Grande interview du CCT pour le mois de mars 2015. Mes chers compatriotes; Le CCT par ma voix ne loupera plus jamais aucune occasion pour sensibiliser,informer,éduquer et prévenir le Peuple camerounais sur les sujets et problématiques d'intérêt national.N'en déplaise aux adeptes du statut quo,immobilisme,pensée unique,formateurs des esprits pour le somnambulisme lucide.Bref,aux profiteurs de la dictature biyaienne .Dictature nous ne le dirons jamais assez,obscurantiste,rétrograde ,,gabégique ,incompétente et très corrompue.Loin de nous,l'idée d'insulter qui que ce soit,ou d'être des anarchistes et usurpateurs voulant semer le chaos.Nous dressons un diagnostique sans complaisance de la situation réelle de notre pays et si d'aucuns se sentent insultés ou outragés,c'est à tort.Bien plus,nous contestons la légitimité de M Paul Biya parce que non seulement il a été élu sur la base des fraudes ,de la tricherie,force et clientélisme ;mais aussi et surtout du fait de la grande corruption Et incompétence de son système .Toutes choses qui le rendent illégitime aux yeux de bons nombre de nos compatriotes ,même s'il est vrai qu'il est le président légal du Cameroun .Par ailleurs,nous parlons et nous parlerons toujours parce que nous sommes aussi des Camerounais et nul n'est plus camerounais que l'autre,bien plus,point n'est besoin d'un mandat pour parler au nom des Camerounais,nous représentons la majorité silencieuse tétanisée et anesthésiée par la terreur du régime Biya et qui n'ose pas s'exprimer par peur des représailles .Nous sommes de la société civile ,des activistes pour la promotion des libertés et de la bonne gouvernance.Et que ça soit clair pour tous et toutes,nul ne pourra nous empêcher de parler tant que la dictature et les abus persisterons dans notre pays. En tout état de cause,le CCT l'a dit et répété à maintes reprises: Paul Biya et son système sont à bout de souffle et agonisant au propre comme au figuré.Ne vous en tenez pas à l'illusion qu'ils vous donnent de maîtriser et contrôler la situation mes chers compatriotes; ce sont des démagogues et jouisseurs qui s'accrochent au pouvoir non seulement pour ses aspects jouissifs et prestigieux,mais aussi et surtout ,pour se protéger et échapper à la justice du fait de nombreux crimes qu'ils ont commis. La fin de règne disions nous est perceptible,sauf pour aveugles et somnambules.Elle s'annonce très pénible et douloureuse pour le dictateur et ses courtisans.L'heure du bilan va bientôt sonner et c'est la panique à bord;tout ceux et celles qui ont exploité ,pillé ,volé et abusé le peuple camerounais vont devoir répondre .D'où la grande fébrilité ambiante.Le dictateur et ses adeptes ne veulent pas mourir seuls;ils tentent d'entraîner le peuple camerounais tout entier dans le naufrage.Sentant leur fin imminente et inéluctable ,certains irréductibles du système tentent un dernier barrot d'honneur en désespoir de cause. Tenez par exemple,rien que pour le mois de mars,la dictature et ses partisans fous ont vécu un vrai cauchemar ;offrant au monde entier et au peuple camerounais un spectacle aussi désolant que triste.Une véritable tragicomédie ,un psychodrame digne des films policiers.Le navire semblait prendre de l'eau de toutes parts.Le Régime comme un équipage désemparé face au naufrage,est allé de scandales en scandales.Donnant l'impression de naviguer à vue.Ses mauvais génies ,comme des pompiers pyromanes et en tête desquels ,l'ubiesque ,folklorique et haut en couleur ministre de la communication et porte paroles auto-proclamé du régime ,a tenté de manière risible et pathétique de colmater les brèches et sauver le soldat Biya à bord d'un navire condamné au naufrage. Paul Biya et ses créatures ont perdu le contrôle du Cameroun comme l'infortuné capitaine d'un célèbre ferry battant pavillon italien ayant coulé récemment aux larges des côtés françaises .Le pauvre capitaine a abandonné l'équipage en pleine tourmente exactement comme c'est le cas actuellement avec Paul Biya ,qui a abandonné ses concitoyens en pleine guerre contre boko haram pour se réfugier en Occident depuis le 01 mars. Extrait

• published: 29 Mar 2015
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