On m'avait dit te poses pas trop de questions
Tu sais petit, c'est la vie qui t' répond
A quoi ça sert de vouloir tout savoir
Regarde en l'air et voit c' que tu peux voir
On m'avait dit faut écouter son père
Le mien a rien dit, quand il s'est fait la paire
Maman m'a dit t'es trop p'tit pour comprendre
Et j'ai grandi avec une place à prendre
Qui a le droit, qui a le droit
Qui a le droit d' faire ça
A un enfant qui croit vraiment
C' que disent les grands
On passe sa vie à dire merci
Merci à qui, à quoi ?
A faire la pluie et le beau temps
Pour des enfants à qui l'on ment
On m'avait dit que les hommes sont tous pareils
Y a plusieurs dieux, mais y' a qu'un seul soleil
Oui mais, l' soleil il brille ou bien il brûle
Tu meurs de soif ou bien tu bois des bulles
A toi aussi, j' suis sur qu'on t'en a dit
De belles histoires, tu parles que des conneries !
Alors maintenant, on s' retrouve sur la route
Avec nos peurs, nos angoisses et nos doutes
Qui a le droit, qui a le droit
Qui a le droit d' faire ça
A un enfant qui croit vraiment
C' que disent les grands
On passe sa vie à dire merci
Merci à qui, à quoi ?
A faire la pluie et le beau temps
Pour des enfants à qui l'on ment
Por que aqui en nuestro bar
no havia peor lugar
total para decir que a lo mejor te vas
Que tenemos que hacer sonreir o llorar?
Asi que esto es un adios
Mirandonos aqui los dos
actores sin papel de una serie B
Lo que nos hiso reir todo eso otraves
'refrain'
Nose que decir como final
nada me suena muy original
Solo repetir aunque no este bien
J t'aime
Te doy las gracias por no decir
lo que nos puede hacer sufrir
hay quien se va a alegrar
la gente siempre es igual
cuando algo esta bien ellos lo lleban mal
'refrain'*2
Te quiero
VOCAL : Jean-Jacques Goldman/Marc Lavoine/Axel Bauer/Patrick Bruel/Julie
Zenatti/Calogero/Hélène Ségara/Patricia Kaas/Michael Jones/Liane
Foly/Zazie/Muriel Robin
Reprise Zazie
Je vends mon auto
Puisque je roule trop vite
Et que ça me fait peur
Je vends mon magot
Puisque tant de réussite
Ne fait pas mon bonheur
Je vends mes charmes
Et mes armes
Ma violence et ma douceur
Je sauve ma peau
Vends mon âme au diable
Je vens mon usine
Avant que l'oxygène
Ne vienne à me manquer
Je vends ma gazoline
Avant que la mer ne vienne
Mourir à nos pieds
Je sauve la peau de l'ours
Avant de l'avoir tué
Je sauve les meubles
Et vends la maison
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde s'aimerait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde gagne
A la fin
Je vends ma carte chance
Et je puise dans la caisse
On a bien mérité
De toucher une avance
Si c'est pour rendre la caisse
A la communauté
Je passe à l'action
Quitte à monopoliser l'attention
Et rester quelques tours en prison
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde s'aimerait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde gagne
A la fin
Je vends tout ce que j'ai
Contre tout ce qui me manque
Je vends ce qui s'achète
Contre ce qui n'a pas de prix
Je vends ce que je vaux
Contre ce qui m'est le plus cher
Et si ça ne vaut pas un clou
Tant pis, je donnerai tout
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Pour mettre un hôtel, rue de la paix
Un monde où tout le monde s'aimerait
Enfin
J'achète un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde gagne
A la fin
Un hôtel rue de la paix
Un château en Espagne
J'achète un château en Espagne
J'achète un monde où tout le monde gagne
Esta noche no tengo ganas de callar
Esta noche puede pasar todo en este bar
Esta noche estoy a punto de estallar
Esta noche yo me quiero romper la voz
Romper la voz, romper la voz.
Romper la voz, romper la voz.
No creo ya lo que hay pintado en la pared
No creo ya el mismo rollo otra vez
No estoy para sonrisas de salón
Déjame gritar mi rabia, déjame
Romper la voz, romper la voz.
Romper la voz, romper la voz.
Los amigos se van, los otros se quedan
Me he dejado juzgar por los come-mierda
Encuentros fallidos tiempo que se quema
Jóvenes cansados, viejos que esperan
Flashes que nos ciegan desde el televisor
Bufones que imponen el color del amor
Vagar por la ciudad sin sentirse mejor
Y ese miedo sin fin y ese puto dolor
Romper la voz, romper la voz.
Romper la voz, romper la voz.
Chicas de la noche, las que huyen del sol
Un revolcón con ellas lo llamamos amor
La vergüenza maldita que el espejo devuelve
Reflejando el vacío y un perdón urgente
Ver a un niño sufrir y a un hombre llorar
Y tener que admitir tanta mediocridad
Canciones que nacen como un grito feroz
Desgarran mi garganta hasta romper la voz
Romper la voz, romper la voz.
Romper la voz, romper la voz.
Esta noche no tengo ganas de callar
Esta noche puede pasar todo en este bar
Esta noche estoy a punto de estallar
Esta noche, sí esta noche, yo me quiero romper la voz
Romper la voz.
O que será, que será?
Que andam suspirando pêlas alcovas?
Que andam sussurrando em versos e trovas?
Que andam combinando no bréu das tocas?
Que anda nas cabeças, anda nas bocas?
Que andam ascendendo velas nos becos?
Que estão falando alto pêlos botecos?
E gritam nos mercados que com certeza
Está na natureza.
Será, que será.
O que não certeza, nem nunca terá?
O que não tem conserto, nem nunca terá?
O que não tem tamanho?
O que será, que será?
Que vive nas idéias desses amantes?
Que cantam os poetas mais delirantes?
Que juram os profetas embriagados?
