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René Lévesque - La Série #4 : L'enfant terrible (1962-66)
L'acquisition par Hydro-Québec de Shawinigan Water and Power Company, Quebec Power, Southe...
published: 06 Sep 2013
René Lévesque - La Série #4 : L'enfant terrible (1962-66)
René Lévesque - La Série #4 : L'enfant terrible (1962-66)
L'acquisition par Hydro-Québec de Shawinigan Water and Power Company, Quebec Power, Southern Canada Power, Saint-Maurice Power, Gatineau Power, la Compagnie de Pouvoir du Bas-Saint-Laurent, Saguenay Power, Northern Quebec Power, la compagnie électrique de Mont-Laurier, la compagnie électrique de Ferme-Neuve et de La Sarre Power est officialisée le 1er mai 1963. Par la suite, en 1963, Lévesque lutte pour que l'éducation des Inuit, installés dans le nord du Québec, passe d'anglaise à française. Du 14 octobre 1965 au 16 juin 1966, il occupe le poste de ministre de la Famille et du Bien-être social. Sous son ministère, le Québec se dotera d'un régime d'adoption, d'une aide aux familles monoparentales et d'un service d'assistance médicale gratuite. Lors de l'élection générale du 5 juin 1966, il est réélu député dans la circonscription de Laurier. Lors de la campagne électorale, René Lévesque, toujours fédéraliste, conteste fermement les chances du Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) fondé six ans auparavant. Cependant, le Parti libéral n'obtient pas la majorité des sièges et c'est l'Union nationale de Daniel Johnson, père qui prend le pouvoir avec 56 sièges et 40,82 % des voix contre 50 sièges et 47,29 % des voix. L'élection de 1966 marque l'entrée en scène des deux premiers partis politiques indépendantistes : le RIN de Pierre Bourgault et le Ralliement national (RN) de Gilles Grégoire.- published: 06 Sep 2013
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René Lévesque - La Série #6 : La crise d'octobre (1970)
En cet automne 1970, le président du Parti Québécois, René Lévesque, battu dans la circons...
published: 06 Sep 2013
René Lévesque - La Série #6 : La crise d'octobre (1970)
René Lévesque - La Série #6 : La crise d'octobre (1970)
En cet automne 1970, le président du Parti Québécois, René Lévesque, battu dans la circonscription de Laurier lors des élections générales qui ont eu lieu en avril, est chroniqueur au Journal de Montréal. Dès le début de la crise, après l'enlèvement du diplomate britannique James Richard Cross et celui du ministre Pierre Laporte, René Lévesque se joint à une quinzaine d'autres personnalités des milieux universitaire, journalistique et syndical, pour demander solennellement au premier ministre Robert Bourassa de tout mettre en œuvre pour sauver la vie des deux otages, quitte à accepter de discuter la libération de certains prisonniers politiques. Cette position, le groupe la défendra inlassablement, jusqu'à ce que la promulgation par Ottawa de la Loi des mesures de guerre et la découverte du cadavre de Pierre Laporte ne viennent dramatiquement clore le débat.- published: 06 Sep 2013
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René Lévesque - La Série #1 : Le saut en politique (1958-1960)
Durant son séjour à la télévision publique, René Lévesque est très impliqué dans la grève ...
published: 06 Sep 2013
René Lévesque - La Série #1 : Le saut en politique (1958-1960)
René Lévesque - La Série #1 : Le saut en politique (1958-1960)
Durant son séjour à la télévision publique, René Lévesque est très impliqué dans la grève des réalisateurs de Radio-Canada, qui dura du 29 décembre 1958 au 7 mars 1959 et qui visait une syndicalisation. Il est arrêté par la police lors de cette grève, avec 29 autres manifestants. Son émission Point de mire est retirée de l'antenne à l'été 1959. Il quitte Radio-Canada le 24 avril 1960 pour joindre l'Équipe du tonnerre de Jean Lesage.- published: 06 Sep 2013
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René Lévesque - La Série #10 : La fin du parcours (1982-87)
Le second mandat est beaucoup plus dur pour René Lévesque et son gouvernement, et la crise...
