Eşme is a town and district of Uşak Province in the inner Aegean Region region of Turkey. Apart from the central town of Eşme, the district counts three townships with own municipality, namely Yeleğen, Ahmetler and Güllü.
The principal economic activities include tobacco farming, stockbreeding, kilim weaving and trading.
Ahmet Yıldırım (born 25 February 1974 in Amasya) was a Turkish professional footballer who played lastly as a defender for Adanaspor in the TFF First League before finishing 2008-2009 season. He is currently sports director of Mersin İdmanyurdu.
Yıldırım has played for Fenerbahçe S.K., Samsunspor, Ankaragücü, İstanbulspor A.Ş., Galatasaray S.K., Beşiktaş J.K. and Ankaraspor in the Turkish Süper Lig.
Yıldırım appeared in four matches for the senior Turkey national football team, his debut was a second half substitute in a friendly against Ukraine on 12 February 2003. He also appeared in one match at the 2003 FIFA Confederations Cup.
Je descend de ma montagne à cheval sorti de ma
Retraite en moine Yamabuchi je déballe
Mon baluchon à froid dans la plus pure tradition
Ma maîtrise est totale tel un ninja en action
L'inné et l'acquis se confondent
Les mecs m'observent, je crée dans leurs têtes une
Confusion profonde sonde mon esprit tu perdras le tien
Réveille pas le dragon, la bête est plus affamée qu'une meute de chiens
Nourri aux grosses caisses au clap, faut que ça frappe
Pas de mélodies pourraves, ou c'est le massacre
Ombres furtives tranchent la nuit comme des shurik'n
Mon bokken brille le style de la mouette s'abat sur sa proie
Maître Kano du stylo Li Po ivre de Tao
Drunken style paou un de plus dans la pao
Calligraphié ce texte est dédié au rataclan
Un bon son brut pour les truands
Refrain
Ne lâche pas le mic, il est gluant
IAM casse la baraque avec des lyrics tonitruands
attaque avec gras de chacal puant
Un bon son brut pour les truands
Celui qui nique ma zic, votre shit, les sales flics
Chez nous se prennent des coups de Predator Kick's
Fixe ou je te mystifie comme un twix, aussi sauvage que les Knicks
Le manimal revient avec sa clique, toujours les mêmes
Les six guerriers d'apocalypse, regarde à l'horizon c'est notre bannière
Qui se hisse, IAM je le suis et je le reste un casse-tête
Mise sur moi garçon, ceux qui renient mon son finiront
Par se prendre à coups de tête sur les murs
La nature des éléments me pousse aux trousses des ordures
L'impur devient pur en maîtrisant l'écriture
Sur tes mix tape un blason gravé Côté Obscur dedans
Un bon son brut pour les truands
A présent mature, ma vie se base sur des mélodies
Les ratures sur mes pages m'ont forgé mon esprit conscient
Que ma vocation va servir à l'expression de mon école, fils
Celle du micro d'argent
Mon subconscient me guide, l'infini pouvoir limpide
Regarde ce que peut faire un bon quand tu joues les truands
Ecoute le dernier Freeman du clan des 108 dragons
Refrain
Hola, amigo, je rapplique avec un pack de saligots
Et plein de mecs pourris, niquer le bénéfice aux gringos
Un bon son brut, lâche ta zic, elle est renza
Cerveza dans la pogne, reconnais c'est moi Sentenza
J'espère que t'es rapide, kid, ou ton beat est un bide
Un flop, si tu viens me tuer, ne raconte pas ta vie
Mec, car je me méfie de tout et ne sous-estime rien
Même le pire des pouilleux a un ange gardien
Attablé, ma bouche pleine coule un plat de fazoules
Empoche 2,3 boules, exécute les contrats sur des pezoules
Les vauriens apprécient ce son, c'est pas pour rien
C'est comme Pal commecialisé rien que pour les chiens
100% fayot fait abstraction des ragots
Blondin ne meurs pas, lache ta planque où tu caches le magot
Cowboy en ballerine, ne pète pas au royaume des puants
Ce beat est désigné que pour les crapules au front suant
Refrain
Dire qu'il a eu un père, une mère peut-être qui l'ont aimé
La gaité doit un jour céder
Pour certaines personnes, la vie est un échec
Mais c'est juste une page dans le carnet de bord d'un sale métèque
Il ne nous en veut même pas, flippe pas
Devant le feu de ces regards qu'il croise et ne l'aiment pas
Je pense quand j'embrasse mon fils
Que lui réserve l'avenir, j'angoisse, reviens à la réalité, esquisse
Un mouvement de la main, c'est dément
Il est allongé là et tous les gens passent indifférents
Regarde un peu autour, ils meurent de faim, les fous
Veulent garder leurs privilèges et crèvent plein de pez jusqu'au cou
Mon dieu, quels faits sinistres
Le dernier des clochards contre le premier des ministres
Relax chez eux, entre un bridge, deux boniches et leur bobtail
Je lâche cette bombe et qu'elle pète dans leurs cocktails
Refrain
Au royaume animal, le lion est roi, l'homme devient fou
Combien d'âmes tombées sous ses coups
La terre est seul témoin de ces crimes ici bas
C'est chacun pour soi, regarde Angela, regarde
J'aurais aimé être beaucoup de choses
Mais il n'en est rien, je ne suis qu'un homme diseur de prose
Et je ne suis pas à l'abri pour autant
Vu que mes semblables tirent sur leurs frères à tout bout de champ
Un pauvre mec pour une place de parking
Se prend deux balles et laisse derrière lui deux orphelines
Anodine l'histoire se répète chaque jour
Quand un tireur prend des gens pour cible du haut de sa cour
Et tout ceci dont se délecte le masse
Est envoyé par la télé qui sans cesse ressasse
Ces histoires de crime à grand renforts de gros plans
Aux heures du repas, des peuples entiers dans des bains de sang
J'en ai marre de voir tomber des minots
Je voudrais savoir quand est-ce qu'on va rire pendant les infos
Tu vois, tout a évolué sauf nous
L'époque des jeux de Rome n'est pas si loin après tout
Refrain
Il y eut, paraît-il un paradis ici
Il n'en reste rien, c'est dans les livres qu'il survit
Voilà pourquoi l'argent tout le temps
Fait le pouvoir souvent conféré à des incompétents
Il y eut la peste, le sida frappe très fort
Mais la connerie humaine a toujours battu tous les records
On gaspille des millions au nom du progrès
Mais restera-t-il encore quelqu'un sur terre pour en profiter?
