Cimetière militaire britannique de Zuydcoote (59)
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- Updated: 29 Dec 2014
À l'automne de 1917, alors que le Corps XVe tenait de la section Nieuport, les 34e et 36e stations d'évacuation sanitaire ont été affichés à Zuydcoote, et le cimetière militaire contient, pour la plupart, les tombes des officiers et des soldats qui sont morts dans ces hôpitaux . Sur le côté ouest du cimetière est Zuydcoote françaises ». Le Mémorial britannique, route de Furnes Construit à l'initiative de la Grande-Bretagne et inauguré en 1957 par la reine La Commonwealth War Graves Commission est l’organisme britannique en charge de la construction et de l’entretien des cimetières et monuments militaires partout dans le monde. Ils commémorent les 1700000 hommes et femmes des forces du Commonwealth (Australie, Canada, Inde, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Royaume-Uni) morts au cours des deux guerres mondiales. Arrivé en France en 1914 à la tête d’une unité de la Croix-Rouge britannique, Sir Fabian Ware constate que rien n’est prévu pour conserver les traces des dernières demeures des victimes des combats. Son unité se charge alors de répertorier et de prendre soin des tombes qu’elle parvient à recenser. Ce travail est reconnu par le ministère de la Guerre qui crée en 1915 la Commission d’enregistrement des sépultures, qui deviendra Commission impériale des sépultures de guerre par une charte royale en 1917. L’idée-force est de garantir une égalité de traitement et la permanence des sépultures et des mémoriaux. La Commission prend également la décision de ne pas rapatrier les corps et d’inhumer les soldats là où ils sont tombés. Dans un idéal de fraternité face à la mort, elle décide également la réalisation de sépultures rigoureusement uniformes. La question du choix personnel des sépultures soulèvera néanmoins de vifs débats. Ils seront tranchés par le Parlement britannique en 1920 qui approuvera les principes édictés par l’actuelle Commission des sépultures de guerre du Commonwealth. Les « cités silencieuses », ainsi nommées par Rudyard Kipling, désignent tant les modestes cimetières que les immenses nécropoles, sans oublier le mémorial édifié souvenir des nombreux soldats disparus sans laisser de traces. Deux monuments sont communs à tous : la Croix du Sacrifice et, dans les cimetières plus grands, la Pierre du Souvenir, œuvre d’Edwin Lut yens (1869-1944). Des artistes de renom ont participé à la création des cimetières et des monuments, tout comme d’éminents spécialistes du jardinet horticulteurs. S’ils ont laissé leur empreinte, leur contribution est restée largement anonyme: ces lieux de mémoire appartiennent réellement à ceux pour lesquels ils ont été créés, aux hommes et aux femmes victimes de la guerre. La commission entretient près de 3000 cimetière set 20 mémoriaux sur le seul territoire français.Sources: Commonwealth War Graves Commission. www.cwgc.orgLe souvenir britannique ration Dynamo, explique le nombre impressionnant de sépultures.
Il contient les tombes de 314 britanniques ,5 canadiens, un australien, 4 néo-zélandais, 2 sud-africains et une belge.
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À l'automne de 1917, alors que le Corps XVe tenait de la section Nieuport, les 34e et 36e stations d'évacuation sanitaire ont été affichés à Zuydcoote, et le cimetière militaire contient, pour la plupart, les tombes des officiers et des soldats qui sont morts dans ces hôpitaux . Sur le côté ouest du cimetière est Zuydcoote françaises ». Le Mémorial britannique, route de Furnes Construit à l'initiative de la Grande-Bretagne et inauguré en 1957 par la reine La Commonwealth War Graves Commission est l’organisme britannique en charge de la construction et de l’entretien des cimetières et monuments militaires partout dans le monde. Ils commémorent les 1700000 hommes et femmes des forces du Commonwealth (Australie, Canada, Inde, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Royaume-Uni) morts au cours des deux guerres mondiales. Arrivé en France en 1914 à la tête d’une unité de la Croix-Rouge britannique, Sir Fabian Ware constate que rien n’est prévu pour conserver les traces des dernières demeures des victimes des combats. Son unité se charge alors de répertorier et de prendre soin des tombes qu’elle parvient à recenser. Ce travail est reconnu par le ministère de la Guerre qui crée en 1915 la Commission d’enregistrement des sépultures, qui deviendra Commission impériale des sépultures de guerre par une charte royale en 1917. L’idée-force est de garantir une égalité de traitement et la permanence des sépultures et des mémoriaux. La Commission prend également la décision de ne pas rapatrier les corps et d’inhumer les soldats là où ils sont tombés. Dans un idéal de fraternité face à la mort, elle décide également la réalisation de sépultures rigoureusement uniformes. La question du choix personnel des sépultures soulèvera néanmoins de vifs débats. Ils seront tranchés par le Parlement britannique en 1920 qui approuvera les principes édictés par l’actuelle Commission des sépultures de guerre du Commonwealth. Les « cités silencieuses », ainsi nommées par Rudyard Kipling, désignent tant les modestes cimetières que les immenses nécropoles, sans oublier le mémorial édifié souvenir des nombreux soldats disparus sans laisser de traces. Deux monuments sont communs à tous : la Croix du Sacrifice et, dans les cimetières plus grands, la Pierre du Souvenir, œuvre d’Edwin Lut yens (1869-1944). Des artistes de renom ont participé à la création des cimetières et des monuments, tout comme d’éminents spécialistes du jardinet horticulteurs. S’ils ont laissé leur empreinte, leur contribution est restée largement anonyme: ces lieux de mémoire appartiennent réellement à ceux pour lesquels ils ont été créés, aux hommes et aux femmes victimes de la guerre. La commission entretient près de 3000 cimetière set 20 mémoriaux sur le seul territoire français.Sources: Commonwealth War Graves Commission. www.cwgc.orgLe souvenir britannique ration Dynamo, explique le nombre impressionnant de sépultures.
Il contient les tombes de 314 britanniques ,5 canadiens, un australien, 4 néo-zélandais, 2 sud-africains et une belge.
- published: 29 Dec 2014
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