- published: 10 Aug 2012
- views: 33790
43:46
Die großen Schlachten (4/4) 1870 - Die Entscheidung von Sedan
1. September 1870. Vier Uhr früh. Im Schutze der Dunkelheit überqueren deutsche Truppen di...
published: 05 Oct 2012
Die großen Schlachten (4/4) 1870 - Die Entscheidung von Sedan
1. September 1870. Vier Uhr früh. Im Schutze der Dunkelheit überqueren deutsche Truppen die Maas. Die ganze Nacht haben Pioniere heimlich eine Pontonbrücke gebaut. Es gilt, die französische Zweite Armee, die sich auf einen Ruhetag freut, zu überrumpeln. Sedan ist als Entscheidungsschlacht in die Geschichtsbücher eingegangen. In ihrer Folge brach das Zweite Kaiserreich in Frankreich zusammen; ein halbes Jahr später wurde mit der Krönung Wilhelms von Preußen in Versailles das deutsche Kaiserreich begründet.
Ziel des Angriffs: der kleine Ort Bazeilles in den Ardennen. Bazeilles scheint zu schlafen, doch die Franzosen sind gewarnt. Überall in den Häusern liegen Scharfschützen, Elitesoldaten der französischen Kolonialtruppen. Bis zur letzten Patrone sollen sie die Stadt verteidigen, denn wenn Bazeilles fällt, sitzt die französische Hauptstreitmacht, die sich nur wenige Kilometer nordwestlich in Sedan verschanzt hat, in der Falle - von Süden, Westen und Osten eingekesselt von deutschen Armeen, im Norden nur die belgische Grenze. Um fünf Uhr früh beginnt der Kampf um die kleine Stadt. Eine klare Frontlinie gibt es nicht. Bald ist es ein Kampf Straße um Straße, Haus um Haus. Einwohner beginnen sich an den Kämpfen zu beteiligen. Rücksichtslos gehen die Deutschen vor, Bazeilles erlebt ein Massaker.
Während der Straßenkampf noch tobt, geht die Schlacht an anderen Orten richtig los. Mit starkem Artilleriefeuer von allen Seiten wird die Stadt Sedan, in der sich der Hauptteil der französischen Armee verschanzt hat, unter Beschuss genommen. Die deutsche Armee, ausgerüstet mit über 400 modernen Gussstahlkanonen der Firma Krupp, spielt hier ihre ganze Überlegenheit aus. Die mit Aufschlagzündern versehenen Geschosse explodieren beim Aufprall und lösen Panik unter den Franzosen aus.
Kaiser Napoleon III., der bei seiner Armee in Sedan war, eilt Stunden lang ziellos über das Schlachtfeld, in der Hoffnung von einer deutschen Granate getroffen zu werden - schließlich entschließt er sich zu kapitulieren. Über 100.000 französische Soldaten treten den Weg in die Kriegsgefangenschaft an.
- published: 05 Oct 2012
- views: 3148
4:53
Women's Fashion from the 1860's
Historical reenactors show off some homemade clothing that would have been worn in the 186...
published: 27 Nov 2010
Women's Fashion from the 1860's
Historical reenactors show off some homemade clothing that would have been worn in the 1860's
- published: 27 Nov 2010
- views: 26904
3:36
1870-Woerth-Froeschwiller
Teaser pour commémoration de la bataille de Woerth- Froechwiller en Alsace les 7-8 et 9 se...
published: 07 Jul 2012
1870-Woerth-Froeschwiller
Teaser pour commémoration de la bataille de Woerth- Froechwiller en Alsace les 7-8 et 9 septembre 2012
- published: 07 Jul 2012
- views: 1935
1:24
[HD] Les Dernières Cartouches (1870) Guerre Franco-Allemande
« Je désire raconter nos défaites dans ce qu'elles ont eu d'honorable pour nous, et je cro...
published: 11 Mar 2011
[HD] Les Dernières Cartouches (1870) Guerre Franco-Allemande
« Je désire raconter nos défaites dans ce qu'elles ont eu d'honorable pour nous, et je crois donner ainsi un témoignage d'estime à nos soldats et à leurs chefs, un encouragement pour l'avenir. Quoi qu'on en dise, nous n'avons pas été vaincus sans gloire, et je crois qu'il est bon de le montrer ! »
(Alphonse de Neuville, 1881)
Les Dernières Cartouches est un célèbre tableau historique et patriotique créé par Alphonse de Neuville en 1873. Il immortalise le combat désespéré et héroïque de la poignée de braves qui, sous les ordres du commandant Arsène Lambert blessé, défendirent la dernière maison du village de Bazeilles, dans les Ardennes, jusqu'à la dernière cartouche le 1er septembre 1870.