L'alibi des batailles, les conflits d'intérêt, les fanatiques braillent
Les démoniaques raillent, l'homme n'est pas de taille
La partie est trop forte, pour un inconscient de la sorte
Le gardien des cieux leur claque la porte
Sur l'arche de Noé, nous sommes les seuls animaux car on peut tuer
Gratuitement, non pas pour survivre et je suis inquiet
Pour les lendemains Angéla, ma soeur
L'homme crache sur les oeuvres de son créateur
Refrain
Refrain
Crois-tu innover les techniques de kata?
L'école de Mars sur l'époque est avancée
Tire parti des gestes que tu calquas
Sur nos pensées; quand tu allais on revenait
Je siège à la table des chavaliers de la basse ronde
Noble confrérie de la rime profonde
Où chaque guerrier a sa spécificité
Chaque phrase est disséquée, soigneusement étudiée
Notre histoire remonte loin, très loin
Mais j'appose là un addenda aux dires des historiens
C'est vrai que Shaolin fut envahi par les Mandchous
Aidés par des traîtres, ils y entrèrent et brulèrent tout
Ils ont dit aussi et la faute se profile
Que cinq moines s'échappèrent, faux, on était six
Et je dévoile à présent la technique ancestrale
Dix ans de pratique ont fait de moin un virtuose verbal
Renonce à affronter le Gambit, c'est l'échec
Hong-Kong Fu-Fu de Mars va éclater tes genélecs, mec
Le combat serait trop déséquilibré
Car Mars Je représente, la ville et mon quartier
Refrain
Leurs voix s'élèvent, je les entends, ils veulent me couler
Je monte la garde, pour décocher les youkoulélés
Chtbaou, jambes éclairs, kata en l'air
Je viens venger l'honneur du neveu de la soeur de mon père
C'est-à-dire moi, un disciple du temple du henan
Hold-up mental, ils m'ont tous pris pour un âne
Mais j'étais caché, tapis dans l'ombre rampait
Comme un puma qui a flashé sa proie
Qui n'assassine que pour mâcher
Attaque au premier son du gong, je cogne trop sec en tong
Méfie-toi du pied de Chill Chang Chong
Ciao, ma technique c'est Apocalypse Now
Bombardement vocal, verbal viet vodao
Je pratiquais alors que tu n'étais qu'un enfant
Soit, tu as vu des choses, je les ai vues 2000 ans avant
J'explique, j'avais cent textes sous le chapeau
Tu swinguais tes parties sur des airs de Chapi-Chapo
Je serais large si encore si tu te la fermais
Mais laisse moi te dire quand tu allais, on revenait
Refrain
Comme à la guerre dans l'Illiade, nous déployons des myriades
Infestons tes enceintes au nom de la Triade
Iota alpha mu, tes phrases ont méchant goût de déjà vu
Veux tu croiser le fer avec des moines callus?
La fuite, ta seule issue quand mes idées s'alignent
Pour une vision mystique, digne de Shaolin
Le big boss, fonde Opération Dragon sur ton sort
Et j'adore ce jeu, parce que c'est le jeu de ta mort
Bruce L.A.I. as-tu le charisme pour être moine?
Ne te plains pas, ne geins pas, on a tous eu de l'avoine
Au repas, mais t'étais dans ta chaumière dans la plaine
Quand j'étais dans la montagne pour travailler mes kuens
Milieu du Tao "ouassa" dans le pao
N'essaies toujours pas de lutter où tu tombes K.O.
