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Non Fides - Base de données anarchistes
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Non Fides - Base de données anarchistes

Burn all flags !

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  • Pour en finir avec la Fédération Anarchiste

    Une nécrologie

    3 mars

    « Et pourtant ils existent »... La FA est une vieille chose d’un autre temps. Une Organisation anarchiste (oxymore) en veille, en attente. Mais cela ne l’empêche pas, avec sa politique de visibilité et de recrutement (mais pour quoi faire ?), d’être la vitrine de l’anarchisme français malgré son opposition radicale à toute praxis anarchiste, forcément offensive. Ces quelques notes partielles ont été rédigées en septembre 2012 dans le but d’une discussion au sein d’un groupe affinitaire composé d’anarchistes. Elles contiennent quelques pensées et quelques études de cas sur certaines polémiques liées à cette organisation archaïque. Nous avons choisi de les rendre publiques, afin que chacun puisse se faire son opinion sur la question et choisir son chemin en connaissance de cause.
    Ravage Editions, mars 2013.


  • [Brochure] Chronique d’un chemin caillouteux

    Compilation de textes à propos de la répression anti-anarchiste en Bolivie et du prisonnier Henry Zegarrundo

    28 février

    Le 29 mai 2012 à La Paz, capitale de la Bolivie, une vague de perquisitions est menée par la FELCC (force spéciale de lutte contre le crime), lors de laquelle treize personnes sont embarquées. De délation en délations, il ne reste que cinq inculpés, accusés d’un certain nombre d’attaques incendiaires ou explosives contre l’administration pénitentiaire, le vice-ministère de l’environnement, une caserne militaire, banques et entreprises entre 2011 et 2012. Parmi eux, Henry Zegarrundo est le seul à être resté digne de son éthique anarchiste face à l’Etat et ses sbires, rejetant toute forme de délation et d’innocentisme. Il est toujours incarcéré à la prison de San Pedro à La Paz. Voici donc un recueil de lettres de prison et de textes de contre-information et de solidarité sur la situation du compagnon et sur l’affaire en général, car pour nous anarchistes, la solidarité ne connaît pas de frontières.


  • Interview avec Henry Zegarrundo

    28 février
    Quelques mots nécessaires Grâce à quelques compagnon-ne-s qui ont pu voyager d’une ville à l’autre pour rendre visite au compagnon Henry, nous avons réalisé une interview avec lui. Pour surmonter les difficultés, l’interview a été réalisée au cours de deux parloirs : nous lui avons proposé lors de la première visite et lui avons laissé à l’écrit des questions pour qu’il puisse y répondre de la même manière. La visite suivante a permis de récupérer ses réponses écrites, ainsi que de partager des opinions et avis (...)

  • Votez Van der Lubbe !

    27 février

    Citoyens ! Les élections s’approchent. Savez-vous déjà pour qui voter ?
    Si vous êtes déçus des politiciens habituels qui promettent tout et ne tiennent rien,
    Si vous êtes fatigués d’une classe politique inepte vieille et ennuyeuse,
    Si vous êtes convaincus que le lieu où s’exerce le pouvoir a besoin d’une touche de chaleur,
    Si vous êtes dégoûtés par les castes, les privilèges et les affaires...

    VOTEZ MARINUS VAN DER LUBBE !

  • Pourquoi ?

    A celleux qui se poseraient encore la question…

    26 février
    Comment on en arrive à cesser le travail dans une PME de l’informatique. Un matin, un regard, le même feu… A s’entendre promettre une carotte qui ne vient jamais. A se faire rouler dans la farine à chaque entretien. A écouter pendant des heures un en-cravaté raconter ses salades et expliquer comment à la dernière ligne droite qui se termine se succède désormais une autre dernière ligne droite qui nous requiert plus que jamais, à quel point les mois qui viennent sont importants pour “la société” et (...)