Que está na romaría dos mutilados?
Que está na fantasía dos infelizes?
Que está no día a día das meretrizes?
No plano dos bandidos, dos desvalidos?
Em todos os sentidos.
Será, que será.
O que não tem descência, nem nunca terá?
O que não tem censura, nem nunca terá?
O que não faz sentido?
O que será, que será?
Que todos os avisos não vão evitar?
Por que todos os risos vão desafiar?
Por que todos os sinos irão repicar?
Por que todos os hinos irão consagrar?
E todos os meninos vão desembestar?
E todos os destinos irão se encontrar?
E mesmo o Padre Eterno,
Que nunca foi lá,
Olhando aquele inferno
Vai abençoar
O que não tem governo, nem nunca terá?
O que nao tem vergonha, nem nunca terá.?
O que não tem juízo?
O que será, que será?
Que todos os avisos não vão evitar?
Por que todos os risos vão desafiar?
Por que todos os sinos irão repicar?
Por que todos os hinos irão consagrar?
E todos os meninos vão desembestar?
E todos os destinos irão se encontrar?
E mesmo o Padre Eterno,
Que nunca foi lá,
Olhando aquele inferno
Vai abençoar
O que não tem governo, nem nunca terá?
O que nao tem vergonha, nem nunca terá.?
O que não tem juízo?
Mesdames et Messieurs, bonsoir !
Un peu de silence, tout l' monde en place.
L'émission commence : 'La Vie en Face'
Monsieur Dupont a tué sa femme.
Notre question : peut-on parler d'un drame ?
Il l'aurait frappée avec un tube
Il est prêt à l' refaire après la pub.
Tous à vos Minitels : les femmes sont-elles fidèles ?
Répondez : vrai ou faux ? Réalité tient show...
Qu'est-ce tu crois ? Tout c' qu'on dit, tout c' qu'on n' dit pas.
Ce soir, c'est le show de ton choix.
Qu'est-ce que tu crois ?
Faut s' tenir sur ses gardes, ce soir la télé vous regarde !
Un peu de silence, tout l' monde en place.
L'émission commence : 'La Mort en Face'.
Ce soir Dupont sort de prison.
Toute notre équipe l'attend depuis vingt ans.
En direct, ce soir son fils se venge...
Grâce à qui ? Grâce à 'Eclair Orange' !
Tous à vos Minitels : faut une fin mais laquelle ?
C'est vous qui décidez, l'Audimat va sauter !
Qu'est-ce tu crois ? Tout c' qu'on voit, tout c' qu'on voit pas.
Ce soir, c'est le show de ton choix.
Qu'est-ce que tu crois ?
Faut s' tenir sur ses gardes, ce soir la télé vous regarde !
Mais parfois les sondages sont cruels
Votre choix pour moi est sans rappel.
C'est ce soir que j' m'efface, un autre prend ma place.
Mais avant de partir... devant vous j' vais mourir !
Qu'est-ce que tu crois ? Regarde-moi ou tue-moi.
Ce soir, c'est le show de ton choix.
Qu'est-ce que tu crois ?
Je n' suis qu'un papillon, ce soir je meurs dans tes bras !
Qu'est-ce que tu crois ? Regarde-moi ou tue-moi.
Ce soir, c'est le show de ton choix.
Qu'est-ce que tu crois ?
Faut s' tenir sur ses gardes, ce soir la télé nous regarde !
Qu'est-ce que tu crois...
Qu'est-ce que tu crois... Qu'est-ce que tu crois ?
Je n' suis qu'un papillon, ce soir je meurs dans tes bras !
'Qu'est-ce que tu crois...'
Vieille, c'est d' la musique vieille,
Je sais.
Chopin d' prisunic,
Mozart de bazar,
C'est d' la vieille musique,
Du blues bizarre.
Vieille, parce qu'il y a des soirs,
Tard,
Où l'on s' crève le cœur
De blessures mineures,
Où l'on s' fait la peau,
On sort son piano.
J' veux bien donner,
Mais faut qu'on m' donne.
Tu prends, tu donnes,
Mais y' a maldonne.
Tout c' que tu fais,
Un jour, s' défait
Et c'est comme ça qu' c'est.
Seul, qu'est-ce que j' me sens seul,
Tu sais.
Rien qu'un métronome.
Qui s' croit un cœur d'homme,
Rien qu'un mal de mère
Que j' peux pas faire.
Seul, parce que c'est comme ça
Tu vois.
Orgue de barbarigme,
S' quitter, c'est un crime.
Le chagrin qu' ça donne,
Personne se l' pardonne.
J' veux bien aimer
Mais faut qu'on m'aime.
J' t'adore, je t'aime,
Mais j' pars quand même.
Tout c' que tu m' dis,
J' l'ai déjà dit.
Et r'garde où j'en suis.
J'aime pas ma vie,
Pourtant j' la vis.
J'ai peur d' la mort,
Pourtant je sors.
J' préfère crever
Que d' plus rêver,
Même si c'est cauchemar.
Marre de tout,
Marre de vous.
J' vous aime tel'ment,
J' vous hais pourtant.
J' préfère crever
Que d' plus rêver,
Même si c'est cauchemar.
J' veux bien donner
Mais faut qu'on m' donne.
Tu prends, tu donnes,
Mais y' a maldonne.
Tout c' que tu fais,
Un jour, s' défait
Et c'est comme ça qu' c'est.
J' veux bien aimer
Mais faut qu'on m'aime.
J' t'adore, je t'aime
Mais j' pars quand même.
Tout c' que tu m' dis
J' l'ai déjà dis,
Et r'garde où j'en suis.