Face à cette trentaine de Français acharnés, un régiment Bavarois qui bombarde la maison mais subit de lourdes pertes et se livrera le lendemain à un massacre sur les villageois en signe de représailles...
Quant à l'auberge Bourgerie, désormais connue comme la « Maison de la Dernière Cartouche », elle a été conservée en l'état afin de devenir un musée.
--------------------------------------------------------------------------------
livres:
*Jules Claretie
L'art et les artistes français contemporains: avec un avant-propos sur le Salon de 1876
Charpentier
1876
« M. Alphonse de Neuville a pris soin d'indiquer sur sa toile le lieu du combat qu'il a voulu peindre. C'est à Balan, près de Sedan (journée du 1er septembre) que se passe cette défense d'une maison cernée par l'ennemi. Rien de plus poignant que cette toile, Les Dernières Cartouches.
Une poignée de soldats, lignards, turcos, chasseurs à pied, officiers et soldats, réfugiés, postés dans une maison du faubourg de Sedan, s'y défendent avec un acharnement farouche. Le logis est effondré; un obus vient d'y éclater et a semé autour de lui ces mille débris de l'explosion, les plâtres et les cadavres. Les balles ont brisé les carreaux, constellé les murailles, broyé les armoires. Les chaises dépaillées, les armes cassées traînent à terre. On a porté dans une alcôve un pauvre soldat mort, dont les survivants, à bout de munitions, se disputent la giberne et les cartouches. Par la fenêtre, deux ou trois soldats enragés sont, protégés par des matelas, le coup de fusil contre les assaillants. Un officier de la ligne épaule son arme et combat en simple soldat. Un autre, blessé à la jambe, se traîne furieux jusqu'à la fenêtre, comme pour y lutter encore. La mort est partout, dans cette chambre où monte une fumée de combat. Un soldat, accoté contre une armoire, soulève d'un geste dolent son poignet brisé, comme le conscrit d'Horace Vernet dans le tableau de la Barrière de Clichy. Un autre, l'épaule broyée, s'appuie, pour ne point tomber, au chambranle d'une porte ouverte qui laisse apercevoir, dans une autre pièce, un nouveau groupe héroïque de soldats combattant toujours. Il y a une véritable fièvre, une furie de carnage dans cette scène où rugit la colère de la défaite. Ces rideaux déchiquetés, ces meubles émiettés, ce casque prussien qui roule sur le parquet parmi tant de débris, donnent bien l'idée de la lutte acharnée que soutiennent des gens qui veulent mourir.
Mais la figure la plus réussie, à coup sûr, du tableau, c'est celle du petit chasseur qui, suant et harassé, ayant brûlé toutes ses cartouches, s'assied à demi contre le lit où est étendu un camarade mort, et là, calme, les mains dans les poches, inutile, étant désarmé, attend, impassible et muet, que l'ennemi entre et que la mort vienne. Voilà qui est tout à fait trouvé, et d'un mouvement, d'une expression, qui ne sentent point l'école. Il y a de tout, dans le regard de ce brave garçon, dont le képi glisse sur le front moite : le sentiment du devoir accompli, l'accablement de la déroute, la colère et l'impassibilité de l'homme résolu. Une telle invention fait grand honneur à M. de Neuville, et le succès qu'obtient cette toile, Les Dernières Cartouches, prouve combien l'artiste a touché juste et a fait vrai. Ce qui manque à ce tableau si remarquable, d'une composition si mâle et si dramatique, c'est la couleur qu'a M. Detaille. »
*Charles Habeneck
Les régiments-martyrs
Pagnerre
1871
--------------------------------------------------------------------------------
vidéos:
*Georges Méliès
Bombardement d'une maison
Star Film (restauration)
1897
--------------------------------------------------------------------------------
disques:
*Musique de l'Air de Paris
Hommage Funèbre Aux Tambours Français
Corelia
2008
--------------------------------------------------------------------------------
internet:
*La maison de la dernière cartouche
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichelieu.php?idLang=fr&idLieu;=1240
*Musée Maison de la Dernière Cartouche
http://www.maisondeladernierecartouche.com
- published: 11 Mar 2011
- views: 9683
9:56
The Franco-Prussian War (1870 -1871) 1/4
Written by Stuart Reid. Narrated by Bob Sessions, with expert analysis by Stuart Reid, Pau...