Je prône les vertus du profil bas
L'eau qui dort fait plus de dégâts
Qu'un chien qui aboie mais ne mord pas
Le 426 atteint la plénitude
Mais j'ai la fureur de vaincre, perdre n'est pas dans mes habitudes
Je m'entraîne chaque jour sans baisser d'un ton
Car la perfection n'est approchable que par la répétition
Détenteur d'une technique vieille de mille ans
Je défend l'honneur de l'école du micro d'argent
Expert du style de l'homme ivre, je me saoule de musique
Avant de sauter de collines en collines
Et si l'envie de voler mon mic te prend
N'oublie pas Jachen Chen est plus solide que les dents
Tu peux retourner t'entraîner, t'es loin d'être prêt
Quand tu allais, on revenait
Refrain
Petit frère n'a qu'un souhait devenir grand
C'est pourquoi il s'obstine à jouer les sauvages dès l'âge de 10 ans
Devenir adulte, avec les infos comme mentor
C'est éclater les tronches de ceux qui ne sont pas d'accord
A l'époque où grand frère était gamin
On se tapait des délires sur Blanche-Neige et les 7 Nains
Maintenant les nains ont giclé Blanche-Neige et tapent
Eclatent des types claquent dans Mortal Kombat
A 13 ans, il aime déjà l'argent avide
Mais ses poches sont arides, alors on fait le caïd
Dans les boums, qui sont désormais des soirées, plus de sirop Teisseire
Petit frère veut des bières
Je ne crois pas que c'était volontaire, mais l'adulte c'est certain
Indirectement a montré que faire le mal, c'est bien
Demain ses cahiers seront pleins de ratures
Petit frère fume des spliffs et casse des voitures
Refrain
Petit frère a déserté les terrains de jeux
Il marche à peine et veut des bottes de sept lieues
Petit frère veut grandir trop vite
Mais il a oublié que rien ne sert de courir, petit frère
Petit frère rêve de bagnoles, de fringues, de tunes
De réputation de dur, pour tout ça il volerait la lune
Il collectionne les méfaits sans se soucier
Du mal qu'il fait, tout en demandant du respect
Peu lui importe de quoi demain sera fait
De donner à certains des raisons de mépriser son cadet
Dans sa tête le rayonnement du tube cathodique
A étouffé les vibrations des Tam-Tam de l'Afrique
Il n'a plus de cartable, il ne saurait quoi en faire
Il ne joue plus aux billes, il veut jouer du revolver
Petit frère a jeté ses soldats pour devenir un guerrier
Et penser au butin qu'il va amasser
Refrain
Les journalistes font des modes, la violence à l'école existait déjà
De mon temps, les rackets, les bastons, les dégâts
Les coups de batte dans les pare-brise des tires des instituteurs
Embrouilles à coups de cutter
Mais en parler au journal tous les soirs ça devient banal
Ca s'imprime dans la rétine comme situation normale
Et si petit frère veut faire parler de lui
Il réitère ce qu'il a vu avant 8 heures et demie
Merde, en 80 c'était des états de faits, mais là
Ces journalistes ont faits des états
Et je ne crois pas que petit frère soit pire qu'avant
Juste surexposé à la pub, aux actes violents
Pour les grands, les gosses est le meilleur citron
La cible numéro 1, le terrain des produits de consommation
Et pour être sûr qu'il s'en procure
Petit frère s'assure, flingue à la ceinture
On sait ce que tu es quand on voit ce que tu possèdes
Petit frère le sait et garde ce fait en tête
L'argent lui ouvrirait les portes sur un ciel azur aussi
Facilement que ses tournevis ouvrent celle des voitures
Le grand standing, c'est tout ce dont il a envie
Ca passe mieux quand tu portes Giorgio Armani
Soucieux du regard des gens
Malgré son jeune âge, petit frère fume pour paraître plus grand
Il voudrait prendre l'autoroute de la fortune
Et ne se rend pas compte qu'il pourrait y laisser des plumes
Il vient à peine de sortir de son oeuf
Et déjà petit frère veut être plus gros que le boeuf
Refrain
Refrain (x2)
La vie est belle, le destin s'en écarte
Personne ne joue avec les mêmes cartes
Le berceau lève le voile, multiples sont les routes qu'il dévoile
Tant pis, on est pas nés sous la même étoile
Pourquoi fortune et infortune, pourquoi suis-je né
Les poches vides, pourquoi les siennes sont elles pleines de tunes
Pourquoi j'ai vu mon père en cyclo partir travailler
Juste avant le sien en trois pièces gris et BMW
La monnaie est une belle femme qui n'épouse pas les pauvres
Sinon pourquoi suis-je là, tout seul marié sans dote
Pourquoi pour lui c'est crèche et vacances
Pour moi c'est stade de foot sans cage, sans filet,
Sans même une ligne blanche
Pourquoi pour lui c'est l'équitation pour moi
Les bastons, pour lui la coke, pour moi les flics en faction
Je dois me débrouiller pour manger certains soirs
Pourquoi lui se gave de saumon sur lit de caviar
Certains naissent dans les choux et d'autres dans la merde
Pourquoi ça pue autour de moi, quoi, pourquoi tu me cherches?
Pourquoi chez lui c'est des noëls ensoleillés
Pourquoi chez moi le rêve est évincé par une réalité glacée
Et lui a droit à des études poussées
Pourquoi j'ai pas assez d'argent pour m'acheter
Leurs livres et leurs cahiers
Pourquoi j'ai dû stopper les cours
Pourquoi lui n'avait pas de frère à nourrir, pourquoi j'ai dealé chaque jour
Pourquoi quand moi je plonge, lui passe sa thèse
Pourquoi les cages d'acier, les cages dorées agissent à leur aise
Son astre brillait plus que le mien sous la grande toile
Pourquoi ne suis-je pas né sous la même étoile
Refrain (x2)
Comme Issa, pourquoi ne suis-je pas né sous la bonne étoile
Veillant sur moi? Couloir plein de toiles, crachats
Tchatche à deux francs, courbettes des tapettes devant
Supporter de grandir dans un franc, c'est trop décevant
Simplement en culotte courte
Ne pas faire la pelle mécanique plate avec des pots de yaourt
C'est pas grave, je n'en veux à personne et si mon heure sonne
Je m'en irais comme je suis venu
Adolescent incandescant chiant à tour de bras sur le fruit défendu
Innocents, témoins des types abbatus dans la rue
C'est une enfance? De la pourriture, ouais
Je ne draguais pas mais virais des tartes aux petites avec les couettes
Pâle de peur devant mon père, ma soeur portait le voile
Je revois, à l'école les gosses qui la croisent se poêlent
C'est rien Léa, si on était moins scrupuleux
Un peu de jeu du feu on serait comme eux
Mais j'ai pleuré pour avoir un job, comme un crevard sans boire
Les "Je t'aime" à mes parents seul dans mon lit le soir
Chacun son boulet, sans ambition la vie c'est trop long
Ecrire des poèmes, pisser violent dans un violon
Tu te fixes sur un wagon, c'est la locomotive que tu manques
C'est pas la couleur, c'est le compte en banque
J'exprime mon avis, même si tout le monde s'en fiche
Je serais pas comme ça si j'avais vu la vie riche
Refrain (x2)
ROYAL FAM, IAM, SUNZ OF MAN, WU TANG CLAN
'bout to take it to another chamber from Medina to Marseille... Marseille, Marseille
...