J'ai travaillé
Des années
Sans répit
Jour et nuit
Pour réussir
Pour gravir
Les sommets
En oubliant
Souvent dans
Ma course contre le temps
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
A corps perdu
J'ai couru
Assoiffé
Obstiné
Vers l'horizon
L'illusion
Vers l'abstrait
En sacrifiant
C'est navrant
Je m'en accuse à présent
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
Mes amis c'était tout en partage
Mes amours faisaient très bien l'amour
Mes emmerdes étaient ceux de notre âge
Où l'argent c'est dommage
Eperonnait nos jours
Pour être fier
Je suis fier
Entre nous
Je l'avoue
J'ai fait ma vie
Mais il y a un mais
Je donnerais
Ce que j'ai
Pour retrouver, je l'admets
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
Mes relations - Ah! mes relations
Sont - Vraiment sont
Haut placées - Très haut placées
Décorées - Très décorées
Influents - Très influents
Bedonnants - Très bedonnants
Des gens bien - Très très bien
Ils sont sérieux - Trop sérieux
Mais près d'eux - Tout près d'eux
J'ai toujours le regret de
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
Mes amis étaient plein d'insouciance
Mes amours avaient le corps brûlant
Mes emmerdes aujourd'hui quand j'y pense
Avaient peu d'importance
Et c'était le bon temps
Les canulars
Les pétards
Les folies
Les orgies
Le jour du bac
Le cognac
Les refrains
Tout ce qui fait
Je le sais
Que je n'oublierai jamais
Mes amis, mes amours, mes emmerdes
Pleure pas, pleure pas, pleure pas.
Toutes les nanas n' sont pas comme ça...
Pardonnez-moi si j'arrive un peu en r'tard
Mais ma maman n' voulait pas que j' sorte ce soir.
Elle m' fait toujours, quand j' viens vous voir,
Mon cher amour, toute une histoire.
Des aventures, j' peux dire qu' j'en ai eu des tonnes,
Mais celle-ci dure depuis trois mois et ça m'étonne
Car l'amour m'est v'nu par hasard
Quand j' suis monté dans sa jaguar.
Méfie toi de cette nana-là...
Toi de cett' nana.
Chaque fois qu'on tourne le dos,
Tu retombes dans l' mélo,
Mélo, mélo, mélo, mélo.
Elle a beaucoup insisté pour que je m' fasse
Percer l'oreille pour qu'elle puisse m'offrir un diam's.
Maintenant, je m' fais traiter d' pédé
Pour faire plaisir à ma poupée.
Pour les vacances elle veut qu'on aille à Saint-Trop'
Chez des amis qui paraît-il sont très pop.
Non seulement j'ai plus un copain,
Mais en plus faut qu' j' me fasse les siens.
J'en ai marre de cette nana-là,
Marre de cette nana.
J'étais bien mieux avant,
Câliné par maman,
Tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps.
Il en a marre de cette nana-là,
Marre de cette nana.
T'étais bien mieux avant,
Câliné par maman,
Tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps.
J'en ai marre de cette nana-là,
Marre de cette nana.
J'étais bien mieux avant,
Câliné par maman,
Tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps, tout l' temps.
Pleure pas, pleure pas, pleure pas.
Toutes les nanas n' sont pas comme ça.
J' pleure pas, j' pleure pas, j' pleure pas.
Pourvu qu'elles soient pas toutes comme ça...
Un jour, j'ai dit : 'C'est fini maintenant je m' casse !'
A peine parti, j'avais d'jà les flics sur mes traces.
Elle leur a dit qu' j'avais volé
Le diam's de mon oreille percée.
J' me suis fait prendre en traversant la frontière.
Procès, jugement, trois mois ferme, j' suis sorti hier.
Elle m'attendait dans sa jaguar.
L'amour m'est rev'nu par hasard.
Marre de cette nana-là,
Marre de cette nana.
On t'avais bien prév'nu
Mais tu nous as pas crus.
Salut, salut, salut, salut...
Il en a marre de cette nana-là,
Marre de cette nana.
On t'avait bien prév'nu
Mais tu nous as pas crus.
Salut, salut, salut, salut,..
Il en a marre de cette nana-là
Marre de cette nana...
On t'avait bien prév'nu
Marre de cette nana...
Mais tu nous as pas crus
Salut, salut, salut, salut...
Sur le mur, quelques photos
Sans punaises, elles tomberont bientôt.
Il ne reste vraiment pas grand chose
Qu'une adresse, et puis ces quelques pauses.
Dans cet appart', on s'est aimé.
Maint'nant qu'il faut qu' je parte,
J' commence à m'en rappeler.
C'est l'amour qui vivait au 33,
Vue sur cour et 200 sacs par mois.
C'est l'amour qui vivait au 33,
C'est l'amour, mais nous on l' savait pas.
Dans cet appart' on s'est aimé.
Maint'nant qu'il faut qu' je parte,
J' commence à m'en rappeler.
Et les croq's qu'on s' faisait dans l'alu,
Et les choc'soup, mon Dieu c' qu'on en a bu.
Il ne reste vraiment pas grand chose
Qu'une adresse, et puis ces quelques pauses.
Dans cet appart' on s'est aimé.
Maint'nant qu'il faut qu' je parte,
J' commence à m'en rappeler.
Dans cet appart', j'ai tel'ment voyagé
Que toutes les cartes du monde n'y pourront rien changer.
J'ai passé ma jeunesse avec une fille dans un deux pièces.
Si aujourd'hui c'est fini,
Y' a des appart' ailleurs qu'ici.
Si aujourd'hui c'est fini,
Y' a des appart' ailleurs qu'ici.
Fini...
Maint'nant qu'il faut qu' je parte,
J' commence à m'en rappeler.
On s'est réveillés en avance
Pour pas rater la première danse,
Celle où tout est encore fragile
On ne sait rien de ces urgences
Qui nous font perdre la cadence
Qui font les rêves difficiles
On est debout
Au bord d'un drôle de monde qui appareille
Pour aller où
Vers quelle batailles, vers quels nouveaux réveils
Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton cœur se serrer
Combien reste de temps, juste avant
Que le vent nous entraîne,
Que tout vienne à changer,
On y va, on y est , juste avant...