published: 13 Aug 2010
The Franco-Prussian War (1870 -1871) 1/4
Written by Stuart Reid. Narrated by Bob Sessions, with expert analysis by Stuart Reid, Paul Jackson, David Bryant, Les Prince, and Bob Carruthers.
- published: 13 Aug 2010
- views: 49513
2:44
Preussens Gloria 1870
Slide show and short videos about Prussia.
Music: Preussens Gloria
About 0:17
"Das Gro...
published: 26 Dec 2007
Preussens Gloria 1870
Slide show and short videos about Prussia.
Music: Preussens Gloria
About 0:17
"Das Grosse bleibt gross nicht und klein nicht das kleine" said B. Brecht. I dunno if you understand what he meant, but I just wanted to show that Prussia was "das Kleine" and turned into "das Grosse", which means, Prussia was only a polish fief but it became stronger than Poland itself.
- published: 26 Dec 2007
- views: 530334
29:45
Napoléon III & la campagne de France (1870) Second Empire
Août 1870 : L'été en enfer. Nicolas Chaudun raconte l'écroulement de l'Empire de Napoléon ...
published: 11 Sep 2012
Napoléon III & la campagne de France (1870) Second Empire
Août 1870 : L'été en enfer. Nicolas Chaudun raconte l'écroulement de l'Empire de Napoléon III. Un jour dans l'histoire sur Canal Académie de Laetita de Witt avec Nicolas Chaudun (auteur). 12.02.2012
Août 1870, l'armée impériale est anéantie, le trône renversé, le territoire envahi. Le Second Empire s'écroule. Les circonstances de cet épisode désastreux ont largement été commentées.
Mais qu'en est-il de l'Empereur ? Nicolas Chaudun s'y intéresse pour la première fois. Le récit est poignant.
On découvre un empereur qui, miné par la maladie et dépossédé de tous pouvoirs, n'en demeure pas moins digne et humain.
---------------------------------------------------------------------------
invité:
*Nicolas Chaudun
auteur
---------------------------------------------------------------------------
livres:
*L'été en enfer : Napoléon III dans la débâcle
Nicolas Chaudun
Actes Sud
2011
« Août 1870, l'armée impériale est pulvérisée, le trône renversé, le territoire envahi. L'effondrement instantané du Second Empire abasourdit l'Europe entière ; il inaugure pour la France un siècle de déclin convulsif.
On a beaucoup glosé depuis, et d'autant plus que la gabegie du printemps 1940 a reproduit en détail la "débâcle" de l' "année terrible".
Dans cette avalanche de commentaires, rien sur l'empereur. Rien, sinon cette sempiternelle rengaine d'un souverain défait, errant sur les champs de bataille en quête d'une mort qui lui épargnerait le déshonneur.
L'inanité d'un chef dépossédé du pouvoir, puis dépouillé du commandement militaire, peut justifier ce silence. L'impeccable réserve que s'imposèrent les compagnons d'infortune l'explique encore. Cependant, Napoléon III incarne ici le parfait héros des tragédies classiques. La prémonition du désastre mais aussi son acceptation, les souffrances physiques qu'il endure, une pierre grosse comme le poing lui obstrue la vessie, et la cruauté de ses relations avec l'impératrice soutiennent une tension dramatique qui s'installe dès le brutal début de la crise.
