Lettre d'infos

lettre d'infos

L'escalade des grèves

Yorgos Mitralias*

Depuis plusieurs mois, la France intervient militairement en Centrafrique pour y défendre ses intérêts géostratégiques et les intérêts économiques de ses entreprises.

La revue l'Anticapitaliste n°52 consacre trois articles à cette question.

Les arguments « démocratiques » et « humanitaires » ne tiennent pas. La grave crise que traverse la Républicaine centrafricaine n’est qu’une nouvelle conséquence de la domination coloniale puis néocoloniale.

Très tôt, les dirigeants politiques français ont laissé échapper que le véritable sens de l’intervention en Centrafrique était la défense, essentielle en cette période de crise mondiale, des intérêts économiques de la France sur le continent africain.

Et la « gauche de la gauche », comment réagit-elle ? Ses prises de position face à l’intervention française en Centrafrique ne sont pas sans poser question.

Depuis le 5 février, la Bosnie-Herzégovine connaît un soulèvement social et démocratique majeur, parti des travailleurs de Tuzla au chômage et privés de droits sociaux suite à deux décennies de « privatisations criminelles ».

vendredi 28 février 2014, par Philippe Leymarie, sur son blog du Monde Diplomatique
« J’y suis, j’y reste ! » : la formule est prêtée au général français Mac Mahon après la prise de la...

1- La crise politique a commencé en Ukraine en novembre 2013 quand le président Ianoukovitch a décidé, sous fortes pressions russes, de ne pas signer l'association de libre-échange avec l'UE, en dépit de la campagne officielle menée par le Parti des Régions depuis des mois.

L’Assemblée nationale vient de voter une résolution mémorielle qui reconnaît la responsabilité de l’État français dans la « déportation » de 1 615 enfants réunionnais, enlevés de leur île entre 1963 et 1982 pour repeupler des départements ruraux de « métropole »...

Article paru sur le site d'Inprecor. Par Vitalyï Doudine*

Pages