published: 07 Sep 2013
René Lévesque - La Série #10 : La fin du parcours (1982-87)
René Lévesque - La Série #10 : La fin du parcours (1982-87)
Le second mandat est beaucoup plus dur pour René Lévesque et son gouvernement, et la crise constitutionnelle n'est pas seule en cause. Dès 1981, la récession économique prend une ampleur inattendue. Le taux de chômage, au Québec, grimpe à 10 % en juillet 1981, à 14 % en mars 1982, frise les 15 % en juillet 1982 et atteint 16 % le mois suivant. Le gouvernement tente, sans beaucoup de succès, d'en juguler les effets. Sur la suggestion de Louis Laberge, chef de la FTQ, il instaure le programme de Corvée-Habitation, visant à relancer la construction résidentielle. Le Plan Biron, quant à lui, a pour objectif de venir en aide aux PME en difficulté. En novembre 1983, Lévesque annonce la création de 18 000 emplois saisonniers dans un programme de reforestation. Le 5 novembre, lors du Discours du Trône, à Ottawa, Mulroney s'engage à rouvrir le débat constitutionnel afin d'obtenir l'adhésion du Québec à l'entente de 1981. Lévesque lui tend la main, parle d'un Beau Risque et annonce son intention de mettre en veilleuse l'option indépendantiste, un choix crucial dans l'histoire du PQ car il scindera le parti séparatiste entre les deux clivages, l'un plus radical et l'autre qui suit l'adoucissement nationaliste recherché par René Lévesque. Lévesque, désormais à la tête d'un gouvernement sérieusement affaibli, convoque, en janvier 1985, un congrès spécial où il met officiellement en veilleuse l'option indépendantiste. Six mois plus tard, le 20 juin, fatigué, amer et probablement poussé par plusieurs membres de son caucus, Lévesque annonce qu'il démissionnera après le Congrès à la chefferie de son Parti.- published: 07 Sep 2013
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René Lévesque - La Série #7 : La victoire de 1976 (1976-77
À l'élection du 15 novembre 1976, René Lévesque mène le Parti québécois au pouvoir face au...
published: 07 Sep 2013
René Lévesque - La Série #7 : La victoire de 1976 (1976-77
René Lévesque - La Série #7 : La victoire de 1976 (1976-77
À l'élection du 15 novembre 1976, René Lévesque mène le Parti québécois au pouvoir face aux Libéraux de Robert Bourassa en recueillant 41,37 % du vote et 71 des 110 circonscriptions. Cette fois, René Lévesque, sera élu dans la circonscription de Taillon avec une nette majorité de 62,65 % devant le candidat libéral Fernand Blanchard. René Lévesque devient Premier ministre du Québec dix jours plus tard. Il s'est engagé entre autres à tenir un référendum avant d'enclencher le processus d'accession à l'indépendance. René Lévesque amorce son mandat dans un contexte difficile : le taux de chômage dépasse les 10 %, la balance commerciale avec l'extérieur est déficitaire, le déficit budgétaire a franchi le milliard de dollars, la situation sociale reste tendue. Le nouveau premier ministre reconnaît que la prudence est de mise. L'objectif est toujours la souveraineté, mais le 40 % obtenu lors des élections confirme qu'il y a encore beaucoup de travail à faire avant une éventuelle victoire référendaire. Les sessions de 1977 et de 1978 démontrent les efforts du gouvernement Lévesque de prouver qu'il est capable d'agir de façon responsable en bon gouvernement, tel qu'il l'a promis lors de la campagne de 1976. Il n'y présente aucune mesure pour étendre le rôle de l'État, excepté dans le domaine de l'assurance-automobile où il fait adopter une loi rendue nécessaire par la situation des assurés. En effet, les assureurs privés tentent par des procédures dilatoires de retarder le versement des indemnités dues aux assurés; alors que les avocats profitent, quant à eux, indûment du système. La nouvelle loi nationalise le régime d'assurance-automobile au niveau de la personne.- published: 07 Sep 2013
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René Lévesque parle de Pierre Elliott Trudeau
René Lévesque parle de son adversaire Date de diffusion : 29 juin 1984 Avec beaucoup d'hum...