Un règne s'alanguit sous le soleil de l'été, et soudain s'époumone dans une folle course à l'abîme. On croirait un roman ; ce n'est qu'une tranche d'histoire. »
*Haussmann, Georges-Eugène, préfet-baron de la Seine
Nicolas Chaudun
Actes Sud
2009
*La campagne de 1870 : Récit des évènements militaires depuis la déclaration de guerre jusqu'à la capitulation de Paris (Woerth - Sedan - Metz - Paris)
Roger Allou (traduction du Times)
Garnier Frères
1871
(télécharger gratuitement le livre en .PDF)
http://archive.org/details/lacampagnederci00allogoog
- published: 11 Sep 2012
- views: 1226
14:46
La Batalla de Sedan (1870) - Batallas (1 de 4)
Muchos de los historiadores hablan de esta guerra solo como un breve enfrentamiento entre ...
published: 09 Jul 2011
La Batalla de Sedan (1870) - Batallas (1 de 4)
Muchos de los historiadores hablan de esta guerra solo como un breve enfrentamiento entre las fuerzas francesas y las germanicas, en esto veremos de cerca la perspectiva de los soldados y la poblacion cuando ocurrio dicha guerra.
- published: 09 Jul 2011
- views: 24941
16:13
1870 HP Chevelle Street Test. Nelson Racing Engines. Tom Nelson. 1969 Chevelle. NRE.
Tom Nelson takes us for another famous ride in this beautiful 1969 Chevelle. Its not comp...
published: 03 Aug 2012
1870 HP Chevelle Street Test. Nelson Racing Engines. Tom Nelson. 1969 Chevelle. NRE.
Tom Nelson takes us for another famous ride in this beautiful 1969 Chevelle. Its not completely finished as yet. What a stunner its going to be. What would this car do with slicks? For more information go to http://nelsonracingengines.com as well as http://nelsonsupercars.com. For Video media production go to http://VeritasMovieStudio.com. To see the previous NRE TV episode for this car click here http://www.youtube.com/watch?v=whAj_z8k1E0&feature;=plcp .
- published: 03 Aug 2012
- views: 107784
Vimeo results:
1:32
San Salvador (1947)
La ciudad de San Salvador es la capital de la República de El Salvador. Es, además, la cab...
published: 04 Mar 2010
author: MEMORIA DE CUBA de Jorge Molina
San Salvador (1947)
La ciudad de San Salvador es la capital de la República de El Salvador. Es, además, la cabecera del departamento y municipio homónimos. Como capital de la nación, la ciudad alberga las sedes del Gobierno y la Consejo de Ministros de El Salvador, Asamblea Legislativa, Corte Suprema de Justicia y demás instituciones y organismos del Estado, así como la residencia oficial del Presidente de la República. Es la mayor ciudad del país desde el punto de vista económico, asiento de las principales industrias y empresas de servicios de El Salvador. Es también la sede del Arzobispado católico.
Después de las victorias sobre las huestes pipiles en las batallas de Acajutla y Tacuzcalco, el conquistador Pedro de Alvarado intentó someter a los nativos de la capital del Señorío de Cuzcatlán a su arribo el 18 de junio de 1524. Los cuscatlecos, sin embargo, huyeron a las montañas vecinas y el extremeño tuvo que replegarse hacia la zona de la actual Guatemala. La primera villa de San Salvador se fundó a menos de un año de esta expedición, por una misión no documentada al mando de Gonzalo de Alvarado.La primera mención que existe acerca de este asentamiento es una carta del mismo Pedro de Alvarado en Guatemala el 6 de mayo de 1525 haciendo notar que no se podía celebrar un cabildo por la ausencia de Diego de Holguin quien había partido a tomar el puesto de Alcalde ordinario de la villa de San Salvador.
Debido a las frecuentes rebeliones en el sitio por parte de los nativos, se estableció una nueva villa en el lugar conocido actualmente como Ciudad Vieja, al sur de la actual localidad de Suchitoto (1 de abril de 1528). Su trazado original tardó quince días y llegó a ser poblada por un número de 50 a 60 viviendas,teniendo por alcaldes a Antonio de Salazar y Juan de Aguilar.
Después de la pacificación de la región, la pequeña localidad fue abandonada a poco a poco y el nuevo asentamiento se ubicó, el año de 1545, en el valle de Zalcuatitán renombrado como “Valle de las Hamacas”. Se estima que tal acampamiento estuvo en la llamada cuesta del Palo Verde, y que fue conocida como “la Aldea”. Al norte de ese emplazamiento se comenzó a trazar la Plaza Mayor, donde se ubica actualmente la Plaza Libertad; al Este, se erigió la Iglesia consagrada al Santísimo Salvador del Mundo. El 27 de septiembre de 1546, mediante trámites de los procuradores Alonso de Oliveros y Hernán Méndez de Sotomayor, y por petición del Secretario de la Real Corona Juan de Samano ante el infante don Felipe por la ausencia del emperador Carlos V de Alemania y I de España, se elevó la villa a la categoría de ciudad por Real Provisión.