Combien reste de temps, juste avant
Qui dansera encore sous la pluie
Pour faire sourire les gens assis,
Sortir les loups de leurs abris,
Faire pâlir ces types énervés
Qui hurlent très fort leurs idées
A des tas de gens prêts à marcher
Qui prendra le temps
D'aimer des choses trop simples pour en parler
On est tellement
A se demander où tout va basculer
Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton cœur se serrer
Combien reste de temps, juste avant
Que le vent nous entraîne,
Que tout vienne à changer,
On y va, on y est , juste avant
Combien reste de temps...
Plus loin est-ce qu'il y aura des oranges,
Des enfants, des jupes blanches,
Des jardins comme tu les dessinais,
Et du temps, du temps pour aimer
Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton cœur se serrer
Combien reste de temps, juste avant
Que le vent nous entraîne,
Que tout vienne à changer,
On y va, on y est , juste avant...
Combien reste de temps, juste avant
Juste avant...
Que le vent nous entraîne,
On y va, on y est
Juste avant
Et puis je sais tous ces regards sur moi,
Et puis je sais tous ces mots qu'on ne dit pas,
Et puis je sais tout ce que j'aurais pu faire
A défaut de me taire
Quand j'approchais l'enfer
Et puis je sais les sourires qu'on invente,
Les mains glacées, les longues heures d'attente,
Et puis je sais les matins fatigués
Par trop de mots gâchés,
Trop de rêves envolés,
Et puis je sais qu'il y a eu des colères,
Des cris lâchés, des mots lancés en l'air,
Et puis je sais tout ce que j'aurais pu dire
A défaut de souffrir
Quand je les voyais venir.
J'ai crié tant de fois pour que l'on m'entende mieux,
Si souvent maladroit, si souvent malheureux.
J'ai garé mes angoisses sur des parkings de haine.
J'ai payé des ardoises bien plus chères que mes chaînes
Mais je sais qu'on ne pardonne rien
A qui se trompe de destin
Sur de drôle de chemin.
Et puis je sais ce jouet trop fragile
Qu'on ne donne jamais mais qu'on te prête facile
Et puis je sais toute ses nuits inquiétantes
La peur collée au ventre pour remonter la pente'
Et puis je sais les silences entendus,
Et puis je sais toutes ces choses qu'on ne fait plus.
Si j'ai glissé sur des lits de hasard
Dans quelques nuits trop noires
Pour quelques heures d'espoir.
J'ai essayé de vivre au milieu des remords.
J'ai tenté de survivre quand on me croyait mort.
Si j'ai cru pour de bon aux amitiés poussières,
Chercher la solution au fond de quelques verres,
C'est que j'avais peur, que les autres me voient
Comme je vois les autres, j'avais si peur de moi.
Et puis je sais...
Sur la moquette, deux trois journaux,
Un gros pull bleu, des verres qui traînent,
L'oreille collée à la radio,
Un type qui braille pour qu'elle revienne.
C'est fou c' que c' type manque de pudeur...
SÃ'rement comme moi, quand tu partiras.
D'ailleurs t'es partie tout à l'heure,
Et tu danseras plus avec moi...
Je marche de la chambre à la chambre, à piétiner mes souvenirs,
Puis cette chanson, marre de l'entendre...
Eh ! chanteur, faut qu' tu réagisses.
Elle t'entendra, elle reviendra, tu lui diras qu' t'attendais qu' ça,
Ton manque d'orgueil te f'ra sourire.
Mais elle danse si bien avec toi...
Et si les mots vous ont manqué et si vos yeux vous ont menti,
Toutes les excuses à exiger, c'est pas ça qui remplit une vie.
Tu lui poseras des tas d' questions, mais la seule qui comptera pour toi,
D'ailleurs c'est l' titre de ta chanson.
Est-ce que tu danseras avec moi... Est-ce que tu danseras avec moi...
Est-ce que tu danseras avec moi ?
Ton pull bleu est tout froissé à force de m' servir d'oreiller.
Tu vas rentrer sÃ'rement très tard... c'est pas grave, j' t'aimerai en retard.
Je te parlerai d'un chanteur, un type beaucoup plus triste que moi,
Un type qui fait des tas d'erreurs,
Mais qui danserait bien avec toi, mais qui ne danse bien qu'avec toi.
Est-ce que tu danses encore pour moi ?
Dans ma poitrine A cause de vous
J'ai le cœur qui bat Tout fou, tout fou
J'ai des frissons Et si ça se trouve
C'est maladie d'amour Que j'couve
J'dis pas ça en plaisantant
Mais depuis vous
Y a rien d'important
J'tourne en rond
Et j'me répète
Tout ce qu'il y a
D'écrit dans ma tête
{Refrain:}
Voulez-vous
Du même chemin
Qu'on fasse un bout
Voulez-vous
De la porte
Qu'on pousse le verrou
Voulez-vous
Si c'était d'accord
Entre nous
Si c'que j'vous dis
Ça tient debout
Si y a d'l'amour
Pour moi en vous
Voulez-vous
Qu'on fasse notre musique
Et qu'on la joue
Quand le soleil
S'éteint derrière moi
Je sais plus
Quoi faire de moi
J'ai toute la nuit à traverser
Le cÅ“ur brÃ'lant
Comme du café
J'écrirai pas cette chansonnette
Si j'avais moins d'folie dans la tête
J'ferai pas
Du va et vient partout
Si j'avais juste
Un oui de vous
{au Refrain}
Elle est venue s'asseoir, là , juste en face de moi
Etait-ce par hasard ? Elle m'a dit : ' je n'crois pas '
Avec ces grands yeux noirs, plantés au fond des miens
Elle m'a pris par le bras, m'a dit : ' jusqu'Ã demain '... ' jusqu'Ã demain '...