PRODIGAL SUNN
Yo, IAM, SUNZ OF MAN from the ROYAL FAM never ate ham, never gave a damn
TIMBO KING
In the begining there was darkness, then came light
I grab the mic to dis' your ass just for spite
What ? You can't fuck with the flows I bring
Watch the staff I swing
It's Timbo King, astonishing, I'm dramatic to the ear
Television tells lies to your vision
So, beware of the trick-nology set off to fool the mind
If you're dumb you're lost, if you're wise you will find
That poison is a devil substance made for scratch
'Cause one rotten apple destroys the whole batch you scratch
I throw jabs to your jaws so quick
You get bashed in the head with a stone face brick
We're thick like molasses, deeper than the earth's mantle
Royal take over, stampede, trample
Those who force kids tell lies to the youth
My grand child, my roots run deep is proof what ?
Akhénaton
A 17 ans je me suis fait une raison
J'étais un petit con, un nerveux, spasmophile
Baston et je frappais un coup de pied dans la table
Tout volait envenimé par la négativité
Tant d'échecs, tant de défaites
Ont forgé le mordant, pour encaisser les coups dans ma mentalité
Fauché, sans occupation, il n'y a pas pire
Je ne possédais rien et je voulais fonder un empire
J'ai persisté, dit des trucs vrais et ai été pisté
J'ai insisté et le groupe IAM a existé
Pour de bon, j'étais sincère
J'écris des vers pour mes pairs
Et il n'y a qu'eux qui flippent derrière
De l'attention, ils se foutaient, donc j'ai roulé pour ma poire
Comme le gaz, les intouchables phases de mes phrases
J'ai même changé d'avis pour la saga
C'est plus je revenais quand tu allais, j'y retournais
PRODIGAL SUNN
Yo, IAM, SUNZ OF MAN from the ROYAL FAM
Never ate ham, never gave a damn (x4)
DREDDY KRUEGER
I'm blowing niggaz out the frame
Now what's my motherfuking name [Dreddy Krueger]
I'm playing niggaz like a boy game
You can't fuck with the drunk Dreddy Krueger
Blaow ! Blaow !
Two slugs from my rugger and I move ya [move ya]
I write rhyme when I'm sober
Singing when I'm drunk
The Buddah Monk got the skunk
Yo, I smoke niggaz like kryptonite blunts
Dog bitches like soup, fucking up my stew, then yo
I step the gates and troop to see my nigga
The gza, who had my bulletproof [my bulletproof]
Vest for my chest to relieve some of my stress [stress]
And I'm safe from my neck to my waist
But still I gotta to worry about a nigga catching me in the face
And beat the case, just 'cause he had papes [papes]
[get it straight]
PRODIGAL SUNN
Yo, IAM, SUNZ OF MAN from the ROYAL FAM
Never ate ham, never gave a damn (x4)
Shurik'n
La route vers le but fixé est longue et périlleuse
Souvent bordée de tavernes aux enseignes lumineuses
Et c'est dur de résister à l'invitation
De rester posé sur le rail comme un wagon
Telle une flèche filer droit sur la cible
Ignorer les ragots est la seule solution possible
Le temps passe trop vite pour que j'y prête
Une attention quelconque, je sais qu'en fait
Tout le monde veut la même chose
Mais personne ne veut que tu l'obtiennes avant les autres
Pourtant, je roule pour moi, fils
Tant pis pour les autres si la médisance est leur hobby favori
Je suis sorti de cette période néfaste où
Tu te prélasses en attendant que tout se fasse
J'avance fort de mes expériences passées et je souris
En voyant ceux qui s'empressent d'y aller
Les coups partent de tous bords, mais quand c'est que des claques, ça va
Ce soir baston à mains nues pas de gros dégâts
Les gars sortent pour jouer des quintaux
Dégainent des pointeaux, frappent, lacèrent, ciao crève, à bientôt
Personne ne bouge, il demeurent sur leurs gardes
Tendus, au cas où un gadjo les regarde de travers
C'est l'enfer, cycle amer, trop pervers
2,3 coups par derrière, embrouille? Pow! Revolver
Pour le plaisir, mais le plaisir, n'est-il pas de rire?
Un bon délire avec son équipe, ça fait frémir
J'ai besoin d'un break, cette fois-ci c'est clair
Quel est leur but, leur guerre, leur motivation première?
D'ailleurs, mes moeurs s'assortent pas avec ces railleurs
Assis en tailleur, je suis bien meilleur, un vrai seigneur
La violence m'éxaspère, ces types me sont antipathiques
Surtout quand elle est gratuite
Un homme est un homme avec ou sans le chrome
Se battre pour la réputation, c'est se battre contre des fantômes
Sûr. Frère, tes agissements sont terre-à-terre
Faire parler les poings à chaque sortie, sans arrêt, c'est
Refrain
L'enfer, quelle est leur motivation première?
