"Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I)" est la captation sonore, réalisée le 13 novembre 1979, du 1er entretien que Gérard Courant et Joseph Morder ont eu avec le cinéaste mexicain Teo Hernandez, qui précède "Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II)", enregistré le 25 janvier 1980 et "Teo Hernandez sur Radio Ark en ciel", enregistré le 2 juillet 1982. (Il existe un quatrième film, réalisé le 20 octobre 2006, "Teo Hernandez à Paris", qui est une rencontre filmée entre Gérard Courant et Mauricio Hernandez, le neveu du cinéaste latino-américain). Teo Hernandez, Gérard Courant, Joseph Morder, auquel s’est joint Gaël Badaud en cours de conversation, parlent des films et cinéastes suivants : "Le Fantôme de Canterville" de Jules Dassin, "Le Septième voile" de Compton Bennett, "Blanche Neige" de Walt Disney, les films de Tarzan avec Johnny Weissmuller, les films hollywoodiens des Mille et une nuits, de cape et d’épée avec Errol Flynn, la série des "Flash Gordon" avec Buster Crabbe, "Rome, ville ouverte" de Roberto Rossellini, "Sous le ciel de Paris" de Julien Duvivier," Le Voleur de bicyclette" et "Sciuscià" de Roberto de Sica, "J’accuse" (les versions 1919 et 1938) d’Abel Gance, "La Passion" de Raoul Sangla, "Le Navire Night" de Marguerite Duras, "Toute révolution est un coup de dés" de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet et des films de Teo Hernandez : "Esmeralda", "Cristo", "Tables d’hiver", "Cristaux", "Salomé", "Gaël", "Mâyâ" et "Luna India". Gérard Courant a ensuite illustré "Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I)" des "Cinématons" des quatre intervenants et de toutes sortes d’autres documents (lettres, photos, programmes, affiches de films, etc.).

• published: 24 Sep 2014
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