Indymedia Nantes / dimanche 27 mars 2016
Depuis toujours les syndicats ont un rôle de courroie entre les exploiteurs et les exploités – pour perpetuer l’exploitation.
Jeudi dernier, à Montparnasse le SO de la CGT qui voulait encore une fois avoir le contrôle de la manifestation a tabassé, gazé et donné aux flics des manifestants.
Voilà ce que sont les syndicats : des amis utiles des patrons et des flics. Nos ennemis.
C’est pourquoi dans la soirée de ce même jeudi on a brisé les vitres du local de la CGT, rue Pierre Bonnard dans le 20ème.
Une pensée pour les arrêtés du 24 mars.
Liberté pour tous !
Que crèvent les exploiteurs et leur laquais.
Des travailleurs de la nuit (non syndiqués)
12h35 : Une trentaine de lycéens est prise dans une nasse policière rue Ordener
Alors qu’avait lieu ce jeudi matin une manifestation contre le projet de rénovation du réseau RTE de Haute-Durance au Serre de Prunières, lieu d’assemblage de pylônes du réseau, du côté de Réotier un acte de vandalisme a été découvert sur les pieds du pylône venant remplacer la ligne de 150.000 Volt déjà présente.
A
« Je suis écœuré et j’espère que l’on trouvera les responsables. » Ces mots sont de Raymond Joassard, maire, en réaction aux actes de vandalisme qui ont touché la mairie dans la nuit de vendredi à samedi. Écœurée, une Sorbérane l’était également en découvrant sa voiture qui était garée devant la mairie et qui a elle aussi été vandalisée.
Ce mardi, des statues de saint Joseph situées dans la chapelle de Notre-Dame-des-Neiges et dans l’église Saint-Pothin (Lyon 6e) ont de nouveau été la cible de casseurs. Il y a une dizaine de jours, c’est une vierge à l’enfant, une statue en bois, qui a été arrachée de son socle à Saint-Pothin, mais elle a résisté à la casse et a pu reprendre sa place depuis. Deux personnes en prière à l’église avaient alors distingué une personne encagoulée qui s’enfuyait. À la suite de ces faits de vandalisme, une plainte a été déposée par les responsables des deux paroisses.
Portes défoncées à coup de pied, amphis souillés, salle de musique et instruments détruits, argent dérobé. C’est le triste constat d’une nuit de saccage dans les locaux de l’Université de Bordeaux à la Victoire.
Durant le week-end, les voitures en libre-service Optymo ont été prises pour cible.
