"Culture berbère" ses pèlerinages qui finissent en orgies (Sodome et Gomorrhe)
Les traditions homosexuelle et de prostitution pédophile des berbères
Kutama d’ifriqiya ainsi que le chiffre de cette population au temps du géographe arabo-andalous al-Idrissi (1100-1165) dans la description de l’
Afrique et de L’Espagne :
«
Cette tribu est renommée par sa générosité et par l’accueil qu’elle fait aux étrangers. Ce sont certainement les gens du monde les plus hospitaliers car ils n’ont pas honte de prostituer leurs enfants mâles aux hôtes qui viennent les visiter et loin de rougir de cette coutume ils croiraient manquer à leur devoir s’ils négligeaient de s’y conformer, divers princes ont cherché à les y faire renoncer même par des punitions très sévères mais toutes les tentatives qu on a pu faire ont été vaines. A l’époque où nous écrivons il ne reste plus de la tribu de Kitâma jadis très nombreuse qu’environ quatre mille individus. »
Ce faible chiffres s’explique par le fait que les Kutama sont mort de la syphilis et de la peste.
Kutama disparition d’une tribu :https://histoireislamique.wordpress.com/
2015/10/05/les-kutama-histoire-de-la-disparition-dune-tribu/
La continuité des traditions de mariages homosexuelle chez les berbères kutama de
Siwah en
Egypte :
Siwa est d’un intérêt particulier pour les anthropologues et les sociologues en raison de son acceptation historique de l’homosexualité masculine et même des rituels de mariage homosexuel- des traditions que les autorités égyptiennes ont cherché à réprimer, avec un succès croissant, depuis le début du XXe siècle. La pratique est probablement apparue dès l’Antiquité.
L’égyptologue allemand
Georg Steindorff qui a exploré l’
Oasis en
1900 et a indiqué que les relations homosexuelles étaient fréquents et souvent étendu à une forme de mariage: « La fête d’épouser un garçon a été célébrée en grande pompe, et l’argent versé pour un garçon parfois s’élèvent à quinze livres, tandis que l’argent versé pour une femme était un peu plus d’une livre. »
« Berbère » du grec barbare, non-civilisé, étranger, à l’origine, le terme barbare, emprunté en français en 1308 au latin barbarus, lui-même issu du grec ancien βάρϐαρος : bárbaros (« étranger »), était utilisé par les anciens Grecs pour désigner les peuples n’appartenant pas à leur civilisation (, et dont ils ne parvenaient pas à comprendre la langue. Bárbaros signifiait alors « non grec ». Le terme « barbare » a ensuite été utilisé par les Romains pour nommer les peuples qui se trouvent à l’extérieur du limes, dans le « Barbaricum », la « terre des Barbares », c’est-à-dire hors de leur autorité : l’«
Imperium ». L’usage du terme s’est répandu en Afrique du
Nord à la période suivant l’arrivée des Germanique Vandales lors des grandes invasions. Qualifiés de Barbares par les Romains d’Afrique romaine, les Vandales proviennent de la péninsule Ibérique. Ils ce sont métissé au africains numides. Sur les hauteurs à l’est de la Numidie fut assemblée la coalition numido-vandale, qui prit
Carthage et supprima l’influence de
Rome dans toute l’Afrique. Les Vandales régneront jusqu’a qu’ils sois chassé des villes d’
Africa (
Ifriqiya) par les Byzantins ver les montagnes au sols pauvres et en dehors de l’empire Byzantins ver l’ouest. Le récit du consul romain en Afrique de l’époque utilisa pour la première fois le terme « barbare » pour décrire les Numides qui ont intégrés les vandales et huns.
Enfin est barbare une personne réputée brutale, inculte, intolérante, violente, destructrice, et le comportement, le langage, les mœurs de cette personne et lorsque les destructions sont physiques, on parle aussi de « vandalisme » par référence au peuple des Vandales célèbre peuple qui a fait son royaume en Afrique du Nord
..
Les historiens arabes adopteront à leur tour plus tard le mot « barbares» (en arabe : بَربَر , prononcé [berber]), mais ils différencier les anciens libyco-punique (phenicien et autres carthaginois christianisé) du nom d’Afariq (du mot ifriqiya/Africa), au « rums » (grecs et romains chrétiens ) proprement dit, au berbères (numido-vandales etc
.).
Histoire caché de tous : les païens berghwata du Maghreb al-Aqsa de l’an 744 à 1058 JC :
La « civilisation » berbère « Quant aux coqs, attendu qu’ils indiquaient les heures de prière, il était défendu de les tuer et d’en manger sous peine de rendre la liberté à un esclave ; il leur prescrivait encore de lécher la salive, de leur gouverneur en guise de bénédiction ; et, en effet, lorsqu’il crachait dans la paume de leurs mains, ils léchaient religieusement ces crachats, ou ils les emportaient soigneusement à leurs malades pour assurer la guérison. »
IBN ABÎ
ZAR’ du RAWD AL-QIRTÂS.