  • Echapper à l’oubli (première tentative)

    Giannis Dimitrakis depuis la prison de Domokos (septembre 2010)

    23 février

    J’ai toujours gardé en tête cette image de moi-même, regardant inconsciemment les hauts murs surmontés de barbelés à chaque fois que je passais devant une prison. Devant quelle prison ? Eh bien, chaque fois que j’allais rendre visite à des amis dans le quartier de Nikea en moto et que je descendais la rue Grigoriou Lambraki, la prison de Korydallos avec ses murs de pierre attirait mon regard. Je ne sais pas pourquoi cela advenait. Était-ce parce qu’il y eut des moments où je me suis retrouvé dans les rues avoisinantes lors de manifs de solidarité pour les compagnons emprisonnés mais sans jamais être en mesure de la toucher vu que tous les passages pour se rendre plus près étaient complètement bloqués par la police ? Où était-ce parce que ce bâtiment énorme, imposant, qui cache avec un zèle incroyable tout ce qui se passe dans ses entrailles, un monde inconnu avec ses propres règles et lois, plein d’histoires individuelles, certaines héroïques d’autres de tortures, aiguisait ma curiosité ?


  • Grèce : à propos de l’assassinat de Babacar Ndiaye à Thisseio

    23 février
    Un microfoniki et une manifestation ont eu lieu en réponse aux assassinats de Babacar Ndiaye et Shahzad Lukman les 12 et 14 février, à l’initiative de l’Assemblée d’Immigrés et de Solidaires d’ASOEE et d’autres compagnons anarchistes. voir ici et là Quand les flics et les fascistes assassinent… Le 1/2/2013, vers 21h00, nous sommes prévenus de la mort d’un immigré trouvé mort sur les rails de métro à Thiseio. Les médias appellent cela un suicide. Depuis les hauts-parleurs des stations il est annoncé : “le (...)

  • Un cochon

    par Emile Pouget, 1890

    21 février

    C’est à Troyes que s’est passée la saloperie suivante. Elle n’a rien de bien rare, hélas, y a pas besoin de courir bien loin pour dégotter des patrons de la même farine.


  • Grèce : Textes des quatre anarchistes arrêtés à propos du double braquage de Velventos à Kozani

    Nos jours passent, pas nos nuits

    19 février

    Pour plus d’informations sur cette affaire et sur ces quatre compagnons, voir ce petit recueil de textes/affiches/communiqués concernant leur cas.


  • Quidam

    19 février

    Voilà pourquoi le quidam, qui vit dans la terreur perpétuelle et qui subit mille vexations de peur de perdre la protection que la société lui offre, crache son venin sur le révolté, l’autre, l’en dehors – bref, tous ceux et celles qui sont en rupture avec l’ordre et décident de vivre selon leurs propres termes. Le quidam se tue au travail, croule sous les interdits, est parfaitement dominé et domestiqué ; il ne peut supporter l’idée que quiconque ne subisse pas le même triste sort que lui. S’il souffre, tous doivent souffrir. S’il paie, tous doivent payer. S’il doit se rendre chaque matin, comme un automate, se tuer à petit feu dans un boulot idiot, il faut que tout le monde fasse de même. S’il est constamment frustré et doit se contenter de survivre plutôt que de vivre, il faut que personne d’autre n’ose relever la tête et se libérer. Le quidam perçoit tout ce qui menace un peu ses rituels grégaires, sa morale, sa sacro-sainte sécurité et l’uniformité beige de son conformisme comme un danger mortel. Ceux qui refusent le sacrifice de soi absurde deviennent pour lui une menace, un ennemi à abattre impitoyablement. Là réside toute la liberté qu’ils réclament : celle de pouvoir dénoncer ceux qui méritent d’être envoyés au poteau.


  • Trois petits tours et puis s’en vont

    17 février

    Voilà un an que la célèbre Mme Vasseur, médecin de la Santé, sortait à grands renforts de publicité son livre qui allait bouleverser le PPF (Paysage Pénitentiaire Français ), et indigner les parlementaires qui étalèrent leur humanisme sous les sunlights de l’info.


  • [Tract] Et si nous vivions enfin ?

    15 février

    Une nuit noire. Une interminable nuit, glaciale, sombre, répétitive et ennuyeuse. Certains la passent dehors, sur le trottoir, un bout de carton et des habits ramassés ici ou là, d’autres se réfugient dans les couloirs sordides du métro, chassés par les agents de la RATP ou de la mairie de Paris. Tout le monde se croise. Ceux qui se démerdent comme ils peuvent dans cette non-vie. Telle va vendre son corps pour quelques euros, l’autre va devoir se casser le dos sur un chantier, l’autre se faire chier derrière un bureau, l’autre aller servir les gros bourgeois aux cafés des quartiers chics ; l’autre encore doit changer dix fois de trottoir et raser les murs afin d’éviter les flics qui patrouillent, parce qu’il ou elle n’a pas les maudits papiers que l’État nous impose pour pouvoir nous contrôler tous et toutes. D’autres encore doivent se planquer pour fumer, certains pour éviter la brigade des stups’, d’autres parce que la famille les surveille étroitement, ou que la religion qu’on leur a imposée (ou qu’ils s’imposent tous seuls…) leur fait tomber sur la tête des interdits et des obligations en tout genre.