Durante la época colonial la ciudad fue parte de la Alcaldía Mayor de San Salvador, y estaba bajo la autoridad principal de la región: la Capitanía General de Guatemala. En el siglo XVII, la actividad principal de esta región fue el añil, para su exportación a Europa. En la segunda mitad del siglo XVIII, debido a las Reformas borbónicas, que tenían como objetivo mejorar el cobro de impuestos y crear monopolios estatales, se creó la Intendencia de San Salvador en 1785; la propia ciudad fue cabecera de su partido.
San Salvador tuvo un destacado rol en los años previos a la independencia de Centroamérica. Fue allí donde se dio la primera rebelión en 1811 en contra de las autoridades de la Capitanía, y una más en 1814, ambas sin éxito. Con la declaración del Plan de Iguala por Agustín de Iturbide, las entonces provincias de la Capitanía declararon su emancipación el 15 de septiembre de 1821. Las noticias de este suceso llegaron a San Salvador el 21 de septiembre.
A partir de entonces las antiguas intendencias fueron gobernadas independientemente. De hecho en San Salvador regía un Jefe Político. Pero, en definitiva, todas estaban aún bajo la dirección de una Junta Provisional Consultiva con sede en Guatemala. Meses después llegó desde México una invitación de Iturbide para que las provincias se unieran al nuevo Imperio. La Junta decidió su anexión el 5 de enero de 1822; solo dos ayuntamientos, de los 170 que conformaban la región, se negaron: San Salvador y San Vicente.En los siguientes dos años la ciudad enfrentó dos invasiones desde Guatemala, que las fuerzas defensoras pudieron repeler. Sin embargo, en febrero de 1823, Vicente Filísola asedió a la ciudad y la ocupó; su estadía acabó debido al retiro del poder de Iturbide.
Con el nacimiento de la República Federal de Centroamérica en 1824, la ciudad se vio envuelta en los turbulentos años que enfrentaron a liberales y conservadores. Para separarse de la influencia de poder que ejercía la ciudad de Guatemala, Francisco Morazán decidió crear un distrito federal en San Salvador en 1834. La situación caótica de la región creó un estado de pobreza general. Tal condición provocó, además, una epidemia de cólera en 1836.
La economía del país cambió gradualmente en la segunda mitad del
3:41
Old Virginia: The Hill-Side's "Modified Herringbone" Fabric
We flew down to rural Virginia to visit our friend "Old Bob the Weaver" and watch him weav...
published: 06 Dec 2012
author: The Hill-Side
Old Virginia: The Hill-Side's "Modified Herringbone" Fabric
We flew down to rural Virginia to visit our friend "Old Bob the Weaver" and watch him weave this "modified herringbone" fabric for us. Not only did we get to witness the early 20th century machines and techniques he uses to create this fabric, but we also got to feed his chickens, eat a huge southern dinner cooked on his back yard fire pit, and drink a bunch of local moonshine (in four different flavors).
Old Virginia Modified Herringbone fabric is woven for The Hill-Side in rural Virginia by Bob, whose family has been weaving fabric in Virginia since the 1870s. He weaves this fabric in a weaving building in his back yard, on a 1939 Crompton & Knowles W3 shuttle loom. With the help of his wife and one assistant, he winds the warp beams, ties in the warp, winds the bobbins, and runs the loom all under one roof. Bob designed the "Modified Herringbone" weaving pattern himself.
We've made ties and scarves in Old Virginia Modified Herringbone in four colors: red, black, blue, and natural, and they're available now.
http://thehill-side.com/
2:43
Nudity and Art
Merry Jane explains why the nude figure has been a mainstay of art for time immemorial. Nu...
published: 05 Nov 2012
author: Richard Young
Nudity and Art
Merry Jane explains why the nude figure has been a mainstay of art for time immemorial. Nudity, as the divine beauty of the ancient Greeks, was synonymous with integrity. Greek art praised what it knew in daily life. The nude human figure was the ideal of a sound mind and healthy body. Clothes were removed in order to exercise and to think without restraints.