published: 12 Dec 2009
author: priceguy223
René Lévesque parle de Pierre Elliott Trudeau
René Lévesque parle de Pierre Elliott Trudeau
René Lévesque parle de son adversaire Date de diffusion : 29 juin 1984 Avec beaucoup d'humour, René Lévesque raconte qu'il est responsable de l'entrée en pol...- published: 12 Dec 2009
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René Lévesque - 15 novembre 1976
« On n'est pas un petit peuple, on est peut-être quelque chose comme un grand peuple! » En...
published: 21 Oct 2013
René Lévesque - 15 novembre 1976
René Lévesque - 15 novembre 1976
« On n'est pas un petit peuple, on est peut-être quelque chose comme un grand peuple! » En 1976, René Lévesque prononce ces paroles mémorables lors de la soirée électorale qui a mené son parti à la tête du Québec pour la toute première fois. Le discours incarne la force politique par laquelle les Québécois vont parvenir à s'affranchir de leur statut de petit peuple. Pour ce peuple qui était né pour un petit pain, porter au pouvoir un parti qui envisage de faire du Québec un pays était une victoire incroyable.- published: 21 Oct 2013
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Référendum Québec 1980 - Discours de René Lévesque
Discours du premier ministre René Lévesque lors de la soirée référendaire du 20 mai 1980 a...
published: 02 Aug 2010
author: Alexandre Gagné
Référendum Québec 1980 - Discours de René Lévesque
Référendum Québec 1980 - Discours de René Lévesque
Discours du premier ministre René Lévesque lors de la soirée référendaire du 20 mai 1980 au Québec. Devant les flambées verbales, le manque de respect de plu...- published: 02 Aug 2010
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- author: Alexandre Gagné
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René Lévesque - La Série #5 : Le début d'un temps nouveau (1966-68)
N'occupant plus de fonctions ministérielles, René Lévesque reste néanmoins député de l'opp...
published: 06 Sep 2013
René Lévesque - La Série #5 : Le début d'un temps nouveau (1966-68)
René Lévesque - La Série #5 : Le début d'un temps nouveau (1966-68)
N'occupant plus de fonctions ministérielles, René Lévesque reste néanmoins député de l'opposition. À la suite du discours du général Charles de Gaulle à Montréal en 1967, René réagit de façon modérée sans toutefois lui donner raison. Pendant ce temps, Lévesque travaille à l'élaboration d'une position constitutionnelle (qui deviendra par la suite sa publication : Option Québec) qu'il désire voir adoptée par le Parti libéral. À l'été de 1967, les membres du Congrès du Parti libéral du Québec refusent de débattre de la proposition de Lévesque. Le 14 octobre, il quitte le parti. Quelques membres proches de lui le suivent Le 19 novembre 1967, René Lévesque fonde le Mouvement souveraineté-association (MSA) afin de promouvoir sa vision d'un Québec indépendant et formellement associé au Canada dans le cadre d'une nouvelle union semblable, dans ses principes, à la Communauté économique européenne. Lévesque, tout comme Pierre Bourgault, espère l'unification des partis politiques indépendantistes. Cependant, sa connaissance des dérives du nationalisme l'incite à se garder des "extrémistes", tel Bourgault. Le nationalisme québécois doit grandir de façon démocratique, pour le peuple, par le peuple et non contre des gens ou des institutions. La frange agressive de Bourgault doit donc servir à canaliser ceux qui nuiraient à la cause souverainiste par leurs actions répréhensibles, comme faire sauter des boîtes aux lettres. Le 28 décembre marque le début d'une période de négociations entre le MSA, le RN et le RIN en vue de la création d'un parti politique unifiant tous les partisans de l'accession à l'indépendance par des moyens pacifiques. En janvier 1968, le MSA publie un manifeste intitulé Option Québec qui est l'œuvre de Lévesque. Le 19 avril, le MSA tient son premier congrès d'orientation. Le 11 octobre, à Québec, premier congrès national du nouveau parti né de la fusion entre le MSA et le RN, mais sans le RIN. Le 14, les congressistes élisent René Lévesque à la présidence du nouveau Parti québécois (PQ). Le 26 octobre, les membres du RIN votent en faveur de la dissolution de leur organisation. Quelque quinze jours plus tard, la majeure partie de ses 14 000 membres a rejoint le Parti québécois.- published: 06 Sep 2013
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René Lévesque répond a Éric Duhaime et Mario Dumont a propos des syndicats.
