Coup d'Etat du RSP - Les écoutes audio qui accusent Soro et Bassolé

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• published: 13 Nov 2015
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Écoute Téléphonique entre le Burkina et La Côte d'Ivoire: Une conversation téléphonique entre Guillaume Soro et Djibril Bassolé relative au coup d'état avorté de Gilbert Diendéré. En 16 mn 33 secondes Guillaume SORO le Président de l'Assemblée Nationale de Côte d'Ivoire se livre... Des affirmations et suggestions qui montrent clairement l'implication de Soro Guillaume dans cette tentative de coup de force au Burkina. - Stratégie militaire pour faire perdurer la confusion et faire aboutir le coup d'Etat - Financement des Putschistes - Ses propos sur Hamed Bakayoko; ce qui confirme le feu qui couve entre les deux hommes au sommet de notre pays... Pire encore, il fait une rétrospective sur la crise en Côte d'Ivoire: - Comment Soro, Bassolé et Compagnie ont volontairement plombé les accords de Paix de Ouagadougou - Pourquoi il a fait tué son ami IB et son beau frère Désiré Tagro. Il n'hésite même pas à désigner deux autres personnes qu'il projette faire tuer au Burkina après le succès du putsch. Bref... Le pire scandale diplomatique de ses dernières années. Djibril Bassolé est déjà en prison au Burkina, et cette fois je me demande deux choses: - Ouattara et Hamed Bakayoko vont ils sauter sur l'occasion pour en finir avec Soro ? Sinon... - Comment le pouvoir despotique installé en Côte d'Ivoire pourra s'y prendre pour ' sauver l'indigne Soldat Soro ' ? ● A suivre... Lire aussi l'article de Jeune Afrique publié le 12 octobre 2015 : « Burkina : Bassolé dans le collimateur de la justice militaire » : http://bit.ly/1MpONyl ' Pour les magistrats militaires qui enquêtent sur le coup d'État manqué contre le régime de transition burkinabè, aucun doute : Djibrill Bassolé, l'ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, est le complice des putschistes de l'ex-régiment de sécurité présidentielle (RSP) et de leur chef, le général Gilbert Diendéré. Les deux hommes, qui sont inculpés d’« attentat à la sûreté de l’État, haute trahison et collusion avec des forces étrangères », ont été placés sous mandat de dépôt le 6 octobre à Ouagadougou. L’ancien chef de la diplomatie aurait été avant son arrestation, le 29 septembre, en contact téléphonique avec Diendéré, mais aussi avec… Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne. Au cœur de la procédure en cours : un appel présumé d’une quinzaine de minutes entre ce dernier et Bassolé. Il aurait eu lieu alors que les hommes du RSP s’étaient repliés dans leur camp de Naaba Koom, derrière la présidence, et que les unités loyalistes prenaient le contrôle de la capitale. Cette discussion a évidemment posé un problème aux autorités de la transition. Bassolé a été interpellé deux jours plus tard par la gendarmerie. Selon une source proche de l’enquête, l’ensemble de ces éléments ont été présentés à Bassolé lors de son audition par le juge d’instruction chargé du dossier. Signe de l’intérêt des enquêteurs pour cette piste, la villa ouagalaise de Soro (dont la rébellion contre les autorités ivoiriennes fut soutenue par Compaoré dans les années 2000) a été perquisitionnée le 6 octobre.' [ Twitter: @ClaudusIvoire https://twitter.com/claudusivoire ] Claudus - ©#StayTrue