Il est déjà à la fenêtre quand le réveil sonne
Il regarde la cour mais il n'y a encore personne
Pourtant dans quelques heures, le silence ne règnera plus
Beaucoup de jeunes y viendront passer une journée de plus
Vaincus par l'oisiveté ou las d'aller pointer
Pour rien ceratins iront dealer
Devant les plus jeunes émerveillés par tant de billets
Le genre de gâteaux qu'ils se languissent de goûter
Déjà résignés à suivre le chemin qui leur est tracé
Ils ne pensent même pas à lutter
La vie est un film où tout le monde a un rôle à jouer
Le problème, c'est qu'il y a trop de séries B
Trop de seconds rôles croulant sous le poids du premier
Trop de modèles sur lequel ils vont calquer
De leur démarche jusqu'à leur manière d'être
Ainsi ils ont l'impression d'ouvrir une fenêtre
Quelle est leur motivation première, je n'en sais rien
Peut-être aiment-ils vivre le purgatoire au quotidien
D'un regard extérieur, il se dit, c'est pas de leur faute
Cette fois il a raison, l'enfer, c'est les autres
Le sombre monarque débarque et étale
Son pouvoir, la puissance de l'ombre s'installe
Non, ne résiste pas, ne lutte pas
Ne te détourne pas de la main tendue vers toi
Ou je vais explorer le royaume de tes peurs
En devenir le dictateur pour mieux te dominer
Là, tu deviens raisonnable, c'est bien
Oui tombe sous le charme pour de meilleurs lendemains
Pour les rebelles la force est trop forte
Je balaye ces petits Ewoks comme le vent balaye les feuilles mortes
Les indécis sont avertis, qu'ils se méfient
De la seule étoile qui se fond dans la nuit
Le bastion des bas-fonds du pays en action
L'énergie dégagée génère une telle attraction
Que vers lui se tournent enfin tous les regards
Pour s'apercevoir que l'espoir émerge du noir
Une partie de tout homme la force manipule
D'un rien il suffit pour que l'être bascule
Que les yeux de l'aveugle s'ouvrent, qu'il contemple
Mars de l'obscur côté, le temple
N'aies pas peur, ouvre-moi ton coeur, viens vers l'Empereur
Sentir la chaleur de l'obscurité pour toi il est l'heure
De rejoindre l'armée des guerriers de l'ombre
Ne vois-tu pas ton côté clair qui succombe
C'est ta destiné, pourquoi vouloir lui résister
Sans peine je ferais sauter les verrous de ta volonté
Sois l'hôte dans la noirceur la plus pure de l'Empereur
Et arbore les couleurs du côté obscur
Refrain
Obscure, la force est noire, noire
Comme le château où flotte l'étendard, notre drapeau
Sois sûr que sous les feux, la vérité est masquée
Viens, bascule de l'autre côté
Je suis le fils de Jaffar, le sale rejeton de Dark Vador
Le grand Cador, du maniement du mic, j'adore
Adapter ma technique à la manière du caméléon
Sans pitié pour matter la rebellion
Millénaire, salive empoisonnée langue amère
Un Pilot V5 en tant que sabre laser
Quoi, ma conscience comme seule médaille
Je traque et j'étripe sans remords tous les chevaliers Jedi
La haine monte en toi, je le sais parfaitement
Je vois ta main droite gantée de noir
C'est sans espoir, la mutation s'amorce
Ta nature que tu obtures, le côté obscur de la force
Viens vers moi, passe le pont de part en part
Rejoindre ma demeure dans la lune noire
Mars est l'empire, je lance mes troupes à terre
Pour éradiquer ce niais de Jean-Claude Gaudin Skywalker
Petit présomptueux ne vois tu pas le nombre
Déployé? L'armée des ombres, tu seras éliminé
Au nom des forces mythiques qui habitent là
Dans mon cerveau, je ne donne pas chère de ta peau
Le souffle de la force est en moi
Le microphone crépite, crache des tas de flammes sur les "en bois"
Le fils de Dieu tremble
Mais lutte avec ses armes, renverse les crédos qui lui semblent
Erronés, brisent les traîtres de la tête au péroné
Par la peur l'ennemi reste sclérosé
Longue vie au règne de la nuit
D'une théorie qui renverse les croyances établies
"Luke, aide-moi", idiote il est trop tard
Tu appartiens au sinistre sombre seigneur vêtu de noir
Casque, souffle rauque sous une armure
Du soldat le plus dur de l'empire du côté obscur
Refrain
Assis en tailleur voilà des heures que je médite
Sur ma montagne et je n'arrive pas à faire le vide
Je focalise sur le diaphragme, j'augmente mon énergie
Réveille la bête qui dans mon âme est tapie
Je viens de terminer ma préparation mentale
Ils vont goûter à l'incomparable style du Serval
Le souffle des 4 vents décuple ma puissance
De longs mois de travail ont éxacerbé mes sens
J'ai créé un déséquilibre interne volontairement
Afin que le côté Yang soit le dominant
Les pieds solidements ancrés dans la Terre
Je tire les dernières forces de la nature mère nourricière
Je mène les troupes au combat pour défaire
Les guerriers en contre-plaqué de l'école du micro en bois
Notre bannière flotte au dessus de Tsunami
annonçant fièrement la charge du micro d'argent
En plein coeur de la bataille
Je sème la terreur quand je frappe d'estoc et de taille
Je sens l'esprit du félin m'envahir
A ce stade seule le sang me procure du plaisir
Mes griffes gravent les couloirs de l'Empire
Plus grand que celui d'Alexandre dont je suis le défenseur
Mon sabre scintille, je médite accrouppi sous les branches d'un saule