Libérez-nous des ingrats vendu au capital. Un syndicat pour se faire respecter et avoir un...
published: 15 Feb 2012
author: f3nder111
René Lévesque répond a Éric Duhaime et Mario Dumont a propos des syndicats.
René Lévesque répond a Éric Duhaime et Mario Dumont a propos des syndicats.
Libérez-nous des ingrats vendu au capital. Un syndicat pour se faire respecter et avoir un salaire ..en autant que l'État joue son rôle . René Lévesque en 19...- published: 15 Feb 2012
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Souveraineté du Québec - Discours René Lévesque
Date : Vers 1970 Musique : David Meshow ( Michaud ) Lien vers la chanson utilisée : http:/...
published: 25 May 2010
author: Tykalooo
Souveraineté du Québec - Discours René Lévesque
Souveraineté du Québec - Discours René Lévesque
Date : Vers 1970 Musique : David Meshow ( Michaud ) Lien vers la chanson utilisée : http://www.youtube.com/watch?v=GAly7y4rKNU.- published: 25 May 2010
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René Lévesque - La Série #8 : Loi 101 et Référendum (1977-80)
Le 12 juillet, le ministre Camille Laurin dépose le projet de loi 101, qui contient la pre...
published: 07 Sep 2013
René Lévesque - La Série #8 : Loi 101 et Référendum (1977-80)
René Lévesque - La Série #8 : Loi 101 et Référendum (1977-80)
Le 12 juillet, le ministre Camille Laurin dépose le projet de loi 101, qui contient la première incarnation de la Charte de la langue française. Désormais, seuls les parents ayant reçu une éducation anglaise au Québec peuvent faire instruire leurs enfants en anglais, c'est ce que l'on appelle la clause Québec. Cette disposition de la loi sera amendée par les lois constitutionnelles de 1982, les parents ayant reçu une éducation en anglais au Canada pourront faire instruire leurs enfants en anglais (et réciproquement les autres canadiens ayant reçu une éducation en français au Canada peuvent faire instruire leurs enfants en français). Le régime de tests linguistiques, créé par la Loi sur la langue officielle (loi 22) de Robert Bourassa, est abrogé. Les entreprises ayant plus de 50 employés sont tenues d'entreprendre un programme de francisation. Le français devient la langue prédominante des tribunaux et la seule autorisée dans l'affichage commercial extérieur. Le projet de loi 101 est adopté par l'Assemblée nationale le 26 août 1977, et devient loi. À l'automne de 1979, les circonstances semblent favorables au gouvernement Lévesque pour enclencher le processus référendaire. Le conservateur Joe Clark est au pouvoir à Ottawa, où il dirige un gouvernement minoritaire. Trudeau lui-même annonce son retrait de la vie politique. Le 1er novembre, le livre blanc sur la souveraineté-association est déposé à l'Assemblée nationale et, le 20 décembre, René Lévesque rend publique la question référendaire. Le 20 mai, le référendum se traduit par une défaite pour le gouvernement Lévesque. 59,4 % des Québécois ont voté pour le Non, 40,6 % pour le Oui. Une mince majorité de francophones s'est prononcée pour le Non. Le soir, au Centre Paul-Sauvé, René Lévesque tente d'apaiser ses militants déçus (« Si je vous ai bien compris... vous êtes en train de dire... à la prochaine fois15. ») tout en sommant le gouvernement d'Ottawa de remplir ses promesses ("La balle est maintenant dans le camp fédéral). Plus tard, il sera prouvé que le gouvernement Trudeau a dépensé 7,5 millions $ durant la campagne de 1980, soit 8 fois plus que ne le permet la loi référendaire, à laquelle il ne se sentait pas lié.- published: 07 Sep 2013
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Rene Levesque 1971
Interview March 27th 1971. Formerly a journalist, then a cabinet member in Premier Lesage'...