J'ai suivi sans rien dire, elle savait où aller
Dans les ruelles en couleurs, on a tout vu, tout fait,
Elle visitait mon cœur, j'ai même pas su son nom...
Une taxi, une adresse, j'ai pas posé d'question... Pas question !
Elle voulait tout jusqu'Ã demain
Elle voulait tout jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Pas question de chercher plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Les cloches sonnaient midi, j'me retourne, j'tends la main
Je n'sens qu'un oreiller, j'embrasse plus qu'un parfum
J'l'avais pas vue venir, j'l'ai pas vue s'en aller
J'ai eu envie de rire, j'y suis pas arrivé. A l'arrivée...
Elle m'avait tout volé, pourtant, elle n'a rien pris
J'aurais p't-être préféré, au moins, j'aurais compris...
La chambre était réglée : on m'l'avait jamais fait
J'ai essayé d'pleurer,j'y suis pas arrivé... Et puis après
Elle voulait tout jusqu'Ã demain
Elle voulait tout jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Pas question de chercher plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Hasta mañana, ¿y dónde vas?
Hasta mañana, ¡y nada más!
La chica nunca mira atrás
Arrebatando tu pensar
Y tú te quedas con el sol, ¡y nada más!
Repartir au matin, un souvenir en poche
Sans un mot, sans un lien, surtout rien qui s'accroche
Moi aussi, j'ai déjà , bien sÃ'r, dÃ' faire comme elle
Arriver pour la nuit, y croire, la trouver belle...la trouver belle
Moi aussi... Et pourtant, si j'la croisais ce soir,
Je saurais empêcher que le jour nous sépare,
Et quand j'arpente la nuit les rues décolorées
Je cherche ses yeux noirs dans les ombres pressées... trop pressées...
Elle voulait tout, jusqu'Ã demain...
Elle voulait tout, jusqu'au matin...
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, et me prend tout pour rien
Elle voulait tout, jusqu'Ã demain...
Elle voulait tout, jusqu'au matin...
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
VOCAL : Admiral T/Akhenaton/Aladji Ba/Alibi Montana/Allen Parnell
Amine/Assia El Hannouni/Ben Ricour/Bruno Maman/Cali/Calogero
Cédric Ido/Chantal/Chimène Badi/Christian Karembeu/Christine Arron
Clarika/Dani/Elie Semoun/Elisa Tovati/Emma Javaux/Emmanuel Coindre
Enrico Macias/Eugène Chaplin/Fellag/Florent Pagny/Francis Cabrel
Franck Bouroullec/Franck Dubosc/Franck Ribéry/Fred/Frédéric Diefenthal
Gérard Darmon/Jacky Ido/Jean-Alain Boumsong/Jean-Jacques Goldman
Jean-Louis Aubert/Julien Clerc/Khaled/Ladji Doucouré/Laure Manaudou
Mahyar Monshipour/Malamine Kone/Marc Lavoine/Michèle Laroque
Nâdiya/Omar/Pascal Gentil/Pascal Obispo/Patrick Bruel/Patrick Timsit
Rachid Taha/Ralph Amoussou/Raymond Domenech/Sabrina Ouazani
Samantha/Sanseverino/Sara Forestier/Souad Massi/Taïg Khris
Tcheky Karyo/Titoff/Wallen/William Nadylan/Yannick Noah
Yvan Le Bolloc'h/Zazie/Zenzila/Zoé Félix
Reprise Léo Chauliac/Charles Trenet
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire lorsque j'étais écolier
Sur le chemin de l'école je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles, vieilles chansons d'autrefois
Douce France, cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon coeur !
Mon village au clocher, aux maisons sages
Où les enfants de mon âge ont partagé mon bonheur
Oui je t'aime et je te donne ce poème
Oui je t'aime dans la joie ou la douleur
J'ai connu des paysages et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages tout là-bas sous d'autres cieux
Mais combien je leur préfère mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière, ma prairie et ma maison.
Douce France (Douce France), cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon coeur !
Mon village au clocher, aux maisons sages
Où les enfants de mon âge ont partagé mon bonheur
Oui je t'aime et je te donne ce poème
Oui je t'aime dans la joie ou la douleur
Douce France, cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon coeur !
Mon village au clocher, aux maisons sages
Où les enfants de mon âge ont partagé mon bonheur
(Je t'ai gardée dans mon coeur) Douce France
(Je t'ai gardée dans mon coeur) Cher pays de mon enfance
(Je t'ai gardée dans mon...) Bercée de tendre insouciance
Je t'ai gardée dans mon coeur !
VOCAL : Patrick Bruel/Maurane
Reprise Johnny Hallyday (Cutugno/Pallavicini/Fr: Delanoé)
Derrière l'amour il y a
Toute une chaîne de pourquoi
Question que l'on se pose
Il y a des tas de choses
Les pleurs qu'on garde sur le cœur
Et des regrets et des rancœurs
Des souvenirs éblouissants
Et des visions de néant
Donne-moi, donne-moi ton corps
Pour y vivre et pour y mourir
Aime-moi, aime-moi plus fort encore
Empêche-moi de me détruire
Derrière l'amour qu'est-ce qu'il y a ?
Qui est cette femme auprès de moi ?
Quand tu me dis : 'je t'aime'
Est-ce bien moi que tu aimes ?
Et lorsque tu me fais l'amour
Est-ce que tu me fais vraiment l'amour ?
Derrière ce grand rideau noir
Je m'interdis d'aller voir
Donne-moi, donne-moi ton corps
Pour y vivre et pour y mourir
Aime-moi, aime-moi plus fort encore
Empêche-moi de me détruire
J'ai besoin de tes mains sur moi
Et de ton souffle et de ta voix
De tes joies de tes plaintes
De tes cris de tes craintes
J'ai tant besoin de ton corps
Donne-moi, donne-moi ton corps
Pour y vivre et pour y mourir
Aime-moi, aime-moi plus fort encore
Empêche-moi de me détruire
Aime-moi, aime-moi plus fort encore
Empêche-moi de me détruire
Derrière l'amour qu'est-ce qu'il y a ?