Pleure, je défends l'honneur de meon école, fils
Le troisième oeil scrute le terrain, la tactique
A pratiquer, pour balayer l'ennemi, statique
Physiquement, les déplacements furtifs
De l'essence de mon esprit élabore les bases de ma stratégie
Donc je me dresse dans les cliquetis, bardé d'armes
J'ai une armée entière sous le charme
Prête à mourir, à la gloire de mon étendard
J'ai rassemblé la clique des valeureux guerriers barbares
Dare-dare j'ai envoyé paître les lettres
Pourchassé les traîtres, selon l'enseignement de mes maîtres
Sans relâche, je crache des cendres
Et poursuivrai les massacres jusqu'à ce que le nom d'AKH soit légende
Car le soldat, guerrier alpha, est adroit
Et lance l'assaut là, sur lécole du micro en bois
La bataille a débuté, tiens ce coup vient
D'un expert à la guerre, vaillant praticien des arts martiens
Délégué pour mettre un terme à ces horreurs
Tel est mon labeur, tu sais de qui je défends l'honneur
REFRAIN
L'école du micro d'argent (x8)
On était assis à la terasse d'un café, relax
Deux verres de Perrier sur la table en train de déguster une glace
Neuf heures du soir la place était presque pleine
Mais pas assez pour ne pas voir arriver le phénomène
Méditerranéenne, mixée comme chez nous
Basses, aigus à fond, "Wooou" elle envoyait la ganzou
Elle est venue s'asseoir à côté de nous
Une clope cousine? Quoi, t'as ton mec, nous on est pas jaloux
Deux mètres, cent dix kilos, il s'est pointé
Illico aussi sec on est retourné à nos Perriers
Je suis pas fou, le type était balaise
Pas question de s'embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13
Mais la gadji reluquait, regard aguicheur
Elle essayait quand même de me faire du pied
Une vodka, la commande est passée
Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet
"Rendez-vous à dix heures à votre appart', dites moi où c'est
Une copine va m'accopagner"
Elle se leva, la main crispée sur le papier un clin d'oeil discret
La soirée était bien commencée, ouais
Refrain
Dans toutes les situations, sans inhibition
Elle donne son corps avant son nom
Je préparais la pièce et les armures de latex
Les sticks de "popo", le stand de tir sur le Bultex
Et moi à peine arrivé en bas, elles étaient déjà là
La pure motivation, mon gars
Dans l'ascenseur il ne faisait pas chaud
Mais une autre chaleur leur fit déjà sauter les tricots
Elles arrivèrent dans la maison en Wonderbras
Vision irréelle, fracture nette de l'oeil droit
On leur pro posa de boire ou de manger un truc
Un cappuccino, deux sucres roux, elles aimaient le luxe
Je leur ai dit : "Excusez-moi, prenez le bien certes
Vous êtes raffinées mais vous avez l'air de deux filles ouvertes"
Dix secondes après c'était la cavalcade
Et comme Jackie Chan, on a fait nous-mêmes nos cascades
Au matin, ce ne sont que des draps que j'ai sentis
Les cacadeuses étaient parties
En m'habillant, je palpais mes poches : vides
Plus de chèques, plus de cartes, plus de liquide
Le plan était simple et sans accroc
Si on ratrappe les gazières, on les éclate à coup de marteau
On a foncé au centre ville, on a aperçu les filles
Pénétrer dans un bar américain
Devant la porte, y'avait le type du bar, la baraque
On a compris, mais trop tard, que ce mec était leur mac
J'ai dû trouver un exutoire pour passer mes nerfs
Et un skin a morflé des coups de Black et Decker
Traitez les filles avec respect mais attention
Prenez garde à celles qui ne donnent pas leur nom
Refrain
Je pose du verbe sur un papier
Compose des textes et les scande, oui ma langue est déliée
Mon délit est de parler haut
Relater ce que mes consorts, n'exprimeront jamais dans un micro
Les camps sont marqués, nous sommes simples électeurs
Mais rien n'empêche d'apporter plus de terreur dans leurs erreurs
Je pensais ne même pas les affleurer, mais j'ai dû
Déjanter, quand le juge a voulu me convoquer
Ce n'était pas la première fois pour un groupe de rap
Que la censure frappe et les citations tapent
Va donc, je me suis dit, le texte est cool, y'a pas de hic
Faux, j'étais devenu l'ennemi public des Assédic
C'était clair, les hauts placés voulaient mon trophée
Un mois après ces endophés bloquaient mon dossier
Ce que le cinéma se permet, la télé, les livres,
Et les magazines pour nous c'est prohibé
Incitation à la violence
C'est comme si pour chaque meutre on inculpait Jack Palance
J'ai des problèmes de communication
Les R.G. écoutent toutes mes conversations
J'en ai des frissons et ça perturbe ma vie
Ma haine grandit chaque fois que Minute écrit
A déblatérer des mensonges malsains
Demandez à ma mère, si son fils est un assassin
Ils déclenchent ma revanche à leurs dépends
Si je pouvais vivre loin des serpents
Je croyais être un type sympa, un père exemplaire, merveilleux
Pour eux, je suis Dangereux
Si on m'avait dit qu'un jour je serais classé, fiché
Tout simplement pour avoir exprimé mes idées
Abordé des sujets jugés tabous
Mis sur papier tout ce qui se passe autour de nous
Je pensais vivre dans un pays libre, naïf
J'ai compris qu' indésirables sont les esprits non passifs
