurance as a means of reducing foreign control of the economy. In 1964 a state trading company, the National Export-Import Corporation, was established to handle foreign commerce. The declared purposes of nationalization were to give Khmer nationals, rather than Chinese or Vietnamese, a greater role in the nation's trade, to eliminate middlemen and to conserve foreign exchange through the limiting of unnecessary luxury imports. French: Les poissons du lac et des fleuves étaient abondants. Le Cambodge a régulièrement fourni sa personne de population plus personnellement que n'importe quel autre pays en Asie du Sud-Est, même lorsque les récoltes étaient pauvres. Le paysage est demeuré en grande partie comme dans des périodes médiévales, inondées des rizières vertes, ombre et a pointillé par les stands et les noeuds en bambou de palmiers. Les fermiers ont vécu dans les huttes ou les maisons en bois traditionnelles construites sur des échasses pour la protection contre la mousson inonde. Les flèches de point des pagodas ont dominé le village et les vies des paysans. Comme incorporation de la longue aider-croyance du Cambodge, ce monarque est un deva-raj ou le roi d'un dieu, une règle semi divine avec la puissance séculaire absolue et les bénédictions des dieux, Sihanouk ont vu le Cambodge en tant que son propre paradis. Il l'a pris sur se pour concevoir un état « protègent » le Cambodge, pour maintenir dehors les influences étrangères ou modernes non désirées qui pourraient perturber en grande partie, la vie rurale et bouddhiste dans son royaume. Sihanouk a vu l'indépendance de l'étape de la France en grande partie selon les besoins pour empêcher la première guerre indo-chinoise (1946-1954) de se renverser en le Cambodge et pour la détruire pour toujours. L'indépendance, dans sa vue, n'était pas le prélude pour introduire le Cambodge dans le 20ème siècle. Il était assurance que le Cambodge pourrait rester une beauté asiatique, intacte par la modernité qui pourrait également déranger sa propre puissance. Entrevue du premier ministre du Kampuchea, prince NORODOM SIHANOUK : il parle au sujet de sa politique économique et de la nationalisation/du colonialisme américain, il explique pourquoi il ne veut pas dépendre de l'aide américaine. Dans 1963 le prince annoncé la nationalisation des opérations bancaires, du commerce extérieur, et de l'assurance afin de réduire la commande étrangère de l'économie. En 1964 un société commercial d'état, National Export-Import Corporation, a été établi pour manipuler le commerce étranger. Les buts avoués de la nationalisation étaient de donner les ressortissants de Khmer, plutôt que chinois ou vietnamiens, un plus grand rôle dans le commerce de la nation, d'éliminer des intermédiaires et de conserver de devises étrangères par la limitation des importations de luxe inutiles.