published: 25 Mar 2011
author: Fed Vid
Rene Levesque 1971
Rene Levesque 1971
Interview March 27th 1971. Formerly a journalist, then a cabinet member in Premier Lesage's ministry who helped create Hydro-Quebec, and now the leader of th...- published: 25 Mar 2011
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Discours de René Lévesque et de Parizeau
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published: 14 Feb 2013
author: Marc-Antoine Daneau
Discours de René Lévesque et de Parizeau
Discours de René Lévesque et de Parizeau
- published: 14 Feb 2013
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René Lévesque - La Série #3 - Maître chez nous (1960-1962)
Jean Lesage, chef du parti, offre à René Lévesque les postes de ministre des Ressources hy...
published: 06 Sep 2013
René Lévesque - La Série #3 - Maître chez nous (1960-1962)
René Lévesque - La Série #3 - Maître chez nous (1960-1962)
Jean Lesage, chef du parti, offre à René Lévesque les postes de ministre des Ressources hydrauliques et de ministre des Travaux publics. Lévesque accepte et le 5 juillet, il est assermenté dans ses nouvelles fonctions publiques. Il occupe ces postes jusqu'au 28 mars 1961. Le 28 mars 1961, il prend les commandes du nouveau ministère des Richesses naturelles créé par le regroupement du ministère des Mines avec celui des Ressources hydrauliques. Il exercera cette fonction jusqu'au 19 janvier 1966. Lévesque propose la nationalisation des compagnies d'électricité, chose qui est devenue une réalité en Ontario en 1906. Le 4 et 5 septembre, le conseil des ministres tient une réunion gardée secrète au camp de pêche du Lac-à-l'épaule (dans l'actuel Parc national de la Jacques-Cartier). C'est au cours de cette fin de semaine qu'est prise la décision de déclencher des élections générales anticipées afin de soumettre le projet de nationalisation aux électeurs québécois.- published: 06 Sep 2013
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René Lévesque - La Série #9 : La trahison du Canada (1980-82)
Quelques jours après le référendum, Trudeau entame de nouvelles négociations avec les prov...