Voici, contée sur une valse musette,
L'histoire en quelques mots
Du beau roman d'une jeune midinette
Et d'un p'tit Parigot
Tous les refrains d'amour sont un peu bêtes,
Celui là l'est aussi
Mais si vous r'prenez en chœur ma chansonnette,
Je vous dirai : Merci !
Elle était jeune et belle,
Comm' de bien entendu !
Il eut l'béguin pour elle
Comm' de bien entendu !
Elle était demoiselle,
Comm' de bien entendu !
Il se débrouilla pour qu'elle ne le soit plus !
Comm' de bien entendu !
Ils se mirent en ménage
Comm' de bien entendu !
Elle avait du courage
Comm' de bien entendu !
Il était au chômage,
Comm' de bien entendu !
Ça lui f'sait déjà un gentil p'tit rev'nu...
Comm' de bien entendu !
Voulant faire un' folie,
Comm' de bien entendu !
Il offrit à sa mie,
Comm' de bien entendu !
Un billet d'la lot'rie,
Comm' de bien entendu !
Ça n'lui fit jamais que cent ball's de perdues ...
Comm' de bien entendu !
Mais il se mit à boire
Comm' de bien entendu !
Ell' ne fit pas d'histoires,
Comm' de bien entendu !
Mais pour n'pas être un' poire,
Comm' de bien entendu !
Ell' se consola en le faisant cocu.
Comm' de bien entendu !
Il la trouva mauvaise
Comm' de bien entendu !
Mais elle ram'nait du pèze,
Comm' de bien entendu !
Au lieu de ram'ner sa fraise,
Comm' de bien entendu !
Il se contenta d'lui foutr' son pied au cul,
Comm' de bien entendu !
Et, depuis, l'on raconte
Comm' de bien entendu !
Qu'il y trouve son compte,
Comm' de bien entendu !
Et, quand chez lui, on monte,
Comm' de bien entendu !
Il s'en va faire un p'tit tour au P.M.U....
Comm' de bien entendu !
Sous les gal'rie d'l'Odéon, on entend parfois
Les notes d'un accordéon qui pleure à mi-voix
C'est pas la chanson d'amours de chaqu'jours
Ni le refrain vif et bien parisien
C'est quelqu'chose de différent
Ça semble tout gris
La nuit, des couples errants l'écoutent, surpris
C'est un air qu'on dirait las de tout, écœurer
Ça fait pleurer
C'est la java de celui qui s'en va
Sans r'garder en arrière
Seul dans la nuit en laissant derrière lui
Leurs braises et les prières
Tous les bobards il en a eu sa part
Tous les serment, il les sait
Et comment
Aussi lassé, dégoÃ'té du passé
Il s'en va l'cœur blesser
C'est la java, c'est la pauvre java
De celui qui s'en va
Y'a des soirs comme des bouts d'l'an
Où le cœur lassé
Dans l'silence fait son bilan des amours passées
C'qu'il entend autour de lui, dans la nuit
Ce n'est plus le chiant d'amour, des beaux jours
Comme des gueux battant l'pavé
Tous les souvenirs
Semblent ce soir d'un air mauvais
Vers lui revenir
Et là -bas, à mi-voix
Semblent chanter, pourquoi
Comme autrefois
C'est la java de celui qui s'en va
Sans r'garder en arrière
Seul dans la nuit en laissant derrière lui
Leurs braises et les prières
Tous les bobards il en a eu sa part
Tous les serment, il les sait
Et comment
Aussi lassé, dégoÃ'té du passé
Il s'en va l'cœur blesser
C'est la java, c'est la pauvre java
De celui qui s'en va
C'est la java, c'est la pauvre java
De l'amour qui s'en va
C'est la java, c'est la pauvre java
De l'amour qui s'en va.
Un sourire... j'te d'mande pas grand-chose, un sourire... c'est tout !
Pour me dire... que si j'ose tu oses, qu'on pourra... encore tout !
Tu dis rien depuis des heures, qu'est-ce qu'il y a en nous qui meurt ?
Si t'y crois plus, tant pis pour moi...
Mais tant pis pour toi si tu comprends pas
Qu'il faut qu'j'bouge !
Avant que tout m'enchaîne, qu'cette vie n'soit plus la mienne
Faut qu'je bouge... et j'veux qu'tu bouges avec moi !
Prends des risques... tu m'l'as dit environ 7 000 fois... par jour !
Tu existes... t'as besoin de personne surtout pas... d'cette cour !
J'avais le coeur en poussière... c'est toi qui m'as ramassé par terre
T'avais pas peur, tu voulais vivre... et maintenant tu m'dis que tu veux
plus m'suivre
Il faut qu'j'bouge !
Avant que tout s'enchaîne... qu'cette vie n'soit plus la mienne
Faut qu'je bouge... et j'veux qu'tu bouges avec moi
Y a rien qui nous retienne... un mot, un seul, j't'emmène
Faut qu'je bouge... et j'veux qu'tu bouges avec moi
On étouffe sans avoir l'air... pour rêver qu'est-ce qu'il faut pas
faire...
Tous les gourous, les mages de marque, les rois du swing, les
je-sais-tout, les faux kings...
Faut qu'je bouge !
Avant que tout m'enchaîne... qu'cette vie n'soit plus la mienne
Faut qu'je bouge... et j'veux qu'tu bouges avec moi
Y'a rien qui nous retienne... un mot, un seul, j't'emmène
Faut que j'bouge... et j'veux qu'tu bouges avec...
Un sourire... c'est tout !
Même pour m'dire... t'es fou !
Pas d'erreur... c'est toi !
Mais j'ai peur... crois-moi !