The music is from Barbara Luna of Argentina. The song is entitled "Grito De Milonga" (Cry, Milonga). Milonga comes from the Río de la Plata area of Argentina and Uruguay. Milonga was very popular in the 1870's. It has a syncopated beat (which is very sexy to me), and the music eventually became the tango.
More about Barbara Luna:
last.fm/music/Barbara+Luna/Rough+Guide+To+The+Music+Of+Argentina
YouTube:
http://www.youtube.com/watch?v=AdueXhR5EaY
Barbara Luna Live:
http://www.youtube.com/watch?v=mVtmMKgpjN4
http://www.youtube.com/watch?v=heXDWmVOhh8
18:05
GUARDIA REAL ESPAÑOLA. La Guardia Real más antigua del mundo.
Tomando como origen de estas unidades especiales, el tiempo en que los godos dominaron la
...
published: 20 Feb 2009
author: Jorge Molina Lamothe
GUARDIA REAL ESPAÑOLA. La Guardia Real más antigua del mundo.
Tomando como origen de estas unidades especiales, el tiempo en que los godos dominaron la
Península Ibérica, vemos que la guarda de la monarquía hispánica era encomendada al conde
Spathario, empleo palatino que tenia como misión principal el gobierno de las tropas
encargadas de la protección del soberano.
Cabe destacar que el último de los reyes godos tenia como empleado en la jefatura de su
guardia al duque de Cantabria, el infante Don Pelayo, hijo de Fabila y primero de los reyes
astures en iniciar la reconquista.
Quizás la más famosa de las guardas que aparecen en la Edad Media es la de los Monteros de
Espinosa, nacida en el condado de Castilla en los albores del Siglo Xi con cinco nobles
burgaleses (Sancho Espinosa, Flarcines Peláez, Armenter Tellois , Munio y Joanes Obequiz),
tiene un origen incierto que se situa en los enfrentamientos que el Conde Sancho García
mantuvo con el rey de Córdoba Muhamad ven Hixem ben Abdeljiabar ben Abderahman
Anasir, intitulado “El Mohdi”, y que D. Pedro de la Escalera y Guevara pretende clarificarnos
en su obra “Del origen de los Monteros de Espinosa”.
Lo que si queda recogido a través del historial de este Noble Cuerpo, es que para ser miembro
de la Corporación, había que ser natural de la villa burgalesa de Espinosa de los Monteros y
familiar de otro Montero además de Hidalgo. Destaca ser el único Cuerpo de Casa Real que
permaneció fiel a cualquiera de las dinastías reinantes en la Península hasta su disolución por
la II República en 1931.
Hoy en día esta recogido el nombre de esta nobilísima Corporación en una de las Compañías
del Grupo de Honores de la actual Guardia Real.
Durante la baja Edad Media coexistieron distintas tropas palacianas que, aun teniendo como
misión principal la salvaguarda de la Corona, hacían del mismo modo labores de Fuerzas de
Orden Público, así en tiempos de Pedro I “El Cruel” eran coetáneos de los Armigueros o
Escuaderos a Caballo, los Ballesteros de la Maza y los Ballesteros a Caballo.
Fernández de Oviedo en su obra “Batallas y Quincuagenas” recoge la reorganización que
después de las Guerras de Granada y en previsión de un futuro conflicto con Francia,
realizaron los Reyes Católicos, para lo cual crearon un cuerpo “de dos mil y quinientos
hombres de armas ordinarios de guarda” conocidos como “Guardas Viejas de Castilla”.
En la primera edición de la Novísima Recopilación se hallan varias leyes dadas por Carlos I y
fechadas desde 1523 a 1551, en las que desde la 15ª hasta la 24ª tratan sobre los privilegios,
exenciones y disciplina de esta unidad, mandando en la 23ª que una compañía de esta tropa,
residiera continuamente en palacio para su guardia, denominándola de los “Cien Continuos” y
que tienen su precedente en la privativa que D. Álvaro de Luna, en tiempos de Juan II de
Castilla, que mandó armar para el servicio permanente en el Regio Alcázar, cien ballesteros
montados que denominó “Continos”.
