The Second Epistle of Paul to Timothy, usually referred to simply as Second Timothy and often written 2 Timothy, is one of the three Pastoral Epistles traditionally attributed to Saint Paul (and also traditionally considered to be the last epistle he wrote before his death), and is part of the New Testament. It is addressed to Timothy.
Most modern critical scholars argue that 2 Timothy was not written by Paul but by an anonymous follower, after Paul's death in the First Century.
The language and ideas of this epistle are notably different from the other two Pastoral letters yet similar to the later Pauline letters, especially the ones he wrote in captivity. This has led some scholars to conclude that the author of 2 Timothy is a different person from 1 Timothy and Titus. Raymond E. Brown proposed that this letter was written by a follower of Paul who had knowledge of Paul's last days.
Jerome Murphy-O'Connor, however, would go further than Brown. He noted that a number of pseudepigraphic letters attributed to the Apostle were rejected in antiquity, indicating that there was not "a climate of acceptance, which would make it easy for the forged Pastorals to enter the mainstream of church life." Murphy-O'Connor continues,
Honte à toi qui la première m'a appris la trahison,
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison,
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison.
Honte à toi femme à l'oeil sombre, dont les funestes amours,
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours,
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours.
C'est ta voix, c'est ton sourire, c'est ton regard corrupteur,
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur,
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur.
C'est ta jeunesse, c'est tes charmes qui m'ont fait desespérer,
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer,
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer.
Honte à toi, j'étais encore, aussi simple qu'un enfant,
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant,
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant.
Certes ce coeur sans défense, pu sans peine être abusé,
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé,
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé.
Honte à toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs,
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs,
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs.
Elle coule sois en sûr et rien ne la tarira,
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira,
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira.
Mais dans cette source amere, du moins je me laverais,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré,
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré.