Vous pouvez retourner sur la page archives et documents de l’ancien site de l’OURS : les textes fondateurs (déclarations de principes du PS, de l’IS… ), les 110 propositions de 1981, des discours de Jaurès, Guesde, Blum, Mollet, Mitterrand… ), des images, des chansons… une bibliothèque en ligne pleine de surprises…
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Sous titré « Les gauches françaises et l’impossible social-démocratie », cet ouvrage de Gilles Vergnon, historien, et collaborateur de L’OURS, interroge l’influence du modèle réformiste suédois sur les différents courants des gauches françaises, dans un parcours qui conduit des années 1930 jusqu’à nos jours. Au miroir d’une expérience gouvernementale de gauche unique en Europe par sa pérennité et son apparent succès, le livre propose « en creux » une histoire des projets réformistes en France. On en parle bientôt dans notre mensuel mais vous pouvez déjà vous procurer cet ouvrage à l’aide du bon de commande ci-joint.
Le PS fête ses 110 ans. Du 23 au 24 avril 1905, il y a 110 ans, s’est tenu le congrès d’unité socialiste, salle du Globe, Paris Xe. Les quatre signataires de la convocation du congrès d’unité sont : Gustave Hervé ( fédérations autonomes), J. B. Lavaud (Parti ouvrier socialiste révolutionnaire), Louis Dubreuilh (Parti socialiste de France, PSF), et Albert Orry (Parti socialiste français, PSdF). Un bref retour en arrière s’impose. Continuer la lecture de 1905-2015 : Le Parti socialiste a 110 ans !
À la Une de L’OURS 448 de mai 2015 : La France déchiffrée, par Fabien Conord. À l’heure d’Internet et des recherches apparemment illimitées mais souvent désordonnées sur un clavier, trois historiens, Julie Le Gac, Anne-Laure Ollivier, Raphaël Spina, ont, sous la houlette d’Olivier Wieviorka, réuni une impressionnante masse statistique sur la France contemporaine, de 1870 à nos jours. Continuer la lecture de La France déchiffrée, par Fabien Conord
En mai, les chroniqueurs de L’OURS (n°448, mai) aiment, apprécient, goûtent, mais grognent aussi, en toute franchise, arguments à l’appui.
Continuer la lecture de L’OURS a vu, écouté et est sorti pour vous…
Dans L’OURS de mai 2015, Fabien Conord s’intéresse à La France déchiffrée dans l’ouvrage dirigé par Olivier Wievioka, auquel collaborent trois historien(ne)s – Julie Le Gac, Anne-Laure Ollivier, Raphaël Spina. Robert Chapuis analyse le dernier livre de Michel Rocard, Suicide de l’Occident, suicide de l’humanité ? (Flammarion, 2015), Claude Dupont et Vincent Duclert présentent deux ouvrages de Gaïdz Minassian à propos de l’Arménie au moment du centième anniversaire du génocide, Raymond Krakovitch a lu pour nous Israël et ses paradoxes de Denis Charbit. Continuer la lecture de Le sommaire de l’OURS 448 (mai 2015)
En attendant la nouvelle biographie de Gilles Candar, relisez ici l’article d’Henri Cerclier, Edouard Vaillant, haute figure du socialisme français, consacré à la (dernière) biographie de Jolyon Howorth parue en 1983. Continuer la lecture de Edouard Vaillant (1915-2015)
CINEMA, BANDE DESSINEE, THEATRE, MUSIQUE… découvrez les coups de cœur du mois d’avril 2015 de nos chroniqueurs habituels. Continuer la lecture de Culture : L’OURS vous recommande en avril
L’épopée anarchiste avant 1914, par Benoît Kermoal (à propos du livre de Guillaume Davranche, Trop jeunes pour mourir. Ouvriers et révolutionnaires face à la guerre (1909-1914), Éditions, L’insomniaque et Libertalia, 2014, 543 p, 20 €). Guillaume Davranche, par ailleurs un des maîtres d’œuvre du Dictionnaire biographique du mouvement libertaire francophone (Éditions de l’Atelier, 2014, L’OURS 439), propose un fort volume sur l’histoire des militants anarchistes entre 1909 et 1914. Continuer la lecture de L’épopée anarchiste avant 1914, par Benoît Kermoal
Edvard Beneš et la cruauté de l’histoire, par Jean-Louis Panné (à propos du livre d’Antoine Marès, Edvard Beneš. Un drame entre Hitler et Staline, Perrin, 2015, 502 p, 26 €)
Combien de nos contemporains connaissent le nom d’Edvard Beneš (1884-1948) ? Des historiens bien sûr, accompagnés de quelques férus de l’histoire de l’Europe centrale, ce qui ne fait qu’une maigre cohorte. Son nom resurgit parfois à propos des « accords » de Munich (1938), imposés par la Grande-Bretagne et la France en l’absence de l’intéressé, « accords » qui ont conduit à la mainmise d’Hitler sur la Tchécoslovaquie, réduite un an plus tard à un protectorat de Bohême-Moravie et à une Slovaquie formellement indépendante. Continuer la lecture de Edvard Beneš et la cruauté de l’histoire, par Jean-Louis Panné