Jacques Dutronc (born 28 April 1943 in Paris; French pronunciation: [ʒak dytʁɔ̃]) is a French singer, songwriter, guitarist, composer, and actor. He has been married to singer Françoise Hardy since 30 March 1981 and the two have a son (jazz guitarist Thomas Dutronc, born 1973). He also has been a longtime songwriting collaborator with Jacques Lanzmann. Some of Dutronc best known hits include "Il Est Cinq Heures, Paris S'éveille" (a chanson tune akin to "Waterloo Sunset" by The Kinks that All Music Guide has called "his finest hour"), "Le Responsable", and "Les Cactus".
Dutronc played guitar in the rock group El Toro et les Cyclones. He wrote successful songs for Françoise Hardy in the 1960s before moving on to pursue a successful solo career. His music incorporated traditional French pop and French rock as well as styles such as psychedelic rock and garage rock. He later branched out into film acting, starting in 1973. He earned a Cesar for Best Actor for the leading role in Van Gogh, which was directed by Maurice Pialat. According to the All Music Guide, Dutronc is "one of the most popular performers in the French-speaking world", although he "remains little known in English speaking territories" aside from a cult following in the U.K.
Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'assoir
Dans la vie, il y a qu'des cactus
Moi je me pique de le savoir
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe
Dans leurs coeurs, il y a des cactus
Dans leurs porte-feuilles, il y a des cactus
Sous leurs pieds, il y a des cactus
Dans leurs gilets, il y a des cactus
Aïe aïe aïe, ouille ouille ouille, aïe
Pour me défendre de leurs cactus
A mon tour j'ai mis des cactus
Dans mon lit, j'ai mis des cactus
Dans mon slip, j'ai mis des cactus
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe
Dans leurs sourires, il y a des cactus
Dans leurs ventres, il y a des cactus
Dans leurs bonjours, il y a des cactus
Dans leurs cactus, il y a des cactus
Aïe aïe aïe, ouille, aïe
Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'assoir
Dans la vie, il y a qu'des cactus
Moi je me pique de le savoir
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe
Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'assoir
Dans la vie, il y a qu'des cactus
Moi je me pique de le savoir
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe
Dans leurs coeurs, il y a des cactus
Dans leurs porte-feuilles, il y a des cactus
Sous leurs pieds, il y a des cactus
Dans leurs gilets, il y a des cactus
Aïe aïe aïe, ouille ouille ouille, aïe
Pour me défendre de leurs cactus
A mon tour j'ai mis des cactus
Dans mon lit, j'ai mis des cactus
Dans mon slip, j'ai mis des cactus
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe
Dans leurs sourires, il y a des cactus
Dans leurs ventres, il y a des cactus
Dans leurs bonjours, il y a des cactus
Dans leurs cactus, il y a des cactus
Aïe aïe aïe, ouille, aïe
Le monde entier est un cactus
Il est impossible de s'assoir
Dans la vie, il y a qu'des cactus
Moi je me pique de le savoir
Sept cent millions de chinois
Et moi, et moi, et moi
Avec ma vie, mon petit chez moi
Mon mal de tête, mon psi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Quatre vingt millions d'indonésiens
Et moi, et moi, et moi
Avec ma voiture et mon chien
Son Canigou quand il aboit
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Trois ou quatre cent millions de noirs
Et moi, et moi, et moi
Qui vais au brunissoir
Au sauna pour perdre du poids
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Trois cent millions de soviétiques
Et moi, et moi, et moi
Avec mes manies et mes tics
Dans mon p'tit lit en plumes d'oie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinquante millions de gens imparfaits
Et moi, et moi, et moi
Qui regardent Catherine Langeais
À la télévision chez moi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Neuf cent millions de crève la faim
Et moi, et moi, et moi
Avec mon régime végétarien
Et tout le whisky que je m'envoi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinq cent millions de sud américains
Et moi, et moi, et moi
Je suis tout nu dans mon bain
Avec une fille qui me nettoie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinquante millions de vietnamiens
Et moi, et moi, et moi
Le dimanche à la chasse au lapin
Avec mon fusil, je suis le roi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinq cent millards de petits martiens
Et moi, et moi, et moi
Comme un con de parisien
J'attends mon chèque de fin de mois
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
J'y pense et puis j'oublie
Sept cent millions de chinois
Et moi, et moi, et moi
Avec ma vie, mon petit chez moi
Mon mal de tête, mon psi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Quatre vingt millions d'indonésiens
Et moi, et moi, et moi
Avec ma voiture et mon chien
Son Canigou quand il aboit
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Trois ou quatre cent millions de noirs
Et moi, et moi, et moi
Qui vais au brunissoir
Au sauna pour perdre du poids
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Trois cent millions de soviétiques
Et moi, et moi, et moi
Avec mes manies et mes tics
Dans mon p'tit lit en plumes d'oie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinquante millions de gens imparfaits
Et moi, et moi, et moi
Qui regardent Catherine Langeais
À la télévision chez moi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Neuf cent millions de crève la faim
Et moi, et moi, et moi
Avec mon régime végétarien
Et tout le whisky que je m'envoi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinq cent millions de sud américains
Et moi, et moi, et moi
Je suis tout nu dans mon bain
Avec une fille qui me nettoie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinquante millions de vietnamiens
Et moi, et moi, et moi
Le dimanche à la chasse au lapin
Avec mon fusil, je suis le roi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
Cinq cent millards de petits martiens
Et moi, et moi, et moi
Comme un con de parisien
J'attends mon chèque de fin de mois
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
J'y pense et puis j'oublie
L'amour, ce n'est pas comme l'argent,
une monnaie qui sert de placement.
L'amour est simple et éternel,
jamais on ne lui coupera les ailes.
L'amour, ce n'est pas comme le charbon,
vous n'en épuisez jamais le filon.
L'amour, c'est plutôt comme le béton,
un matériau de construction.
Amour toujours, tendresse, caresse, amour.
Amour toujours.
L'amour ne ferme jamais ses portes
aux ouvriers du sentiment.
On a toujours deux blancs rouges
par delà tous les amants.
Le grand amour, ça marche toujours,
ça marche la nuit, ça marche le jour.
Cela fait maintenant des millénaires,
c'est toujours le même dictionnaire.
Amour toujours, tendresse, caresse, amour.
Amour toujours.
Amour toujours.
Amour toujours, tendresse, caresse, amour.
Amour toujours.