  • Naples : encore des micros retrouvés chez des compagnons

    15 février
    Dans deux domiciles et une voiture de certains compagnons, 6 micros et un GPS ont été retrouvés. Nous continuons d’exprimer notre mépris et notre dégoût face à ces mateurs et espions onanistes qui ne lésinent pas à la dépense pour confirmer et alimenter leurs masturbations mentales. Anarchistes à Naples Traduit de l’italien de informa-azione par Brèves du désordre, Sab, 09/02/2013 - 12:23 Naples : plus de détails sur les micros retrouvés A propos des micros retrouvés chez plusieurs (...)

  • Que la peur change de camp !

    15 février

    On en fait le constat tous les jours : la situation économique se durcit. Les licenciements massifs, comme à Ford Genk ou chez Arcelor-Mittal, se succèdent, les fermetures d’usines et de boîtes se comptent par dizaines, les allocations sociales supposées acheter la paix des démunis sont revues à la baisse. Dans d’autres pays européens comme la Grèce, le Portugal ou l’Espagne, la situation est devenue dramatique, à un point tel que de plus en plus de gens commencent désormais à avoir faim.


  • Montreuil : Le masque de la mort lente

    13 février

    Texte diffusé le 2 février 2013, lors du Village énergie, installé dans les locaux de la mairie écologiste de Montreuil, auquel participaient le réseau Sortir du nucléaire et Yosomono, association de résidents japonais en Europe, d’obédience écologiste.


  • Marseille : on n’aura que ce qu’on prendra !

    13 février

    Parqués dans des appartements pourris, expulsés de nos logements et de nos quartiers, exploités dans des boulots sous-payés, traqués par les flics et les caméras, enfermés dans des prisons et centres de rétention, humiliés à la pref’, à pôle emploi et à la CAF... Y’en a marre de baisser la tête. Le quotidien est une lutte et seul je perds... Alors descendons dans la rue le 16 mars pour nous battre contre la traque des pauvres.


  • L’Anarchie et l’Eglise

    Par Elisée Reclus (1900)

    11 février

    Ce que nous avons à craindre de l’Eglise ou des églises est clairement enseigné par l’histoire. A cet égard, toute méprise, toute confusion sont impossibles. Nous sommes haïs, exécrés, maudits : on nous voue non seulement aux supplices de l’enfer, - ce qui n’a pas de sens pour nous, - mais on nous signale à la vindicte des lois temporelles, à la vengeance spéciale des rois, des geôliers et des bourreaux, même à l’ingéniosité des tortureurs que la Sainte Inquisition, toujours vivante, entretient dans les cachots. Le langage officiel des papes, fulminé dans leurs bulles récentes, dirige expressément la campagne contre les « novateurs insensés et diaboliques, les orgueilleux disciples d’une science prétendue, les gens en délire qui vantent la liberté de conscience, les corrupteurs de toutes choses sacrées, les odieux corrupteurs de la jeunesse, les ouvriers de crime et d’iniquité ». Ces maudits, ces anathèmes, ce sont, en premier lieu, ceux qui se disent hommes de révolution, anarchistes ou libertaires.


  • D’une prison à l’autre...

    9 février

    Le 16 décembre 2012, cinq personnes tentent de s’évader du centre de rétention de Palaiseau. Quatre vont y parvenir mais la cinquième personne, Ibrahim, va rester dans les mains de la police qui le passera à tabac. Il est placé en garde-à-vue puis déféré devant un juge deux jours plus tard accusé d’avoir ceinturé un flic pour lui voler un badge magnétique qui a permis aux autres de se faire la belle. Il est ensuite incarcéré en préventive à Fleury-Mérogis jusqu’au 18 janvier 2013, jour du jugement où il est condamné à deux ans de prison ferme et à verser 1200 euros à deux flics qui se plaignent de violence. En centre de rétention, l’évasion n’étant pas un délit, les flics et les juges cherchent donc à charger sur d’autres chefs d’inculpation.