En refusant d'être un mouton, de rentrer dans le troupeau
De fermer les yeux et de tourner le dos
Au format dans lequel ils tentèrent de me faire entrer
Je me suis vu qualifié de rebelle d'une société
Hypocrite, où certains ont tant de pouvoir
Qu'en toute impunité, ils peuvent cracher sur l'Histoire
Ce noir constat m'oblige à prendre des risques
A libérer ma pensée, à devenir un journaliste
Un fugitif, un dénonciateur, un haut-parleur
Trop souvent, placé au centre du collimateur
De ceux qui se croient à l'abri de l'oeil avisé
Des gens comme moi à l'affût et qui ne laissent rien passer
La liberté d'expression vaste plaisanterie
L'écart est grand entre ce qui s'entend et ce qui est dit
J'énonce des faits bien que ça me coûte
Des photos sur des murs, des téléphones sur table d'écoute
On me reproche de crier trop fort ce que je pense
De mettre un miroir en face des gens, ça, ça les dérange
Et si le clan représente la pureté aujourd'hui
Même en plein soleil, tous les chats sont gris
Je voudrais faire le bien et rien d'autre
Mais pour eux je suis un mouton galeux, un mec Dangereux
Refrain
Ca s'passe comme ça chez le mac
Ca s'passe comme ça chez le mac
Les rues sales du centre ville de Mars est mon turf
Mac aussi puissant que ce putain d'argent sur le surf
J'ai tout pris en main et condés se tatent
Pas de racket, je suis libre des vapeurs d'eau écarlate
Et des tubes de colle, à coups de latte
Les consonnes, les voyelles, sont toutes à quatre pattes
Proxénète linguistique pur
Style manteau en fourrure
Et ma vie, a pris une autre tournure
Je ne sais pas où cela me mène
Mais même ceux qui m'aiment me décrivent comme étant un schizophrène
J'ai mis les mots au tapin pour la sensation
Au trottoir les syllabes, prostitué la diction
Les lettres travaillent pour moi
Le dico est mon territoire, un pays dont je veux être le roi
J'ai traité des phrases comme de vraies dames
Tiré les plus belles pour les mettre en vitrine comme à Amsterdam
Si tu veux la qualité normale, tu payes cash
Ca arrache, à consommer avec un tchoc de hash
J'ai des potes dans la profession, c'est pas la mode
Mais pourquoi croies-tu que DRS s'appelle Mr Claude
Petit parade avec tes illusions de Benz
T'es une merde sur le marché parce que tes phrases sont renze
C'est dommage, t'es guetté par le chômage
Mon organisation est trop en place et bien trop sauvage
Ma famille vient de ce quartier, qui faisait peur à Hitler
Où la French est née pour niquer la terre entière
Je me souviens encore mais pourtant je devais être petit
Scarface n'est pas un rêve, il a existé ici
L'Italiano prend la relève vingt ans après
C'est tout un autre monde, c'est tout un autre marché
Je suis discret, distant, dispo, prêt à disparaître
Mon discours éternel, seul un rêve peut renaître
Un jour, sous une forme nouvelle
D'un novice, 26 lettres, 100 000 mots à son service
N'est pas mac qui veut
Mais je croise des concurrents sérieux
Alors je redouble de travail et serre le jeu
Si tu veux la bombe, tu raques Ronald
Ca s'passe comme ça chez le mac
Refrain
Le petit noir à tête rasée réapparait
Moi non plus j'ai pas changé, toujours prêt à dégainer
Mon micro branché sur une table envoie le morceau
Vérifie la console, qu'elle fasse bien son boulot
Ouais, c'est comme ça avec le mic et les samplers
Au doigt et à l'oeil, alors qui c'est l'empereur
La MPC travaille pour moi très dur
Et au moindre bug, je la colle au mur, c'est sûr
La dernière mélodie que j'ai recrutée
S'est prise deux gifles quand elle a refusé de se faire trunkaté
En fait, je suis le seul boss du matos
Tous les câbles qui font les macs tombent vite sur un os
Tout le monde y a droit, qu'est-ce que tu crois
Les lettres, elles aussi, taffent pour moi
26 mètres, chacun sa chacune
Deux claques sur les fesses et vite par ici la thune
C'est comme ça que dans mon job ça se passe
J'ai beaucoup d'employés et je ne paie rien à l'Urssaf
Et je n'ai pas eu depuis longtemps à sévir
Elles ont réalisé que leur plaisir est de me servir
Si elles le font bien, je les place dans mes phrases
Promotion sociale pour elle, pour moi plus de liasses
Mais le fin du fin, c'est le couplet quand elles y sont arrivées
C'est qu'elles sont classées top dans mon carnet
Celles qui attendent de moi un geste en retour
Ont beaucoup d'espoir, d'ailleurs elles courent toujours
Je table sur la qualité, pas la quantité
D'un service organisé, créé pour vous faire planer
On y trouve des plates, des croisées, des embrassées
choisissez, chacune d'elle a sa spécialité
J'ai dû transpiré dur pour y arriver
Mais ça sert d'avoir de la famille bien placée dans le métier
Le prox de l'apostrophe, le Jules de la virgule
J'aurais dû faire du foot, j'ai toujours eu le sens des putes
Surtout ne viens pas taper à ma porte sans des Deutschmarks
Ca s'passe comme ça chez le mac
Refrain
Alone On A Sailboat Lost At Sea
I Did Not Recognize The Skies Above Me
My Compass Was Just Spinning Round And Round
It Was Just Spinning Round
And Then With A Gust Of Wind Things Changed
Set Off On A Course That Seemed To Me Quites Strange
