Faudel (فضيل), born Faudel Belloua (فضيل بيلوى) on June 6, 1978 in Mantes-la-Jolie, is a French singer of Algerian descent.
Faudel was brought up in the suburbs of Paris, where he picked up his musical talents from his grandmother, who taught him traditional Algerian music. His grandmother performed regularly with the meddahates, groups of female musicians in Oran who play traditional music at weddings and other family occasions. It was Faudel's grandmother who was largely responsible for putting the young boy in touch with his Algerian roots and teaching him traditional Raï rhythms during the summer holidays.
His first public singing experience was during a family wedding celebration in Oran, Algeria. Faudel started to cover the popular tracks by Cheb Khaled and Cheb Mami at 12, after which he soon fronted the popular band Les Etoiles du Raï (The Rai Stars). Faudel and Les Etoiles du Rai soon became a well-known fixture at the youth club and other local associations in Mantes-la-Jolie. Faudel then went on to appear at clubs throughout the Paris suburbs, performing covers of Khaled, Zahouania and Mami's greatest hits, accompanied by a pre-recorded backing tape.
Je n'connais pas ce soleil
Qui brule les dunes sans fin
Je n'connais pas d'autre terre
Quelle celle qui m'a tendu la main
Et si un jour, je pars d'ici
Que je traverse le désert
Pour aller voir d'où vient ma vie
Dans quelles rues jouait mon père
Moi qui suis né près de Paris
Sous tout ce vent, toute cette pluie
Je n'oublierai jamais mon pays
Et si demain, comme aujourd'hui
Je dois faire le tour de la terre
Pour chanter au monde mes envies
Voyager des années entières
Moi qui suis né tout près d'ici
Meme si je quitte mes amis
Je n'oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Je n'connais pas ce parfum
De menthe et de sable brulant
Mais seul'ment les embruns
Sous les rouleaux de l'océan
Et toi qui me trouves un peu mat
Pour ces rues bordées de prairies
Un peu trop blanc, couleur d'Euphrate
Pour ces poèmes que j'ai appris
Tu es bien le seul que j'oublie
Telle l'étoile, fidèle à la nuit
Je n'oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Et comme toi j'attends la pluie
Pour lui dire toutes mes peines
Tout comme toi, je lui souris
Quand elle tombe sur la plaine
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Je n'connais pas ce soleil
Qui brûle les dunes sans fin
Je n'connais pas d'autre terre
Que celle qui m'a tendu la main
Et si un jour, je pars d'ici
Que je traverse le désert
Pour aller voir d'où vient ma vie
Dans quelles rues jouait mon père
Moi qui suis né près de Paris
Sous tout ce vent, toute cette pluie
Je n'oublierai jamais mon pays
Et si demain, comme aujourd'hui
Je dois faire le tour de la terre
Pour chanter au monde mes envies
Voyager des années entières
Moi qui suis né tout près d'ici
Meme si je quitte mes amis
Je n'oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Je n'connais pas ce parfum
De menthe et de sable brûlant
Mais seul'ment les embruns
Sous les rouleaux de l'océan
Et toi qui me trouves un peu mat
Pour ces rues bordées de prairies
Un peu trop blanc, couleur d'Euphrate
Pour ces poèmes que j'ai appris
Tu es bien le seul que j'oublie
Telle l'étoile, fidèle à la nuit
Je n'oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Et comme toi j'attends la pluie
Pour lui dire toutes mes peines
Tout comme toi, je lui souris
Quand elle tombe sur la plaine
Trop de souvenirs gravés
De cours d'écoles et d'étés
Trop d'amour pour oublier
Que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier