Bruce Lee (de son vrai nom, chinois : 李振藩 ; pinyin : Lǐ Zhènfān en mandarin, jyutping Lee Jun Fan, en cantonais), nom de scène chinois « Li Xiao-Long » (chinois simplifié : 李小龙 ; chinois traditionnel : 李小龍 ; pinyin : Lǐ Xiǎolóng), né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong en Chine le 20 juillet 1973, est un artiste martial, réalisateur, acteur, producteur, scénariste et philosophe sino-américain. Parallèlement à sa carrière d'acteur, il a créé son propre art martial, le Jeet Kune Do. Il est considéré comme le plus grand maître d'arts martiaux dans le cinéma mondial du XXe siècle et il a ouvert la voie à d'autres acteurs chinois comme Jackie Chan et Jet Li, ou étrangers comme Jean-Claude Van Damme, Steven Seagal ainsi que Chuck Norris. Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme faible atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort tragique et prématurée a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux.
Grandes lignes de la biographie de Bruce Lee [1],[2] :
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at:1940 fontsize:m text: 27 novembre, Bruce Lee nait l'année du dragon à l'heure du dragon, entre 6h et 8h du matin.
at:1953 fontsize:m text: Vers 1953-1954, début de l'étude du Wing Chun, dans l'école du célèbre maître Ip Man
at:1959 fontsize:m text: Le voyant mal tourner, ses parents décident de l'envoyer aux États-Unis
at:1964 fontsize:m text: 17 août, mariage avec Linda Emery ; démonstration au tournoi de Long Beach
at:1970 fontsize:m text: grave blessure au dos qui l'immobilise pendant plusieurs mois
at:1973 fontsize:m text: Bruce Lee meurt le 20 juillet, d'un œdème cérébral consécutif à une réaction allergique à un médicament
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Né Lee Jun Fan, son prénom anglo-normand d'origine scandinave, Bruce[3], lui aurait été donné par une infirmière. Bruce Lee (Li, selon l'orthographe pinyin officielle pour le mandarin, Lee étant en jyutping pour le cantonais) est élevé à Hong Kong. Son père, Lee han Chuen née au Xinjiang avait des origines Ouïghour il était comédien, vedette de l'opéra de Canton, ce qui permet à Lee d'apparaître dans plusieurs films asiatiques durant son enfance.
C'est à l'âge de 13 ans, vers 1953[1],[2] - 1954[4],[5] après avoir été initié au tai chi chuan que Bruce Lee commence à étudier un art martial chinois, le Wing Chun, dans l'école du célèbre maître Yip Man, auprès de Wong Shun Leung.
[modifier] Retour aux États-Unis
Pour valider sa nationalité américaine et parce que sa mère voulait l'éloigner des gangs de rues chinois, il entra à l'Edison Technical School, à Seattle, puis poursuivit des études de philosophie à l'université de Washington. C'est là qu'il rencontra sa future femme, Linda Emery, une jeune étudiante, en lui donnant des cours de kung fu. Ils se marièrent à Oakland le 17 août 1964. Bruce et Linda auront deux enfants, Brandon (décédé en 1993) et Shannon.
C'est à cette époque que Bruce Lee commence à enseigner sérieusement les arts martiaux, en ouvrant une école. Il enseigne à tous ceux qui veulent apprendre le style qu'il avait appris, le Wing Chun. D'après le témoignage de sa femme, cet enseignement est mal perçu par les autres écoles d'arts martiaux qui jugent que le kung fu ne doit être enseigné qu'à des Chinois. Selon elle, c'est pour cette raison que Bruce Lee a dû relever un défi : combattre le maître Wong Jack Man ; s'il perdait, il devrait fermer son école. Bruce Lee remporte le duel.
[modifier] Création du Jeet Kune Do : la lignée martiale
Logo de la fondation Bruce Lee
Bien que victorieux, le jeune maître est déçu par sa prestation. Il se croyait capable de mettre un adversaire KO en quelques secondes mais le combat a sollicité toute son énergie. C'est cette mésaventure qui va conduire Lee à remettre en doute l'enseignement traditionnel et à s'intéresser à la musculation. Il créera alors le Jeet Kune Do (« la voie du poing qui intercepte ») utilisant des coups extérieurs au kung fu. Le Jeet Kune Do visait à être plus pratique, plus fluide et plus rapide que le kung fu traditionnel mais surtout plus adapté au combat réel, en intégrant des techniques tant de la boxe anglaise, de la self-défense que de l'escrime ou du Kali (art de combat philippin auquel il a été initié par son ami Dan Innosanto). Il a également été pensé comme système de renforcement musculaire. Lee écrit plusieurs livres expliquant ses techniques qu'il qualifie de self-défense. Plus tard le Jeet Kun Do (ou JKD) sera intégré au CQC (Close Quarters Combat) enseigné aux forces spéciales américaines.
Bruce Lee essaye de poursuivre une carrière cinématographique entamée dans l'enfance en Chine, mais l'essentiel de ses revenus vient de l'enseignement.
Début 1970, lors d'un exercice de musculation, il se blesse grièvement au dos. Il s'était déjà blessé plusieurs fois à cet endroit entre 1964 et 1970[7]. L'accident se serait produit dans sa salle d'entraînement alors que, sans s'être préalablement échauffé, il entame une série de « good-morning », un exercice particulièrement éprouvant pour les lombaires, avec une charge d'environ 60 kg - approximativement son propre poids[8],[9]. Le médecin consulté diagnostique une lésion du quatrième nerf sacré. On lui interdit alors de pratiquer toute forme d'exercice. On lui dit même qu'il ne pourra plus jamais pratiquer les arts martiaux comme avant. Il gardera des séquelles douloureuses de cet accident toute sa vie[10]. Il reste alité quelques jours, et pendant six mois il abandonne tout exercice physique et en profite pour mettre par écrit des réflexions et croquis sur sa vision de l'art du combat et sur les relations entre celui-ci et la sagesse orientale. Sa veuve publiera ses écrits sous forme d'un livre, Tao of Jeet Kune Do, en 1975.
[modifier] Philosophie du Jeet Kune Do
Quoi que étant reconnu pour son talent dans les arts martiaux, Lee a aussi étudié le théâtre et la philosophie à l'University of Washington. Il aimait la lecture et avait une ample collection littéraire. Ses propres livres traitant des arts martiaux, de combat et de leur philosophie sont reconnus pour leur contenu philosophique pertinent non seulement dans le contexte des arts martiaux, mais aussi dans la vie courante. Sa philosophie éclectique reflétait souvent sa philosophie de combat, mais il affirmait fermement que son art martial n'était qu'une métaphore pour sa pensée. Il affirmait que toute connaissance était une forme de connaissance de soi et disait que sa principale façon de l'exprimer était les arts martiaux[11]. Quelques-unes de ses influences sont le taoïsme, Jiddu Krishnamurti et le bouddhisme[12]. Lee se considérait athée. Dans une entrevue accordée en 1972 concernant son affiliation religieuse, il affirma : « aucune » [none whatsoever] ; et s'il croyait en Dieu, il répondit : « en toute honnêteté, non, pas du tout » [To be perfectly frank, I really do not][13].
Quelques phrases qui informent sur sa philosophie de combat [14]:
- « Soyez sans forme, sans contrainte spatiale, comme l'eau. De l'eau dans une tasse prend la forme de la tasse, l'eau dans une bouteille prend la forme de la bouteille ; l'eau dans une théière prend la forme de la théière. L'eau peut couler ou s'abattre. Mon ami, sois eau ».
- « Toute forme de connaissance devient finalement connaissance de soi ».
- « N'utilisez que ce qui fonctionne, et puisez-le partout où vous le trouvez »[15].
- « Ne pas nier l'approche classique, simplement par réaction, sinon pour dupliquer le motif, et y rester pris »[16].
- « S'emporter trop facilement vous jouera des tours un jour ou l'autre ».
- « Soyez fidèle à vous-même, exprimez-vous, ayez confiance en vous-même, ne cherchez pas chez autrui un modèle de succès à imiter ».
- « Non pas l'accumulation au quotidien mais la perte au quotidien. Supprimez le superficiel ».
- « Si vous parlez de sport, c'est une chose. Mais quand vous parlez de combat, et c'est le cas, alors vous feriez mieux d'entraîner chaque partie de votre corps » - Bruce Lee[B 1]
Entre le 27 mai et le 10 juillet 1965, Bruce Lee réalise 14 séances de musculation au gymnase Hak Keung lors de vacances à Hong Kong. Les fiches d'entraînement détaillant les exercices réalisés et les mensurations prises avant et après la période d'entraînement ont été publiées par Linda Lee en 1989[A 1] et commentées par John Little dans The Art of Expressing the Human Body[B 2].
En 1964, Bruce Lee fait d'une démonstration de kung fu durant le tournoi international de karaté de Long Beach, sa performance est filmé par Ed Parker, quelques temps plus tard, le producteur William Dozier découvre le film grâce à Jay Sebring, célèbre coiffeur de stars. Début 1965, Bruce Lee est contacté pour passer le casting d'un projet qui ne se fera finalement jamais, mais il obtient quand même un rôle, celui de Kato, dans la série télévisée Le Frelon vert (The Green Hornet). N'ayant pas grand impact en Amérique, au bout d'une seule saison la série s'arrête, mais la performance de Bruce Lee a tout de même marqué le public, et des stars comme Steve McQueen, James Coburn, Kareem Abdul-Jabbar, ou encore Roman Polanski deviennent ses élèves. Par la suite le cinéma américain acceptant mal les acteurs non blanc, sa carrière stagne rapidement, Bruce est cantonné à de petits rôles secondaires (L'Homme de fer, Blondie, Cent filles à marier, La Valse des truands) et parfois juste chorégraphe des combats (Matt Helm règle ses comptes, La Pluie de Printemps). Le coup le plus difficile à encaissé c'est d'être écarté de la série "The Warrior" (rebaptisé plus tard Kung Fu) alors qu'il avait écrit le synopsis, et pour le rôle principal on lui préféra un acteur ne connaissant absolument rien aux arts martiaux, David Carradine.
En 1970, Bruce subit une sévère blessure au dos, provoqué par une surcharge de poids à l'entraînement, il restera immobile durant plus de six mois, il passera beaucoup de son temps a peaufiner sa théorie et sa philosophie des arts martiaux. Après beaucoup d'efforts, Bruce fini par se rétablir, mais il aura tout de même jusqu'à la fin de sa vie des douleurs régulières au dos. Pendant ce temps là, du côté de l'Asie, La série le Frelon vert (rebaptisé The Kato Show) est un succès, et le producteur Raymond Chow, le démarche pour qu'il vienne tourner à Hong Kong.
[modifier] Retour en Chine : succès au cinéma
représentation de Bruce Lee
C'est alors qu'en 1971, sa carrière commence vraiment avec Big Boss qui raconte les malheurs et la vengeance d'immigrés chinois en Thaïlande ayant découvert le trafic de drogue dont est coupable leur employeur. Toutefois le climat de tournage est difficile pour Bruce Lee en raison d'incompatibilité d'humeur avec le réalisateur Lo Wei et seul le succès du film lui fait poursuivre sa carrière hong-kongaise. La même année, Bruce fera un retour rapide en Amérique pour tourner dans la série Longstreet, où il joue le rôle d'un instructeur d'arts martiaux qui entraîne le détective aveugle Mike Longstreet (James Franciscus).
En 1972, Bruce Lee tourne La Fureur de vaincre dans le rôle d'un étudiant chinois qui revient à Shanghai pour venger la mort de son maître (le célèbre Maître Huo) qui, selon lui, s'est fait assassiner par un traître. Ce film a inspiré le célèbre Fist of Legend de Jet Li. La même année, Bruce Lee tourne La Fureur du dragon, premier film asiatique tourné en Europe (en Italie) et dont le casting était à l'époque assez prestigieux avec notamment Chuck Norris. Bruce Lee joue le rôle de Tang Lung, un Hongkongais envoyé à Rome pour aider la famille d'un ami victime de racket.
1973 voit également sa superproduction hollywoodienne de la WarnerBros avec le film Opération dragon réalisé par Robert Clouse et avec John Saxon et Jim Kelly. En 1973, dans Le Jeu de la mort, Bruce Lee interprète un champion d'arts martiaux qui doit affronter toute une série d'adversaires, à chaque étage, d'une tour. Le principe voulu dans le scénario par Lee lui-même (auteur dudit scénario) étant qu'il devait affronter une technique par étage (Hopkaido, Kali, avec son ami Dan Inosanto, etc.)le dernier étant réservé au Jeet Kune Do, pratiqué dans le film par son élève le basketteur Kareem Abdul-Jabbar. Lee meurt avant la fin du tournage qui reprend, sans lui, 5 ans plus tard. Le scénario est alors modifié et raconte l'histoire de Billy Lo, un acteur célèbre qui se fait menacer de racket par la mafia chinoise. Le film est rafistolé de toutes les manières qui soient (un acteur porte même dans un plan un masque en carton avec la photo de Lee !). Des images des vraies funérailles de Bruce Lee sont utilisées pour la scène des grandes funérailles organisées par Billy Lo. À la fin du film, Bruce Lee réapparaît car il avait tourné trois scènes de combat.
Les tombes de Bruce et Brandon Lee à
Seattle
Bruce Lee décède le 20 juillet 1973 à Hong Kong. Sa tombe se trouve au cimetière de Lake View à Seattle.
La cause officielle de sa mort est une réaction allergique à un analgésique, un cas rare d'hypersensibilité à l'équagésic[17],[18]. Les rumeurs qui suivent sa mort (amplifiées par la suite par la mort de son fils Brandon due à un pistolet chargé accidentellement) évoquent différentes causes et motifs (mafia chinoise et collusions avec Raymond Chow, son producteur de l'époque ; milieu des arts martiaux ; surnaturel...). Il semble en réalité que Bruce Lee soit décédé d'une rupture d'anévrisme : deux mois avant sa mort il avait déjà subi une crise d'épilepsie avec perte de connaissance (les ruptures d'anévrisme ont souvent ces signes avant-coureurs) ; les céphalées qui ont motivé la prise d'analgésique étant souvent présentes avant la rupture d'anévrisme, le médicament en lui-même pourrait ne pas être incriminé ; par ailleurs, l'œdème cérébral est classiquement lié à ces accidents vasculaires cérébraux.
Le 16 octobre 2005, le producteur Raymond Chow déclare à l'Associated Press que Bruce Lee est décédé à l'âge de 32 ans après avoir pris un mauvais médicament. Il a succombé à un œdème en 1973 alors qu'il était chez l'actrice hong-kongaise Betty Ting Pei. Le médecin légiste conclut alors à une mort accidentelle, ce qui alimente les rumeurs de prise de drogues. Raymond Chow, cofondateur des studios Golden Harvest, explique que l'acteur a pris un médicament contre le mal de tête auquel il était très sensible alors qu'il n'était pas chez lui. « La conclusion est qu'il s'agissait d'un accident ». Il se déclare également personnellement effondré par la mort de Bruce Lee, un drame qui l'a amené à suspendre la préparation du Jeu de la mort, dernier film de l'acteur.
[modifier] Héritage et impact sur la culture populaire
Bruce Lee a marqué toute une génération de créateurs et d'artistes et on ressent cette marque dans la bande dessinée :
- Gin Seng, héros de Phantom Force, l'un des derniers comics produits par le « King of Comics » Jack Kirby, est inspiré de Bruce Lee. Les pages dans lesquelles il apparaît sont directement recyclées d'un projet de comic book consacré à Bruce Lee datant des années 1970, mais qui n'a jamais vu le jour[19].
- En 1995, Malibu Comics publie une série de six comics sous le titre Bruce Lee, une histoire fictive dont le personnage principal n'a que peu de points communs avec Bruce Lee en dehors de la pratique des arts martiaux. Les auteurs de cette BD, Mike Baron (scénariste) et Val Mayerik (dessinateur) avaient préalablement travaillé sur deux séries de BD consacrées à Kato, le personnage qu'interprétait Bruce Lee dans Le Frelon vert[20].
- Dans le manga Hokuto No Ken (en France : Ken le survivant), le personnage principal de la série est très librement inspiré de Bruce Lee, que ce soit dans son apparence (coupe de cheveux, sourcils noirs, muscles saillants...) ou dans sa voix dans l'animé et ses cris qui rappellent le petit dragon dans ses films.
- Dans le manga Cowboy Bebop, lors de la session #8, Waltz For Venus, le jeune Rocco Bonnaro est impressionné par le style de combat du héros Spike Spiegel qui n'est autre que le Jeet kune do de Bruce Lee.
Dans le jeu vidéo aussi :
- 1984 : Bruce Lee (Atari XL, existe également sur MSX, ZX Spectrum, Amstrad CPC, BBC Micro, C64 et MS-DOS).
- 1993 : Dragon: The Bruce Lee Story (Super Nintendo, Megadrive). Ce jeu est directement tiré du film Dragon, l'histoire de Bruce Lee.
- 2002 : Bruce Lee: Quest of the Dragon (Xbox).
- 2003 : Bruce Lee: Return of the Legend (Game Boy Advance).
- 2010 : Bruce Lee Dragon Warrior (ip et android).
- Dans le jeu vidéo World Heroes, Kim dragon est également très inspiré de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Pokémon, le pokémon Kicklee est lui aussi très librement inspiré de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Grand Theft Auto: Liberty City Stories, le personnage peut débloquer la combinaison jaune que porte Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Dans diverses sagas de jeux de combat notamment, certains personnages sont inspirés de l'acteur :
- Dans le jeu vidéo Soulcalibur, le personnage de Maxi est inspiré de la figure de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Dead or Alive, il inspire le personnage de Jann Lee.
- Dans le jeu vidéo Tekken, Marshall et Forest Law sont également très inspiré de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Street Fighter, Fei Long, lui aussi star de cinéma est également très inspiré de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Mortal Kombat, Liu Kang est inspiré de Bruce Lee.
- Dans le jeu vidéo Sleeping Dog, le personnage principal peut débloquer la tenue de Bruce Lee dans le jeu de la mort.
- Dans le jeu de cartes en ligne Urban Rivals, le clan Fang Pi Clang veut donner le pouvoir à un clone de Bruce Lee élevé en secret.
- Dans le jeu vidéo en ligne League of Legends, le champion Lee Sin est également très inspiré de Bruce Lee, un skin de ce personnage lui est même dédié.
- 1941 : Golden Gate Girl : il n'a que 3 mois et joue un bébé fille
- 1946 : The Birth of Mankind
- 1948 : Fu gui fu yun, ou Wealth is Like a Dream
- 1949 : Meng li xi shi, ou Sai See in the Dream : Yam Lee
- 1950 : Xi lu xiang, ou The Kid, ou My Son, Ah Chung : Lee Siu Lung
- 1951 : Ren zhi cue aka Infancy : Ngau
- 1953 : Qian wan ren jia
- 1953 : Fu zhi guo, ou Blame it on Father ou Father's Fault
- 1953 : Ku hai ming deng, ou The Guiding Light
- 1953 : Ci mu lei, ou A Mother's Tears
- 1953 : Wei lou chun xiao, ou In the Face of Demolition
- 1955 : Gu xing xue lei
- 1955 : Gu er xing
- 1955 : Ai aka Love
- 1955 : Ai xia ji, ou Love Part 2
- 1955 : Er nu zhai, ou We Owe It to Our Children
- 1956 : Zhia dian na fu
- 1957 : Lei yu, ou The Thunderstorm
- 1960 : Ren hai gu hong, ou The Orphan : Ah San
- 1966 : Le Frelon vert (série tv) : Kato
- 1967 : Batman (série tv) : Kato (saison 2, épisodes 7,51,52)
- 1967 : L'Homme de fer (série tv) : Leon Soo (saison 1, épisode 7)
- 1969 : Blondie (série TV): L'instructeur de Karaté (épisode 13)
- 1969 : Cent filles à marier (série tv) : Lin (saison 1, épisode 25)
- 1969 : La Valse des truands : Winslow Wong
- 1969 : Matt Helm règle ses comptes : Chorégraphie des combats
- 1969 : La Pluie de Printemps : Chorégraphie des combats
- 1971 : The Big Boss : Cheng Chao-an
- 1971 : Longstreet (série tv) : Li Tsung (épisodes 1,6,9,10)
- 1972 : La Fureur de vaincre : Chen Zhen / Chen Jeh
- 1972 : La Fureur du dragon : Tang Lung
- 1973 : Opération Dragon : Lee
- 1978 : Le Jeu de la mort : Billy Lo
[modifier] Films sur Bruce Lee
[modifier] Documentaires sur Bruce Lee
- Bruce Lee: A Warrior's Journey - Documentaire de John Little. La vraie idée qu'avait Bruce Lee pour le film Le Jeu de la mort.
- Bruce Lee: The Curse of the Dragon - Avec des interviews des anciens élèves de Bruce Lee et de son entourage.
- Bruce Lee: The Immortal Dragon - Documentaire de Biography Channel.
- Bruce Lee: The Man, the Myth - Film biographique.
- Jeet Kune Do - Documentaire de Wah Chan. Plus orienté sur le JKD.
- Bruce Lee: The Legend de Leonard Ho Koon Cheung.
- How Bruce Lee Changed the World
- Bruce Lee : The big boss
[modifier] Livres écrits à partir des recherches de Bruce Lee
- Pensées percutantes ou la Sagesse du combattant philosophe, Budo Éditions.
- Hommage au dragon éternel, Budo Éditions.
- Bruce Lee's Fighting Method 1-4, écrit par Bruce Lee.
- The Tao of Jeet Kune Do, écrit par Bruce Lee. (édition Budo L'éveil)
- Chinese Gung-Fu: The Philosophical Art of Self Defense, écrit par Bruce Lee.
- The Art of Expressing the Human Body, à partir de notes de Bruce Lee compilées par John Little. Éditeur : Tuttle Publishing, 1998, ISBN 0804831297, 9780804831291, 256 pages. Aperçu sur books.google.gp.
[modifier] Livres sur Bruce Lee et le Jeet kune do
- Absorb What Is Useful - Écrit par Dan Inosanto, sur la pratique du Jeet kune do.
- Bruce Lee Between Wing Chun and JKD - Écrit par Jesse Glover.
- Bruce Lee: Dynamic Becoming - Un livre sur la philosophie de Bruce Lee.
- Bruce Lee: Fighting Spirit - Une biographie de Bruce Thomas.
- Striking Thoughts - Pensées et citations de Bruce Lee écrit par John Little.
- The Tao of Bruce Lee - Écrit par Davis Miller, sur la vie de Bruce Lee.
- Bruce Lee: The Art of Expressing the Human Body - Livre orienté sur la préparation physique et l'entraînement de Bruce Lee.
- Jeet Kune Do "Toutes les Techniques de Bruce Lee" - Livre très complet écrit par Salem Assli et publié aux Éditions Chiron.
- Opération Dragon - Un essai sur Bruce Lee comme acteur phénoménal écrit par Bernard Benoliel et publié en 2010 aux Éditions Yellow Now.
[modifier] Notes et références
[modifier] Source principale
- (en) Linda Lee, Jack Vaughn et Mike Lee, The Bruce Lee Story, Black Belt Communications, 1989 (ISBN 0-8975-0121-7), 189 pages
- (en) Bruce Lee, John Little, The Art of Expressing the Human Body, Tuttle Publishing, Volume 4 de la collection Bruce Lee library, 1998 (ISBN 0-8048-3129-7 et 978-0-8048-3129-1), 256 pages.
- ↑ « If you are talking about sport, that is one thing. But when you are talking about combat - as it is - well then, baby, you'd better train every part of your body » page 46
- ↑ page 41 et 42
[modifier] Autres sources utilisées
- ↑ a et b Bruce Lee. Par Rachel A. Koestler-Grack. p. 116. Infobase Publishing, 2007 - 128 pages.
- ↑ a et b Letters of the dragon: an anthology of Bruce Lee's correspondence with ... Par Bruce Lee, John R. Little. p.15. Tuttle Publishing, 1998 - 190 pages.
- ↑ (fr) Prénom Bruce sur tous-les-prenoms.com
- ↑ Bruce Lee: Fighting Words. Par Bruce Thomas. p.156. Frog Books, 2005 - 158 pages.
- ↑ Wing Chun Warrior: The True Tales of Wing Chun Kung Fu Master Duncan Leung ... Par Ken Ing. p.172. Blacksmith Books, 2010 - 255 pages.
- ↑ Bruce Lee, John R. Little. Letters of the dragon : an anthology of Bruce Lee's correspondence with family, friends, and fans, 1958-1973. p. 172. Tuttle Publishing, 1998 - 190 pages.
- ↑ Norman Borine. King Dragon — The World of Bruce Lee. p. 133. Fideli Publishing Inc., 2008 - 331 pages. Note : Norman Borine que l'accident se produit chez Bruce Lee, dans sa salle d'entraînement, alors qu'il montre à un élève comment réaliser correctement un « good-morning ». Bruce charge la barre à 125 livres - environ son propre poids - et, pressé par le temps, débute l'exercice sans échauffement préalable. Sur le coup il ne ressent qu'une simple gêne, mais la douleur augmente rapidement et deux jours plus tard il doit se résigner à consulter un médecin.
- ↑ Bruce Lee, John Little. The Art of Expressing the Human Body. p. 53. Tuttle Publishing, 1998 - 256 pages. Note : John Little rapporte que la barre faisait 135 livres et que Bruce débuta sans échauffement son entraînement habituel, consistant notamment en deux séries de huit répétitions de « good-morning ». À la dernière répétition de la première série, il ressentit un élancement douloureux dans le bas de son dos, et un « pop »[Quoi ?].
- ↑ The Bruce Lee Story. Par Linda Lee, Jack Vaughn, Mike Lee. p 89. Black Belt Communications, 1989 - 189 pages.
- ↑ Little, John (1996). The Warrior Within - The philosophies of Bruce Lee to better understand the world around you and achieve a rewarding life. Contemporary Books. p. 122. ISBN 0-8092-3194-8.
- ↑ Bruce Lee: A Warrior's Journey at 31m45s
- ↑ Little, John (1996). The Warrior Within - The philosophies of Bruce Lee to better understand the world around you and achieve a rewarding life. Contemporary Books. p. 128. ISBN 0-8092-3194-8.
- ↑ Bruce Lee, Tao du Jeet Kune Do, éditions BudoScope, 1997
- ↑ Thomas, Bruce (1994), Bruce Lee: Fighting Spirit : a Biography, Berkeley, California: Frog, Ltd., ISBN 1-883319-25-0 .
- ↑ Lee, Bruce (1975). Tao of Jeet Kune Do. Ohara Publications. p. 25.
- ↑ Questioning the Story (Bruce Lee's Death)
- ↑ À propos de la controverse entourant la mort de Bruce Lee, le célèbre acteur d'arts martiaux. A-t-il été assassiné ?
- ↑ (en) [http://kirbymuseum.org/blogs/kirby/archives/300 Phantom Force #1 1993 - Jack Kirby Comics Weblog, 25 mars 2005
- ↑ (en) Liste des différents media consacrés à Bruce Lee - Wikipedia anglophone
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[modifier] Articles connexes
[modifier] Liens externes