Después del atentado que Juan de Cañamares realizó en Barcelona contra el rey Fernando en
diciembre de 1492, y fallecida en Medina del Campo la Reina Isabel, el Católico Rey mandó
que los mozos de espuela le siguiesen con espada en mano, viendo el decoro que
acompañaba a estos mozos, ordenó en 1504 que se les armara de alabarda, pieza de origen
danés que la infantería Suiza extendió por el continente europeo.
A estos mozos de espuela los puso el Rey bajo mando del letrado y militar Gonzalo de Ayora,
primero en introducir en las tropas españolas el empleo táctico del paso simultáneo a compás
regular, cargo que ocupó el cronista cordobés hasta 1507, año en el que al volver Fernando el
Católico de Italia, vio que el Capitán de su guardia personal había tomado partido por los
príncipes Felipe y Juana, por lo que nombró como Jefe de los guardias armados de alabarda,
al Capitán que mandaba la nueva unidad traída de Italia, Francisco Valdés, natural de
Guadalajara que murió en la guerra de Navarra y al que sustituyó el Comendador D. Jerónimo
de Cabanillas, Maestresala y Jefe de la guardia hasta la muerte del Rey.
Esta unidad que vestiría al estilo suizo, “con sayos medio colorados y medio blancos”, sería
conocida en sus orígenes como “Guardia Española”, y a partir de Carlos I se la denominaría
“Guardia Amarilla”, por cambiar su vestimenta al estilo alemán, con colores amarillos y
blancos, introduciendo posteriormente el color carmesí, propio de la monarquía española.
En 1507, el Rey Católico trae de Italia otra guardia de características similares a la “amarilla”,
denominada “Estradiontes”, que al empezar a prestar servicio en Palacio junto a la anterior
cambiaría su nombre por el de “Guardia de la Lancilla”, tendría como peculiaridad el hacer
servicio de forma mixta, es decir, a pie o a caballo indistintamente.
Es con la Casa de Austria cuando las unidades que desempeñan la labor de la Guardia Real
adquieren
Youtube results:
4:37
Santiago de Chile 1870 - 1950, Una mirada hacia el pasado....
Lugares increibles, muchos de ellos ya no existen o simplemente han cambiado demasiado. La...
published: 14 Apr 2010
Santiago de Chile 1870 - 1950, Una mirada hacia el pasado....
Lugares increibles, muchos de ellos ya no existen o simplemente han cambiado demasiado. Lastima que no se cuide el Patrimonio cultural de una ciudad tan interezante como es Santiago, dejando que se amputen maravillosas obras arquitectonicas, como la galeria San Carlos (actual pasaje Phullips), el Palacio Undurraga (Alameda - Estado), el Palacio Dias Gana (Alameda - Cumming), el Palacio urmeneta (Monjitas - San Antonio), el Portal McClure (Plaza de Armas), el Puente de Cal y Canto, la iglesia de las Carmelitas (frente al cerro Santa Lucia), La Estacion Pirque (Plaza italia), La Estacion Yungay (parque de los Reyes), la Mansion Quinta Meiggs (Alameda - Republica), La Fuente de Neptuno (Alameda - Vergara), entre muchos otros.
- published: 14 Apr 2010
- views: 35974
9:56
The Franco-Prussian War (1870-1871) 3/4
Written by Stuart Reid. Narrated by Bob Sessions, with expert analysis by Stuart Reid, Pau...
published: 13 Aug 2010
The Franco-Prussian War (1870-1871) 3/4
Written by Stuart Reid. Narrated by Bob Sessions, with expert analysis by Stuart Reid, Paul Jackson, David Bryant, Les Prince, and Bob Carruthers
- published: 13 Aug 2010
- views: 25529
26:17
guerre de 1870 LE JOURNAL D'UN ASSIÉGÉ.mp4
Le 18 janvier 1871, au château de Versailles, l'empire allemand est proclamé.La signature ...
published: 17 Jun 2012
guerre de 1870 LE JOURNAL D'UN ASSIÉGÉ.mp4
Le 18 janvier 1871, au château de Versailles, l'empire allemand est proclamé.La signature du traité de Francfort le 30 Mai cède l'Alsace et la Lorraine à l'Allemagne. Comment en est-on arrivé là?Retour sur la guerre de 1870-1871 grâce à l'ouvrage "Journal d'un assiégé", la guerre racontée par un strasbourgeois ayant vécu cette époque.
- published: 17 Jun 2012
- views: 352