Énorme fou rire en direct sur iTélé !

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• published: 01 Dec 2015
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6h30 c'était peut-être un peu trop tôt pour imiter Johnny Hallyday: mais c'était aussi trop drôle. Le journaliste d'iTélé Laurent Bazin présentait la matinale avec sa consœur Isabelle Moreau quand il a introduit la chronique de Valentin Spitz, journaliste de la chaîne, consacrée à Nicolas Hulot. Comme le montre notre vidéo au-dessus de l'article, au lieu de prononcer "Le Bourget", où se déroule en grande partie la COP 21, Laurent Bazin a prononcé "Le Burget", avant de carrément le répéter en imitant Johnny Hallyday et en faisant beaucoup rire ses collègues. Pendant presque 3 minutes, la chronique a donc été parcourue par les rires des trois collègues, incapables de conserver leur calme...et nous avec. "J'ai bêtement imité Johnny Hallyday en parlant du Bourget et du coup depuis j'ai du mal à me reprendre", a expliqué Laurent Bazin, avant de conclure la chronique en faisant son mea culpa: "Je vous présente mille excuses Valentin pour avoir saboté votre chronique." Ne pas plaisanter pendant un magnéto, sous peine de perdre ses chroniqueurs à la reprise de l'antenne. Ce matin sur iTELE, Valentin Spitz a bien eu du mal à finir son billet sur Nicolas Hulot, dans la matinale de Laurent Bazin et Isabelle Moreau. A peine sa chronique démarrée, il est pris d'un fou rire communicatif, qui va durer près de trois minutes ! La faute à l'anchorman de la tranche qui, pendant un reportage, s'est amusé à imiter Johnny Hallyday. puremedias.com vous propose de voir ce moment si vous l'avez raté. Ce mardi matin sur iTélé, les journalistes Laurent Bazin, Isabelle Moreau et Valentin Spitz ont été pris d'un long fou rire. Tout commence alors que Laurent Bazin lance la chronique de Valentin Spitz consacrée à Nicolas Hulot. Il prononce "Burget" au lieu de Bourget, et rebondit en répétant volontairement son erreur. S'en suivent alors plusieurs minutes de fou rire, tandis que Valentin Spitz essaie tant bien que mal de poursuivre sa chronique, avec une voix aiguë sous l'effet du rire. A ses côtés, Laurent Bazin et Isabelle Moreau n'arrivent pas à se retenir non plus. Avant de relancer son collègue, Laurent Bazin explique les raisons de ce fou rire: "Attendez parce que là je massacre une chronique qui est magnifique. J'ai bêtement imité Johnny Hallyday en parlant du Bourget tout à l'heure. Du coup depuis j'ai un peu de mal à me reprendre". Les rires ne se calment pas tout de suite pour autant. A la fin de la chronique de Valentin Spitz, Laurent Bazin lui a présenté "mille excuses" "pour avoir saboté" sa rubrique. "J'espère que vous y avez compris quelque chose. Je crois que Valentin a fait son maximum sur Nicolas Hulot", a-t-il conclu en s'excusant une dernière fois. Comment une chronique très sérieuse sur Nicolas Hulot et la Cop21 s'est transformée, ce 1er décembre 2015 en monumental fou-rire avec gloussements intégrés sur iTélé. Ce matin du 1er décembre 2015, la matinale d'iTélé menée par Laurent Bazin et Isabelle Moreau aurait dû traiter, avec gravité, de la conférence COP21 sur le climat et de l'implication de Nicolas Hulot dans l'organisation de l'événement. Aurait dû. Parce qu'à l'antenne, les choses se sont sérieusement dégradées avec un chroniqueur, Valentin Spitz, qui avait bien du mal à aligner deux mots sans glousser. Un fou rire qui manifestement malmenait aussi les zygomatiques de Laurent Bazin et Isabelle Moreau, par moment littéralement écroulés sur leurs micros. Les angoisses sur le réchauffement climatique seraient-elles si drôles ? Finalement, Laurent Bazin a fini par révéler le pot aux roses aux téléspectateurs et à présenter ses excuses au pauvre Valentin Spitz et sa collègue. Le présentateur explique ainsi que ce "fou rire intempestif" : "J'ai bêtement imité Johnny Hallyday en parlant du Bourget tout à l'heure et, du coup, depuis, j'ai un peu de mal à me reprendre..." Pas beaucoup d'informations donc durant ces quelques minutes, mais les téléspectateurs de la matinale se seront, au moins, réveillés dans la bonne humeur... Un peu plus tard sur Twitter, Laurent Bazin a ironisé sur sa mésaventure : "Qu'est-ce qu'il faut pas faire pour qu'on parle enfin de nous !"