Des hommes qui perdent la mémoire... qui t'racontent une autre histoire
Et si t'y crois, tant pis pour moi, mais tant pis pour toi si tu
comprends pas
Faut qu'tu bouges... avant que tout s'enchaîne
Qu'cette vie n'soit plus la tienne
Faut qu'tu bouges... et j'vais bouger avec toi
Avant qu'tout nous retienne... un mot, un seul, j't'emmène
Faut qu'je bouge... et j'veux qu'tu bouges avec moi
Bouge... bouge... bouge... bouge ! Oui j'veux qu'tu bouges avec moi !
{avec Mariza Corréa}
Mais uma cançà o pra vocé
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embranças vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...
Saudades.
Elle était coincée là depuis trois ou quatre mois,
Une sale histoire, je crois.
Elle aurait bien craqué pour une histoire d'amour,
En échange d'un billet de retour.
Elle jouait au poker avec deux, trois dockers,
Dans un café de Belem.
Elle m' cherchait du regard comme s'il était trop tard,
Comme si personne voulait rien voir.
DÉCALÉ, isso nà o fas mal
DÉCALÉ, eu tambem toma, décalé moin
Dans ce vieux piano bar, elle chantait tous les soirs.
Ici tout l' monde l'appelait : 'la star'
Elle m'a raconté son histoire, mytho ascendant bobards,
Mais moi, j' faisais semblant d'y croire.
Elle avait si souvent dÃ' laisser sa tendresse
A de mauvaises adresses.
Elle ne regrettait rien, elle le criait si bien,
Rien de rien.
DÉCALÉ, isso nà o fas mal
DÉCALÉ, eu tambem toma, décalé moin
Les verres de cachaça nous donnaient du courage.
On faisait les malins pour pas rester trop sage.
A l'aube on s'est perdus, je l'ai jamais revue.
Je l'ai jamais revue...
DÉCALÉ, isso nà o fas mal
DÉCALÉ, eu tambem toma, décalé moin
Mais uma conçao pro vocé
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embranças vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...
VOCAL : Patricia Kaas/Pascal Obispo/Patrick Bruel/Marc Lavoine/Carol Fredericks
Reprise Jean-Jacques Goldman
Et même si le temps presse
Même s'il est un peu court
Si les années qu'on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête
Ou s'il faut briser des murs
En soufflant dans les trompettes
Ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s'il faut partir
Changer de terre et de trace
S'il faut chercher dans l'exil
L'empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais les courants
Nous feront courber la tête
Plier genoux sous le vent
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d'un mauvais détour
En ces moments ou l'on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi tout au fond de moi
Mais au dessus je te jure
Que j'effacerai ton nom
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves.
Un...
Ça commence, comme un rêve
Un premier rire, un rien,
Ton regard qui se lève
Deux...
On est déjà plus forts
À quatre mains, bien sÃ'r,
On joue d'autres accords
Trois...
Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune,
Une envie qui hésite
Quatre...
La valse irrégulière...
On cherche la mesure
Pour un temps, On s'y perd
Au bout de la marelle,
On sait pas ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, d'en bas
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, toi et moi,
On tombe ou on avance d'un pas...
On y va
Cinq...
Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
À ne pas trop douter
Six...
Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept...
Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit...
En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour 'jeu t'aime'
Mais au bout de la marelle,
On verra ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, comme ça
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, toi et moi,
Et surtout pas regarder en bas,
Surtout pas
Bien sÃ'r on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est regardés
Un rayon de soleil se pointe au coin de la rue
Un fou rire, un éclair, alors... On continue
Neuf...
Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une,
Neuf mois pour devenir...
Une...
Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle,
On sait pas ce qu'on verra...
Elle nous paraît si belle, d'en bas
À cloche-pied vers le ciel,
À pieds joints, on y va...
On tombe ou on avance d'un pas
On y va... Un, deux, trois...
A cause d'elle
J'ai changé de parfum, de tableaux,
A cause d'elle
J'ai cassé les chaînes de mon vélo
Dans ses ailes, j'ai posé
Mes années de querelles
Je m'envole, Oui je vole,
Vers elle
Je me souviens d'un homme à la mer
Qui était-il avant elle ?
Un naufragé, un voleur de sirènes,
Juste un 'presqu'il' avant elle
A cause d'elle
J'ai l'automne qui rit dans mon piano
A cause d'elle
J'ai tremblé, j'ai joué un peu faux
Envie d'elle, est ce qu'on sait ? (ou 'est-ce qu'on s'aime' ?)
Plus peur, plus peur, d'être fidèle
Je m'envole oui je vole
dans ses ailes
Et elle, elle se souvient d'un homme à la mer
Qui était-il avant elle ?
Un naufragé, un voleur de sirènes,
Juste un 'presqu'il' avant elle
Je me souviens d'un autre moi-même
Qui était-il avant elle ?
Un exilé sur des terres incertaines
Juste un 'presqu'il' avant elle
Je me souviens
{Passage instrumental}
Je me souviens d'un autre moi-même
Qui était-il avant elle ?
Un exilé sur des terres incertaines
Juste un 'presqu-il' avant elle
Je me souviens.
Nous sommes allongés
Sur l'herbe de l'été.
Il est tard.
On entend chanter
Des amoureux et des oiseaux.
On entend chuchoter
Le vent dans la campagne.
On entend chanter la montagne.
J'ai ta main dans ma main.
Je joue avec tes doigts.
J'ai mes yeux dans tes yeux
Et partout, l'on ne voit
Que la nuit, belle nuit, que le ciel merveilleux,
Tout fleuri, palpitant, tendre et mystérieux.
Viens plus près, mon amour,
Ton cœur contre mon cœur
Et dis-moi qu'il n'est pas de plus charmant bonheur
Que ces yeux dans le ciel, que ce ciel dans tes yeux,
Que ta main qui joue avec ma main.
Je ne te connais pas.
Tu ne sais rien de moi.
Nous ne sommes que deux vagabonds,
Fille des bois, mauvais garçon.
