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Curiosa

Neruda, poète ou malacologue

Neruda, poet or malacologist
Sara Contreras and Michel Étienne
p. 346-357

Editor's notes

Les textes entre guillemets suivis d’un [1] sont extraits de la traduction française par Claude Couffon de « Confieso que he vivido » (Gallimard). Les textes marqués d’un [2] sont extraits de la traduction du discours de Pablo Neruda à l’occasion de la donation de sa bibliothèque et de sa collection de coquillages à l’Université du Chili, en 1954.
Les photographies de coquillages sont toutes, sauf celle du nautile, extraites du catalogue de l’exposition « Amor al mar. Las caracolas de Neruda » au crédit de Claudio de Casas.
Les photographies en noir et blanc sont de Mario Carreño (La plage, 1942) et de Matilde Urrutia (Le magasin de coquillages, 1966).

La rédaction de Techniques & Culture tient à remercier très chaleureusement les auteurs et détenteurs des œuvres et droits cédés gracieusement pour la publication de cet article : Matilde Urrutia et Mario Carreño, et tout particulièrement Claudio de Casas, Pedro Núñez commissaire de l’exposition « Amor al mar. Las caracolas de Neruda » pour l’Institut Cervantes ainsi que Fernando Sáez, Javier Ormeño et Ana Paz pour la Fondation Pablo Neruda, enfin Kepa Gonzales Lopez, directeur culturel de l’Institut Cervantes de Manchester pour son aide précieuse.

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En réalité, ma plus belle collection a été constituée par les coquillages. Ils m’ont donné le plaisir de leur structure prodigieuse, la pureté lunaire d’une porcelaine mystérieuse alliée à la multiplicité de leurs formes, tactiles, gothiques, fonctionnelles.
Pablo Neruda

Material de coleccionista (antiques) / Matériel de collectionneurs (Antiquités)

Claudio de Casas

Une anecdote couramment colportée au Chili du temps de la dictature rapporte que le biologiste Julian Huxley (le frère d’Aldous) à son arrivée à l’aéroport de Santiago du Chili  avait dit aux journalistes qu’il souhaitait rencontrer Pablo Neruda. À l’interrogation des journalistes : « Pablo Neruda le poète ? », il avait répondu : « Non, non, Pablo Neruda le malacologue ».

Pablo Neruda raconte dans sa biographie posthume Confieso que he vivido (J’avoue que j’ai vécu) que « l’historiette destinée à me vexer, me fit plaisir, d’autant plus qu’elle ne pouvait pas être vraie puisque nous nous connaission...

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References

Bibliographical reference

Sara Contreras and Michel Étienne, « Neruda, poète ou malacologue », Techniques & Culture, 59 | 2012, 346-357.

Electronic reference

Sara Contreras and Michel Étienne, « Neruda, poète ou malacologue », Techniques & Culture [Online], 59 | 2012, Online since 29 July 2013, connection on 24 February 2014. URL : http://tc.revues.org/6781

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