published: 07 Sep 2013
René Lévesque - La Série #9 : La trahison du Canada (1980-82)
René Lévesque - La Série #9 : La trahison du Canada (1980-82)
Quelques jours après le référendum, Trudeau entame de nouvelles négociations avec les provinces. Son objectif est de rapatrier la Constitution canadienne, toujours à Londres, et de l'assortir d'une Charte des droits protégeant les droits individuels, et d'une formule d'amendement devant régir les futurs changements constitutionnels. Le gouvernement Lévesque décide de mettre momentanément de côté son option et de négocier de bonne foi. Les pourparlers commencent en juin et une première conférence fédérale-provinciale a lieu en septembre 1980. L'Ontario et le Nouveau-Brunswick prennent parti pour Ottawa, mais les autres provinces, qui ont peur de voir gruger leurs pouvoirs, décident de s'allier avec le Québec afin de contrer le projet Trudeau. Devant l'échec de la conférence, le premier ministre canadien annonce qu'il rapatriera unilatéralement la Constitution. Plusieurs provinces, dont le Québec, décident alors de porter leur cause devant les Cours d'appel. Celles-ci ne s'entendent pas, mais celle de Terre-Neuve se prononce pour l'illégalité du projet, ce qui oblige Ottawa à faire appel à la Cour suprême du Canada. Entre temps, Lévesque remporte les élections du 14 avril 1981 où il obtient près de 50 % du vote. Sa promesse remplie de bon gouvernement a contribué aux résultats, mais d'autres raisons entrent en ligne de compte : il s'est en effet engagé à ce que la souveraineté ne soit pas un enjeu pendant le prochain mandat et démontre efficacement que le PQ est le seul apte à défendre les intérêts du Québec face aux visées du gouvernement fédéral. De son côté, le PLQ s'est mal préparé à l'élection et l'arrogance de son chef, Claude Ryan, le fait mal paraître. Deux jours plus tard, le 16 avril, Lévesque rencontre 8 premiers ministres provinciaux à Vancouver (ceux du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario se sont désistés) afin de négocier une formule d'amendement. Il consent à abandonner le droit de veto, et ses alliés acceptent que la Charte des droits ne soit pas enchâssée dans la Constitution. De plus, ceux-ci décident de le soutenir dans sa demande d'obtenir un droit de retrait avec compensation qu'il préfère au droit de veto, car ainsi une province peut refuser un programme fédéral sans empêcher les autres d'y adhérer. Le 28 septembre 1981, la Cour suprême du Canada statue que le projet Trudeau est légal, mais non légitime, car il lui faut pour cela un consentement substantiel d'une majorité de provinces. Trudeau invite alors ses homologues provinciaux à une conférence de la dernière chance au début novembre. C'est durant cette conférence, dans la nuit du 4 au 5 novembre, que le gouvernement Trudeau parvient à s'entendre avec 9 provinces sur 10, à la suite de tractations nocturnes auxquelles le Québec n'a pas été convié. Les principaux négociateurs sont Jean Chrétien, Roy Romanow, Roy McMurtry et Allan Blakeney (la Nuit des Longs Couteaux). Le libellé de l'entente est signé le matin devant des représentants québécois éberlués. La Charte des droits et libertés est enchâssée dans la Constitution (avec l'ajout d'une clause nonobstant pour certains domaines clés) ; la formule de retrait avec compensation est abandonnée ; un droit de veto est accordé aux provinces de l'Ouest et de l'Atlantique, leur permettant une certaine autorité sur leurs ressources naturelles, mais le Québec ne l'obtient pas ; la mobilité de main d'œuvre interprovinciale est facilitée au risque de compromettre certains programmes provinciaux de création d'emplois ; enfin, l'article 23 rend illégale la clause Québec, invalidant ainsi certaines dispositions de la loi 101. Lévesque revient à Québec, humilié et blessé. Ses proches s'accordent à dire que plus jamais il ne sera le même. Le coup de force fédéral a une conséquence immédiate sur le PQ. Au huitième congrès, en décembre 1981, les militants péquistes adoptent une résolution mettant au rancart la notion d'association. Lévesque tente en vain de les faire revenir sur leur décision et menace même de démissionner. Quelques jours plus tard, il annonce la tenue d'un référendum interne dans le Parti visant à annuler la résolution controversée. C'est ce que l'on a appelé le renérendum, expression inventée par Ian MacDonald, chroniqueur au journal The Gazette. Le 9 février 1982, les résultats sont plus que satisfaisants pour Lévesque : 95 % des 143,000 membres du PQ lui donnent leur soutien.- published: 07 Sep 2013
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