  • 17 juin 1953 : Les journées de Berlin-Est racontées par des anarchistes qui y prirent part

    9 février

    Pour comprendre les événements de juin, il faut savoir ce que c’est que la vie normale en zone russe. La disette est permanente. Alors qu’à Berlin-Ouest on vit sans cartes et que les magasins regorgent de provisions, Berlin-Est, bien que relié à la partie la plus agricole de l’Allemagne, a toujours des cartes spéciales pour les enfants, les non-travailleurs, les travailleurs légers, les travailleurs de force, les intellectuels n° 1, les intellectuels n° 2, etc... Pour les militants des cadres du Parti, il y a des attributions spéciales ; pour l’homme ordinaire, non seulement les rations sont maigres, mais le plus souvent on ne peut les toucher, parce qu’il n’y a plus rien à acheter. Où donc passent les vivres ? Une bonne partie s’en va en Russie ; une autre est réservée aux privilégiés du régime. Enfin, en marge des magasins (privés ou coopératifs) vendant à la taxe, le gouvernement a créé des magasins spéciaux qui font du marché noir officiel à gros bénéfice ; ce sont les « Handel Organizationen » (organisations de commerce) ou H.O. ; mais les mauvaises têtes les ont surnommés « organisations de famine », ou « affameurs de l’Est » (Hungernder Osten).


  • « Vive l’anarchie ! bande de bâtards ! »

    Grèce : A propos des arrestations de quatre anarchistes accusés d’avoir braqué deux banques

    7 février
    L’information commence déjà à faire le tour du monde, quatre compagnons ont été arrêtés, accusés de deux braquages de banques à Kozani, dans le nord de la Grèce. Deux d’entre eux, Yannis Michailidis et Dimitris Politis, étaient en cavale, accusés de participation à l’organisation Conspiration des Cellules de Feu. Chose qu’ils avaient infirmés dans une déclaration publique pour que leur discours ne soit pas confondu avec celui des CCF, tout en affirmant leur solidarité avec eux et la nécessité d’attaquer ce (...)

  • Audio : Comme un chien enragé

    6 février
    Extraits d’une lettre anonyme d’un détenu de la prison de la Santé sur les conditions de détention et sur la prison en général. Mars/Avril 2011. Pour en finir avec toute les prisons. On pourra lire la lettre en entier (en français et en grec) ou la télécharger en format PDF brochure ici. Comme un chien enragé - Lettre anonyme d’un... par passiondestructrice Pour sauvegarder la vidéo, clic droit ici + enregistrer la cible sous... Plusieurs présentations et discussions autour du contenu de cette (...)

  • Haine de classe

    6 février

    Le regard vide, le néant qui s’immisce, les cerveaux qui fondent. Je te parle, mais ton portable sonne. Je te parle, mais tu ne m’écoutes pas. Je t’écris et tu me réponds par mail. Suis mon regard. Des boulevards de liberté se tracent devant toi, mais tu ne vois pas, les yeux rivés sur ton texto, ton ipod ou la vitrine du magasin. Ta liberté, c’est ton esclavage, et tu es un esclave de la marchandise, esclave du travail, esclave de la mode, esclave de tes instincts. Tu es un animal domestique, au service des riches.


  • Contre le capital, lutte criminelle

    3 février

    [tract diffusé à Turin au printemps 69, lors de la vague de révoltes générales dans les prisons italiennes]


  • Bolivie : A propos du prisonnier anarchiste Henry Zegarrundo

    2 février

    Le 29 mai dernier, 13 personnes ont été arrêtées dans le cadre de l’investigation de la FELCC (Force Spéciale contre le Crime) concernant diverses attaques contre les symboles du pouvoir. La plupart d’entre elles sont libérées dans les heures ou jours qui suivent car elles collaborent avec la police. De ces 13 personnes, trois sont arrêtées, Henry est l’un d’entre eux.


  • Dans la mêlée

    31 janvier

    La guerre sociale est une vieille histoire, elle est le constat que de tout temps, des conflictualités diverses ont opposé à la domination des formes de réponses variées. De l’attaque diffuse, petite, grande, communiquée ou non, reproductible à souhait aux grèves sauvages, occupations, sabotages jusqu’à l’émeute, la prise d’arme, l’insurrection... Jamais le répit de la domination ne fut total, et notre but est de le briser hargneusement, mais avec la joie qui caractérise l’émancipation. La guerre sociale ne se commence pas, l’on ne peut qu’y contribuer.




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