I Was Heading Through The Air Straight For The Moon
Straight For The Moon
And When I Landed He Took My Hand
We Dined And We Danced With The Stars
He Asked Me To Stay In This Dreamland
But The Wind Called Out So I Went Instead
Then He Turned To Me And Sad
Don't Sail Away Don't Sail Away From Me
Don't Sail Away We Could Have Sucg A Lovely Time
Don't Sail Away Don't Sail Away Frome Me
Don't Sail Away You Could Stay And Just Be Mine
I Told Him Not This Time
The Wind Carried Me Across Deep Sapces
I Visted Many Times And Many Places
I Drifted Till My Boat Came To A Stop Destiny's Rooftop
Inside I Played Chess With Destiny
I Saw A Way To Win So Very Easily
But He Was Taking Far Too Long to Make His Move
Destiny Wouldn't Move
So I Turned My Baot Back To Wards That Dreamland
And I Filled The Sails With My Breath
When I Landed He Took My Hand
Thought The Wind Called Out I Remaned Instead
He Still Turned To Me And Sad
Don't Sail Away Don't Sail Away From Me
Don't Sail Away We Could Have Sucg A Lovely Time
Don't Sail Away Don't Sail Away Frome Me
Don't Sail Away You Could Stay And Just Be Mine
Villain got banished
Refused out the U.S., he ain't even Spanish
sock with a hole
Told Mr. Mean Streets to delay (?) a pot hole bro
Too gold though in the nick of time
To kick a sicker rhyme,
do your face like tequila lime
No, not deported
Be a little minute before things get sorted
Known to get money, never got caught kid
Escape with a soft skid, short bid
Knock on wood, dope on plastic
Rocks so hood, hope on spastic
Put it on the ritz
Put your bullshit facial recognition on fritz
I'm afraid you're sadly mistaken
Spit it like a bad piece of bacon
Even if you gotta lay down on the ground and fake dead
way out the habitat
Where the rabbits is at far from the lab rats
Man's right to know
Contemplate that at these hands write to flow
It ain't done yet
He let ya know some of the results come sunset
'Til then pack ya bowls
Sack it to ya crack ho with black soul coal
Just so ya know it ain't some buffoon rhymin'
Hey, watch ya tonsils
End up in the hospital, not responsible
Then start to think how it ain't worth the risk-- is it?
Third degree black belt flow
Whip his monkey ass till the track felt slow
Melt snow, now that's gold
Blown and make fuss while that's cold
Stole'ded 'em, throws them dice
Cool it down, set to mo' flow with ice like
Liquid nitrogen ain't no wins
Macro-- Micro thin, itch your skin
Villain strikes again
Equivalent a hundred thousand milligram Vicodin
Pure get kill swift more
Beer flip doin' a Janes on the third floor
Like don't get your shirt tore boy
Crown of thorns, chain made of razorblades
Gallon of thorn homemade blades of suede
Bout to retire
Sit up somewhere in the sun and breath fire
That include tipsy getting
big fat gypsy wedding
No more thuggin'
And don't think you won't get slapped kid, you're buggin'
Rhyme with more dough
Remind me of a fine wine time raw flow
It's like a worn-in suit
On a shoot, on a commute, torn boot
Publicity stunt, get paid on some Charlie Sheen
Summer (Santo?) (barley bean?) (?) party machine
Will graze ya more worse than an
Occam's razor
But anybody else notice
time's speeding up?
Make ya local police worry monthly
And won't be nowhere nears your country
And got no time for maps on the belly tooting out off the (?) iPhone
Bitches do a knock-knee, slight jaw
Afrikaans
cockney
patois
(Ahungalla?) last off the corner
Only thing he miss is blastin' off a warner
Super Villain, smooth sicko
Why oh why did I leave that booth? Click go
That's not up for debate
Be straighter than straight off a big gulp of V8
If she wasn't so bent
She know how the camel got his nose in a tent
Please, enough's enough
Don't get snuffed with the key to the cuffs
[Verse 1]
They lust to show the story, more grody than Mr. Crowley
For those embarrassed, to no holier than thou, Imoli habits
Parrots to the GOAT, we bring 'em up to speed slowly
On the low key, kindles is phoney D
Tastes stale – see the words in shades of greyscale
Right there in black-and-white, protected by chain mail
Today's the day maids await to see a cisternum
Took my little mens with her, told 'em love 'em, kisted him
These oversensitive youngins is on some new stuff
Can't sit still or focus, the time it take to do enough
From the mean streets of the 'Can I Get A Dollar' dude
Above measure, the singular pleasure of solitude
It's your poison, if you so choose, absorb it
Veins to the brain, shoot off into orbit
How you know Octagon? Or much less Tetragrammaton?
To get the good stuff, you gotta get out to the Amazon
With any luck, you might could score locally
Just keep it on the hush when you're speaking on it vocally
Then you gotta be on the in, a known member
I think I still owe him a little something since November, whatever
Who need credit when cash speak?
Forgot it – sweating, sitting on this package since last week
We've all got weaknesses, even the functioning dead
Some'll end up fudging numbers, bugging and lunching instead
It's NetFlix to the head
Second best trick to get chicks in the bed