Ta robe est déchirée.
Je n'ai plus de maison.
Je n'ai plus que la belle saison
Et ta main dans ma main
Qui joue avec mes doigts.
J'ai mes yeux dans tes yeux
Et partout, l'on ne voit
Que la nuit, belle nuit, que le ciel merveilleux,
Tout fleuri, palpitant, tendre et mystérieux.
Viens plus près, mon amour,
Ton cœur contre mon cœur
Et dis-moi qu'il n'est pas de plus charmant bonheur.
On oublie l'aventure et la route et demain
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
[Faudel]
Qui sait ? Qui sait ?
J'aurai peut-être un jour besoin de ça
D'une main douce et puissante.
[Anggun]
Qui sait ? Qui sait ?
D'un chemin plus sûr où poser mes pas
Pour une guerre non violente.
[Stéphan Eicher]
Tout seul
J'n'irai pas plus haut, peut-être plus bas
Peut-être plus bas ?
[Patrick Bruel]
Qui sait ? Qui sait ?
J'aurai peut-être un jour besoin de toi, de toi
Si je ne suis plus le même.
[Axelle Red]
Qui sait ? Qui sait ?
On se dit toujours 'qui vivra verra', et moi
J'aimerais voir comme on s'aime.
[Lokua Kanza & Youssou N'Dour]
Apprends-moi
Que donner c'est recevoir en plus fort
Si je me fais attendre.
[Zucchero & Peter Gabriel]
Rappelle-moi
Que toutes les vies se valent encore
Les petites et les grandes.
[Patrick Bruel & Lààm]
Qui sait ? Qui sait ?
J'aurai peut-être un jour besoin de secours, un jour
Où je n'aurai plus personne.
[Axelle Red & Faudel]
Qui sait ? Qui sait ?
Une douce phrase dans un matin sourd, qui court
Un petit feu pour les hommes.
[Peter Gabriel]
Who knows, one day ?
I will need your smile to call in my name, my baby
If I can't see any rainbow.
[Patrick Bruel, Anggun & Lààm]
Qui sait ? Qui sait ?
L'aube d'un regard qui ne juge pas, non pas
Mais qui partage les peines ?
[Nourith & Lokua Kanza]
Apprends-moi
Que donner c'est recevoir du soleil
Sans qu'on ne le demande.
[Zucchero & Patrick Bruel]
Rappelle-moi
Que toutes les vies se valent pareil
Les petites et les grandes.
[Youssou N'Dour]
[Anggun]
[Faudel]
[Nourith]
[Axelle Red] Qui sait ?
[Stéphan Eicher]
Oh, qui sait ? Qui sait ?
J'aurai peut-être un jour besoin de ça.
[Anggun]
Oh, qui sait ? Qui sait ?
J'aurai peut-être un jour besoin de ça.
[Peter Gabriel]
Who knows, one day ?
I'll need to know you'll always be there.
[Zucchero]
Chissà ? Chissà ?
Un dia io vo bisogno di te.
[Patrick Bruel]
Qui sait ? Qui sait ?
Un chemin plus sûr où poser mes pas.
[Lààm]
Qui sait ? Qui sait ?
Qui sait ce qu'on sera ?
[Peter Gabriel]
Who knows, who knows ?
(Qui sait, qui sait ce qu'on sera...)
Si ce soir j'ai pas envie d' rentrer tout seul
Si ce soir j'ai pas envie d' rentrer chez moi
Si ce soir j'ai pas envie d' fermer ma gueule
Si ce soir j'ai envie d' me casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
J' peux plus croire, tout c' qui est marqué sur les murs
J' peux plus voir, la vie des autres même en peinture
J' suis pas là pour les sourires d' après minuit
M'en veux pas, si ce soir j'ai envie
D' me casser la voix,
Casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Les amis qui s'en vont
Et les autres qui restent
Se faire prendre pour un con
Par des gens qu'on déteste
Les rendez-vous manqués
Et le temps qui se perd
Entre des jeunes usés
Et des vieux qui espèrent
Et ces flashes qui aveuglent
A la télé chaque jour
Et les salauds qui beuglent
La couleur de l'amour
Et les journaux qui traînent,
Comme je traîne mon ennui
La peur qui est la mienne,
Quand je m' réveille la nuit
Casser la voix,
Casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Et les filles de la nuit
Qu'on voit jamais le jour
Et qu'on couche dans son lit
En appelant ça d' l'amour !
Et les souvenirs honteux
Qu'on oublie d'vant sa glace
En s' disant j' suis degueu
Mais j' suis pas dégueulasse !
Doucement les rêves qui coulent
Sous l' regard des parents
Et les larmes qui roulent
Sur les joues des enfants
Et les chansons qui viennent
Comme des cris dans la gorge
Envie d' crier sa haine
Comme un chat qu'on égorge
Casser la voix,
Casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Si ce soir j'ai pas envie d' rentrer tout seul
Si ce soir j'ai pas envie d' rentrer chez moi
Si ce soir j'ai pas envie d' fermer ma gueule
Si ce soir j'ai envie d' me casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Casser la voix,
Casser la voix
Les souvenirs se voilent
Ca fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Au Café des Délices
Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le tram
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Yalil Yalil Apipi Yalil
Yalil Yalil Apipi Yalil...
Tes souvenirs se voilent
Tu la revois la fille
Le baiser qui fait mal
A Port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur des chansons velours
Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricot
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet
Yalil Yalil Apipi Yalil
Yalil Yalil Apipi Yalil...
Tes souvenirs se voilent
A l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est sans doute une chance
Yalil Yalil Tu n'oublieras pas
Ces parfums d'autrefois
Yalil Yalil Tu n'oublieras pas
Yalil Yalil Même si tu t'en vas
Yalil Yalil Apipi Yalil
Yalil Yalil Apipi Yalil...
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Yalil Yalil Apipi Yalil...